1 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
1 teurs. En un mot, c’est le fascisme essentiel. Le polythéisme est défendable : c’est une théologie de la coexistence. Le monothéism
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
2 ie grec s’en empare pour le faire entrer dans son polythéisme et pour l’humaniser. Alors, le principe mâle l’emporte sur le princip
3 par excellence, le principe, la racine de tout le polythéisme grec. Il maintient l’unité entre toutes ces divinités qui se multipli
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
4 ie grec s’en empare pour le faire entrer dans son polythéisme et pour l’humaniser. Alors, le principe mâle l’emporte sur le princip
5 par excellence, le principe, la racine de tout le polythéisme grec. Il maintient l’unité entre toutes ces divinités qui se multipli
4 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
6 anachronismes. Entre le monothéisme d’Israël, le polythéisme grec, l’État divinisé des Romains ; entre le sacralisme exclusif et a