1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 tre terre et ciel. Mais sa foulée, bondissante et posée , est pleine du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique que je n’en
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 a suite de Claudel estiment que la question ne se pose pas, puisque nous sommes chrétiens. (Mais le christianisme, religion
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
3 s pages, mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-je que l’abus des points d’exclamation — trait
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 ertitude douloureux, où ces problèmes viennent se poser à l’esprit, profitant de son désaccord avec la vie. Ni métaphysicien,
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
5 juste à temps pour assister à la cérémonie de la pose du point final de « Cinématoma ou les épanchements de la jeune Synovi
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
6 ile un dixième de seconde, par intermittences, se pose enfin sur l’écran : une danseuse sur une plaque de verre, vue par-des
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 eut-être prématurée. Mais le seul fait qu’elle se pose me paraît indiquer que l’un au moins des deux éléments nécessaires à
8 d’aucun de ces appareils à jugements garantis qui posent un critique d’art diplômé. Premier péché contre l’histoire : au seuil
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
9 aux volètent, se balancent au bord des verres, se posent sur les cordes d’une lyre dont ils font grésiller l’accord, une patte
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
10 civilisation d’Occident. Les questions capitales posées ailleurs depuis longtemps par des maîtres comme Keyserling, Ferrero,
11 iance, voici un homme d’aujourd’hui, presque sans pose , et décidé à mépriser le bluff. al. « Pierre Drieu la Rochelle : La
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
12 le paradis n’est pas si cher. Il y en a aussi qui posent pour le diable et ne se baignent que dans des bénitiers : on voit tro
11 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
13 ttes de couleur pour ma femme… Mais l’homme avait posé son journal. Soudain, portant la main à son gilet, il en retira trois
14 refusais sans cesse aux questions qu’en moi-même posait ma raison effarée. L’étranger s’animait aussi : une fièvre faisait s’
12 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
15 quoi ? C’est la plus grave question qu’on puisse poser à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de ceux
16 olution : l’existence du dilemme. Second pas : en poser les termes avec netteté et courage. Pour le reste, je pense que c’est
13 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
17 onde où la question fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux, en y r
14 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
18 du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est posée sur Hölderlin et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage d
19 t cela existe dans le même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
20 itatif de ceux qui s’y livrent. Je ne veux pas me poser ici en défenseur des vertus patriarcales. Mais je m’adresse aux démoc
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
21 rme nos gosses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point poser de questions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
22 itatif de ceux qui s’y livrent. Je ne veux pas me poser ici en défenseur des vertus patriarcales. Mais je m’adresse aux démoc
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
23 rme nos gosses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point poser de questions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un
19 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
24 upérieure de domination et de puissance… On ne se pose plus, en France, de questions qui dépassent un certain plan. C’est ma
25 ent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on les pose , ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt et d’une manière auss
26 que possible. Direz-vous que les Allemands ne les posent pas mieux ? Du moins n’ont-ils pas cette impudeur française de suppri
27 , nous gagnons l’altitude. Les problèmes qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les surmonte. « Car l
20 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
28 nt hasardé des réponses à cette interrogation que posent tacitement toute forme de vie, et explicitement — croyons-nous — cert
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
29 de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
30 l la possède. On peut dire de sa critique qu’elle pose le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de
23 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
31 ie des sciences morales et politiques, en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (Cités par M. Brunschvicg dans Le Pr
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
32 ais pas aujourd’hui le livre « bien pensant » qui pose avec une pareille acuité le problème central de notre civilisation. À
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
33 ces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chien écrasé pose toute la question sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à donner une « i
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
34 ù était le calvinisme dans tout ceci. Eussent-ils posé , à propos d’un salon d’art catholique, la même question, en remplaçan
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
35 az intitula Nietzsche et les hauteurs 23, et qui, posé en face du tableau franco-anglais, fournit un contraste de haut goût.
