1
tre terre et ciel. Mais sa foulée, bondissante et
posée
, est pleine du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique que je n’en
2
a suite de Claudel estiment que la question ne se
pose
pas, puisque nous sommes chrétiens. (Mais le christianisme, religion
3
s pages, mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir
posé
courageusement. Dirai-je que l’abus des points d’exclamation — trait
4
ertitude douloureux, où ces problèmes viennent se
poser
à l’esprit, profitant de son désaccord avec la vie. Ni métaphysicien,
5
juste à temps pour assister à la cérémonie de la
pose
du point final de « Cinématoma ou les épanchements de la jeune Synovi
6
ile un dixième de seconde, par intermittences, se
pose
enfin sur l’écran : une danseuse sur une plaque de verre, vue par-des
7
eut-être prématurée. Mais le seul fait qu’elle se
pose
me paraît indiquer que l’un au moins des deux éléments nécessaires à
8
d’aucun de ces appareils à jugements garantis qui
posent
un critique d’art diplômé. Premier péché contre l’histoire : au seuil
9
aux volètent, se balancent au bord des verres, se
posent
sur les cordes d’une lyre dont ils font grésiller l’accord, une patte
10
civilisation d’Occident. Les questions capitales
posées
ailleurs depuis longtemps par des maîtres comme Keyserling, Ferrero,
11
iance, voici un homme d’aujourd’hui, presque sans
pose
, et décidé à mépriser le bluff. al. « Pierre Drieu la Rochelle : La
12
le paradis n’est pas si cher. Il y en a aussi qui
posent
pour le diable et ne se baignent que dans des bénitiers : on voit tro
13
ttes de couleur pour ma femme… Mais l’homme avait
posé
son journal. Soudain, portant la main à son gilet, il en retira trois
14
refusais sans cesse aux questions qu’en moi-même
posait
ma raison effarée. L’étranger s’animait aussi : une fièvre faisait s’
15
quoi ? C’est la plus grave question qu’on puisse
poser
à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de ceux
16
olution : l’existence du dilemme. Second pas : en
poser
les termes avec netteté et courage. Pour le reste, je pense que c’est
17
onde où la question fidélité ou inconstance ne se
pose
plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux, en y r
18
du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est
posée
sur Hölderlin et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage d
19
t cela existe dans le même monde ? (Il est bon de
poser
parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
20
itatif de ceux qui s’y livrent. Je ne veux pas me
poser
ici en défenseur des vertus patriarcales. Mais je m’adresse aux démoc
21
rme nos gosses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point
poser
de questions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un
22
itatif de ceux qui s’y livrent. Je ne veux pas me
poser
ici en défenseur des vertus patriarcales. Mais je m’adresse aux démoc
23
rme nos gosses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point
poser
de questions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un
24
upérieure de domination et de puissance… On ne se
pose
plus, en France, de questions qui dépassent un certain plan. C’est ma
25
ent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on les
pose
, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt et d’une manière auss
26
que possible. Direz-vous que les Allemands ne les
posent
pas mieux ? Du moins n’ont-ils pas cette impudeur française de suppri
27
, nous gagnons l’altitude. Les problèmes qu’il se
pose
sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les surmonte. « Car l
28
nt hasardé des réponses à cette interrogation que
posent
tacitement toute forme de vie, et explicitement — croyons-nous — cert
29
de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle
pose
alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
30
l la possède. On peut dire de sa critique qu’elle
pose
le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de
31
ie des sciences morales et politiques, en 1914, a
posé
le problème en termes fort nets. (Cités par M. Brunschvicg dans Le Pr
32
ais pas aujourd’hui le livre « bien pensant » qui
pose
avec une pareille acuité le problème central de notre civilisation. À
33
ces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chien écrasé
pose
toute la question sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à donner une « i
34
ù était le calvinisme dans tout ceci. Eussent-ils
posé
, à propos d’un salon d’art catholique, la même question, en remplaçan
35
az intitula Nietzsche et les hauteurs 23, et qui,
posé
en face du tableau franco-anglais, fournit un contraste de haut goût.
