1
a Réforme. M. de Montherlant n’est décidément pas
philosophe
. Peut-être ne lui a-t-il manqué pour le devenir que le temps de médit
2
er en maillot rouge assis entre un banquier et un
philosophe
au milieu d’une centaine d’étudiants et de professeurs suisses et fra
3
core un dîner très démocratique pendant lequel le
philosophe
Abauzit chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une main sur l’épa
4
qui préciseraient ce parallélisme du poète et du
philosophe
. g. « Les Bestiaires, roman, par Henry de Montherlant, chez Grasset
5
ruines de la Haute-Égypte révèlent en de Traz un
philosophe
de l’histoire aux vues larges et pourtant réalistes, aux hypothèses h
6
le double risque de paraître trop littéraire aux
philosophes
, et trop philosophe aux littérateurs. Il manque à M. Fernandez un cer
7
paraître trop littéraire aux philosophes, et trop
philosophe
aux littérateurs. Il manque à M. Fernandez un certain recul par rappo
8
mplot de la commodité ». Mais plus voluptueux que
philosophe
, c’est à l’amour qu’il ira demander la souffrance indispensable au pe
9
qui donna un sens au monde. — Mais je bavarde, je
philosophe
, et vous allez me dire que c’est trop facile pour un homme retiré du
10
geoisie qui se monte le cou. 13. Économistes et
philosophes
: ces Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public.
11
eu importe.) Les économistes (mot stupide) et les
philosophes
13 les mieux informés de ce temps s’accordent sur un point : le salut
12
geoisie qui se monte le cou. 13. Économistes et
philosophes
: ces Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public.
13
ires sans idéal et sans puissances de mythe ; des
philosophes
sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs
14
ait résoudre, bien des mystiques, des poètes, des
philosophes
, des psychiatres, des moralistes et des charlatans ont hasardé des ré
15
positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des
philosophes
. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait si vraiment ell
16
eut naguère des insolences d’affranchi, dont les
philosophes
demeurent tout intimidés. Et nous vîmes le matérialisme mener son mor
17
critique du matérialisme entreprise par certains
philosophes
des sciences fait-elle songer à l’activité de cet espion anglais qui
18
tions l’idéalisme scientifique de M. Brunschvicg,
philosophe
officiel des lumières. De quelles prises, en effet, dispose cet idéal
19
: il y a lieu de s’attrister. Si vous demandez au
philosophe
de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se
20
rticle de M. Marcel, catholique, à l’endroit d’un
philosophe
caractérisé, nous dit-on, par « sa terreur sincère de la vérité qui m
21
vril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’un
philosophe
, d’Analyse spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le c
22
Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le célèbre
philosophe
fondateur de l’École de la Sagesse de Darmstadt vient de donner au Tr
23
ouverain. Peut-être faut-il reconnaître à ce seul
philosophe
le privilège d’avoir parlé sans complicité de ce qui nous détruit : R
24
ue par exemple qu’en France, l’admiration pour un
philosophe
s’exprime volontiers dans des termes de ce genre : « penseur ingénieu
25
groupe barthien de Hic et Nunc ; chez les poètes
philosophes
, certains éléments subsistants de Philosophies, ou naissants, de Réal
26
révolution ne réside pas dans l’argumentation des
philosophes
chargés d’illustrer à ses propres yeux la bourgeoisie démocratique. E
27
9, tel est le titre de son pamphlet — ce sont les
philosophes
de la Troisième République. On peut recommander la lecture de ce livr
28
’ordre établi. « Nous vivons dans un temps où les
philosophes
s’abstiennent. Ils vivent dans un état de scandaleuse absence. Il exi
29
r de réponses ». Au fond, M. Nizan reproche à nos
philosophes
d’exclure de leurs recherches tout ce qui intéresse chaque homme et t
30
as si grave, que le monde n’est plus mené par les
philosophes
, qu’il accorde à leur activité une importance qu’elle ne saurait avoi
31
garde. M. Nizan demande inlassablement ce que les
philosophes
bourgeois font et comptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le
32
encore qu’une formule), l’homme au singulier des
philosophes
, on sait ce qu’en vaut l’aune : ce n’est qu’une extension orgueilleus
33
surée du type d’homme qui intéresse tel groupe de
philosophes
, et qui vient se substituer à la réelle humanité. C’est, pour M. Brun
34
ctuels marxistes, en France particulièrement. Les
philosophes
ne s’adressent jamais à tel homme dans telle situation quotidienne, r
35
t. S’ils n’ont pas trop souvent cherché auprès de
philosophes
secrètement avides de prêtrise, ou même prêtres, ou même canonisés, u
36
. Nous n’avons plus à argumenter à la manière des
