1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 a Réforme. M. de Montherlant n’est décidément pas philosophe . Peut-être ne lui a-t-il manqué pour le devenir que le temps de médit
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 er en maillot rouge assis entre un banquier et un philosophe au milieu d’une centaine d’étudiants et de professeurs suisses et fra
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 core un dîner très démocratique pendant lequel le philosophe Abauzit chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une main sur l’épa
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 qui préciseraient ce parallélisme du poète et du philosophe . g. « Les Bestiaires, roman, par Henry de Montherlant, chez Grasset 
5 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
5 ruines de la Haute-Égypte révèlent en de Traz un philosophe de l’histoire aux vues larges et pourtant réalistes, aux hypothèses h
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
6 le double risque de paraître trop littéraire aux philosophes , et trop philosophe aux littérateurs. Il manque à M. Fernandez un cer
7 paraître trop littéraire aux philosophes, et trop philosophe aux littérateurs. Il manque à M. Fernandez un certain recul par rappo
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
8 mplot de la commodité ». Mais plus voluptueux que philosophe , c’est à l’amour qu’il ira demander la souffrance indispensable au pe
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 qui donna un sens au monde. — Mais je bavarde, je philosophe , et vous allez me dire que c’est trop facile pour un homme retiré du
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
10 geoisie qui se monte le cou. 13. Économistes et philosophes  : ces Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public.
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
11 eu importe.) Les économistes (mot stupide) et les philosophes  13 les mieux informés de ce temps s’accordent sur un point : le salut
12 geoisie qui se monte le cou. 13. Économistes et philosophes  : ces Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public.
11 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
13 ires sans idéal et sans puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs
12 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
14 ait résoudre, bien des mystiques, des poètes, des philosophes , des psychiatres, des moralistes et des charlatans ont hasardé des ré
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
15 positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes . D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait si vraiment ell
14 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
16 eut naguère des insolences d’affranchi, dont les philosophes demeurent tout intimidés. Et nous vîmes le matérialisme mener son mor
17 critique du matérialisme entreprise par certains philosophes des sciences fait-elle songer à l’activité de cet espion anglais qui
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
18 tions l’idéalisme scientifique de M. Brunschvicg, philosophe officiel des lumières. De quelles prises, en effet, dispose cet idéal
19 : il y a lieu de s’attrister. Si vous demandez au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se
20 rticle de M. Marcel, catholique, à l’endroit d’un philosophe caractérisé, nous dit-on, par « sa terreur sincère de la vérité qui m
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
21 vril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe , d’Analyse spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le c
22 Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le célèbre philosophe fondateur de l’École de la Sagesse de Darmstadt vient de donner au Tr
17 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
23 ouverain. Peut-être faut-il reconnaître à ce seul philosophe le privilège d’avoir parlé sans complicité de ce qui nous détruit : R
18 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
24 ue par exemple qu’en France, l’admiration pour un philosophe s’exprime volontiers dans des termes de ce genre : « penseur ingénieu
19 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
25 groupe barthien de Hic et Nunc ; chez les poètes philosophes , certains éléments subsistants de Philosophies, ou naissants, de Réal
20 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
26 révolution ne réside pas dans l’argumentation des philosophes chargés d’illustrer à ses propres yeux la bourgeoisie démocratique. E
21 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
27 9, tel est le titre de son pamphlet — ce sont les philosophes de la Troisième République. On peut recommander la lecture de ce livr
28 ’ordre établi. « Nous vivons dans un temps où les philosophes s’abstiennent. Ils vivent dans un état de scandaleuse absence. Il exi
29 r de réponses ». Au fond, M. Nizan reproche à nos philosophes d’exclure de leurs recherches tout ce qui intéresse chaque homme et t
30 as si grave, que le monde n’est plus mené par les philosophes , qu’il accorde à leur activité une importance qu’elle ne saurait avoi
31 garde. M. Nizan demande inlassablement ce que les philosophes bourgeois font et comptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le
32 encore qu’une formule), l’homme au singulier des philosophes , on sait ce qu’en vaut l’aune : ce n’est qu’une extension orgueilleus
33 surée du type d’homme qui intéresse tel groupe de philosophes , et qui vient se substituer à la réelle humanité. C’est, pour M. Brun
34 ctuels marxistes, en France particulièrement. Les philosophes ne s’adressent jamais à tel homme dans telle situation quotidienne, r
35 t. S’ils n’ont pas trop souvent cherché auprès de philosophes secrètement avides de prêtrise, ou même prêtres, ou même canonisés, u
