1 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
1 doivent se taire, se retirer dans une neutralité plaintive , et laisser le pauvre monde se débrouiller. Je suis tout prêt, en ce
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
2 t insatisfait », et cette louange enthousiaste et plaintive d’« une belle qui toujours dit non » ? Et d’où vient ce savant lyrism
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
3 e par une intensité émue. Mais grandiloquentes ou plaintives , les figures du discours passionné, les « couleurs » de sa rhétorique
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
4 ur le désir, la gloire crépusculaire, immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée par la blessure mortelle du corps. Ma
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
5 t insatisfait », et cette louange enthousiaste et plaintive d’« une belle qui toujours dit non » ? Et d’où vient ce savant lyrism
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
6 e par une intensité émue. Mais grandiloquentes ou plaintives , les figures du discours passionné, les « couleurs » de sa rhétorique
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
7 ur le désir, la gloire crépusculaire, immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée par la blessure mortelle du corps. Ma
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
8 t insatisfait », et cette louange enthousiaste et plaintive d’« une belle qui toujours dit non » ? Et d’où vient ce savant lyrism
9 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
9 e par une intensité émue. Mais grandiloquentes ou plaintives , les figures du discours passionné, les « couleurs » de sa rhétorique
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
10 ur le désir, la gloire crépusculaire, immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée par la blessure mortelle du corps. Ma
11 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
11 we… ein ellende froede » (une douleur douce… une plaintive joie). — aimer en trop haut lieu, d’où la nécessité de garder le secr
12 és de l’amour courtois et ridiculisera ses poètes plaintifs « qui chantent comme s’ils avaient mal aux dents ». Autant de poètes,