1
le ring d’être bien peigné. Rabevel, c’était un
portrait
balzacien du brasseur d’affaires. Le sujet du Tarramagnou, c’est « la
2
t une sympathie malicieuse qui anime ses amusants
portraits
et ses commentaires parfois un peu copieux ; mais elle a la vertu de
3
ndis que s’accumulent les traits qui composent le
portrait
moral de l’Oriental, celui de l’Européen se précise dans la même mesu
4
aucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans ce
portrait
de Montherlant toréador, à 16 ans, c’est surtout le Montherlant actue
5
peinture consiste à habiller une idée. Voyez son
portrait
de Meili : il ne prend pas le sujet par l’intérieur, mais il taille c
6
a rencontré plusieurs fois Rilke, trace de lui un
portrait
qu’on dirait, en peinture, très « interprété ». Non pas une photograp
7
s. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son
portrait
en pied. Il se voit dans l’acte de se raser, de se baigner ; son imag
8
la prière pour la résurrection de la Hongrie, des
portraits
de lord Rothermere, et sur toutes les portes le fameux : « Non ! non
9
trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces
portraits
? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre) — Ça, c’
10
ole, et attire-t-il les petits bourgeois comme le
portrait
de Numa Droz attirait les mouches ? (Le verre en était toujours jaune
11
ole, et attire-t-il les petits bourgeois comme le
portrait
de Numa Droz attirait les mouches ? (Le verre en était toujours jaune
12
ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
13
riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux
14
ment de leur auteur. Qui n’a pas remarqué que les
portraits
des meilleurs peintres ressemblent à ces peintres sous les traits du
15
es rénovateurs de l’art photographique, expose un
portrait
frappant de réalité humaine. Mais l’œuvre maîtresse de l’exposition e
16
s meilleurs de son époque. Cela ne donnera pas un
portrait
de Goethe, certes, mais une idée de l’importance du phénomène Goethe.
17
tit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des
portraits
, des valets immobiles, des portes dissimulées derrière des cardinaux
18
ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
19
riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux
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trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces
portraits
? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre) — Ça, c’
21
tit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des
portraits
, des valets immobiles, des portes dissimulées derrières des cardinaux
22
ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
23
riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux
24
trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces
portraits
? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre) — Ça, c’
25
sports. Ces quelques traits épars ne font pas un
portrait
. Dès qu’on essaie de définir l’originalité de notre canton, tout devi
26
monter par elles à des sources lointaines. Grands
portraits
un peu craquelés, du xviie et du xviie siècle, gravures piquées et
27
t qu’elles furent baignées. L’on était vers 1830.
Portrait
de son grand-père, un chevalier de Malte, membre correspondant de l’I
28
ains furent cathares, Miramon, Cabrol et Vestric…
Portrait
d’un général de la Garde prussienne. Souvenirs des tantes de Dresde e
29
es patries sont celles où l’on naît à l’amour. Un
portrait
de notre pays, peint de là-haut, ne ressemblerait guère à mes esquiss
30
urd’hui, l’un de ses collaborateurs nous donne un
portrait
plus complet et quelques extraits de ses œuvres8. Fils d’un conseille
31
re à la maîtrise de soi-même, il nous en donne un
portrait
minutieux, tendre cette fois, d’un trait classique et volontaire. Je
32
Cahiers le « négatif », admirablement pris, d’un
portrait
de Ramuz, dont il est bien facile de tirer une épreuve positive : « S
33
te, serait encore plus gênée que la gauche par ce
portrait
de l’URSS fascisée et embourgeoisée. Mais nous, personnalistes, que d
34
parler. Je voudrais faire ici, tout simplement le
portrait
, sans doute sommaire, du clerc moderne et de ses vertus. Je me borner
35
eur cas, que par le style de sa description. Tout
portrait
porte plus ou moins la ressemblance de son auteur. S’il s’agit d’un a
36
son auteur. S’il s’agit d’un auteur de génie, le
portrait
lui ressemble de manière très subtile, mais peut-être aussi plus visi
37
rquillés parce que les siens sont tels. Ainsi les
portraits
peints par un Rembrandt sont bien davantage pour nous une description
38
s encore temps d’en parler. Je ne fais ici que le
portrait
, sans doute sommaire, du clerc moderne et de ses vertus. Je me borner
39
eur cas, que par le style de sa description. Tout
portrait
porte plus ou moins la ressemblance de son auteur. S’il s’agit d’un a
40
son auteur. S’il s’agit d’un auteur de génie, le
portrait
lui ressemble de manière très subtile, mais peut-être aussi plus visi
41
rquillés parce que les siens sont tels. Ainsi les
portraits
peints par un Rembrandt sont bien davantage pour nous une description
42
agon. Et le petit chien du duc, qui figure sur le
portrait
du gentilhomme, fait fête à ses nouveaux camarades, les miliciens, qu
43
rte ; Arndt (héros des guerres d’indépendance.)
