1
ce qu’il importe de sauvegarder, avant tout autre
principe
. Jusqu’ici, rien d’original dans cette conception simpliste du monde,
2
e les rares passages où il expose directement les
principes
de sa « révolution » semblent au contraire tirés de quelque terne man
3
rne manuel de philosophie ou de psychanalyse. Ces
principes
? Ils se laissent hélas résumer en un court article de dictionnaire :
4
l’existence d’une littérature fondée sur de tels
principes
? Le Rêve est la seule matière poétique. Dans le monde du Rêve autant
5
» cette mystification est dans la logique de ses
principes
, mais je lui conteste le droit de faire suivre son manifeste de prose
6
qu’une supériorité provisoire et qui porte en son
principe
le germe de sa destruction.) Il y a enfin ceux qui refondent et combi
7
tilshommes archéologiques et les vieilles dames à
principes
. Voilà, n’est-ce pas, un amusant sujet de conte moral, avec ses perso
8
etient les éléments de la personnalité moins le «
principe
unificateur » — que la psychologie freudienne et proustienne a porté
9
dez, « retient tous les éléments du moi, moins le
principe
unificateur ». De quelques sophismes libérateurs La fonction de
10
diquer aucun endroit par où elle pèche contre les
principes
chers à l’auteur du Secret professionnel et de la préface des Mariés
11
ecret professionnel et de la préface des Mariés —
principes
dont l’énoncé brillant et définitif restera l’un des titres les plus
12
dans un décor très pauvre, légèrement coloré. Le
principe
est simple : « Je vous aime » se traduit par trois ou quatre claques
13
urdes, vivants, libres. Avec la poésie contre vos
principes
. Avec l’esprit contre votre raison. Et avec Aragon lorsqu’il vous cri
14
ous faut des entrepreneurs de tempêtes. Un grand
principe
de violence commandait à nos mœurs. … et nous portant dans nos action
15
imisme, tyranniques évidences, ordre et désordre,
principes
de Descartes, mathématiques aux pinces de crabe, examens de conscienc
16
nt vous vous êtes tellement amusés avec vos chers
principes
. Révolution, ce n’est plus détruire, ce n’est plus combattre, c’est
17
n a compris tout le parti qu’on pouvait tirer des
principes
cubistes dans un art dont la genèse même est cubiste en quelque sorte
18
ir raison. Je sens aussi bien que vous ce que mes
principes
peuvent avoir de « bien jeune », de banal presque, et, pis, d’agréabl
19
norance systématique, le mépris enfin de tous les
principes
qui sont à la base de la société même. » Ceci est tiré d’un livre r
20
nte Raison utilitaire au service des sacro-saints
Principes
au nom desquels tout se ligue aujourd’hui pour anéantir la seule chos
21
n et mon cerveau pris au défaut de sa carapace de
principes
et d’évidences opaques. Nous sortîmes de l’Opéra, Gérard de Nerval et
22
voix s’élève pour mettre en doute l’excellence du
principe
de l’instruction publique, on crie sur tous les bancs : « Alors, vous
23
tte lâcheté devant la discussion précise de leurs
principes
par quoi se signalent bien souvent nos tolérants par inertie, je ne s
24
ité avec laquelle ils brouillent les faits et les
principes
. Tourmentés par les scrupules de leur conscience libérale, ils fuient
25
donc ce conformisme indispensable aux « immortels
principes
». Je n’allai pas tout de suite jusqu’à les mettre en doute : mais un
26
mais un jour je compris que ce n’étaient que des
principes
. Et ce fut ma seconde découverte : ce monde simplifié, si évident, si
27
des instituteurs, ou bien préexiste-t-il dans les
principes
mêmes de l’École, et attire-t-il les petits bourgeois comme le portra
28
est temps que je fasse passer un petit examen aux
principes
de cette institution passionnément détestée. Vous allez voir comme il
29
ruction publique, ceux que n’atteignent dans leur
principe
ni les réformes de détail ni les modalités locales de réalisations pr
30
ls n’en meurent pas. Les examens Ce sont en
principe
des « contrôles » comparables à ceux que l’on établit lors des grande
31
e même temps. Contentons-nous de remarquer que ce
principe