36
eait de celui qui s’y livrait de se fâcher, de se
poser
comme juste et de juger ses semblables. Pire que cela, elle portait à
37
t trompeuse. Mais la qualité du regard qu’un être
pose
sur ses semblables, tel est le signe et la mesure certaine. Au cours
38
solution que personnelle. Il ne s’agit plus de la
poser
, sur le plan intellectuel, pour les autres, mais de la résoudre d’abo
39
blème que notre xviie siècle se devait de ne pas
poser
). L’homme antique peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la m
40
du réalisme poétique. 1. Obscurité : Kassner ne
pose
pas les problèmes dans nos catégories psychologiques. Il prend tout p
41
tion perpétuelle ? Car la vraie question qu’elles
posent
, chrétiennement, c’est de savoir si nous les méritons encore. Comme l
42
manifestent ses traits spécifiques. On peut donc
poser
que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos contempo
43
s où elle se trouve brutalement mise en question,
posent
eux-mêmes si peu de questions, ou de si minimes. Je lis un article ré
44
d’un de nos aînés, interrogeant notre destin, lui
poser
en face des questions d’une accablante simplicité. Me tromperais-je ?
45
aborées, des questions que n’importe qui pourrait
poser
et qui ne peuvent tirer de nous rien d’exquis ni d’original, mais au
46
? Le temps vient cependant où la métaphysique se
posera
ou sera niée en termes concrets, en termes de nourriture par exemple,
47
it-on mieux maintenant dans quel esprit Ramuz les
pose
, et que précisément c’est l’esprit de ces Signes. Aussi serait-il bie
48
maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La question se
pose
pour lui, dès l’abord, en termes matériels, urgents et contraignants.
49
out au long de l’œuvre, prouve que la question se
pose
sans cesse à nouveau et que sous l’apparence de plus en plus sereine,
50
ce dilemme est peut-être le plus important qui se
pose
à l’esprit occidental, dès qu’il atteint les régions de haute tension
51
le de la curiosité littéraire ou historique. Elle
pose
cependant un problème que la conscience intellectuelle des chrétiens
52
mme dit Barth, une de ces questions qui nous sont
posées
comme autant d’accusations, et qu’il est de notre devoir d’envisager
53
us efficace de la bourgeoisie conservatrice. Elle
pose
devant la conscience de « l’honnête homme » un problème que toutes se
54
a lecture de ce livre, parce qu’il a le mérite de
poser
simplement, brutalement, une de ces grandes questions que la pensée m
55
de questions plus grossières que celles qui sont
posées
ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente qui dit et croi
56
oirie puissante et prophétique d’André Philip ont
posé
au régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un pla
57
régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont
posée
sur un plan où nul arrêt de la justice humaine désormais ne saurait l
58
onde où la question fidélité ou inconstance ne se
pose
plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux, en y r
59
Du sein de tant de contraintes polies et dans la
pose
la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un re
60
de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle
pose
alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
61
du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est
posée
sur Hölderlin et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage d
62
t cela existe dans le même monde ? (Il est bon de
poser
parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
63
le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y
pose
, et tous ces corridors si hauts où l’on devine à tâtons des armoires
64
à manger et à soupeser des idées qui venaient se
poser
devant moi. La servante à l’autre coin de la pièce brodait, bâillait,
65
t d’un seul vol onze grands cygnes blancs. Ils se
posèrent
autour d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le peuple effra
66
Du sein de tant de contraintes polies et dans la
pose
la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un re
67
t de main ; saisir la danseuse sous le bras (elle
pose
alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
68
du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est
posée
sur Hölderlin et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage d
69
t cela existe dans le même monde ? (Il est bon de
poser
parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
70
le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y
pose
, et tous ces corridors si hauts où l’on devine à tâtons des armoires
71
à manger et à soupeser des idées qui venaient se
poser
devant moi. La servante à l’autre coin de la pièce brodait, baillait,
72
t d’un seul vol onze grands cygnes blancs. Ils se
posèrent
autour d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le peuple effra
73
errasse qui fait le tour de mes chambres blanches
posées
sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales. La brique e
74
