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ques-vie », livrée aux basses rigueurs d’un cadre
policier
. Que vivre soit un choix, une partialité violente, voilà ce qu’on par
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urgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes
policières
grâce auxquelles se maintient le désordre établi. Mais nous allons pl
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du centre administratif, politique, financier et
policier
où viennent se congestionner les énergies du pays. Ce que nous voulon
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sme du désordre prépare simplement les dictatures
policières
de demain. Le romantisme révolutionnaire revêt une autre forme encore
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ar la responsabilité de chacun, mais par le cadre
policier
de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité
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le gérant, on entrevoit l’appareil judiciaire et
policier
inexorable, inconnaissable, tout prêt à sanctionner cette confusion d
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urgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes
policières
grâce auxquelles se maintient le désordre établi. Mais nous allons pl
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ar la responsabilité de chacun, mais par le cadre
policier
de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité
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urgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes
policières
grâce auxquelles se maintient le désordre établi. Mais nous allons pl
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ar la responsabilité de chacun, mais par le cadre
policier
de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité
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paix vivante. C’est l’éternelle erreur de l’État
policier
. D’ailleurs, cet « ordre », qui se fonde sur la méconnaissance des ré
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s. 35. Par exemple s’il ne tient pas l’article
policier
ou le roman façon-Pierre-Benoit. 36. C’est le terme même employé par
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que des faits se range dans la catégorie du roman
policier
: il n’a pas de psychologie. Et la critique parle beaucoup de subject
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rès : c’est de remplacer le patron d’usine par un
policier
; la « mystification spiritualiste » par une mystification dictatoria
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ssance de l’inquisition intellectuelle, morale et
policière
exercée par ce Parti d’autre part, nous permettent d’affirmer que, de
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ssance de l’inquisition intellectuelle, morale et
policière
exercée par ce Parti, d’autre part, nous permettent d’affirmer que, d
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aînera nécessairement, le jour où les contraintes
policières
se relâcheront. ⁂ Les partisans de l’URSS ou de Hitler me feront sans
18
e une brutalité, un veto matériel, une coercition
policière
, ou une passion vulgaire ; ou enfin comme un refus de donner ses rais
19
e phrases toutes faites, ou de l’auteur de romans
policiers
combinant des situations cataloguées. Il ne s’agit dans tous ces cas
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ssance de l’inquisition intellectuelle, morale et
policière
exercée par ce Parti, d’autre part, nous permettent d’affirmer que, d
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aînera nécessairement, le jour où les contraintes
policières
se relâcheront. ⁂ Les partisans de l’URSS ou de Hitler me feront sans
22
e brutalité, d’un veto matériel, d’une coercition
policière
, ou d’une passion vulgaire ; ou enfin comme un refus de donner ses ra
23
e phrases toutes faites, ou de l’auteur de romans
policiers
combinant des situations cataloguées. Il ne s’agit dans tous ces cas
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aujourd’hui ce même peuple se contenter du roman
policier
ou de quelques pornographies situées dans un grand monde de cinéma. C
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œuvres est un crime. Vous reconnaissez le ton du
policier
, et du fonctionnaire arrivé. « L’indifférence à ses œuvres est un cri
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ussent-ils totalement dépourvus de moyens légaux (
policiers
ou juridiques) de pression. C’est en vertu de son autorité purement s
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ar la force matérielle : on parle des « violences
policières
». On la considère comme une passion basse et vulgaire, ou comme une
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uèrent, la propagande, et les mesures de contrôle
policier
de la vie privée, changèrent radicalement l’ambiance morale de la Rus
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uèrent, la propagande, et les mesures de contrôle
policier
de la vie privée, changèrent notablement l’ambiance morale de la Russ
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uèrent, la propagande, et les mesures de contrôle
policier
de la vie privée, changèrent notablement l’ambiance morale de la Russ
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uèrent, la propagande, et les mesures de contrôle
policier