est à la base du système ; qui repose donc sur une tranquille méconna
32
ont subies. Le dilemme J’ai indiqué que les
principes
de l’instruction publique ne coïncident qu’accidentellement avec ceux
33
e. D’autre part, il est aisé de voir que tous ces
principes
dérivent nécessairement du fait que l’école est publique, obligatoire
34
lissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des
principes
tirés de l’observation des enfants, c’est-à-dire : en contradiction s
35
eure de réformer l’école primaire sans toucher au
principe
de l’instruction publique. Les réformes qu’ils ont proposées jusqu’ic
36
e ces jeunes gens qui appliquent avec ferveur les
principes
de l’école libre, qui se moquent des programmes, et dont les classes
37
peu de chaleur d’âme pour amorcer le dégel de ces
principes
, et ce peut être le signal de la grande débâcle printanière. Il n’y a
38
e rationalisme-là triomphe non seulement dans les
principes
démocratiques, et dans ceux de l’École, mais encore dans toute la con
39
voix s’élève pour mettre en doute l’excellence du
principe
de l’instruction publique, on crie sur tous les bancs : « Alors, vous
40
tte lâcheté devant la discussion précise de leurs
principes
par quoi se signalent bien souvent nos tolérants par inertie, je ne s
41
ité avec laquelle ils brouillent les faits et les
principes
. Tourmentés par les scrupules de leur conscience libérale, ils fuient
42
donc ce conformisme indispensable aux « immortels
principes
». Je n’allai pas tout de suite jusqu’à les mettre en doute : mais un
43
mais un jour je compris que ce n’étaient que des
principes
. Et ce fut ma seconde découverte : ce monde simplifié, si évident, si
44
des instituteurs, ou bien préexiste-t-il dans les
principes
mêmes de l’École, et attire-t-il les petits bourgeois comme le portra
45
est temps que je fasse passer un petit examen aux
principes
de cette institution passionnément détestée. Vous allez voir comment
46
ruction publique, ceux que n’atteignent dans leur
principe
ni les réformes de détail ni les modalités locales de réalisations pr
47
en meurent pas. 3.b. Les examens Ce sont en
principe
des « contrôles » comparables à ceux que l’on établit lors des grande
48
e même temps. Contentons-nous de remarquer que ce
principe
est à la base du système ; qui repose donc sur une tranquille méconna
49
ubies. 3.h. Le dilemme J’ai indiqué que les
principes
de l’instruction publique ne coïncident qu’accidentellement avec ceux
50
e. D’autre part, il est aisé de voir que tous ces
principes
dérivent nécessairement du fait que l’école est publique, obligatoire
51
lissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des
principes
tirés de l’observation des enfants, c’est-à-dire : en contradiction s
52
eure de réformer l’école primaire sans toucher au
principe
de l’instruction publique. Les réformes qu’ils ont proposées jusqu’ic
53
e ces jeunes gens qui appliquent avec ferveur les
principes
de l’école libre, qui se moquent des programmes et dont les classes s
54
peu de chaleur d’âme pour amorcer le dégel de ces
principes
, et ce peut être le signal de la grande débâcle printanière. Il n’y a
55
e rationalisme-là triomphe non seulement dans les
principes
démocratiques, et dans ceux de l’École, mais encore dans toute la con
56
sément. Ce qui manque à l’homme moderne, c’est un
principe
d’harmonie qui lui garantisse le caractère « d’humanité » de ses déma
57
téresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de
principes
définis — je ne dis pas de cadres — qui lui servent de thèmes dans se
58
plus vite de cet horrible endroit et de jeter les
principes
philanthropiques à tous les vents ; de rentrer bien vite dans sa mais
59
amais de démolir, mais bien plutôt de dénoncer un
principe
destructeur. C’est au nom d’une foi positive que l’on attaque ici le
60
rotestantisme, p. 102, et tout le chapitre sur le
Principe
d’humilité. Également : Jean de Saussure : À l’École de Calvin, passi
61
e debout, il serait bon d’examiner rapidement les
principes
qui lui permirent de durer malgré la qualité médiocre des matériaux.
