1 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
1 matière religieuse » au dire de sa belle-sœur, la princesse palatine, se laisse facilement convaincre. D’ailleurs, les jésuites o
2 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
2 cle perpétuel de sa sensibilité. Il y a encore la princesse , le témoin intelligent et un peu ironique des cours d’Europe à la vei
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3 a vie à l’étranger n’ait point ébranlé sa foi, la princesse répond : « Je ne crois pas, j’espère que non ; bien qu’il soit diffic
4 appuyé dès qu’il s’agit des vieilles tantes de la Princesse , chargées ici de représenter deux églises anglaises. Ces deux respect
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 foule menaçante se pressait autour du char de la princesse qu’on menait au bûcher. Alors vinrent d’un seul vol onze grands cygne
6 des ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la princesse jette sur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses mains, et vo
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 foule menaçante se pressait autour du char de la princesse qu’on menait au bûcher. Alors vinrent d’un seul vol onze grands cygne
8 des ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la princesse jette sur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses mains, et vo
6 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
9 disait avec beaucoup de simplicité cette vieille princesse russe à qui l’on racontait que sa maison de campagne, aux environs de
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
10 cartes postales en couleur : soir de Capri, jeune princesse peignant à l’aquarelle, baisers dans les jardins pendant le bal, — on
8 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
11 utres, s’évanouissent. Le Tzigane peut enlever la princesse , le mécano épouser l’héritière87. De même, le Prix de Beauté a quelqu
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
12 d’avouer son nom et l’origine de son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le guérit. C’est le Prologue. Quelques années pl
13 n est soigné de nouveau par Iseut. Un jour, cette princesse découvre que le blessé n’est autre que le meurtrier de son oncle. Ell
14 eauté du jeune homme, à ce moment.) Tristan et la princesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chal
15 feste, dans le comportement du chevalier et de la princesse , une exigence ignorée d’eux — et peut-être du romancier — mais plus p
16 , « la plus belle ». Lui, le chevalier ; elle, la princesse , etc. Comment concevoir une affection humaine entre deux types à ce p
10 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
17 elle s’évanouit avec l’aube. Ailleurs, c’est la «  princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependant M. Jeanroy s’inquiète de trou
11 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
18 rc — l’autorité constituée — l’envoie chercher la princesse lointaine qu’il réserve à son seul plaisir, Tristan ignore que l’aven
12 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
19 utres, s’évanouissent. Le Tzigane peut enlever la princesse , le mécano épouser l’héritière187. De même, le Prix de Beauté a quelq
20 ure définition d’Iseut. L’amour-passion veut « la princesse lointaine » tandis que l’amour chrétien veut « le prochain ». 189. L
13 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
21 la femme de Girard. Lorsque Charles voit les deux princesses , il s’éprend d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un long débat,
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
22 d’avouer son nom et l’origine de son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le guérit. C’est le Prologue. Quelques années pl
23 n est soigné de nouveau par Iseut. Un jour, cette princesse découvre que le blessé n’est autre que le meurtrier de son oncle. Ell
24 eauté du jeune homme, à ce moment.) Tristan et la princesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chal
25 feste, dans le comportement du chevalier et de la princesse , une exigence ignorée d’eux — et peut-être du romancier — mais plus p
26 , « la plus belle ». Lui, le chevalier ; elle, la princesse , etc. Comment concevoir une affection humaine entre deux types à ce p
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
27 elle s’évanouit avec l’aube. Ailleurs, c’est la «  princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependant M. Jeanroy s’inquiète de trou
28 mourir dans les bras de la comtesse de Tripoli, «  princesse lointaine » qu’il aime sans l’avoir jamais vue. Et Joachim de Flore a
16 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
29 rc — l’autorité constituée — l’envoie chercher la princesse lointaine qu’il réserve à son seul plaisir, Tristan ignore que l’aven
17 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
30 ciales s’évanouissent. Le Tzigane peut enlever la princesse , le mécano épouser l’héritière204. De même, le Prix de Beauté a quelq
31 ure définition d’Iseut. L’amour-passion veut « la Princesse lointaine » tandis que l’amour chrétien veut « le prochain ». 206. L
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
32 d’avouer son nom et l’origine de son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le guérit. C’est le Prologue. Quelques années pl
33 n est soigné de nouveau par Iseut. Un jour, cette princesse découvre que le blessé n’est autre que le meurtrier de son oncle. Ell
34 eauté du jeune homme, à ce moment.) Tristan et la princesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chal
35 feste, dans le comportement du chevalier et de la princesse , une exigence ignorée d’eux — et peut-être du romancier — mais plus p
36 , « la plus belle ». Lui, le chevalier ; elle, la princesse , etc. Comment concevoir une affection humaine entre deux types à ce p
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
37 elle s’évanouit avec l’aube. Ailleurs, c’est la «  princesse lointaine » qu’il veut aimer. Cependant M. Jeanroy s’inquiète de trou
38 mourir dans les bras de la comtesse de Tripoli, «  princesse lointaine » qu’il aime sans l’avoir jamais vue. Et Joachim de Flore a
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
39 rc — l’autorité constituée — l’envoie chercher la princesse lointaine qu’il réserve à son seul plaisir, Tristan ignore que l’aven
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
40 ciales s’évanouissent. Le Tzigane peut enlever la princesse , le mécano épouser l’héritière190. De même, le Prix de Beauté a quelq
41 ure définition d’Iseut. L’amour-passion veut « la Princesse lointaine » tandis que l’amour chrétien s’adresse au « prochain ».