de la vie privée, changèrent notablement l’ambiance morale de la Russ
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upables ou non, pour éteindre l’incendie ; et des
policiers
, coupables ou non, pour arrêter l’incendiaire. Or l’Histoire nous a m
33
upables ou non, pour éteindre l’incendie ; et des
policiers
, coupables ou non, pour arrêter l’incendiaire. Or l’Histoire nous a m
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faim. Ce qui me trouble dans toutes ces machines
policières
et professionnelles — leurs bienfaits par ailleurs ne sont que trop v
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upables ou non, pour éteindre l’incendie ; et des
policiers
, coupables ou non, pour arrêter l’incendiaire. Or l’Histoire nous a m
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faim. Ce qui me trouble dans toutes ces machines
policières
et professionnelles — leurs bienfaits par ailleurs ne sont que trop v
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upables ou non, pour éteindre l’incendie ; et des
policiers
, coupables ou non, pour arrêter l’incendiaire. Or l’histoire nous a m
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que des faits se range dans la catégorie du roman
policier
: il n’a pas de psychologie. Et la critique parle beaucoup de subject
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agnostic nous sera fournie par le succès du roman
policier
. Je ne pense pas qu’on puisse expliquer ce succès par un intérêt pour
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, qui serait particulier à notre époque. Le roman
policier
est populaire parce qu’il demeure le seul genre défini, obéissant aux
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t temporelles, à des règles indiscutées. Le roman
policier
passionne dans la mesure même où il tient compte des règles, soit pou
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tion croissante des règles. (Le lecteur de romans
policiers
devient très vite un spécialiste.) Et cette rhétorique ne manquera pa
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de communauté : des clubs de fanatiques du roman
policier
se sont fondés un peu partout. La vogue actuelle du roman historique
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un temps sacré. 4. Voir Roger Caillois, Le Roman
policier
, Buenos Aires, 1941. 5. Voir J. Huizinga, Homo Ludens, Amsterdam, 19
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Portugal et de la liberté. Car tel est le sadisme
policier
. Nous venons de passer, en quatre jours de voyage, sept contrôles dif
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e caprice, ou d’une négligence ironique des dieux
policiers
de l’Europe. Comme il serait facile de pincer, n’importe où, cette mi
47
Portugal et de la liberté. Car tel est le sadisme
policier
. De Genève à Lisbonne, nous avons traversé sept contrôles différents
48
n’est peut-être pas seulement à cause du contrôle
policier
. Ce qu’elle publie où elle le peut n’est que redites, et la censure n
49
u spectateur à l’approche du climax d’un bon film
policier
. Si l’on nous privait de la Bombe, je suis sûr que la déception surpa
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u spectateur à l’approche du climax d’un bon film
policier
. Si l’on nous privait de la Bombe, je suis sûr que la déception surpa
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urgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes
policières
grâce auxquelles se maintient le désordre établi. Mais nous allons pl
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dministratives et politiques, doublées de cordons
policiers
et douaniers, ne répond nulle part aux besoins réels. C’est dire enco
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e caprice, ou d’une négligence ironique des dieux
policiers
de l’Europe. Comme il serait facile de pincer, n’importe où, cette mi
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Portugal et de la liberté. Car tel est le sadisme
policier
. De Genève à Lisbonne, nous avons traversé sept contrôles différents
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n’est peut-être pas seulement à cause du contrôle
policier
. Ce qu’elle publie où elle le peut n’est que redites, et la censure n
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nées et au nom de ces mêmes slogans, la dictature
policière
. Cela s’est vu. C’est dans cette dégradation « dialectique » apparemm
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enne, la rage antisémite, la rage nationaliste et
policière
, la négation du droit et des droits de la personne, une conception de
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ou qu’en une justice instaurée par l’inquisition
policière
, la dictature d’étiquette populaire, les liquidations collectives cal
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ont des interrogatoires, prises de sang, enquêtes
policières
sur vous et vos parrains. Quelques mois plus tard, avec de la patienc
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enne, la rage antisémite, la rage nationaliste et
policière
, la négation du droit et des droits de la personne, une conception de
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ou qu’en une justice instaurée par l’inquisition
policière
, la dictature d’étiquette populaire, les liquidations collectives cal
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qui voyagent encore sont des agents secrets, des