62
rer malgré la qualité médiocre des matériaux. Ces
principes
constituaient l’instruction réelle, sinon concertée, de la bâtisse, e
63
ent la jeunesse au communisme, en généralisant le
principe
de l’action collective. 4. Les attaques de Kierkegaard contre la phi
64
comme devant la « révélation divine du plus haut
principe
de la morale », tout en vénérant également le soleil, comme une « rév
65
uis un honnête homme, fermement attaché aux vieux
principes
libéraux, ennemi de toute violence, et qui ne ferait pas de mal à une
66
moindre petit coup de matraque ? 3. « … aux vieux
principes
… ». Les vieux principes libéraux contre-révolutionnaires ont le même
67
traque ? 3. « … aux vieux principes… ». Les vieux
principes
libéraux contre-révolutionnaires ont le même âge que les canapés Loui
68
l s’est défendu par des moyens qui trahissent ses
principes
. (M. Chiappe.). 5. « … ennemi de toute violence… ». L’ennemi de la vi
69
rreurs n’y puissent trouver place. Rappelons deux
principes
qui furent énoncés ici même2 : 1° une Révolution est sanglante dans l
70
e civilisation dont on refuserait de dénoncer les
principes
ou plutôt la carence de principes directeurs dignes de ce nom ? Serai
71
de dénoncer les principes ou plutôt la carence de
principes
directeurs dignes de ce nom ? Serait-ce que la mauvaise humeur du bou
72
it plus efficace si on la sentait inspirée par un
principe
spirituel capable de rendre une force offensive à cette personne huma
73
steurs et quelques écrivains vont faire appel aux
principes
suprêmes (c’est-à-dire fondamentaux) de l’éthique, devant huit offici
74
our accueillaient certaines tirades sur le fameux
principe
de la liberté de conscience. Cela prenait « dans cette enceinte » un
75
3° Les actes politiques déduits par accident des
principes
fondamentaux du régime sont en contradiction formelle avec les actes
76
par voie de faits — si l’on peut dire — des mêmes
principes
. Sangnier devait relever l’anomalie : Briand met la guerre hors-la-lo
77
’aucune sorte. Qui trompe-t-on ici ? Les « grands
principes
» de 89 ou les commanditaires de la prochaine dernière ? Il reste que
78
a seule logique de la décomposition nécessaire de
principes
faux en faits absurdes, le geste de Martin, détaché de ses considéran
79
en près d’abandonner. Il nous est indifférent, en
principe
, de nous opposer à telles idées courantes, ou de confirmer telles aut
81
cherche à la supprimer, est antichrétienne en son
principe
. Ainsi se trouvent définies les trois hérésies politiques que nous av
82
t de salut qu’en la foi, qui transcende le monde.
Principe
de l’individualisme anarchique ; point de vue qui rend absurde le fai
83
e que cela nous est à jamais impossible. C’est le
principe
de cet activisme que les Européens trouvent commode de nommer « améri
84
té d’une chose si nécessaire. Telle est, dans son
principe
, la seule attitude politique que puisse adopter le protestant : la po
85
’entre eux qui perdaient la foi — c’est-à-dire le
principe
animateur — n’en continuaient pas moins d’agir en vertu du principe d
86
— n’en continuaient pas moins d’agir en vertu du
principe
d’inertie (tout corps en mouvement tend à conserver son mouvement). C
87
et nunc. Peut-être.) Je ne veux parler ici que du
principe
de notre politique ; il est bien clair qu’elle condamne, dans la mesu
88
e statique des relations humaines, d’un visible «
principe
d’union » (terme de l’encyclique Quadragesimo anno), tout à fait étra
89
ens, pour nous, que parce qu’il y a la foi. b. «
Principe
d’une politique du pessimisme actif », Hic et Nunc, Paris, n° 1, nove
90
n et mon cerveau pris au défaut de sa carapace de
principes
et d’évidences opaques. Nous sortîmes de l’Opéra, Gérard de Nerval et
91
l’autorité réelle au bénéfice, et le respect des
principes
aux intérêts. Si jamais la noblesse a valu quelque chose, c’est quand
92
faire ? le chrétien n’a donc rien à répondre, en
principe
. Il ne peut que renvoyer à la seule force d’où provient l’ordre vérit
93
? Une économie de travail. Le machinisme est, en
principe
, destiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominan
94
sance de nos trahisons, nous avons à restaurer le
principe
permanent de notre grandeur, la revendication personnaliste. Nous avo
95
u conflit permanent ; qu’il y ait au contraire un
principe
de dégradation éthique dans toute recherche de la synthèse et plus sû
96
actualité, ce refus de toutes les synthèses et ce
principe
de synthèse qu’il contient. Accusation qui ne porte pas sur le détail
97
veau. D’une part nous sommes convaincus que si le
principe
de toute liberté humaine ne se trouve pas à l’origine d’un système, i
98
vertu des évidences que nous venons de poser, ce
principe
ne sera jamais effectif s’il n’entre pas immédiatement en action. Nou
99
dont l’acte ordonnateur n’a pas encore détruit le
principe
agissant. Une révolution s’accomplit matériellement dans la mesure où
100
la résistance : elle va d’autant plus loin que ce
principe
est plus violent. Elle ira jusqu’au bout des faits, si nous restons a
101
s nous fuyons toujours — et c’est là justement le
principe
de notre inquiétude. « Nos auditeurs attendent de nous que nous les c
102
