1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
1 tte vision de vous ainsi qui m’a fait peindre ces planchers , des années plus tard, pour que vous n’ayez plus jamais à les frotter
2 e vous n’ayez plus jamais à les frotter. Après le plancher vous brossez tout ce qui vous tombe sous la main et vous lavez des ch
2 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
3 res sautaient sur le couvre-pied. D’autres sur le plancher . Je n’en menais pas large. Comme la mère Renaud était venue nous voir
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
4 . Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans
4 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
5 . Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans
6 res sautaient sur le couvre-pied. D’autres sur le plancher . Je n’en menais pas large. Comme la mère Renaud était venue nous voir
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
7 . Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans
8 res sautaient sur le couvre-pied. D’autres sur le plancher . Je n’en menais pas large. Comme la mère Renaud était venue nous voir
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
9 sés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le plancher de la cabine. Le petit ventilateur pivotant sur son axe promène de ga
7 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 ne, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, des murs blancs, un plafond vitré. Deux larges et basses
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
11 . Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai, oui vraiment plus gai qu’ascétique. Dans
12 res sautaient sur le couvre-pied. D’autres sur le plancher . Je n’en menais pas large. Comme la mère Renaud était venue nous voir
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
13 sés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le plancher de la cabine. Le petit ventilateur pivotant sur son axe promène de ga
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
14 une, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, les murs d’un blanc rosé, et la moitié du plafond incliné
15 nt lentement d’une jambe sur l’autre, comme si le plancher tanguait, il répète d’un air sombre : « L’Amour et l’Occident, l’Amou
11 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
16 une, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, des murs blancs, un plafond vitré. Deux larges et basses
12 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
17 ion » furent repérées, la trappe s’ouvrit dans le plancher de l’appareil qui se mit à tourner en cercle. Des ballots de vivres e
13 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
18 une, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, les murs d’un blanc rosé, et la moitié du plafond incliné