philosophes
, mais à témoigner. Épreuve dangereuse et salutaire, germe de cette «
37
ar l’abandon aux mains du Dieu vivant. En face de
philosophes
qui se moquent des hommes et ne voient même pas qu’ils n’ont plus de
38
tion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du
philosophe
moderne une valeur métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste l
39
français, non d’un Français. 2. Hegel serait le
philosophe
par excellence de l’Europe Centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l
40
qui donne un sens au monde. — Mais je bavarde, je
philosophe
, et vous allez me dire que c’est trop facile pour un homme retiré du
41
e, mais je réserve pour demain les conclusions de
philosophe
, on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opér
42
positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des
philosophes
. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait si vraiment ell
43
tion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du
philosophe
moderne une valeur métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste l
44
français, non d’un Français. 2. Hegel serait le
philosophe
par excellence de l’Europe centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l
45
e, mais je réserve pour demain les conclusions du
philosophe
, on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opér
46
positives. Ainsi donc j’ai cherché la Pierre des
Philosophes
. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait si vraiment ell
47
revue. Écrivain fécond9, évangéliste, économiste,
philosophe
, meneur de grèves, chef syndicaliste, Kagawa est l’un des personnages
48
ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les
philosophes
, le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
49
tienne sont séparées par la mort éternelle. Qu’un
philosophe
, qu’un moraliste, parle de choix, de risque et d’acte, ces mots désig
50
ns de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les
philosophes
, de tout temps, ont montré du goût pour une certaine continuité, une
51
s ». Nous ne pensons pas qu’il y ait lieu pour un
philosophe
, d’être rassuré par la découverte de telles conditions. Elles constit
52
que le toi, plus couramment employé par certains
philosophes
français. (Cf. G. Marcel, Journal métaphysique). Le toi est mon objet
53
igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
philosophe
Léon Chestov disait un jour à quelques amis : « Il paraît qu’il exist
54
ices et dans l’introduction de son Anthologie des
Philosophes
contemporains, mais aussi dans les études qu’il publiait en revue sur
55
onsidérée comme un assassinat », écrit un jour un
philosophe
. Mais c’est encore une illusion d’orgueil. Le grand Pan n’est pas mor
56
origine, allait être décrétée essentielle par les
philosophes
dès qu’ils ne tiendraient plus réellement compte du péché ni de la gr
57
emagne des Novalis, des Schelling et des Schlegel
philosophe
ardemment autour de cette « question » du monde, alors que les lyriqu
58
nt la détester. (Dix ans de discussions, chez les
philosophes
de Moscou, ont abouti, en 1932, à des définitions tellement abstruses
59
Répétition 4, on trouvera confondus le poète, le
philosophe
, l’ironiste et le théologien. Kierkegaard nous montre un homme aux pr
61
ple de l’Allemagne peut nous faire réfléchir. Les
philosophes
y connaissent des succès dont rien, ici, ne peut donner l’idée ; et m
62
« succès » de saison. Mais l’insuccès notoire des
philosophes
auprès du grand public a des causes plus graves, qu’il faut attribuer
63
uses plus graves, qu’il faut attribuer autant aux
philosophes
qu’à ceux qui ne les lisent plus. Le public se figure que la philosop
64
le-même un acte43. Et c’est ici la déficience des
philosophes
qui se montre. Sous prétexte de science, la pensée de nos maîtres s’e
65
ns peine l’indifférence où le public la tient. Un
philosophe
« sérieux » pour l’Université c’est trop souvent un homme que l’étude
66
stention ? ⁂ Tel est l’état des choses. Public et
philosophes
ont si bien pris l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se de
67
it pas une révolution. Les évaluations morales du
philosophe
et les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute commune mesure. Qu
68
pour aujourd’hui, d’introduction à deux essais de
philosophes
chrétiens : L’Homme du ressentiment, de Max Scheler44, Position et ap
69
t Martin Heidegger. On sait que la coutume de ces
philosophes
est de fonder leurs analyses sur des totalités, sur des unités d’expé
70
de s’interroger sur les sources de son être. Les
philosophes
lui sont de peu de recours. Ils ont fait de l’être un problème qu’ils
71
ité dans la vie du chrétien. r. « Deux essais de
philosophes
chrétiens », Foi et Vie, Paris, n° 61, mai 1934, p. 415-422.