plus quotidiens, les plus angoissants. Le fameux
principe
du tiers exclu est nié par l’angoisse de tout homme qui tente d’assum
103
e et un tu par un lien de responsabilité7. En son
principe
, l’erreur fasciste consiste à considérer cette communion non plus com
104
association humaine : on s’unit par la force d’un
principe
transcendant, — et tant qu’il règne on peut mépriser la police ; puis
105
ance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun
principe
qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous posons la question
106
on découvre dans la société humaine repose sur le
principe
démissionnaire par excellence du déterminisme, qui peut se formuler a
107
sement de ces mythes. On a cru trouver en eux les
principes
d’une communauté nouvelle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y
108
’excite pas sur l’idée de sécurité. Il demande un
principe
de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix n’est pas u
109
ster, une fois de plus, sur cette absence de tout
principe
vivant d’unité et d’union, qui est la marque de notre temps, et la ca
110
Considérer l’homme en tant qu’individu abstrait (
principes
de 89 — marxisme) et fonder sur cet individu toutes les institutions,
111
té avec l’homme concret, n’ont pas compté avec le
principe
de tout conflit, et sont sans forces contre les conflits qui surgisse
112
sait en effet, dans notre monde tel qu’il est, un
principe
entre tous néfaste : celui de la comparaison perpétuelle. À qui falla
113
i comptent avec l’homme concret, comptent avec le
principe
de tout conflit, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds p
114
on d’une part, et la fédération de l’autre.) Les
principes
qui sont à la base de l’économie et de la vie politique ON sont ident
115
age de M. Dominicé s’inspire évidemment des mêmes
principes
exégétiques. Certes, l’auteur n’est pas de ceux qui conçoivent le com
116
couper les arbres et peupler les déserts ; sur le
principe
animateur des choses, elle est sans prise. Elle ne règne vraiment que
117
s d’impressionner certain public au détriment des
principes
dont elles procèdent, et qui sont à mes yeux beaucoup plus graves et
118
pour nous, se confondre avec un progrès de salut.
Principe
d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkegaard résume
119
sar. Elles sont en singulière consonance avec les
principes
directeurs de deux mouvements de jeunesse : Esprit et l’Ordre nouveau
120
veau. Cherchons à voir d’abord ce qui les unit en
principe
: 1. Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustic
121
r service. Il est facile d’indiquer rapidement le
principe
de cohésion de ces trois ordres. Dans l’ordre philosophique, l’Ordre
122
ien pensante. Si je me suis un peu étendu sur les
principes
spirituels qui animent l’activité d’Esprit et de L’Ordre nouveau, ce
123
e cette enquête en marquant la coïncidence de ces
principes
et des doctrines que nous pouvons déduire de la Réforme. Esprit est
124
si pour notre action, nous sépare, et non pas nos
principes
de départ. l. « Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le pr
125
n même temps les méfaits du désordre établi et le
principe
vivant du nouvel ordre. Ce pouvoir, nous le connaissons, dans la mesu
126
dans les partis, dans l’État ou dans la nation un
principe
de grandeur qui n’est plus que dans l’homme. Mais si nous trouvons ce
127
t plus que dans l’homme. Mais si nous trouvons ce
principe
, nous aurons trouvé du même coup la mesure du monde nouveau. Cette me
128
mesure concrète, cette référence universelle, ce
principe
de grandeur que nous proposons tous ici, c’est l’homme considéré dans
129
ends, par sens social, la connaissance vivante du
principe
spirituel, affectif et communautaire de la nation. Qu’est-ce qu’un pl
130
qu’un plan de gouvernement qui paraît ignorer ce
principe
? Qui ne le nomme pas, qui n’essaie même pas de le trouver, qui en fa
131
’est-à-dire la nation elle-même. Or c’est bien le
principe
d’une communauté nouvelle, ce ferment révolutionnaire, qui fait défau
132
aleur sont très variables. Il semble qu’un de ses
principes
soit l’élimination de tout ce qui, dans le texte biblique, paraît en
133
que est beaucoup plus perfide : elle consiste, en
principe
, à exiger de l’intellectuel une adhésion sentimentale, un enthousiasm
134
ue à hauteur d’homme, c’est une politique dont le
principe
de cohérence s’appelle la responsabilité de la personne humaine. En d
135
ance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun
principe
qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous posons la question
136
on découvre dans la société humaine repose sur le
principe
démissionnaire par excellence du déterminisme, qui peut se formuler a
137
sement de ces mythes. On a cru trouver en eux les
principes
d’une communauté nouvelle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y
138
rincipale de prévoir. Il y a là une opposition de
principe
qui me paraît irréductible. Si chacun prétend suivre sa vocation, les
139
l n’y a pas à la base d’une doctrine politique un
principe
d’actualité, nulle « période de transition » ne sera capable de l’eng
140
pour nous, se confondre avec un progrès du salut.
