1 rale, qu’elle subit comme jeune épouse d’un comte polonais , grand seigneur médiatisé, vaguement prétendant au trône de Pologne,

2 r les études sur la métaphore71 que le psychiatre polonais poursuivit en collaboration avec Arnaud Dandieu) permettent de donner

3 ier tour de pont. Ils se rappellent sans doute ce Polonais , tiré, jeté par la police franquiste hors du train qui sifflait déjà

4 presbytérien ; et s’il est catholique, italiens, polonais ou irlandais. À ces différences d’origine sont venues s’ajouter, dès

5 » La moitié de la population de Cohoes est slave, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se compose de Canadiens français,

6 udience par Hitler au moment de la première crise polonaise , en mai 1939. Le Führer lui montra un album où il faisait coller chaq

7 ier tour de pont. Ils se rappellent sans doute ce Polonais , tiré, jeté par la police franquiste hors du train qui sifflait déjà

8 . La moitié de la population de Cohoes est slave, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se compose de Canadiens français,

9 udience par Hitler au moment de la première crise polonaise , en mai 1939. Le Führer lui montra un album où il faisait coller chaq

10 ier tour de pont. Ils se rappellent sans doute ce Polonais , tiré, jeté par la police franquiste hors du train qui sifflait déjà

11 » La moitié de la population de Cohoes est slave, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se compose de Canadiens français,

12 holique. Les Juifs, les Noirs, les Irlandais, les Polonais , les Italiens qui forment ensemble les trois quarts au moins de la po

13 presbytérien ; et s’il est catholique, italiens, polonais ou irlandais. À ces différences d’origine sont venues s’ajouter dès l

14 holique. Les Juifs, les Noirs, les Irlandais, les Polonais , les Italiens qui forment ensemble les trois quarts au moins de la po

15 st ? Non, pas cela : les quelque trente Roumains, Polonais , Tchèques, Hongrois et Yougoslaves ici présents, ne sont encore, héla

16 roman Kimmerische Fahrt, et Czesław Miłosz, poète polonais , déjà célèbre dans son pays, mais récemment réfugié à l’Ouest, où son

17 s grandes explosions libertaires du « Printemps » polonais et de l’Octobre hongrois, enfin l’essor libérateur de la technique da

18 action des Russes à Budapest, c’est un communiste polonais . J’attendais qu’on le rappelle à l’ordre. On a toléré son écart, par

19 forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une Slave du Sud… D’une pareille apparition, o

20 diversités européennes, pour les Hongrois et les Polonais écrasés par la Russie, elle est le synonyme concret des libertés élém

21 -soldat Alexandre Petőfi, aide de camp du général polonais Bem, et qui fut tué dans un combat. Kossuth, à Bruxelles en 1859 : J

22  ? Adam Mickiewicz, dans son Livre des Pèlerins polonais répercute ce cri de révolte de l’Est européen abandonné par l’Ouest :

23 ’Occident meurt de ses doctrines ! » s’écriait le Polonais , désespérant pour sa patrie. Les Italiens, qui se sentent au seuil de

24 l’on aime l’aventure. 50. Rapport des délégués polonais à la conférence organisée par l’Unesco, en octobre 1960, sur l’enseig

25 Retinger naît à Cracovie, en 1888, d’une famille polonaise de nationalité autrichienne, assez riche et hautement intellectuelle.

26 e, affirme-t-il. Il est élevé dans le patriotisme polonais et le catholicisme le plus strict. Jusqu’à l’âge de 17 ans, il pense

27 internationales. Il y consacrera sa vie. Ce jeune Polonais sans nation, mais non pas sans patrie, va recevoir une éducation idéa

28 ès 1909, il édite à Cracovie une revue littéraire polonaise , dans laquelle la Porte étroite de Gide est traduite en polonais avan

29 laquelle la Porte étroite de Gide est traduite en polonais avant même de paraître en volume à Paris. Mais la littérature n’est p

30 s premières campagnes en faveur de l’indépendance polonaise . On le devine brillant et séduisant, snob et capable d’insolences éto

31 la London School of Economics, se marie (avec une Polonaise ) et décide bientôt que l’Angleterre, après tout, est non seulement le

32 ns de nous représenter la situation d’un patriote polonais vers 1910. La Pologne a cessé d’exister comme État depuis le partage