Portraits
d’empereurs allemands du Moyen Âge ; Histoire des Allemands Sudètes
44
Latini extrait de Tristan (dans sa Rhétorique) le
portrait
de la femme idéale. De là, jusqu’au fond de la Norvège, de la Russie,
45
chelling. 152. Voir le Journal de Novalis, et le
portrait
qu’il donne de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, morte à 16 ans. Il
46
Latini extrait de Tristan (dans sa Rhétorique) le
portrait
de la femme idéale. De là, jusqu’au fond de la Norvège, de la Russie,
47
chelling. 170. Voir le Journal de Novalis, et le
portrait
qu’il donne de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, morte à 16 ans. Il
48
Latini extrait de Tristan (dans sa Rhétorique) le
portrait
de la femme idéale. De là, jusqu’au fond de la Norvège, de la Russie,
49
chelling. 159. Voir le Journal de Novalis, et le
portrait
qu’il donne de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, morte à 16 ans. Il
50
que. Mais ici se pose le problème de la vérité du
portrait
, Gide note lui-même dès 1924 : « Si plus tard on publie mon journal,
51
un moment privilégié de ce journal. Alors le vrai
portrait
de l’auteur n’est plus dans l’œuvre ni dans le journal, mais dans leu
52
essage » du poète, il s’exprime surtout dans deux
portraits
photographiques de Germaine Martin et de H. L. Mermod. Ce visage puis
53
eur qu’à l’objet qu’il voulait décrire. Ainsi les
portraits
de Rembrandt ressemblent autant à Rembrandt qu’aux modèles qui posaie
54
t ouvrage. Toutefois, qu’on ne s’attende pas à un
portrait
du diable : il faut tenir tous ses portraits pour autant de victoires
55
à un portrait du diable : il faut tenir tous ses
portraits
pour autant de victoires qu’il remporte sur notre complaisance ou nos
56
t ouvrage. Toutefois, qu’on ne s’attende pas à un
portrait
du diable : il faut tenir tous ses portraits pour autant de victoires
57
à un portrait du diable : il faut tenir tous ses
portraits
pour autant de victoires qu’il remporte sur notre complaisance ou nos
58
t ouvrage. Toutefois, qu’on ne s’attende pas à un
portrait
du diable : il faut tenir tous ses portraits pour autant de victoires
59
à un portrait du diable : il faut tenir tous ses
portraits
pour autant de victoires qu’il remporte sur notre complaisance ou nos
60
que. Mais ici se pose le problème de la vérité du
portrait
. Gide note lui-même dès 1924 : « Si plus tard on publie mon journal,
61
un moment privilégié de ce journal. Alors le vrai
portrait
de l’auteur n’est plus dans l’œuvre ni dans le journal, mais dans leu
62
t sur la construction des romans de Ramuz. ⁂ Tout
portrait
représente un dialogue entre le peintre et son modèle. Mais comment d
63
l’être. La première impression qu’on reçoit de ce
portrait
serait trop faiblement traduite par le mot de méfiance : il faudrait
64
ns ce passage des Six Cahiers le « négatif » d’un
portrait
de Ramuz. Essayons d’en tirer une épreuve positive : « Sa poésie comm
65
coups de documents, moins il se reconnaît dans le
portrait
simplifié que la police en compose à toutes fins menaçantes. Songeons
66
coup de documents, moins il se reconnaît dans le
portrait
simplifié que la police en compose à toutes fins menaçantes. Songeons
67
oire que je la décris. ⁂ Mais ainsi l’on peint un
portrait
. Style-information, structure-énergie, mythe-événement, forme-matière
68
tit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des
portraits
, des valets immobiles, des portes dissimulées derrière des cardinaux
69
ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
70
riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux
71
trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces
portraits
? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre) — Ça, c’
72
les visiteurs respectueux, le quatrain devant le
portrait
des parents de Goethe, les taches d’encre sur son bureau « car il éta
73
coups de documents, moins il se reconnaît dans le
portrait
simplifié que la police en compose à toutes fins menaçantes. Songeons
74
te du strip-tease Gipsy Rose Lee (elle termine un
portrait
de Max Ernst, qui a fait le sien), Carson McCullers, adolescente ombr
75
s’agit de faire l’amour, ou seulement de faire un
portrait
, j’aime à croire que vous usez d’une mesure plus réelle. Mais sans do
76
onnaissez, Monsieur, sans aucun doute la série de
portraits
en couleurs que publient nos grands magazines : The Man of Distinctio
77
tes en bonne compagnie. X. Vous publiez donc ces