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
36 eait de celui qui s’y livrait de se fâcher, de se poser comme juste et de juger ses semblables. Pire que cela, elle portait à
37 t trompeuse. Mais la qualité du regard qu’un être pose sur ses semblables, tel est le signe et la mesure certaine. Au cours
38 solution que personnelle. Il ne s’agit plus de la poser , sur le plan intellectuel, pour les autres, mais de la résoudre d’abo
29 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
39 blème que notre xviie siècle se devait de ne pas poser ). L’homme antique peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la m
40 du réalisme poétique. 1. Obscurité : Kassner ne pose pas les problèmes dans nos catégories psychologiques. Il prend tout p
30 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
41 tion perpétuelle ? Car la vraie question qu’elles posent , chrétiennement, c’est de savoir si nous les méritons encore. Comme l
42 manifestent ses traits spécifiques. On peut donc poser que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos contempo
31 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
43 s où elle se trouve brutalement mise en question, posent eux-mêmes si peu de questions, ou de si minimes. Je lis un article ré
44 d’un de nos aînés, interrogeant notre destin, lui poser en face des questions d’une accablante simplicité. Me tromperais-je ?
45 aborées, des questions que n’importe qui pourrait poser et qui ne peuvent tirer de nous rien d’exquis ni d’original, mais au
46  ? Le temps vient cependant où la métaphysique se posera ou sera niée en termes concrets, en termes de nourriture par exemple,
47 it-on mieux maintenant dans quel esprit Ramuz les pose , et que précisément c’est l’esprit de ces Signes. Aussi serait-il bie
32 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
48 maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La question se pose pour lui, dès l’abord, en termes matériels, urgents et contraignants.
49 out au long de l’œuvre, prouve que la question se pose sans cesse à nouveau et que sous l’apparence de plus en plus sereine,
50 ce dilemme est peut-être le plus important qui se pose à l’esprit occidental, dès qu’il atteint les régions de haute tension
33 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
51 le de la curiosité littéraire ou historique. Elle pose cependant un problème que la conscience intellectuelle des chrétiens
52 mme dit Barth, une de ces questions qui nous sont posées comme autant d’accusations, et qu’il est de notre devoir d’envisager
34 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
53 us efficace de la bourgeoisie conservatrice. Elle pose devant la conscience de « l’honnête homme » un problème que toutes se
35 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
54 a lecture de ce livre, parce qu’il a le mérite de poser simplement, brutalement, une de ces grandes questions que la pensée m
55 de questions plus grossières que celles qui sont posées ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente qui dit et croi
36 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
56 oirie puissante et prophétique d’André Philip ont posé au régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un pla
57 régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la justice humaine désormais ne saurait l
37 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
58 onde où la question fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux, en y r
38 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
59 Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un re
39 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
60 de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
40 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
61 du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est posée sur Hölderlin et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage d
62 t cela existe dans le même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
41 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
63 le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose , et tous ces corridors si hauts où l’on devine à tâtons des armoires
64 à manger et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante à l’autre coin de la pièce brodait, bâillait,
65 t d’un seul vol onze grands cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le peuple effra
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
66 Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un re
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
67 t de main ; saisir la danseuse sous le bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
68 du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est posée sur Hölderlin et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage d
69 t cela existe dans le même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
70 le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose , et tous ces corridors si hauts où l’on devine à tâtons des armoires
71 à manger et à soupeser des idées qui venaient se poser devant moi. La servante à l’autre coin de la pièce brodait, baillait,
72 t d’un seul vol onze grands cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le peuple effra
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
73 errasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales. La brique e
74 né jusqu’au point désiré, pour y descendre et s’y poser . Rien ne donne une idée de l’immobilité comme ce vol sans repères en
75 ent. Ils le savaient, ils acceptaient ce fait, et posaient l’ordre en face de lui comme un défi manifestant la vocation de l’hom
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
76 de l’émotion, mais n’est-ce pas le même piège que posera l’invention, en le tournant dans l’autre sens, comme pour se souvenir
48 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
77 al de sportif plus que de puritain.) Il ralentit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui
49 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
78 la plupart du temps, et le goût des « romans qui posent des problèmes ». On appelait cela de la « littérature difficile », no
50 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
79 ogarten en particulier dans son Éthique politique pose tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage intelle
80 te pas moins non conformiste par la façon dont il pose les problèmes. Beaucoup plus « existentielle » que systématique, sa d
51 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
81 ons n’aura de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
52 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
82 nous voudrions que toutes les questions que nous poserons ici soient accueillies : avec un sérieux et un respect si peu feints
83 ompte de ce qu’elle signifie pour celui qui me la pose . Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la question, c’est un pro
84 ent à leur question, j’entends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il
85 ntends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il y a des ordres 1. C