33 e ; enfin, dans la partie prussienne, les enfants polonais qui voudraient parler leur langue se trouvent privés d’instruction pu

34 trois puissances s’efforce d’empêcher que « ses » Polonais établissent des contacts avec leurs frères des pays voisins. Seul, un

35 alté et résigné, lie encore les vingt millions de Polonais des trois régions et ceux de l’émigration, mais il ne suffit pas à in

36 lisme de la Double Monarchie, un Conseil national polonais vient d’être fondé par un groupe de patriotes résidant en Galicie. Il

37 sse et de l’opinion sur l’existence d’un problème polonais . Retinger obtient l’appui de quelques riches Anglais d’origine polona

38 ient l’appui de quelques riches Anglais d’origine polonaise et du fameux ethnographe Malinowski. Il publie un pamphlet intitulé L

39 ns signées par des dizaines de milliers d’enfants polonais . Bref il réussit en deux ou trois ans à sensibiliser quelque peu l’op

40 r et sa femme furent durant ces années, les seuls Polonais à fréquenter sa maison, et à lui parler de sa patrie. Un soir, Conrad

41 Il se rend d’abord à Lemberg, où les leaders des Polonais de Galicie se sont réunis clandestinement. L’archevêque Bilczewski et

42 re, pour y représenter la cause de l’indépendance polonaise « sans aucun esprit de parti et avec toute la hardiesse dont il sera

43 commande au chef de la police de Lemberg, qui est Polonais . Celui-ci le reçoit fort aimablement, et lui indique que la seule per

44 Il s’adresse au Général non pas en allemand ni en polonais , mais en français, et lui dit hardiment qu’il veut aller en France. I

45 digé au nom du Dr Joseph Retinger, de nationalité polonaise . « C’était, je crois, la première fois depuis plus d’un siècle qu’un

46 n gouvernement reconnaissait ainsi la nationalité polonaise  », remarque-t-il non sans fierté. Pour la Pologne : succès et reve

47 faveur d’une Pologne libre, et 2° de secourir les Polonais internés et d’obtenir qu’ils soient considérés comme Polonais, non pl

48 ernés et d’obtenir qu’ils soient considérés comme Polonais , non plus comme Allemands ou Autrichiens. (Seuls, les originaires de

49 semaines la libération de plusieurs centaines de Polonais internés, dont il a dressé la liste. Mais le plus difficile reste à f

50 ment ignorants des réalités de l’Est, que le fait polonais peut revêtir une certaine importance politique, voire militaire, dans

51 Retinger va faire valoir est que deux millions de Polonais sont actuellement en uniforme, dans trois armées belligérantes, et qu

52 tes, et qu’au surplus, les descendants d’immigrés polonais sont plus de cinq millions en Amérique. Le rappel constant de ces chi

53 s-Unis : il s’agit de voir jusqu’à quel point les Polonais d’Amérique sont prêts à prendre fait et cause pour les Alliés, si ceu

54 nements anglais et français, attachant à la cause polonaise plusieurs ministres importants, quelques magnats de la presse, et les

55 iche. Le gouvernement de Vienne a créé une Légion polonaise , commandée par Pilsudski. Dans ses conversations avec Joseph Conrad,

56 lariser sa situation puis à recevoir un passeport polonais . Je ne trouve rien dans les notes sur ce séjour aux USA, ni sur le v

57 ces de l’européisme de Retinger : son patriotisme polonais , son éducation européenne, et l’influence de Boni de Castellane, conj

58 Aux côtés du général Sikorski Trois divisions polonaises , 40 000 hommes, commandées par le général Sikorski, se sont battues e

59 e dans le chaos de la débâcle de juin. Anglais et Polonais de Londres ont perdu sa trace. Retinger demande un avion pour aller à

60 atterrit à Bordeaux, où personne ne sait rien des Polonais . Dans la panique générale, Retinger finit par trouver une piste, qui

61 e à l’hôtel Dorchester. L’évacuation des troupes polonaises arrangée avec Churchill, grâce à ce kidnapping du général en chef, co

62 e Russie, si bien qu’à l’automne 1942, les forces polonaises en Angleterre totalisaient 150 000 hommes. Sikorski, attribuant à J.H

63 , décida de lui remettre la plus haute décoration polonaise , l’ordre Virtuti militari. « Je refusai, écrit J.H.R., l’un de mes ra