policiers
ou des fugitifs. Les sociétés de gangsters se multiplient. Dans des c
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éaire un lourd contrôle et « des suspicions quasi
policières
», qui tendent à subordonner entièrement le savant à des exigences po
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priété, au nom des intérêts de la Production, les
policiers
de toutes nos bourgeoisies ont tué des travailleurs qui, eux, se révo
65
rvé au régime communiste d’aggraver d’un contrôle
policier
la condition de l’ouvrier d’usine, de l’appeler dès lors « liberté »
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priété, au nom des intérêts de la production, les
policiers
de toutes nos bourgeoisies ont tué des travailleurs qui, eux, se révo
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rvé au régime communiste d’aggraver d’un contrôle
policier
la condition de l’ouvrier d’usine, de l’appeler dès lors « liberté »
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jouer sur les mots. On change de gendarmes et de
policiers
, d’écusson et d’étendard, de tribunaux et d’universités surtout. Il y
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plus aride mais bien moins compliqué qu’un roman
policier
ordinaire. Or il se trouve que le sort du traité, et par suite le sor
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vé le génocide des koulaks, etc. C’est la terreur
policière
, la dictature, la folie acclamée du dictateur. Des poèmes comme ceux
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ballets, ces équipes de football, ces délégations
policières
ces « gardiens de la paix » aux mains rouges : Budapest nous le crie
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anes ; membres du Parti, stakhanovistes, soldats,
policiers
et fonctionnaires subalternes, leur kshatriya (natchalniki) ; ouvrier
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e Pierre Klossowski pour les initiés ; les romans
policiers
de l’école « noire » et les films des metteurs en scène suédois, fran
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x de la place, où l’on ne trouvait que des romans
policiers
. Socrate lui permit ainsi de lutter contre l’ennui, mais aussi contre
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et de P. Klossowski pour les initiés ; les romans
policiers
de l’école « noire » et les films de la Nouvelle Vague internationale
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t une abondance d’exemples très précis de mesures
policières
tsaristes identiques aux mesures staliniennes, de délires bureaucrati
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sinon pour se défendre contre le percepteur ou le
policier
soupçonneux. D’autre part, le mot « art » est un terme commode, qui d
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ses à leur pouvoir total, à la fois hypnotique et
policier
. Leur échec très rapide — dix ans pour l’un, vingt-cinq pour l’autre,
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s sans précédent, scandale professionnel, mesures
policières
contre ses camionneurs accusés de « gêner la circulation », boycotts
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’unifier l’Europe par la seule force militaire et
policière
de leur nation ou de leur parti. Leurs échecs désastreux, catastrophi
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administratifs, civils et militaires, fiscaux et
policiers
, mais aussi ecclésiastiques, scolaires, universitaires, et plus tard
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administratifs, civils et militaires, fiscaux et
policiers
, mais aussi ecclésiastiques, scolaires, universitaires, et plus tard
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urs de conscience, la Suisse ne serait qu’un État
policier
régnant sur des êtres sans âmes. La politique de neutralité donne aux
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ut des objecteurs, la Suisse ne serait qu’un État
policier
». J’ai dit seulement que si l’on choisissait de s’en tenir à « l’ord
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révélé dès 1930 le style et l’habitus des régimes
policiers
que la psyché moderne fomentait dans sa démence la plus secrète. Par
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ue — la nation — par un appareil administratif et
policier
— l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation étatisée, m
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ue — la nation — par un appareil administratif et
policier
— l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation étatisée, m
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éaire un lourd contrôle et « des suspicions quasi
policières
», qui tendent à subordonner entièrement le savant à des exigences po
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révélé dès 1930 le style et l’habitus des régimes
policiers
que la psyché moderne fomentait dans sa démence la plus secrète. Par
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ue — la Nation — par un appareil administratif et
policier
— l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation étatisée, m
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ométrique et l’arbitraire des bureaucrates et des
policiers
, en l’absence de structures d’accueil pour les activités civiques, st