Principe
d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkegaard résume
141
cherche à la supprimer, est antichrétienne en son
principe
. Ainsi se trouvent définies les trois « hérésies politiques ». 1° L’h
142
t de salut qu’en la foi, qui transcende le monde.
Principe
de l’individualisme anarchique ; point de vue qui rend absurde le fai
143
e que cela nous est à jamais impossible. C’est le
principe
de cet activisme que les Européens trouvent commode de nommer « améri
144
té d’une chose si nécessaire. Telle est, dans son
principe
, la seule attitude politique que puisse adopter le chrétien : la poli
145
’entre eux qui perdaient la foi — c’est-à-dire le
principe
animateur —, n’en continuaient pas moins d’agir en vertu du principe
146
—, n’en continuaient pas moins d’agir en vertu du
principe
d’inertie(tout corps en mouvement tend à conserver son mouvement). C’
147
e statique des relations humaines, d’un visible «
principe
d’union » (terme de l’encyclique Quadragesimo anno), tout à fait étra
148
monde, les hommes ont toujours appelé « dieu » le
principe
de cohérence de leur vie sociale et privée. Le fascisme aboutit donc
149
e par la force, à tous les domaines de la vie, un
principe
de cohérence étroit, pauvre et stérilisant. Toutes les méthodes fasci
150
tant que méthode d’extension, par la force, d’un
principe
de soi sans puissance : c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise
151
s’oppose à l’esprit unitaire et qui sauvegarde le
principe
fédéraliste. Dans l’ordre politique, ce sont les groupes « personnali
152
’excite pas sur l’idée de sécurité. Il demande un
principe
de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix n’est pas u
153
ster, une fois de plus, sur cette absence de tout
principe
vivant d’unité et d’union, qui est la marque de notre temps, et la ca
154
Considérer l’homme en tant qu’individu abstrait (
principes
de 89 — marxisme) et fonder sur cet individu toutes les institutions,
155
té avec l’homme concret, n’ont pas compté avec le
principe
de tout conflit, et sont sans forces contre les conflits qui surgisse
156
sait en effet, dans notre monde tel qu’il est, un
principe
entre tous néfaste : celui de la comparaison perpétuelle. À qui falla
157
i comptent avec l’homme concret, comptent avec le
principe
de tout conflit, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds p
158
r ici qu’à définir une attitude spirituelle. Les
principes
qui seront à la base de l’économie et de politique nouvelles sont ide
159
bien armé qu’il soit, s’écroule, dès lors que le
principe
de son pouvoir se montre défaillant. Car, en fait comme en droit, le
160
? Une économie de travail. Le machinisme est, en
principe
, destiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominan
161
eau . Cherchons à voir d’abord ce qui les unit en
principe
: 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustic
162
r service. Il est facile d’indiquer rapidement le
principe
de cohésion de ces trois ordres. Dans l’ordre philosophique, L’Ordre
163
e comporte ne sont pas l’« aboutissement » de ses
principes
sur le plan des réalisations, — moyennant une série de compromis et d
164
bien au contraire, l’expression immédiate de ces
principes
. Ce que nous combattons de toute notre violence, c’est la fameuse sép
165
s d’impressionner certain public au détriment des
principes
dont elles procèdent, et qui sont à mes yeux beaucoup plus graves et
166
que est beaucoup plus perfide : elle consiste, en
principe
, à exiger de l’intellectuel une adhésion sentimentale, un enthousiasm
167
ue à hauteur d’homme, c’est une politique dont le
principe
de cohérence s’appelle la responsabilité de la personne humaine. En d
168
ance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun
principe
qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous posons la question
169
on découvre dans la société humaine repose sur le
principe
démissionnaire par excellence du déterminisme, qui peut se formuler a
170
sement de ces mythes. On a cru trouver en eux les
principes
d’une communauté nouvelle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y
171
rincipale de prévoir. Il y a là une opposition de
principe
qui me paraît irréductible. Si chacun prétend suivre sa vocation, les
172
n’y a pas, à la base d’une doctrine politique un
principe
d’actualité, nulle « période de transition » ne sera capable de l’eng
173
pour nous, se confondre avec un progrès du salut.