36 . Nous n’avons plus à argumenter à la manière des philosophes , mais à témoigner. Épreuve dangereuse et salutaire, germe de cette « 
22 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
37 ar l’abandon aux mains du Dieu vivant. En face de philosophes qui se moquent des hommes et ne voient même pas qu’ils n’ont plus de
23 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
38 tion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste l
39 français, non d’un Français. 2. Hegel serait le philosophe par excellence de l’Europe Centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l
24 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
40 qui donne un sens au monde. — Mais je bavarde, je philosophe , et vous allez me dire que c’est trop facile pour un homme retiré du
25 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
41 e, mais je réserve pour demain les conclusions de philosophe , on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opér
26 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
42 positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes . D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait si vraiment ell
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
43 tion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste l
44 français, non d’un Français. 2. Hegel serait le philosophe par excellence de l’Europe centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
45 e, mais je réserve pour demain les conclusions du philosophe , on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opér
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
46 positives. Ainsi donc j’ai cherché la Pierre des Philosophes . D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait si vraiment ell
30 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
47 revue. Écrivain fécond9, évangéliste, économiste, philosophe , meneur de grèves, chef syndicaliste, Kagawa est l’un des personnages
31 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
48 ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les philosophes , le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
32 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
49 tienne sont séparées par la mort éternelle. Qu’un philosophe , qu’un moraliste, parle de choix, de risque et d’acte, ces mots désig
33 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
50 ns de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes , de tout temps, ont montré du goût pour une certaine continuité, une
51 s ». Nous ne pensons pas qu’il y ait lieu pour un philosophe , d’être rassuré par la découverte de telles conditions. Elles constit
34 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
52 que le toi, plus couramment employé par certains philosophes français. (Cf. G. Marcel, Journal métaphysique). Le toi est mon objet
35 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
53 igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis : « Il paraît qu’il exist
36 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
54 ices et dans l’introduction de son Anthologie des Philosophes contemporains, mais aussi dans les études qu’il publiait en revue sur
37 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
55 onsidérée comme un assassinat », écrit un jour un philosophe . Mais c’est encore une illusion d’orgueil. Le grand Pan n’est pas mor
56 origine, allait être décrétée essentielle par les philosophes dès qu’ils ne tiendraient plus réellement compte du péché ni de la gr
57 emagne des Novalis, des Schelling et des Schlegel philosophe ardemment autour de cette « question » du monde, alors que les lyriqu
38 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
58 nt la détester. (Dix ans de discussions, chez les philosophes de Moscou, ont abouti, en 1932, à des définitions tellement abstruses
39 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
59 Répétition 4, on trouvera confondus le poète, le philosophe , l’ironiste et le théologien. Kierkegaard nous montre un homme aux pr
40 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
60 Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)r Combien existe-t-il en France de personnes i
61 ple de l’Allemagne peut nous faire réfléchir. Les philosophes y connaissent des succès dont rien, ici, ne peut donner l’idée ; et m
62 « succès » de saison. Mais l’insuccès notoire des philosophes auprès du grand public a des causes plus graves, qu’il faut attribuer
63 uses plus graves, qu’il faut attribuer autant aux philosophes qu’à ceux qui ne les lisent plus. Le public se figure que la philosop
64 le-même un acte43. Et c’est ici la déficience des philosophes qui se montre. Sous prétexte de science, la pensée de nos maîtres s’e
65 ns peine l’indifférence où le public la tient. Un philosophe « sérieux » pour l’Université c’est trop souvent un homme que l’étude
66 stention ? ⁂ Tel est l’état des choses. Public et philosophes ont si bien pris l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se de
67 it pas une révolution. Les évaluations morales du philosophe et les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute commune mesure. Qu
68 pour aujourd’hui, d’introduction à deux essais de philosophes chrétiens : L’Homme du ressentiment, de Max Scheler44, Position et ap
69 t Martin Heidegger. On sait que la coutume de ces philosophes est de fonder leurs analyses sur des totalités, sur des unités d’expé
70 de s’interroger sur les sources de son être. Les philosophes lui sont de peu de recours. Ils ont fait de l’être un problème qu’ils
71 ité dans la vie du chrétien. r. « Deux essais de philosophes chrétiens », Foi et Vie, Paris, n° 61, mai 1934, p. 415-422.