64 minence d’une attaque d’Hitler contre l’URSS. Les Polonais furent les premiers et presque les seuls à le croire. Retinger rédige

65 ait à ce moment près de deux millions de déportés polonais en Russie : il fallait les libérer, et permettre à beaucoup d’entre e

66 ns furent menées par Sikorski et Retinger du côté polonais , et par l’ambassadeur Maïski pour l’URSS, avec la constante collabora

67 on se trouvait dans une impasse. Certains milieux polonais de Londres, et même le président de la République en exil, s’étaient

68 la querelle qui a duré trois-cents ans entre les Polonais et les Russes. Il représente un tournant décisif dans l’histoire d’un

69 base nouvelle : il reconnaissait le gouvernement polonais en exil, il dénonçait les accords Ribbentrop-Molotov concernant la Po

70 ques, et surtout il libérait les deux millions de Polonais prisonniers et déportés en URSS. Peu de jours après, l’ambassadeur po

71 portés en URSS. Peu de jours après, l’ambassadeur polonais désigné n’ayant pu partir, Retinger fut chargé de représenter les int

72 t reçu à l’aérodrome de Moscou, au son de l’hymne polonais . Le protocole russe, Sir Stafford Cripps, et une foule de plusieurs m

73 radio la signature de l’accord, la libération des Polonais , et l’arrivée du plénipotentiaire de Sikorski. Le lendemain, il eut l

74 eut la joie de rencontrer les premiers officiers polonais libérés, et tout d’abord le général Anders, marchant sur des béquille

75 i rentrant d’une tournée d’inspection des troupes polonaises du Proche-Orient, quand on lui annonça que l’avion s’était écrasé à G

76 r davantage avec l’état d’esprit de la résistance polonaise . Il finit par persuader le général Sir Colin Gubbins, chef du SOE52,

77 manteaux en peaux de mouton. Retinger et un autre Polonais de Londres, le jeune lieutenant Celt, qui l’accompagnait, passèrent l

78 as où l’imprudence (non moins traditionnelle) des Polonais put l’engager. Bien persuadé que personne ne savait rien de sa venue,

79 de Cracovie, très loin de la sortie réservée aux Polonais . Effrayé à l’idée d’être transporté dans tous ces escaliers et passag

80 la Gestapo, entourés de l’admiration générale des Polonais qui assistaient de loin à la scène. Une voiture les attendait devant

81 de la situation en Pologne. Fin des activités polonaises de J.H.R. Dans une note biographique préparée par J.H.R. pour un h

82 transport, tandis que d’autres dépenses (experts polonais ) furent payées de ma poche. Il est intéressant de noter que ni le gou

83 rs furent mis en prison par ordre du gouvernement polonais . Les notes pour les Mémoires précisent que M. Celt, le compagnon de

84 Pour l’Europe La guerre finie, l’indépendance polonaise reconquise sur les Allemands mais presque aussitôt reperdue au profit

85 s en 194354, et Benès dénonça son accord avec les Polonais , après être allé à Moscou. Mais Retinger suivait son idée. Le 8 mai 1

86 unis pour agir au nom d’une idée — l’indépendance polonaise et l’action syndicaliste aux débuts, l’union européenne ou la coopéra

87 forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une Slave du Sud… D’une pareille apparition, o

88 en 1771, Rousseau est approché par les Confédérés polonais , au cours d’une suspension de leur guerre contre les Russes. À la vei

89 , qui dominera tout l’essai, est de détourner les Polonais d’imiter « l’Europe », c’est-à-dire les puissances de l’Ouest qui « s

90 aire par son anarchie, elle est, malgré la valeur polonaise , en butte à tous leurs outrages… Je ne vois dans l’état présent des c

91 ’établir tellement la république dans le cœur des Polonais , qu’elle y subsiste malgré tous les efforts de ses oppresseurs. C’est

92 La Pologne était dans les fers du Russe, mais les Polonais sont restés libres. Grand exemple qui vous montre comment vous pouvez

93 rompre, ils sont partout dans leur pays. Que les Polonais soient donc eux-mêmes et qu’ils éduquent leur âme à n’aimer que leur

94 , c’est-à-dire pour la servitude. À vingt ans, un Polonais ne doit pas être un autre homme ; il doit être un Polonais. Je veux q

95 ne doit pas être un autre homme ; il doit être un Polonais . Je veux qu’en apprenant à lire il lise des choses de son pays ; qu’à