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
42 la femme de Girard. Lorsque Charles voit les deux princesses , il s’éprend d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un long débat,
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
43 foule menaçante se pressait autour du char de la princesse qu’on menait au bûcher. Alors vinrent d’un seul vol onze grands cygne
44 des ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la princesse jette sur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses mains, et vo
24 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
45 sades (Jean de Plan Carpin), quelques mariages de princesses russes à des souverains occidentaux, français ou danois, et les tenta
25 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
46 mourir dans les bras de la comtesse de Tripoli, «  princesse lointaine » qu’il aime sans l’avoir jamais vue. Et Joachim de Flore a
26 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
47 Voilà qui accroche. Si ce n’est de vedettes, de princesses , de jeunesse, parlons d’une capitale, le grand public aime ça. L’unio
27 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
48 , les touffes parfumées du jaune safran ; mais la princesse , cueillant à pleines mains les roses resplendissantes à la couleur de
28 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
49 les premiers à donner à ce continent le nom de la princesse enlevée par leur dieu aux Phéniciens, précisément : d’après Eustathe,
29 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
50 premières phrases où il compare la France à la «  princesse des contes… vouée à une destinée éminente et exceptionnelle », — fût-
30 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
51 Terre, le véritable objet du désir de Tristan, sa princesse lointaine et son « amour de loin » comme parlait le troubadour Jaufré
31 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
52 premières phrases où il compare la France à la «  princesse des contes…, vouée à une destinée éminente et exceptionnelle », — fût
32 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
53 , les touffes parfumées du jaune safran ; mais la princesse , cueillant à pleines mains les roses resplendissantes à la couleur de
54 les premiers à donner à ce continent le nom de la princesse enlevée par leur dieu aux Phéniciens, précisément : d’après Eustache,
33 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
55 es poèmes adressés à la comtesse de Tripoli, la «  princesse lointaine ». Le roman de Tristan et Iseut, un peu plus tard, va fixer
34 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
56 nne de Liane de Pougy — devenue mondiale et vraie princesse — est l’un des épisodes les plus proustiens du livre. Mais voici beau
35 1970, Articles divers (1970-1973). La passion en 1970, est-ce possible ? (mai 1970)
57 es tabous ; les plans sociaux sont nivelés et les princesses épousent des photographes ; le mariage, affaibli par la relative faci
36 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
58 es premières phrases où il l’a peinte « telles la princesse des contes ou la madone des fresques… créée pour des succès achevés o
37 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
59 des Grecs emporta de vos rives une jeune et belle princesse , fille d’un roi de Tyr, qui devait donner son nom à notre continent.
38 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
60 au féminin, comme on dit Suissesse pour Suisse et princesse pour prince ? Bougre n’est-il pas démodé ? Peut-on risquer Yougoslavo
39 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
61 inquisicio amoris) où se reconnaît le thème de la princesse lointaine. — le désir pour une Dame jamais vue, qu’on ne connaît pas
40 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
62 Terre, le véritable objet du désir de Tristan, sa princesse lointaine et son « amour de loin » comme parlait le troubadour Jaufré
41 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
63 ousiasme et d’élévation spirituelle ; amour de la princesse lointaine, rappelant « l’amor de lonh » de Jaufré Rudel pour la comte
64 main soir ». Elle est toujours la femme rêvée, la princesse lointaine, la fée Viviane ou la Velléda des Martyrs, celle qui se prê
42 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
65 « De tout temps, la France ne fut pour moi qu’une princesse de légende vouée à des malheurs exemplaires. »ba Et de même que Trist
66 fectif imagine naturellement la France, telles la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une dest
43 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
67 rédaction de ses mémoires sur la France, cette «  Princesse de légendes », cette Iseut que, tel Tristan, il n’aime jamais autant