portraits
pour la publicité de votre boisson ? Bien. L’idée générale me paraît
78
os ? L’agent. Nous sommes fiers d’avoir pris les
portraits
du fameux amiral Grandisson et du général MacAlfred. Mais comme nous
79
ut couverts de décorations. X. Bien entendu, ces
portraits
ont paru pendant la guerre ? L’agent. C’est naturel. Depuis la paix,
80
lqu’un, Monsieur, dont vous ne prendrez jamais le
portrait
. Et j’ose dire que l’idée ne vous en viendra même pas. Car l’époque n
81
s. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son
portrait
en pied. Il se voit dans l’acte de se raser, de se baigner ; son imag
82
ée, notre scepticisme lucide… ⁂ Il se peut que le
portrait
de l’Europe que je viens d’esquisser devant vous pèche par excès de p
83
s alourdissent l’imagination. Et comment tirer le
portrait
d’un sujet qui bouge tout le temps ? Mais j’aime les jeux. Ce petit j
84
ée, notre scepticisme lucide… ⁂ Il se peut que le
portrait
de l’Europe que je viens d’esquisser devant vous pèche par excès de p
85
sports. Ces quelques traits épars ne font pas un
portrait
. Dès qu’on essaie de définir l’originalité de notre canton, tout devi
86
monter par elles à des sources lointaines. Grands
portraits
un peu craquelés, du xviie et du xviiie siècle, gravures piquées et
87
t qu’elles furent baignées. L’on était vers 1830.
Portrait
de son grand-père, un chevalier de Malte, membre correspondant de l’I
88
ns furent cathares, Miramont, Cabrol et Vestric…
Portrait
d’un général de la Garde prussienne. Souvenirs des tantes de Dresde e
89
es patries sont celles où l’on naît à l’amour. Un
portrait
de notre pays, peint de là-haut, ne ressemblerait guère à mes esquiss
91
use collective, et ne donnent de l’individu qu’un
portrait
simplifié et dûment stylisé. Nés d’un besoin de s’expliquer, ils rest
92
étiques sur l’Europe. (Ce que chacun pense de ses
portraits
par l’autre. Faut-il favoriser ce genre littéraire ? Si oui, comment
93
s qui la reflète. Le bourgeois qui fait faire son
portrait
, triche au jeu des affaires, spécule sur les entreprises coloniales,
94
ecord, la gloire personnelle, la biographie et le
portrait
, la prière pour un tel vivant ou pour les morts… Comme l’attestent no
95
ecord, la gloire personnelle, la biographie et le
portrait
, la prière pour un tel vivant ou pour les morts… Comme l’attestent no
96
I, chap. VI, p. 230-231. 130. Pensées diverses (
Portrait
de soi-même). Cf. supra la citation de Vitoria, p. 75. 131. Extrait
97
. De la Pologne, in Œuvres complètes, Patries et
Portraits
, Paris, 1868. 194. Romantische Schule, 2. Buch, 1833. 195. « Salon
98
a Bourgogne. Les peintres flamands vont faire des
portraits
à Gênes. Plus tard, les Allemands passent le Brenner et vont apprendr
99
tensions multiples, entrecroisées. Esquissons ce
portrait
de l’Europe telle que chacun de nous peut la voir, ce portrait compos
100
’Europe telle que chacun de nous peut la voir, ce
portrait
composé non point à partir de définitions et d’analyses intellectuell
101
ultiples, entrecroisées. Esquissons maintenant ce
portrait
de l’Europe telle que chacun de nous peut la voir, ce portrait compos
102
’Europe telle que chacun de nous peut la voir, ce
portrait
composé non point à partir de définitions et d’analyses intellectuell
103
est à la fois exacte et privée de sens. C’est un
portrait
où tout est juste, dans le détail, mais l’impression d’ensemble est f
104
Je voyais d’elle, chez des amis, de fascinants
portraits
d’enfants aux très grands yeux : ils n’ont pas fini de s’étonner que
105
Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)h
Portrait
du Suisse moyen Les Suisses sont plus réellement moyens que « l’ho
106
quable, et toutes nous donnent du Suisse moyen un
portrait
statistique qui ressemble à s’y méprendre aux Suisses parmi lesquels
107
u’on se pose sur le sens final de tout cela… ⁂ Ce
portrait
, garanti conforme aux mensurations scientifiques comme à l’expérience
108
derniers à y reconnaître leurs voisins. C’est un
portrait
, ce n’est pas un éloge, ni une critique. Dire que le Suisse moyen est
109
cés ou dialectiques.) Mais quoi qu’on pense de ce
portrait
du Suisse moyen, ce n’est pas encore un portrait de la Suisse. L’enqu
110
portrait du Suisse moyen, ce n’est pas encore un
portrait
de la Suisse. L’enquête la plus intelligente et la statistique la plu
111
nde. Quel ennui, ces secondes entre les deux !