96 ibre : il pense à Genève ! Ce qu’il conseille aux Polonais , c’est donc en réalité le contraire du nationalisme moderne : c’est l

97 ont résisté à la maison d’Autriche. Que si les Polonais préfèrent à ce fédéralisme intégral la grandeur nationale (au sens mo

98 asement par les Russes des révoltes hongroises et polonaises de 1848. Ce fut l’équivalent de 1956, à tous égards, y compris la par

99 andre Petofi (1823-1849), aide de camp du général polonais Bam, et qui fut tué dans un combat. Kossuth, à Bruxelles en 1859 : J

100 daigne sur nous descendre ? Quant au grand poète polonais réfugié à Paris, Adam Mickiewicz (1798-1855) il élève la plainte sécu

101 ’Occident meurt de ses doctrines ! » s’écriait le Polonais , désespérant pour sa patrie. Les Italiens, qui se sentent au seuil de

102 re de sept Italiens, de cinq Allemands et de sept Polonais . Mazzini est en ce moment réfugié clandestin en Suisse. Il a fondé le

103 salua les mouvements de libération nationale des Polonais , des Hongrois et des Allemands (tous écrasés par les interventions de

104 elle, on se sentira plus librement Breton, Vende, Polonais , Basque, Crétois ou Sicilien315. Une distinction assez analogue entr

105 quelques mois par un extraordinaire animateur, le Polonais Joseph Retinger, résulte le Congrès de l’Europe, qui se réunit à La H

106 quelques mois par un extraordinaire animateur, le Polonais Joseph Retinger46 — résulte le Congrès de l’Europe, qui se réunit à L

107 . Et une partie de la Prusse ancienne est devenue polonaise , comme on sait. Ainsi, MM. Dehem et von Salomon sont d’accord pour ju

108 s grandes explosions libertaires du « Printemps » polonais et de l’Octobre hongrois, enfin l’essor libérateur de la technique da

109 i en 1871, du IVe C.A. français et d’une division polonaise en 1940, et de plusieurs milliers de combattants, américains, russes,

110 omme ses ancêtres, il enleva la fille d’un émigré polonais , Angélique de Kostrowitsky. « De cette liaison naquit, le 18 avril 18

111 ais maintenant il nous faut travailler.” C’est un Polonais d’une soixantaine d’années, le Dr Retinger, qui a des vues sur le ras

112 s droit du général Sikorski, chef du gouvernement polonais . À 56 ans, il avait été parachuté en Pologne occupée, et il en gardai

113 st ? Non, pas cela : les quelque trente Roumains, Polonais , Tchèques, Hongrois et Yougoslaves ici présents ne sont encore, hélas

114 ! Norvégiennes, Norvégiens ! Ottomanes et Turcs ! Polonaises , Polonais ! Portugaises, Portugais ! Roumaines, Roumains ! Suédoises,

115 es, Norvégiens ! Ottomanes et Turcs ! Polonaises, Polonais  ! Portugaises, Portugais ! Roumaines, Roumains ! Suédoises, Suédois !

116 quelques mois par un extraordinaire animateur, le Polonais Joseph Retinger — résulte le Congrès de l’Europe, qui se réunit à La

117 rmé qui alla prêcher son hérésie particulière aux Polonais , pour un docteur de l’Église luthérienne, et il croit que les argumen

118 teur.) De là le conseil de Rousseau aux patriotes polonais  : « Si vous voulez réformer votre gouvernement, commencez par resserr

119 ux objections m’ont été présentées. Le professeur polonais Pajestka soutient que l’État-nation est la sauvegarde des libertés de

120 teur.) De là le conseil de Rousseau aux patriotes polonais  : « Si vous voulez réformer votre gouvernement, commencez par resserr

121 e calvinienne sur ces deux derniers pays. Du côté polonais , après quelques dizaines d’années au xvie siècle où l’on put croire

122 ment, je ne citerai ici que le Livre des Pèlerins polonais , diatribe politique en forme de poème, dans laquelle il élève la plai

123 n Saxe, mais un décret royal invite les proscrits polonais à s’en aller. Il part pour Paris en 1832. C’est là qu’il écrira le Li

124 gendre de Churchill, et le Secrétaire général, le Polonais Joseph Retinger, qui avait été « l’éminence grise du congrès de La Ha