Principe
d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkegaard résum
174
cherche à la supprimer, est antichrétienne en son
principe
. Ainsi se trouvent définies les trois « hérésies politiques ». 1° L’h
175
t de salut qu’en la foi, qui transcende le monde.
Principe
de l’individualisme anarchique ; point de vue qui rend absurde le fai
176
e que cela nous est à jamais impossible. C’est le
principe
de cet activisme que les Européens trouvent commode de nommer « améri
177
té d’une chose si nécessaire. Telle est, dans son
principe
, la seule attitude politique que puisse adopter le chrétien : la poli
178
’entre eux qui perdaient la foi — c’est-à-dire le
principe
animateur — n’en continuaient pas moins d’agir en vertu du principe d
179
— n’en continuaient pas moins d’agir en vertu du
principe
d’inertie (tout corps en mouvement tend à conserver son mouvement). C
180
monde, les hommes ont toujours appelé « dieu » le
principe
de cohérence de leur vie sociale et privée. Le fascisme aboutit donc
181
e par la force, à tous les domaines de la vie, un
principe
de cohérence étroit, pauvre et stérilisant. Toutes les méthodes fasci
182
tant que méthode d’extension, par la force, d’un
principe
de soi sans puissance : c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise
183
s’oppose à l’esprit unitaire et qui sauvegarde le
principe
fédéraliste. Dans l’ordre politique, ce sont les groupes « personnali
184
’excite pas sur l’idée de sécurité. Il demande un
principe
de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix n’est pas u
185
ster, une fois de plus, sur cette absence de tout
principe
vivant d’unité et d’union, qui est la marque de notre temps, et la ca
186
Considérer l’homme en tant qu’individu abstrait (
principes
de 89) et fonder sur cet individu toutes les institutions, et la mora
187
té avec l’homme concret, n’ont pas compté avec le
principe
de tout conflit, et sont sans forces contre les conflits qui surgisse
188
sait en effet, dans notre monde tel qu’il est, un
principe
entre tous néfaste : celui de la comparaison perpétuelle. À qui falla
189
i comptent avec l’homme concret, comptent avec le
principe
de tout conflit, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds p
190
r ici qu’à définir une attitude spirituelle. Les
principes
qui seront à la base de l’économie et de politique nouvelles sont ide
191
bien armé qu’il soit, s’écroule, dès lors que le
principe
de son pouvoir se montre défaillant. Car, en fait comme en droit, l’a
192
? Une économie de travail. Le machinisme est, en
principe
, destiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominan
193
veau. Cherchons à voir d’abord ce qui les unit en
principe
: 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustic
194
r service. Il est facile d’indiquer rapidement le
principe
de cohésion de ces trois ordres. Dans l’ordre philosophique, L’Ordre
195
st-ce que la politique ? 1. La politique est en
principe
ce qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la cité n’a donc le
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ment de leur activité constitue un obstacle et un
principe
de mort pour l’épanouissement et l’exercice de la personne. Car la pe
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sation. Par « mesure », nous voulons désigner le
principe
normatif d’une civilisation ; non point toujours son principe officie
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matif d’une civilisation ; non point toujours son
principe
officiel, mais son principe effectivement puissant, et honoré de sacr
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on point toujours son principe officiel, mais son
principe
effectivement puissant, et honoré de sacrifices quotidiens. C’est ain
200
re vivante, ce n’est pas un étalon fixe. C’est un
principe
dynamique, c’est une tension permanente et féconde. Nous voyons aussi
201
raire infiniment vivante : car la personne est un
principe
universel, et quand bien même tous les hommes seraient devenus des pe
202
r une « personnalisation » infinie de l’humanité.
