1
-guerre d’une étrange vérité. Aux prises avec les
problèmes
sociaux et le luxe le moins apaisant, tournés vers la Russie, vers le
2
tent au cœur de préoccupations des plus modernes,
problème
de la réalité littéraire, problème de la personnalité. Leur Prologue
3
plus modernes, problème de la réalité littéraire,
problème
de la personnalité. Leur Prologue pourrait presque aussi bien être ce
4
cœur de la crise de notre civilisation, il y a un
problème
de morale à résoudre, une conscience individuelle à recréer. Nous y e
5
de plus en plus, se révèle à la base de tous les
problèmes
modernes en littérature. Jacques Rivière s’y appliqua dans un de ses
6
lui permet de brutaliser quelque peu les « grands
problèmes
», et le voilà reparti dans un égoïsme triomphant, pur du désir d’act
7
iter des démonstrations par l’absurde de quelques
problèmes
moraux et littéraires 8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse.
8
eloppement un peu théorique mais intelligent d’un
problème
que l’on pressent trop complètement résolu dès les premières pages, m
9
ée par lui, — comme la poésie. C’est ainsi que le
problème
de l’Urbanisme se place au croisement des préoccupations esthétiques
10
ais rien n’était résolu. Me voici devant quelques
problèmes
dont je sais qu’il est absolument vain de prétendre les résoudre, mai
11
e d’avoir résolus : c’est ce qui s’appelle vivre.
Problème
de Dieu, à la base. J’aurai garde de m’y perdre au début d’une recher
12
ertes, il ne soulève directement aucun des grands
problèmes
de l’heure. La violence même qui sourd dans son être intime l’en empê
13
éserve des états d’incertitude douloureux, où ces
problèmes
viennent se poser à l’esprit, profitant de son désaccord avec la vie.
14
cette tranquillité de rejeter définitivement les
problèmes
métaphysiques ? » Nous naissons à quelque chose qui imite la vie da
15
uer et s’imposer pourtant. M. Lecache présente le
problème
juif avec une obstination à ne rien cacher qui le mène profond. Une f
16
emblent bien apporter une solution définitive aux
problèmes
du surmenage et du paupérisme. C’est un résultat qu’on n’a pas le dro
17
oute effleure Ford vers la fin de son livre : Le
problème
de la production a été brillamment résolu… Mais nous nous absorbons t
18
n’a pas senti qu’il touchait là le nœud vital du
problème
moderne. D’ailleurs, les idées générales de cette sorte sont rares da
19
ns son livre. En général, il se borne à parler de
problèmes
techniques où son triomphe est facile. C’est le technicien parfait qu
20
ivre attrayant sur une vie manquée n’était pas un
problème
aisé : Guy de Pourtalès l’a résolu d’une façon fort adroite mais non
21
gneur ! clamaient-ils, combien complexes sont les
problèmes
que vous proposez à notre bonne volonté gémissante ! Dieu, dans sa pi
22
ps au chapitre 5 où je traiterai de cet aspect du
problème
que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tiren
23
ticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux
problèmes
d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer les calculs du
24
arcourir l’abondante littérature publiée sur le «
problème
de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement o
25
ps au chapitre 5 où je traiterai de cet aspect du
problème
que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tiren
26
ticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux
problèmes
d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer les calculs du
27
arcourir l’abondante littérature publiée sur le «
problème
de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement o
28
e roman de M. Jullien de Breuil effleure un autre
problème
de non moindre valeur tragique : le conflit de la jeunesse d’après-gu
29
sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce
problème
, d’ailleurs insoluble : « Peut-on discerner avec certitude, après lec
30
ésirent également donner une solution décisive au
problème
de l’homme ; ils manquent également de cette énergie créatrice et cri
31
e et critique qui leur permettrait d’envisager ce
problème
dans toute son ampleur et sa force. » Ainsi Beausire nous montre un B
32
eilles se déboucher, nous gagnons l’altitude. Les
problèmes
qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les sur
33
mouvement naturel nous ramène au centre des seuls
problèmes
qui ne soient pas insignifiants, voilà qui suffira peut-être à le jus
34
ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs «
problèmes
du plus haut intérêt », le « prix de l’action » et leur morale qui ne
35
sède. On peut dire de sa critique qu’elle pose le
problème
de l’homme dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais
36
é, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais de ce
problème
central, qui déborde le plan esthétique, la littérature ne constitue
37
, tant il y apporte de pressante intuition, les «
problèmes
» qui contraignirent tel génie à produire son œuvre. Le danger de cet
38
cette méthode, c’est que, donnant un nom à chaque
problème
, l’« hypostasiant » en quelque mesure, elle risque de nous laisser l’
39
qu’il rencontre, là où le créateur, supposant le
problème
résolu (Racine), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’artiste, usa
40
ciences morales et politiques, en 1914, a posé le
problème
en termes fort nets. (Cités par M. Brunschvicg dans Le Progrès de la
41
en pensant » qui pose avec une pareille acuité le
problème
central de notre civilisation. À ce titre, l’œuvre anarchiste et anti
42
raire ; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros
problèmes
à propos d’ouvrages bien minces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chie
43
é d’autant plus significative qu’ils touchent des
problèmes
identiques, celui de la puissance de l’homme, celui de la valeur de s
44
u monde. Je pense que tout chrétien conscient des
problèmes
de ce temps, souscrirait aux critiques que M. Nizan fait à l’actuelle
45
c’est un paradoxe qui n’étonnera pas ceux que le
problème
de la création intéresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de pr
46
de donner au Trocadéro trois conférences sur les
problèmes
fondamentaux de la civilisation moderne. Décidément, le goût du colos
47
leine une salle énorme en parlant avec sérieux de
problèmes
essentiels : c’est une performance qui vaut d’être enregistrée. Rien
48
? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond ces
problèmes
, ils ne les rendent, en général, guère attirants — (le devraient-ils
49
eptée ou surmontée. Pour moi je tiens que le seul
problème
éthique est de se réaliser comme unité. Non point parce qu’une morale
50
France, mais du point de vue des valeurs vitales (
problème
que notre xviie siècle se devait de ne pas poser). L’homme antique p
51
oétique. 1. Obscurité : Kassner ne pose pas les
problèmes
dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par des biais qui n
52
Partons du cas concret de nos trois auteurs. Le
problème
, à vrai dire, les dépasse, mais il n’est pas mauvais de l’actualiser,
53
r un juste compte, il s’agit de le subordonner au
problème
personnel de ces vies, à leur équation d’existence, pourrait-on dire.