né jusqu’au point désiré, pour y descendre et s’y
poser
. Rien ne donne une idée de l’immobilité comme ce vol sans repères en
75
ent. Ils le savaient, ils acceptaient ce fait, et
posaient
l’ordre en face de lui comme un défi manifestant la vocation de l’hom
76
de l’émotion, mais n’est-ce pas le même piège que
posera
l’invention, en le tournant dans l’autre sens, comme pour se souvenir
77
al de sportif plus que de puritain.) Il ralentit,
pose
un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui
78
la plupart du temps, et le goût des « romans qui
posent
des problèmes ». On appelait cela de la « littérature difficile », no
79
ogarten en particulier dans son Éthique politique
pose
tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage intelle
80
te pas moins non conformiste par la façon dont il
pose
les problèmes. Beaucoup plus « existentielle » que systématique, sa d
81
ons n’aura de conséquences politiques que si nous
posons
le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
82
nous voudrions que toutes les questions que nous
poserons
ici soient accueillies : avec un sérieux et un respect si peu feints
83
ompte de ce qu’elle signifie pour celui qui me la
pose
. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la question, c’est un pro
84
ent à leur question, j’entends à ceux qui nous la
posent
parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il
85
ntends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se
pose
à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il y a des ordres 1. C
86
exposé systématique ou historique, mais bien pour
poser
devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
87
st-elle, pour chacun de nous, une question qui se
pose
dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
88
e question qui se pose dans la vie, que vous vous
posiez
avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
89
distinguer une évasion hors des problèmes qui se
posent
et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
90
ion hors des problèmes qui se posent et nous sont
posés
, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
91
lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il
pose
les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
92
pter, dans toute sa violence, la question que lui
pose
sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
93
ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les
poser
là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
94
tre révolution est ailleurs. Il est précis. Il se
pose
en termes historiques bien définis : c’est le problème de la destruct
95
s voyons l’essentiel de la révolution, suppose et
pose
la personne, définie comme l’individu engagé dans le conflit créateur
96
au sérieux les questions étranges et cruelles que
poserait
sinon la vie de tous les jours, — on conçoit que ce brave homme s’eff
97
l est le fondement de toute dignité humaine. Ceci
posé
, nous constatons immédiatement que, lorsqu’on édifie un système et un
98
e part, en vertu des évidences que nous venons de
poser
, ce principe ne sera jamais effectif s’il n’entre pas immédiatement e
99
mais bien celui de la personne, de l’acte qui la
pose
et qui l’oppose aux résistances ambiantes. Nous disons que le spiritu
100
us le coup de la question capitale qu’on voudrait
poser
sous cette forme : la vérité est-elle en déca ou au-delà du désespoir
101
supportable ? Telles étaient les questions que se
posait
, vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un village de la Suis
102
on moins inouï de la Bible, de cette Bible qui se
pose
comme une nouvelle énigme en face des contradictions de la vie. Souve
103
olides de notre temps. C’est pour cela qu’il peut
poser
les questions les plus gênantes qui soient. ⁂ On l’a bien vu récemmen
104
t les conditions actuelles de la vérité qui nous
posent
un problème, et non pas ses conditions « éternelles ». Nous ne penson
105
époque comme la nôtre, ce sont celles qu’il faut
poser
si l’on veut réellement se tirer hors d’une confusion sans précédent
106
t qu’elle est question exigeant une réponse ne se
pose
pas ailleurs que dans le je aux prises avec le tu. Ses données me son
107
i c’est un autre homme, en face de moi, qui me la
pose
. Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main, à portée de
108
ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de
poser
cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
109
crois, en définitive, la question simple que nous
pose
l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
110
je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on
pose
souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
111
giens libéraux. La question était ainsi nettement
posée
: pour devenir chrétien, il fallait « rencontrer personnellement le C
112
se. Tout au contraire du critique moderne, qui se
pose
en juge du texte, Calvin n’admet et ne pratique qu’une « exégèse d’ob
113
t refaire un monde. L’arbre devient colonne et ne
