1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 ans ces pages, celui que l’on voudrait nommer l’a priori éthique. Kierkegaard, après avoir formulé la « monstrueuse contradict
2 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
2 nisme constitue pour lui une sorte d’obligation a priori , fondamentale : l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut défini
3 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
3 nisme constitue pour lui une sorte d’obligation a priori , fondamentale : l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut défini
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
4 sa pensée « existentielle » est au contraire l’a priori éthique. Kierkegaard est pour notre temps une figure littéralement gê
5 ntaigne, en ce sens qu’elle affirme justement l’a priori d’une pensée formatrice, là où Montaigne veut réduire la pensée à l’a
6 gement à la remorque des faits, s’oppose seul l’a priori éthique : l’actualité de la pensée. Toute pensée réelle agit dans l’i
7 l’instant. Tel est le sens et la nécessité de l’a priori éthique. Il ne souffre aucune distance, ni dans le temps ni dans l’es
5 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
8 puie sur une donnée de ce type, sur un de ces « a priori de fait », comme dirait Heidegger. Toute tentative de définition de l
6 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
9 sa pensée « existentielle » est au contraire l’a priori éthique. Kierkegaard est pour notre temps une figure littéralement gê
10 ntaigne, en ce sens qu’elle affirme justement l’a priori d’une pensée formatrice, là où Montaigne veut réduire la pensée à l’a
11 gement à la remorque des faits, s’oppose seul l’a priori éthique : l’actualité de la pensée. Toute pensée réelle agit dans l’i
12 l’instant. Tel est le sens et la nécessité de l’a priori éthique. Il ne souffre aucune distance, ni dans le temps ni dans l’es
7 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
13 nt souhaitable, mais je ne leur vois de commun, a priori , que trois syllabes. Cependant l’on revendique la socialisation parce
8 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
14 nt souhaitable, mais je ne leur vois de commun, a priori , que trois syllabes. Cependant l’on revendique la socialisation parce
9 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
15 ue d’autres de se poursuivre indépendamment des a priori idéologiques ou politiques, — quitte à ce que chaque partie tire ensu
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
16 aquelle on prête une sorte de faculté limitante a priori  ? Je ne connais pas de doctrine plus arbitraire ni plus funeste. Avec
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
17 cadence des nations européennes, n’est-elle pas a priori nécessaire au cas où les États-Unis d’Europe seraient possibles quelq
12 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui
18 érieur, trois solutions paraissent concevables, a priori . La première, souvent proposée, consisterait à rendre obligatoires de