72
ique. Tous les efforts des hommes — y compris les
philosophes
— consistent peut-être à échapper à cette vision, qui est l’angoisse
73
e purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des
philosophes
. Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dir
74
u pouvoir des philosophes. Encore faut-il que les
philosophes
pensent dans le réel, c’est-à-dire dans l’actualité, au sens littéral
75
outes celles qui aient occupé jusqu’à présent les
philosophes
. Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y c
76
ait pas déplu à l’humeur shakespearienne de notre
philosophe
. C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. Souvenez-vous de ce cha
77
nguinaire aux faux dieux qu’elle a suscités. « Le
philosophe
dit à bon droit que la vie doit être comprise en arrière, mais il oub
78
qui subsiste, c’est de les accepter pour tels. «
Philosophe
et guerrier, écrit Rudolf Kassner, n’ont presque plus en commun que d
79
, — s’il est voulu. Les mots, les expressions des
philosophes
sont sans cesse repris par les simples — et aussi par les autres, bie
80
événement ne naît jamais, comme feignent certains
philosophes
, du croisement de deux définitions. Les philosophes se résignent très
81
ilosophes, du croisement de deux définitions. Les
philosophes
se résignent très mal à cette limitation de leur pouvoir : il nous fa
82
e à des concepts très diversement définis par les
philosophes
de l’école : présence, événement, concret, acte, personne. À tel poin
83
igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
philosophe
Léon Chestov disait un jour à quelques amis : Il paraît qu’il existe
84
seront-ils plus probants que les définitions d’un
philosophe
? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications
85
es Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le
philosophe
thomiste est très bien défini : c’est le pouvoir du pape ; c’est celu
86
s-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes
philosophes
marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt que de prima
87
mmuniste, à certaines lettres de Engels, etc. Les
philosophes
de Moscou sont loin d’être d’accord là-dessus. Nous y verrons plus cl
88
— Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des
philosophes
, des esthètes ! Des philanthropes ! — Je suis d’accord, sauf pour est
89
ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les
philosophes
, le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
90
e purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des
philosophes
. Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dir
91
u pouvoir des philosophes. Encore faut-il que les
philosophes
pensent dans le réel, c’est-à-dire dans l’actualité, au sens littéral
92
outes celles qui aient occupé jusqu’à présent les
philosophes
. Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y c
93
s plus propres à créer des malentendus : celui du
philosophe
abstrus, désespéré, voire nihiliste7 du Traité du désespoir ; et celu
94
igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
philosophe
Léon Chestov disait un jour à quelques amis : Il paraît qu’il existe
95
seront-ils plus probants que les définitions d’un
philosophe
? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications
96
es Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le
philosophe
thomiste est très bien défini : c’est le pouvoir du pape ; c’est celu
97
s-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes
philosophes
marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt que de prima
98
mmuniste, à certaines lettres de Engels, etc. Les
philosophes
de Moscou sont loin d’être d’accord là-dessus. Nous y verrons plus cl
99
— Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des
philosophes
, des esthètes ! Des philanthropes ! — Je suis d’accord, sauf pour est
100
ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les
philosophes
, le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
101
critique des poètes — qu’il opposait à celle des
philosophes
libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique !
102
ierkegaard nous soit présenté aujourd’hui par des
philosophes
laïques tout à fait libérés des disciplines de la foi, au moment déci
103
gélique ? Et voici que cette conjonction du poète
philosophe
et du théologien projette une vive lumière sur le secret dernier du m
104
ti les fragments traduits en trois rubriques : le
philosophe
, le moraliste, le politique. Je ne vois pas de meilleur moyen de donn
105
st le monde païen, le monde antique, le monde des
philosophes
, la forme pure est celle de l’idée platonicienne. Mais dans le monde
106
n pas », soucieux sans doute de se distinguer des
philosophes
« existentiels », qui ont mis à toutes les sauces humanistes et roman
107
du mot achèvement. À partir de Hegel, dit-il, le
philosophe
n’aura plus d’autre possibilité que celle de « réaliser » la philosop
108
nture politique ou religieuse. Au grand Hegel qui
philosophe
« au dimanche de la vie » au-dessus du « banc de sable de cette vie t
109
livre de Gundolf. C’est l’œuvre synthétique d’un
philosophe
des formes culturelles, plutôt que d’un historien de la science. Les
110
érouler sous le patronage du grand génie, savant,
philosophe
, écrivain, homme d’action qui, trois-cents ans plus tôt, en 1637 exac
111
t fatalement nos professeurs à mépriser les seuls
philosophes
de ce temps — Nietzsche en est le fameux exemple — sous prétexte qu’i
112
nsée34 ». Quand ils ne sont pas historiens, les «
philosophes
» de l’Université s’occupent de psychologie. Mais là encore, ils ont
113
gesse cléricale, le dernier mot de la sagesse des
philosophes
, celui qui excuse en fin de compte — à leurs yeux seuls — tous leurs
114
poser les questions philosophiques : la tâche du
philosophe
sincère est, de nos jours, suspendue par un fait, l’existence de la s
115
rpés. 37. « Le difficile et l’essentiel pour un
philosophe
, ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
116
ux (« se boucher les yeux »). Elle postule que le
philosophe
est dégagé de toute responsabilité. Qu’il pense dans le vide, hors de
117
s à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des
philosophes
terriblement concrets : Maître Eckhart, Suso, Tauler, Franck et Weige
118
s à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des
philosophes
terriblement concrets : Suso, Tauler, Franck et Weigel, et surtout Bo
119
enté établie ». Toute une carrière de poète et de
philosophe
« à orientation religieuse » avait en effet préparé le climat et la j
120
libertin spirituel ».) Il s’agit de confondre les
philosophes
incroyants au moyen de leurs propres arguments, et les théologiens tr
121
ands idéalismes est consommée par le triomphe des
philosophes
« existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
122
ipe des encyclopédistes — à la fois démagogues et
philosophes
— qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’es
123
quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de
philosophes
? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La
124
rands symboles de vérité, de force et de beauté. (
Philosophes
, savants et artistes.) À partir du xixe siècle, on voit paraître des
125
anarchistes. Presque tous les poètes et tous les
philosophes
poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski, Rimbaud e
126
er notre acte de foi ? ⁂ Le lecteur qui n’est pas
philosophe
ne manquera pas de dire que j’entraîne le problème à une profondeur t
127
ands idéalismes est consommée par le triomphe des
philosophes
« existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
128
pour ne rien dire.) Une seule chose intéresse le
philosophe
moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en pre
129
oricisme, psychologisme et criticisme… Lorsque le
philosophe
moderne rejette les tentations grossières de la sociologie, il ne se
130
ociologie, il ne se veut sérieux qu’en tant qu’il
philosophe
indéfiniment, et récuse toute finalité. Le sérieux de la pensée s’ide
131
veut la Troisième République. Gens d’affaires et
philosophes
ont donc commis la même erreur : ils ont cru pouvoir s’en remettre à
132
hardie ou simplement actuelle. (La virtuosité des
philosophes
français est la plus remarquable dans cet ordre. Ce sont de véritable
133
ent pas). Je ne dis pas cela seulement contre les
philosophes
distingués qui repoussent sans fin les vrais dilemmes pour « continue
134
rs, en pittoresque superficiel et discutable. Des
philosophes
aux disciples puissants nous assurent aujourd’hui que le conflit féco
135
t que l’acte détruit. 83. « Le difficile pour un
philosophe
, ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
136
ux : « se boucher les yeux. » Elle postule que le
philosophe