pose
plus de question. Enfermé maintenant dans ses architectures, l’homme
114
t trop souvent un homme que l’étude des problèmes
posés
par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait. Mais q
115
és par sa technique détourne des problèmes qui se
posent
en fait. Mais que faut-il penser de ces techniques d’abstention ? ⁂ T
116
blèmes débattus dans ce livre sont de ceux qui se
posent
; non point de ceux que l’on se plaît à poser gratuitement pour esqui
117
se posent ; non point de ceux que l’on se plaît à
poser
gratuitement pour esquiver les choix concrets. La démarche assez sinu
118
u siècle » avec des yeux hors de la tête, sans se
poser
jamais cette question pourtant bien naturelle : Comment un siècle peu
119
point fondamental de nos doctrines. Ceux qui nous
posent
la « colle » que je viens de résumer sont de deux sortes : des inquie
120
s avons à dire : Retournez la question qu’on vous
pose
, cessez de vous défendre, attaquez. On vous dit : « Qu’est-ce que la
121
rand mérite d’aller droit aux problèmes réels que
pose
ce livre, sur le plan philosophique. 14. Mais le concret, c’est l’ac
122
je poserais une question inverse de celle que je
posais
à l’Association Sully. Peut-on « se borner au pratique » ? Et toute a
123
ique » ? Et toute activité auprès des ouvriers ne
pose-t
-elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne sau
124
x équipes tient d’abord dans leur refus absolu de
poser
les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
125
ux prises dans la presse évitent avec ensemble de
poser
les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
126
eois. C’est ici la question de la tactique qui se
pose
, en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
127
, et dont le défaut empêchait que la question fût
posée
utilement. Il suffit parfois d’indiquer, de rappeler certains argumen
128
r vie. La seule question qu’il y ait donc lieu de
poser
est celle-ci : comment atteindre les hommes dans le concret de leur e
129
es années plus tard, une ligue réactionnaire fait
poser
des affiches où elle reprend des termes semblables : « Brûlez-le, brû
130
é mystérieuse de l’ironie ; contre l’histoire, il
pose
l’acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela va au mar
131
-t-il fait ? l’a-t-il réellement fait ? »55 Nous
posons
toujours la dernière question. Nous ne croyons pas à l’esprit, nous p
132
vidence ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on
pose
ses conditions : « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-
133
e signifie pas que les questions dernières ne s’y
posent
jamais, mais simplement qu’on les y noie. Les hommes préfèrent « mour
134
e » dans notre existence morale. Une question mal
posée
. Un regard trouble porté sur la réalité. t. « Nécessité de Kierkegaa
135
lien vivant de l’auteur avec son public. Une fois
posés
ces fondements spirituels d’une littérature rénovée, qu’aurions-nous
136
ite de cette Vie de Jésus, et les questions qu’il
pose
n’apparaissent pas moins passionnantes. Quelle fut la genèse psycholo
137
on « objet », et par là même le déshumanise. Elle
pose
l’homme comme un problème, et pour autant elle est bien obligée de pr
138
ur et simple d’agir et de créer, j’entends, de se
poser
comme auteur responsable de son acte ? Alors qu’elle ne repose que su
139
’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de
poser
dans le monde des politiciens ! Si la Politique est l’art de gouverne
140
s font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se
posent
pas beaucoup de questions, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité
141
us laisse très perplexes, etc. » Si le lecteur se
pose
ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a c
142
uelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se
posent
. À qui se posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C
143
qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se
posent
-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C’est ce qu’il me
144
ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de
poser
cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
145
crois, en définitive, la question simple que nous
pose
l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
146
je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on
pose
souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
147
ons n’aura de conséquences politiques que si nous
posons
le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
148
exposé systématique ou historique, mais bien pour
poser
devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
149
st-elle, pour chacun de nous, une question qui se
pose
dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
150
e question qui se pose dans la vie, que vous vous
posiez
avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
151
distinguer une évasion hors des problèmes qui se
posent
et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
152
