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teurs. En un mot, c’est le fascisme essentiel. Le
polythéisme
est défendable : c’est une théologie de la coexistence. Le monothéism
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ie grec s’en empare pour le faire entrer dans son
polythéisme
et pour l’humaniser. Alors, le principe mâle l’emporte sur le princip
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par excellence, le principe, la racine de tout le
polythéisme
grec. Il maintient l’unité entre toutes ces divinités qui se multipli
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ie grec s’en empare pour le faire entrer dans son
polythéisme
et pour l’humaniser. Alors, le principe mâle l’emporte sur le princip
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par excellence, le principe, la racine de tout le
polythéisme
grec. Il maintient l’unité entre toutes ces divinités qui se multipli
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anachronismes. Entre le monothéisme d’Israël, le
polythéisme
grec, l’État divinisé des Romains ; entre le sacralisme exclusif et a