est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vid
137
e, ou idéaliste, ou relativiste, de l’activité du
philosophe
. ⁂ Mais cette réalité salutaire, cet acte, comment pourrions-nous mai
138
ipe des encyclopédistes — à la fois démagogues et
philosophes
— qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’es
139
quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de
philosophes
? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La
140
rands symboles de vérité, de force et de beauté. (
Philosophes
, savants et artistes.) À partir du xixe siècle, on voit paraître des
141
anarchistes. Presque tous les poètes et tous les
philosophes
poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski, Rimbaud e
142
er notre acte de foi ? ⁂ Le lecteur qui n’est pas
philosophe
ne manquera pas de dire que j’entraîne le problème à une profondeur t
143
ands idéalismes est consommée par le triomphe des
philosophes
« existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
144
pour ne rien dire.) Une seule chose intéresse le
philosophe
moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en pre
145
oricisme, psychologisme et criticisme… Lorsque le
philosophe
moderne rejette les tentations grossières de la sociologie, il ne se
146
ociologie, il ne se veut sérieux qu’en tant qu’il
philosophe
indéfiniment, et récuse toute finalité. Le sérieux de la pensée s’ide
147
veut la Troisième République. Gens d’affaires et
philosophes
ont donc commis la même erreur : ils ont cru pouvoir s’en remettre à
148
hardie ou simplement actuelle. (La virtuosité des
philosophes
français est la plus remarquable dans cet ordre. Ce sont de véritable
149
ent pas). Je ne dis pas cela seulement contre les
philosophes
distingués qui repoussent sans fin les vrais dilemmes pour « continue
150
rs, en pittoresque superficiel et discutable. Des
philosophes
aux disciples puissants nous assurent aujourd’hui que le conflit féco
151
t que l’acte détruit. 85. « Le difficile pour un
philosophe
, ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
152
ux : « se boucher les yeux. » Elle postule que le
philosophe
est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vid
153
un style qui ne saurait être celui du poète ou du
philosophe
, par exemple. Ce qui ne va pas sans risques graves, pour la plupart.
154
« Nous ne sommes plus un peuple de rêveurs et de
philosophes
! », proclamait récemment M. Goebbels. Mais, tandis que s’élevait l’i
155
des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur
philosophe
. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-nou
156
e fidèle, en prédicateur responsable, non plus en
philosophe
ou en métaphysicien, que Luther nie le libre arbitre. Ceci pourrait s
157
a mort. L. — Que savons-nous de l’éternité ? Les
philosophes
et la raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit
158
intitulé « l’Ombre », Andersen raconte comment un
philosophe
« Venant des froides régions du Nord » et voyageant aux pays chauds,
159
, « journées sociales », amateurs de littérature,
philosophes
, paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des bourgeois… J
160
des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur
philosophe
. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-nou
161
églises de riches. Elles ont trahi l’Évangile. Un
philosophe
français, M. Julien Benda, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs
162
dilemme assez comparable, « par lequel un ancien
Philosophe
prouvait qu’on ne se devait point mêler des affaires de la République
163
La 2e thèse de Marx sur Feuerbach affirme : Les
philosophes
n’ont fait jusqu’ici qu’interpréter diversement le monde ; or il s’ag
164
lises de riches. Elles ont trahi l’Évangile. « Un
philosophe
français, M. Julien Benda, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs
165
je crois réellement à la Providence ? Beaucoup de
philosophes
contemporains disent que la Providence est un opium ; que l’homme s’e
166
pensent que leur raison d’être est de créer (les
philosophes
en marche). Si les premiers triomphent (grâce à l’École et à l’appât
167
, « journées sociales », amateurs de littérature,
philosophes
, paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des bourgeois… J
168
des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur
philosophe
. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-no
169
ce qui leur vient dans l’esprit ; mais entre les
philosophes
… Nous croyons que Dieu voit tout ce qui se passe dans le monde. Nos f
170
quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de
philosophes
? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La