Portrait
du Suisse moyen Eh bien, depuis que j’écrivais ces pages (en 1946,
112
quable, et toutes nous donnent du Suisse moyen un
portrait
statistique qui ressemble à s’y méprendre aux Suisses parmi lesquels
113
u’on se pose sur le sens final de tout cela… ⁂ Ce
portrait
, garanti conforme aux mensurations scientifiques comme à l’expérience
114
derniers à y reconnaître leurs voisins. C’est un
portrait
, ce n’est pas un éloge, ni une critique. Dire que le Suisse moyen est
115
cés ou dialectiques.) Mais quoi qu’on pense de ce
portrait
du Suisse moyen, ce n’est pas encore un portrait de la Suisse. L’enqu
116
portrait du Suisse moyen, ce n’est pas encore un
portrait
de la Suisse. L’enquête la plus intelligente et la statistique la plu
117
pas, c’est plus fort que moi… » Nous admirons un
portrait
de son père, fait de mémoire, quelques traits gravés sur une plaque a
118
’échoppe d’un cordonnier dans le Morvan, les deux
portraits
se faisant face de la mère Angélique Arnaud et de Marat : l’accord du
119
échoppe d’un cordonnier, dans le Morvan, les deux
portraits
se faisant face de la mère Angélique Arnaud et de Marat : l’accord du
120
étorique. (De même qu’en peinture, le tableau, le
portrait
, l’exposition, le musée ; ou en musique l’harmonie et le contrepoint,
121
ierre, Kant, Mazzini, Hugo et Nietzsche, dont les
portraits
décoraient la tribune. En même temps, il proposait aux hommes d’État
122
desquels la société de l’époque n’eût pas eu son
portrait
tiré, et n’eût assumé devant l’Histoire son visage et son style, cond
123
quivalent de notre peinture de chevalet ou de nos
portraits
individualisés, de nos concerts ou de nos musées. À la fois communaut
124
desquels la société de l’époque n’eût pas eu son
portrait
tiré, et n’eût pas assumé devant l’Histoire son visage et son style,
125
hétorique. (De même qu’en peinture le tableau, le
portrait
, l’exposition, le musée, ou en musique l’harmonie et le contrepoint,
126
ilieux » et des classes conventionnelles, dont le
portrait
passe pour « réaliste » dans la mesure où il se conforme à des stéréo
127
desquels la société de l’époque n’eût pas eu son
portrait
tiré, et n’eût pas assumé devant l’Histoire son visage et son style,
128
y, lui, fait de la peinture. Ses huiles, pastels,
portraits
, dessins, fragments ou grandes œuvres murales sont des produits de la
129
me motive, quand je lutte pour la région. r. «
Portrait
de Denis de Rougemont — Éléments d’un entretien enregistré le 15 juil
130
quivalent de notre peinture de chevalet ou de nos
portraits
individualisés, de nos concerts et de nos musées. Tout à la fois comm
131
même et la manière dont il voit les autres : tout
portrait
ressemble à son auteur, et tous les portraits peints par Rembrandt à
132
tout portrait ressemble à son auteur, et tous les
portraits
peints par Rembrandt à ses autoportraits. C’est ce qui rend un volume
133
nt les chroniqueurs du Moyen Âge nous offrent des
portraits
fidèles. Il y a également toujours eu des mouvements communautaires p
134
aura à assumer, Lamartine esquisse, dès 1837, le
portrait
d’un poète « responsable, actif et engagé ». Les trois épithètes s’é
135
le concerto, l’opéra, le tableau de chevalet, le
portrait
, etc., ignorés ou proscrits par les cultures sacrées de l’Asie et du
136
maîtriser. L’ouvrage de Denis de Rougemont, et le
portrait
d’une Europe fédéraliste régionaliste, écologique qu’il contient, a i
137
olonté et de l’image du Pouvoir (symbolisé par le
portrait
de Big Brother le moustachu et c’est le côté un peu Tintin de ce roma
138
’auteur même de ces analyses. Chacun sait que les
portraits
peints par Rembrandt ont tous un air de ressemblance, qui est le sien
139
lisez son livre sur Montaigne : c’est le meilleur
portrait
à ce jour de Jean Starobinski. Après ce livre, je ne serais pas trop