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ue — la Nation — par un appareil administratif et
policier
— l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation étatisée, m
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mainmise de l’appareil étatique, administratif et
policier
sur cette chose dynamique et affective qu’est une nation. Instituer u
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part à la colonisation idéologique, militaire et
policière
par les Russes — je songe aux pays de l’Est européen —, d’autre part
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part à la colonisation idéologique, militaire et
policière
par l’État russe — voir les pays de l’Est européen —, d’autre part à
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gie, qui pourrait aboutir à la création d’un État
policier
électronique »131. Expérimentées pendant la lutte contre les Viets, c
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éaire un lourd contrôle et « des suspicions quasi
policières
», qui tendent à subordonner entièrement le savant à des exigences po
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la puissance physique de l’État centralisateur et
policier
, au nom de quoi tout s’ordonne à la guerre. Concorde résume un ensemb
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la puissance physique de l’État centralisateur et
policier
, au nom de quoi tout s’ordonne à la guerre. Concorde résume un ensemb
100
ent un déploiement toujours plus dense des forces
policières
de protection, de contrôle et de répression. Et tout cela tend au dév
101
nucléaires, déchaînements criminels, répressions
policières
correspondantes, pétroliers éventrés, extinction des baleines, des él
102
in « très dangereux » exige à la fois un contrôle
policier
pour le moins décuplé, et la suprématie d’un personnel spécialisé jus
103
as la violence qui aboutit toujours à des régimes
policiers
, ni le renversement des pouvoirs existants, déjà si compromis. Pour m
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d’un rideau de CRS, donc dans une société devenue
policière
. Vous voyez, partout nous atteignons les limites du supportable, du v
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s familles : la société nucléaire est une société
policière
. « J’ai bon espoir » L’énergie solaire, au contraire, et c’est
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epris — avec quel acharnement et quel déploiement
policier
— par nos États-nations européens. (Les USA déclarent déjà forfait :
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la puissance physique de l’État centralisateur et
policier
, au nom de quoi tout s’ordonne à la guerre. « Concorde » résume un en
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ent un déploiement toujours plus dense des forces
policières
de protection, de contrôle et de répression. Et tout cela tend au dév
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ltat qu’un État encore plus guerrier, encore plus
policier
, et surtout mieux capable de mobiliser en permanence toute la nation.
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qui voyagent encore sont des agents secrets, des
policiers
ou des fugitifs. Les sociétés de gangsters se multiplient. Dans des c
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gie, qui pourrait aboutir à la création d’un État
policier
électronique92 ». Expérimentées pendant la lutte contre les Viets, ce
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es ces formes de persécution étatique, de torture
policière
, d’inquisitions administratives signées illisible, et de mensonge éle
113
nce et la criminalité, et par suite les activités
policières
: l’antisystème serait amorcé. J’imagine au contraire que gouverner,
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que ne le font les structures actuelles, moins de
policiers
aux violences que l’on sait, moins de sensibles à la démence ou au su
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génériques). L’affrontement entre les brutalités
policières
de moins en moins efficaces et une criminalité endémique de plus en p
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e la centralisation, des alignements, des régimes
policiers
des cadres stato-nationaux déstructurant les communautés anciennes et
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s meilleures raisons d’étendre encore le contrôle
policier
préventif de tout et de tous — un commando est si vite arrivé… Cette
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nucléaires, déchaînements criminels, répressions
policières
correspondantes, pétroliers éventrés, extinction des baleines, des él
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déroulé très vite » comme on dit dans les romans
policiers
. Une fois les objectifs définis, les plans tracés, les tâches réparti
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au fascisme6 mais c’est l’établissement d’un État
policier
. On a tort, me semble-t-il, d’entreprendre de vastes programmes de ré
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ciété de plus en plus centralisée dans un système
policier
qui finit par menacer la liberté. Vous venez de citer l’exemple d’une
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l’État sur les investissements, et l’inquisition
policière
préventive. Or on sait que plus un État est centralisé, moins il acce