ion hors des problèmes qui se posent et nous sont
posés
, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
153
lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il
pose
les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
154
pter, dans toute sa violence, la question que lui
pose
sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux a
155
X.Fascisme Une question mal
posée
Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’aurait i
156
e problème des fins humaines est assez clairement
posé
et résolu par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctri
157
a doctrine de Marx (an-archique), n’a pas tardé à
poser
des problèmes pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces
158
ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les
poser
là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
159
groupes réside d’abord dans leur refus absolu de
poser
les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
160
ux prises dans la presse évitent avec ensemble de
poser
les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
161
eois. C’est ici la question de la tactique qui se
pose
, en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
162
région ou à la profession dans laquelle il s’est
posé
. Et on le reposera sur un plan « général » (dans le cadre étatiste-ce
163
et professions dans lesquelles la question ne se
posait
pas — la loi créant une difficulté nouvelle. Ce petit exemple fait ap
164
’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de
poser
dans le monde des politiciens. Si la Politique est l’art de gouverne
165
s font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se
posent
pas beaucoup de questions, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité
166
us laisse très perplexes, etc. » Si le lecteur se
pose
ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a c
167
uelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se
posent
. À qui se posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C
168
qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se
posent
-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C’est ce qu’il me
169
ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de
poser
cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
170
crois, en définitive, la question simple que nous
pose
l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
171
je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on
pose
souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
172
ons n’aura de conséquences politiques que si nous
posons
le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
173
exposé systématique ou historique, mais bien pour
poser
devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
174
st-elle, pour chacun de nous, une question qui se
pose
dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
175
e question qui se pose dans la vie, que vous vous
posiez
avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
176
lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il
pose
les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
177
pter, dans toute sa violence, la question que lui
pose
sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux a
178
XFascisme39 Une question mal
posée
Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’aurait i
179
e problème des fins humaines est assez clairement
posé
et résolu par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctri
180
la doctrine de Marx (anarchique), n’a pas tardé à
poser
des problèmes pratiques tout à fait étrangers au but de la révolution
181
ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les
poser
là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
182
groupes réside d’abord dans leur refus absolu de
poser
les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
183
ux prises dans la presse évitent avec ensemble de
poser
les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
184
eois. C’est ici la question de la tactique qui se
pose
, en même temps que celle des institutions à construire. Le premier ma
185
la question d’en faire ou de n’en pas faire ne se
pose
même plus. 3. La politique, en France, revêt des formes beaucoup plus
186
lés des contingences humaines. Au contraire, nous
poserons
comme première condition de toute révolution vraie, que ceux qui lutt
187
de de la pensée kierkegaardienne. La question que
pose
cette œuvre, c’est celle de la foi, dans l’absolu. Ce n’est pas encor
188
se à des auditeurs chrétiens, à des hommes qui se
posent
sérieusement la question : en quoi ma foi doit-elle transformer ma vi
189
c’est à chaque instant de la vie de la foi que se
posent
les questions dernières. Mais cette vision de l’homme sans cesse mis
190
la perfection dans la banalité aimable. Son livre
pose
une seule question : quel dessein vaguement subversif peut bien pours
191
e qui choisit son homme. La seule question qui se
pose
, dès lors, c’est de savoir comment l’exercice d’une vocation peut êtr