41 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
72 ique. Tous les efforts des hommes — y compris les philosophes — consistent peut-être à échapper à cette vision, qui est l’angoisse
42 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
73 e purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des philosophes . Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dir
74 u pouvoir des philosophes. Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dire dans l’actualité, au sens littéral
75 outes celles qui aient occupé jusqu’à présent les philosophes . Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y c
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
76 ait pas déplu à l’humeur shakespearienne de notre philosophe . C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. Souvenez-vous de ce cha
77 nguinaire aux faux dieux qu’elle a suscités. « Le philosophe dit à bon droit que la vie doit être comprise en arrière, mais il oub
44 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
78 qui subsiste, c’est de les accepter pour tels. «  Philosophe et guerrier, écrit Rudolf Kassner, n’ont presque plus en commun que d
45 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
79 , — s’il est voulu. Les mots, les expressions des philosophes sont sans cesse repris par les simples — et aussi par les autres, bie
46 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
80 événement ne naît jamais, comme feignent certains philosophes , du croisement de deux définitions. Les philosophes se résignent très
81 ilosophes, du croisement de deux définitions. Les philosophes se résignent très mal à cette limitation de leur pouvoir : il nous fa
82 e à des concepts très diversement définis par les philosophes de l’école : présence, événement, concret, acte, personne. À tel poin
47 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
83 igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis : Il paraît qu’il existe
48 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
84 seront-ils plus probants que les définitions d’un philosophe  ? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications
85 es Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le philosophe thomiste est très bien défini : c’est le pouvoir du pape ; c’est celu
49 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
86 s-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt que de prima
50 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
87 mmuniste, à certaines lettres de Engels, etc. Les philosophes de Moscou sont loin d’être d’accord là-dessus. Nous y verrons plus cl
51 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
88 — Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des philosophes , des esthètes ! Des philanthropes ! — Je suis d’accord, sauf pour est
52 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
89 ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les philosophes , le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
53 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
90 e purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des philosophes . Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dir
91 u pouvoir des philosophes. Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dire dans l’actualité, au sens littéral
92 outes celles qui aient occupé jusqu’à présent les philosophes . Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y c
54 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
93 s plus propres à créer des malentendus : celui du philosophe abstrus, désespéré, voire nihiliste7 du Traité du désespoir ; et celu
55 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
94 igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis : Il paraît qu’il existe
56 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
95 seront-ils plus probants que les définitions d’un philosophe  ? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications
96 es Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le philosophe thomiste est très bien défini : c’est le pouvoir du pape ; c’est celu
57 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
97 s-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt que de prima
58 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
98 mmuniste, à certaines lettres de Engels, etc. Les philosophes de Moscou sont loin d’être d’accord là-dessus. Nous y verrons plus cl
59 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
99 — Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des philosophes , des esthètes ! Des philanthropes ! — Je suis d’accord, sauf pour est
60 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
100 ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les philosophes , le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
61 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
101 critique des poètes — qu’il opposait à celle des philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique !
62 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
102 ierkegaard nous soit présenté aujourd’hui par des philosophes laïques tout à fait libérés des disciplines de la foi, au moment déci
103 gélique ? Et voici que cette conjonction du poète philosophe et du théologien projette une vive lumière sur le secret dernier du m
63 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
104 ti les fragments traduits en trois rubriques : le philosophe , le moraliste, le politique. Je ne vois pas de meilleur moyen de donn
64 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
105 st le monde païen, le monde antique, le monde des philosophes , la forme pure est celle de l’idée platonicienne. Mais dans le monde
65 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
106 n pas », soucieux sans doute de se distinguer des philosophes « existentiels », qui ont mis à toutes les sauces humanistes et roman
66 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
107 du mot achèvement. À partir de Hegel, dit-il, le philosophe n’aura plus d’autre possibilité que celle de « réaliser » la philosop
108 nture politique ou religieuse. Au grand Hegel qui philosophe « au dimanche de la vie » au-dessus du « banc de sable de cette vie t
67 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
109 livre de Gundolf. C’est l’œuvre synthétique d’un philosophe des formes culturelles, plutôt que d’un historien de la science. Les
68 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
110 érouler sous le patronage du grand génie, savant, philosophe , écrivain, homme d’action qui, trois-cents ans plus tôt, en 1637 exac
111 t fatalement nos professeurs à mépriser les seuls philosophes de ce temps — Nietzsche en est le fameux exemple — sous prétexte qu’i
112 nsée34 ». Quand ils ne sont pas historiens, les «  philosophes  » de l’Université s’occupent de psychologie. Mais là encore, ils ont
113 gesse cléricale, le dernier mot de la sagesse des philosophes , celui qui excuse en fin de compte — à leurs yeux seuls — tous leurs
114 poser les questions philosophiques : la tâche du philosophe sincère est, de nos jours, suspendue par un fait, l’existence de la s
115 rpés. 37. « Le difficile et l’essentiel pour un philosophe , ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
116 ux (« se boucher les yeux »). Elle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité. Qu’il pense dans le vide, hors de
69 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
117 s à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des philosophes terriblement concrets : Maître Eckhart, Suso, Tauler, Franck et Weige
70 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
118 s à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des philosophes terriblement concrets : Suso, Tauler, Franck et Weigel, et surtout Bo
71 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
119 enté établie ». Toute une carrière de poète et de philosophe « à orientation religieuse » avait en effet préparé le climat et la j
72 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
120 libertin spirituel ».) Il s’agit de confondre les philosophes incroyants au moyen de leurs propres arguments, et les théologiens tr
73 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
121 ands idéalismes est consommée par le triomphe des philosophes « existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
74 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
122 ipe des encyclopédistes — à la fois démagogues et philosophes  — qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’es
75 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
123 quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de philosophes  ? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La
76 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
124 rands symboles de vérité, de force et de beauté. ( Philosophes , savants et artistes.) À partir du xixe siècle, on voit paraître des
125 anarchistes. Presque tous les poètes et tous les philosophes poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski, Rimbaud e
77 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
126 er notre acte de foi ? ⁂ Le lecteur qui n’est pas philosophe ne manquera pas de dire que j’entraîne le problème à une profondeur t
78 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
127 ands idéalismes est consommée par le triomphe des philosophes « existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
79 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
128 pour ne rien dire.) Une seule chose intéresse le philosophe moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en pre
129 oricisme, psychologisme et criticisme… Lorsque le philosophe moderne rejette les tentations grossières de la sociologie, il ne se
130 ociologie, il ne se veut sérieux qu’en tant qu’il philosophe indéfiniment, et récuse toute finalité. Le sérieux de la pensée s’ide
131 veut la Troisième République. Gens d’affaires et philosophes ont donc commis la même erreur : ils ont cru pouvoir s’en remettre à
132 hardie ou simplement actuelle. (La virtuosité des philosophes français est la plus remarquable dans cet ordre. Ce sont de véritable
80 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
133 ent pas). Je ne dis pas cela seulement contre les philosophes distingués qui repoussent sans fin les vrais dilemmes pour « continue
134 rs, en pittoresque superficiel et discutable. Des philosophes aux disciples puissants nous assurent aujourd’hui que le conflit féco
135 t que l’acte détruit. 83. « Le difficile pour un philosophe , ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
136 ux : « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vid