53 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
86 exposé systématique ou historique, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
87 st-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
88 e question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
89 distinguer une évasion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
90 ion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés , hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
91 lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
92 pter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
54 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
93 ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les poser là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
55 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
94 tre révolution est ailleurs. Il est précis. Il se pose en termes historiques bien définis : c’est le problème de la destruct
56 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
95 s voyons l’essentiel de la révolution, suppose et pose la personne, définie comme l’individu engagé dans le conflit créateur
57 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
96 au sérieux les questions étranges et cruelles que poserait sinon la vie de tous les jours, — on conçoit que ce brave homme s’eff
58 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
97 l est le fondement de toute dignité humaine. Ceci posé , nous constatons immédiatement que, lorsqu’on édifie un système et un
98 e part, en vertu des évidences que nous venons de poser , ce principe ne sera jamais effectif s’il n’entre pas immédiatement e
99 mais bien celui de la personne, de l’acte qui la pose et qui l’oppose aux résistances ambiantes. Nous disons que le spiritu
59 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
100 us le coup de la question capitale qu’on voudrait poser sous cette forme : la vérité est-elle en déca ou au-delà du désespoir
60 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
101 supportable ? Telles étaient les questions que se posait , vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un village de la Suis
102 on moins inouï de la Bible, de cette Bible qui se pose comme une nouvelle énigme en face des contradictions de la vie. Souve
103 olides de notre temps. C’est pour cela qu’il peut poser les questions les plus gênantes qui soient. ⁂ On l’a bien vu récemmen
61 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
104 t les conditions actuelles de la vérité qui nous posent un problème, et non pas ses conditions « éternelles ». Nous ne penson
105 époque comme la nôtre, ce sont celles qu’il faut poser si l’on veut réellement se tirer hors d’une confusion sans précédent
62 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
106 t qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose pas ailleurs que dans le je aux prises avec le tu. Ses données me son
107 i c’est un autre homme, en face de moi, qui me la pose . Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main, à portée de
63 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
108 ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
109 crois, en définitive, la question simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
110 je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
64 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
111 giens libéraux. La question était ainsi nettement posée  : pour devenir chrétien, il fallait « rencontrer personnellement le C
112 se. Tout au contraire du critique moderne, qui se pose en juge du texte, Calvin n’admet et ne pratique qu’une « exégèse d’ob
65 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
113 t refaire un monde. L’arbre devient colonne et ne pose plus de question. Enfermé maintenant dans ses architectures, l’homme
66 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
114 t trop souvent un homme que l’étude des problèmes posés par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait. Mais q
115 és par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait. Mais que faut-il penser de ces techniques d’abstention ? ⁂ T
116 blèmes débattus dans ce livre sont de ceux qui se posent  ; non point de ceux que l’on se plaît à poser gratuitement pour esqui
117 se posent ; non point de ceux que l’on se plaît à poser gratuitement pour esquiver les choix concrets. La démarche assez sinu
67 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
118 u siècle » avec des yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette question pourtant bien naturelle : Comment un siècle peu
119 point fondamental de nos doctrines. Ceux qui nous posent la « colle » que je viens de résumer sont de deux sortes : des inquie
120 s avons à dire : Retournez la question qu’on vous pose , cessez de vous défendre, attaquez. On vous dit : « Qu’est-ce que la
68 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
121 rand mérite d’aller droit aux problèmes réels que pose ce livre, sur le plan philosophique. 14. Mais le concret, c’est l’ac
69 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
122 je poserais une question inverse de celle que je posais à l’Association Sully. Peut-on « se borner au pratique » ? Et toute a
123 ique » ? Et toute activité auprès des ouvriers ne pose-t -elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne sau
124 x équipes tient d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
125 ux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
126 eois. C’est ici la question de la tactique qui se pose , en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
70 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
127 , et dont le défaut empêchait que la question fût posée utilement. Il suffit parfois d’indiquer, de rappeler certains argumen
71 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
128 r vie. La seule question qu’il y ait donc lieu de poser est celle-ci : comment atteindre les hommes dans le concret de leur e
129 es années plus tard, une ligue réactionnaire fait poser des affiches où elle reprend des termes semblables : « Brûlez-le, brû
72 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
130 é mystérieuse de l’ironie ; contre l’histoire, il pose l’acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela va au mar
131 -t-il fait ? l’a-t-il réellement fait ? »55 Nous posons toujours la dernière question. Nous ne croyons pas à l’esprit, nous p
132 vidence ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses conditions : « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-
133 e signifie pas que les questions dernières ne s’y posent jamais, mais simplement qu’on les y noie. Les hommes préfèrent « mour
134 e » dans notre existence morale. Une question mal posée . Un regard trouble porté sur la réalité. t. « Nécessité de Kierkegaa
73 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
135 lien vivant de l’auteur avec son public. Une fois posés ces fondements spirituels d’une littérature rénovée, qu’aurions-nous
74 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