Principe
de la véritable « démocratie » culturelle : une élite dont le sens et
203
ique se recréerait parallèlement en vertu du même
principe
. Ils travailleraient en toute confiance dans un ensemble organiquemen
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ent, je me suis attaché à définir, plutôt que les
principes
particuliers d’une étude physiognomonique, la vision que toute étude
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taire, j’indiquerai l’ordre de la marche. Premier
principe
: Tout ce qui est réel est moteur, et donc informateur ou créateur de
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idées en tant qu’agies, — sur les formes. Second
principe
: Une forme ne peut pas être « expliquée » par le recours à ces abstr
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iquement et concrètement, par d’autres formes. Le
principe
dialectique qui sert de guide dans le monde physionomique est celui d
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aniaque de l’unité —, on est fondé à dire que les
principes
qui furent à l’origine de l’édit, clairement manifestés par son « app
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ement le problème, et à formuler, si possible, le
principe
critique qui nous rappellera constamment la vraie nature, le caractèr
210
! Et non pas pour la condamner ou la nier dès le
principe
! Car je reconnais avec vous qu’il faut d’abord l’avoir éprouvée jusq
211
de la vocation du chrétien vous ait paru, dès le
principe
, assez abstraite. Me voilà bien loin, pensez-vous, des problèmes conc
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sur l’exemple desquels je vais conclure. Le grand
principe
qui anime ces groupes, celui de la revue Esprit ou celui de L’Ordr
213
re de plusieurs autres moins notoires, — le grand
principe
qui les anime, c’est la primauté de la personne. — L’expression paraî
214
s dans la cité : dénoncer le capitalisme avec son
principe
immoral de la spéculation et du commerce de l’argent ; combattre la m
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ait, c’est le seul mouvement qui réponde, dès son
principe
, aux exigences de notre vocation. Ce n’est pas une politique chrétien
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politique. C’est un ordre, une chevalerie ! Et le
principe
de cet ordre nouveau n’est autre que celui de la vocation personnelle
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tre que celui de la vocation personnelle. Oui, le
principe
animateur et dynamique qui fonde tout le mouvement personnaliste, c’e
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n, c’est une science de la guérison fondée sur le
principe
hippocratique des similia similibus, principe qu’on retrouve à la bas
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le principe hippocratique des similia similibus,
principe
qu’on retrouve à la base de l’homéopathie moderne, du traitement par
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maximum de spiritualisme distingué. Le culte des
principes
en soi : voilà ce qu’il faut au régime des requins. La preuve en est
221
ssé, au sens subtil où il l’entend, c’est nier en
principe
que l’esprit soit responsable de ce qui se passe dans le monde. C’est
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arnelles et temporelles, à s’oublier en Dieu, son
principe
». La question est alors de savoir s’il existe une mystique vraiment
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« intellectuels » qui se perdent à rechercher les
Principes
d’un ordre nouveau. « Voyez net. Pensez simple. Soyez des réalisateur
224
vrier. Ce serait ici le lieu de rappeler le grand
principe
tactique et doctrinal — ces deux aspects restant inséparables — formu
225
t l’amorce de ce que nous appelons la dichotomie,
principe
de notre service civil. Nous pensons avoir été plus loin que la simpl
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s’acquitter de la sorte de tout ce qu’il doit, en
principe
, à César. Sans préjudice d’une prise de position occasionnelle en fav
227
r époque et de leur formation ? Par la Bible ? En
principe
, oui. Mais le principe a beau être affirmé en droit, il est en fait n
228
mation ? Par la Bible ? En principe, oui. Mais le
principe
a beau être affirmé en droit, il est en fait négligé, et à tel point
229
our assurer l’ordre et le pain du corps (c’est le
principe
!). La liberté condamne la dictature, mais dès qu’elle la supprime pr
230
tion dans une société ON, rappelons cependant les
principes
fondamentaux à faire valoir dans ce domaine : 1° Les institutions son
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olitique ? (juin 1936)u 1. La politique est en
principe
ce qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la cité n’a donc le