81 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
137 e, ou idéaliste, ou relativiste, de l’activité du philosophe . ⁂ Mais cette réalité salutaire, cet acte, comment pourrions-nous mai
82 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
138 ipe des encyclopédistes — à la fois démagogues et philosophes  — qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’es
83 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
139 quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de philosophes  ? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La
84 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
140 rands symboles de vérité, de force et de beauté. ( Philosophes , savants et artistes.) À partir du xixe siècle, on voit paraître des
141 anarchistes. Presque tous les poètes et tous les philosophes poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski, Rimbaud e
85 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
142 er notre acte de foi ? ⁂ Le lecteur qui n’est pas philosophe ne manquera pas de dire que j’entraîne le problème à une profondeur t
86 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
143 ands idéalismes est consommée par le triomphe des philosophes « existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
87 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
144 pour ne rien dire.) Une seule chose intéresse le philosophe moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en pre
145 oricisme, psychologisme et criticisme… Lorsque le philosophe moderne rejette les tentations grossières de la sociologie, il ne se
146 ociologie, il ne se veut sérieux qu’en tant qu’il philosophe indéfiniment, et récuse toute finalité. Le sérieux de la pensée s’ide
147 veut la Troisième République. Gens d’affaires et philosophes ont donc commis la même erreur : ils ont cru pouvoir s’en remettre à
148 hardie ou simplement actuelle. (La virtuosité des philosophes français est la plus remarquable dans cet ordre. Ce sont de véritable
88 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
149 ent pas). Je ne dis pas cela seulement contre les philosophes distingués qui repoussent sans fin les vrais dilemmes pour « continue
150 rs, en pittoresque superficiel et discutable. Des philosophes aux disciples puissants nous assurent aujourd’hui que le conflit féco
151 t que l’acte détruit. 85. « Le difficile pour un philosophe , ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
152 ux : « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vid
89 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
153 un style qui ne saurait être celui du poète ou du philosophe , par exemple. Ce qui ne va pas sans risques graves, pour la plupart.
90 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
154 « Nous ne sommes plus un peuple de rêveurs et de philosophes  ! », proclamait récemment M. Goebbels. Mais, tandis que s’élevait l’i
91 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
155 des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur philosophe . Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-nou
92 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
156 e fidèle, en prédicateur responsable, non plus en philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le libre arbitre. Ceci pourrait s
157 a mort. L. — Que savons-nous de l’éternité ? Les philosophes et la raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit
93 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
158 intitulé « l’Ombre », Andersen raconte comment un philosophe « Venant des froides régions du Nord » et voyageant aux pays chauds,
94 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
159 , « journées sociales », amateurs de littérature, philosophes , paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des bourgeois… J
160 des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur philosophe . Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-nou
95 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
161 églises de riches. Elles ont trahi l’Évangile. Un philosophe français, M. Julien Benda, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs
96 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au dossier d’une vieille querelle (novembre 1937)
162 dilemme assez comparable, « par lequel un ancien Philosophe prouvait qu’on ne se devait point mêler des affaires de la République
97 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
163 La 2e thèse de Marx sur Feuerbach affirme : Les philosophes n’ont fait jusqu’ici qu’interpréter diversement le monde ; or il s’ag
98 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
164 lises de riches. Elles ont trahi l’Évangile. « Un philosophe français, M. Julien Benda, a dit que les clercs ont trahi. Les clercs
165 je crois réellement à la Providence ? Beaucoup de philosophes contemporains disent que la Providence est un opium ; que l’homme s’e
99 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
166 pensent que leur raison d’être est de créer (les philosophes en marche). Si les premiers triomphent (grâce à l’École et à l’appât
167 , « journées sociales », amateurs de littérature, philosophes , paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des bourgeois… J
168 des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur philosophe . Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne sommes-no
100 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
169 ce qui leur vient dans l’esprit ; mais entre les philosophes … Nous croyons que Dieu voit tout ce qui se passe dans le monde. Nos f
170 quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de philosophes  ? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La