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e simplification du genre humain, du penthotal au
plutonium
en passant par le NKVD, le résultat ne serait plus l’Europe, mais trè
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e simplification du genre humain, du penthotal au
plutonium
en passant par le NKVD, le résultat ne serait plus l’Europe, mais trè
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itaire et de Profit monétaire, un cinquième P, le
Plutonium
mortel des centrales à fission, venant fermer avec une logique infern
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saires à la fin du siècle, et produisant assez de
plutonium
pour nous tuer tous plusieurs millions de fois ? Ou bien préférons-no
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itaire et de Profit monétaire, un cinquième P, le
Plutonium
mortel des centrales à fission, venant fermer avec une logique infern
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ires » à la fin du siècle, et produisant assez de
plutonium
pour nous tuer tous plusieurs millions de fois ? Ou bien préférons-no
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voir militaire, Productivité ; à quoi j’ajoute le
Plutonium
créé par les centrales nucléaires, et qui est le produit le plus dura
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crètes, on enfouit sournoisement l’indestructible
plutonium
, la plus durable de toutes les productions humaines. Ces pays et ces
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on par les centrales surgénératrices de tonnes de
plutonium
dans les années qui viennent constitue un danger infiniment plus grav
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ets toujours plus dangereux comme les centrales à
plutonium
(et il en suffit de 5 kg pour faire une bombe atomique) exigent un dé
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système de Production-Puissance-Pouvoir-Police et
Plutonium
, que le grand sociologue américain Lewis Mumford a baptisé la « Mégam
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du même coup la fin de nos États-nations, liés au
plutonium
le bien nommé, produit du monde souterrain, et l’avènement des région
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bois nucléaire et de Creys-Malville générateur de
plutonium
, voilà qui définit une région écologique, d’aire différente de la pre
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nt les technocrates, nous ferons des centrales au
plutonium
. Or, elles sont un danger intolérable, nous disent des milliers de ph
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ays qui achètent des centrales de retraitement de
plutonium
, alors qu’ils n’ont pas une seule centrale nucléaire, donc pas de déc
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pour rien. C’est parce qu’ainsi ils produisent du
plutonium
, et avec le plutonium, qu’est-ce qu’on fait ? Des bombes et rien d’au
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qu’ainsi ils produisent du plutonium, et avec le
plutonium
, qu’est-ce qu’on fait ? Des bombes et rien d’autre. Donc, si on vend
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Donc, si on vend des centrales de retraitement du
plutonium
à certains pays, ce n’est pas pour autre chose d’imaginable que pour
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d’autres. Quelques petits nuages de sodium ou de
plutonium
qui iront se balader sur des villes comme c’est déjà arrivé sans qu’o
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s qui ne peuvent rien en faire, sinon en tirer du
plutonium
. On leur fait promettre qu’elles ne s’en serviront pas à des fins bel
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’on peut faire une bombe avec cinq à six kilos de
plutonium
. Ce qui permettra à n’importe quel État d’exercer un chantage terribl
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eugle. On s’est servi de son nom pour baptiser le
plutonium
, ce n’est pas par hasard. Selon la mythologie, Pluton s’enfouit sous
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que la nature ignorait jusqu’à nous, tels que le
plutonium
, dont le nom même — choisi par hasard, semble-t-il — annonce la natur
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e menace mortelle sur Israël, enfin des tonnes de
plutonium
en l’an 2000, de quoi tuer toute vie sur la Terre29. Qui dit technolo
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st nullement exclu qu’un millionième de gramme de
plutonium
inhalé jusque dans les poumons y produise un cancer mortel ? — Qu’en
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er sans le moindre risque « des légumes gorgés de
plutonium
»38. — Reste le problème des déchets, et des centrales elles-mêmes u
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t-elle à l’abri des radiations du strontium et du
plutonium
des déchets ? Pourquoi ne pas attendre que l’étude ait abouti, avant
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t mieux. On calculait que le rejet de 25 kilos de
plutonium
causerait entre 44 000 et 44 millions de morts alors que les surgénér
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d’acide nitrique, puis à séparer l’uranium (et le
plutonium
) du reste par un processus chimique complexe. Ce reste, ces déchets,