136 ite de cette Vie de Jésus, et les questions qu’il pose n’apparaissent pas moins passionnantes. Quelle fut la genèse psycholo
75 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
137 on « objet », et par là même le déshumanise. Elle pose l’homme comme un problème, et pour autant elle est bien obligée de pr
76 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
138 ur et simple d’agir et de créer, j’entends, de se poser comme auteur responsable de son acte ? Alors qu’elle ne repose que su
77 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
139 ’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de poser dans le monde des politiciens ! Si la Politique est l’art de gouverne
140 s font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se posent pas beaucoup de questions, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité
78 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
141 us laisse très perplexes, etc. » Si le lecteur se pose ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a c
142 uelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se posent . À qui se posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C
143 qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent -ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C’est ce qu’il me
79 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
144 ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
145 crois, en définitive, la question simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
146 je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
80 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
147 ons n’aura de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
81 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
148 exposé systématique ou historique, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
149 st-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
150 e question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
151 distinguer une évasion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
152 ion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés , hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
153 lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
154 pter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux a
82 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
155 X.Fascisme Une question mal posée Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’aurait i
156 e problème des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctri
83 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
157 a doctrine de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces
84 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
158 ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les poser là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
85 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
159 groupes réside d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
160 ux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
161 eois. C’est ici la question de la tactique qui se pose , en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
86 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
162 région ou à la profession dans laquelle il s’est posé . Et on le reposera sur un plan « général » (dans le cadre étatiste-ce
163 et professions dans lesquelles la question ne se posait pas — la loi créant une difficulté nouvelle. Ce petit exemple fait ap
87 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
164 ’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de poser dans le monde des politiciens. Si la Politique est l’art de gouverne
165 s font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se posent pas beaucoup de questions, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité
88 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
166 us laisse très perplexes, etc. » Si le lecteur se pose ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a c
167 uelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se posent . À qui se posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C
168 qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent -ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C’est ce qu’il me
89 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
169 ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
170 crois, en définitive, la question simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
171 je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
90 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
172 ons n’aura de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
91 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
173 exposé systématique ou historique, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
174 st-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
175 e question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
176 lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
177 pter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux a
92 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
178 XFascisme39 Une question mal posée Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’aurait i
179 e problème des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctri
93 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
180 la doctrine de Marx (anarchique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques tout à fait étrangers au but de la révolution
94 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
181 ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les poser là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
95 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
182 groupes réside d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
183 ux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
184 eois. C’est ici la question de la tactique qui se pose , en même temps que celle des institutions à construire. Le premier ma
96 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
185 la question d’en faire ou de n’en pas faire ne se pose même plus. 3. La politique, en France, revêt des formes beaucoup plus
97 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
186 lés des contingences humaines. Au contraire, nous poserons comme première condition de toute révolution vraie, que ceux qui lutt
98 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
187 de de la pensée kierkegaardienne. La question que pose cette œuvre, c’est celle de la foi, dans l’absolu. Ce n’est pas encor
188 se à des auditeurs chrétiens, à des hommes qui se posent sérieusement la question : en quoi ma foi doit-elle transformer ma vi
189 c’est à chaque instant de la vie de la foi que se posent les questions dernières. Mais cette vision de l’homme sans cesse mis
99 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
190 la perfection dans la banalité aimable. Son livre pose une seule question : quel dessein vaguement subversif peut bien pours
100 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
191 e qui choisit son homme. La seule question qui se pose , dès lors, c’est de savoir comment l’exercice d’une vocation peut êtr