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u’on nous affirme nécessaires, et leurs rejets de
plutonium
, ce corps baptisé par un atomiste américain « le plus sale de tous ce
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ts toujours plus dangereux (comme les centrales à
plutonium
, et il en suffit de cinq kilos pour faire une bombe atomique) exigent
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cela sera sans doute oublié (mais les déchets de
plutonium
?) quand nous aurons maîtrisé la fusion, dans les supercentrales à en
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r l’homme dans les centrales nucléaires, comme le
plutonium
et le thorium. Sur ces « périodes », et là seulement, la volonté de l
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iques » au début du xixe siècle jusqu’à l’ère du
plutonium
, a fourni à l’essor de l’industrie occidentale ses facteurs décisifs
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ennent ? Sans pétrole, que pourrait-il faire ? Du
plutonium
hélas, nous le voyons déjà. Il faut absolument changer de cap, invent
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on par les centrales surgénératrices de tonnes de
plutonium
dans les années qui viennent constitue un danger infiniment plus grav
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; la production de plastique indestructible et de
plutonium
à longue période ; les mégalopoles en croissance de type cancéreux ;
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ossibles à gouverner ; infecté par nos créations,
plutonium
et virus résistants ; surpeuplé de revendications irrecevables. Il ne
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qu’un gang peut déclencher avec quelques kilos de
plutonium
bien placés, et qui peut se propager en quelques heures aux nations d
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rales nucléaires et des usines de retraitement du
plutonium
à plusieurs pays du tiers-monde, qui n’en ont, de toute évidence, nul
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er contre la vente d’une usine de retraitement du
plutonium
au Pakistan, lequel ne pourrait rien en faire que des bombes atomique
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. Sur cet empire, qu’on nomme aussi la société du
plutonium
, règne Pluton, dieu de la Richesse et des Enfers : nous y voilà ! « C
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t les Vendeurs d’énergies infernales, et que leur
plutonium
n’évitera pas, préparons-nous à vivre mieux grâce au Soleil, avec moi
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centrales nucléaires sont capables de produire du
plutonium
, est-ce vraiment pour ne pas s’en servir ? 12. À propos de « vent du
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’unique intérêt sera de fournir au tiers-monde le
plutonium
des armes nucléaires, s’il promet, bien sûr, de ne jamais s’en servir
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ans (car telle est la « période de demi-vie » du
plutonium
que l’on se prépare à stocker dans nos cavernes) ; 3° réduire ainsi
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e plus ou moins gazeuse quatre tonnes et demie du
plutonium
, Grenoble, Lausanne, Genève, seraient rasées et — pensent la plupart
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es déchets de centrales nucléaires fournissent le
plutonium
qui permet de faire des bombes. Tout cela donc fait l’unité de mon li
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s actuelles sera donc celle des surgénérateurs au
plutonium
. Or il n’est pas sûr, ni même probable, que les surgénérateurs projet
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n ») d’un surgénérateur contenant 4 à 5 tonnes de
plutonium
transformées en aérosols dispersés tout autour de la planète par les
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de l’Europe de l’Ouest balayées par les nuages de
plutonium
en aérosol, raz de marée détruisant des millions d’hectares de cultur
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avancés… et la marche vers le néfaste recours au
plutonium
. J’attirais l’attention sur les abus d’une économétrie factice… On re
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er l’humanité entière dans l’ère de l’économie du
plutonium
, avec des conséquences qui sont loin d’avoir été suffisamment exploré
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omique et produire un aérosol de quatre tonnes de
plutonium
que les vents dominants s’empresseraient de diriger vers notre platea
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ui est le meilleur moyen de fabriquer beaucoup de
plutonium
, ce qui est le meilleur moyen de faire disparaître l’humanité de la s
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elle de Creys-Malville est destinée à produire du
plutonium
. La relation entre le nucléaire civil et le nucléaire militaire a été
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er en aérosol tout ou partie des quatre tonnes de
plutonium
de la centrale. D’une manière générale, comme la direction des vents
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re, c’est nous qui les avons créés, tout comme le
plutonium
. C’est nous qui le fabriquons. Tous nos « problèmes » économiques exp