54
x autres11… L’homme n’est pas né pour résoudre le
problème
de l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce problème, et ensui
55
e l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce
problème
, et ensuite se maintenir entre les limites de l’intelligible »12. L’o
56
littéraire ou historique. Elle pose cependant un
problème
que la conscience intellectuelle des chrétiens ne peut et ne doit évi
57
nous détourner de la solidarité du péril. Et les
problèmes
exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai comme les Prêtres d
58
se devant la conscience de « l’honnête homme » un
problème
que toutes ses convictions inconscientes tendent à faire apparaître c
59
l’on sait que la bourgeoisie cultive ce genre de
problèmes
avec une prédilection à vrai dire bien compréhensible, car cela mène
60
ons officielles. M. Durand-Dupont, troublé par le
problème
de la violence, commence par le déclarer insoluble, puis se résout à
61
ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs «
problèmes
du plus haut intérêt », le « prix de l’action » et leur morale qui ne
62
du temps, et le goût des « romans qui posent des
problèmes
». On appelait cela de la « littérature difficile », non pas qu’une i
63
rance autour de la Trahison des clercs, autour du
problème
de l’humanisme (Conversion à l’humain, de J. Guéhenno, enquête de Fo
64
ieu la Rochelle, de Benjamin Crémieux), autour du
problème
, plus aigu encore, de la culture bourgeoise et des valeurs révolution
65
sorte de désintéressement radical à l’endroit des
problèmes
politiques et sociaux. La parution coup sur coup, de trois livres imp
66
ticulier dans son Éthique politique pose tous les
problèmes
de l’heure avec une lucidité et un courage intellectuel qu’on rencont
67
ins non conformiste par la façon dont il pose les
problèmes
. Beaucoup plus « existentielle » que systématique, sa doctrine pourra
68
stitutions de classe. Cette position simpliste de
problèmes
vieux comme le monde chrétien a du moins le mérite de débarrasser le
69
te sans doute d’un malentendu foncier touchant le
problème
de la violence et que seul parmi ses collaborateurs, André Philip tra
70
de conséquences politiques que si nous posons le
problème
sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
71
t, dans notre premier numéro, que la solution des
problèmes
sociaux réside, par exemple, dans un embrassement général et sans con
72
elle nous croyons distinguer une évasion hors des
problèmes
qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loi
73
» et multiple, ses incidences fréquentes dans les
problèmes
du temps et de tous les temps : la musique occidentale, les méfaits d
74
e carence aiguë de la jeunesse. C’est pourquoi le
problème
de son destin se confond avec le problème de notre génération. La séc
75
quoi le problème de son destin se confond avec le
problème
de notre génération. La sécurité ne sera jamais garantie par la signa
76
rnier stade de décomposition spirituelle. Non, le
problème
de la jeunesse française, le problème de notre révolution est ailleur
77
le. Non, le problème de la jeunesse française, le
problème
de notre révolution est ailleurs. Il est précis. Il se pose en termes
78
ose en termes historiques bien définis : c’est le
problème
de la destruction des tyrannies étatistes, au nom des droits de la pe
79
d’un pays. Ils trouveront enfin à qui parler. Le
problème
de notre attitude devant la guerre est subordonné à celui de notre ré
80
tion qui consiste simplement à rapporter tous ces
problèmes
à la réalité de Dieu telle qu’elle nous apparaît, c’est-à-dire au pro
81
Dieu telle qu’elle nous apparaît, c’est-à-dire au
problème
de tous nos problèmes, au problème absolument insoluble, puisque notr
82
us apparaît, c’est-à-dire au problème de tous nos
problèmes
, au problème absolument insoluble, puisque notre rapport à Dieu, depu
83
’est-à-dire au problème de tous nos problèmes, au
problème
absolument insoluble, puisque notre rapport à Dieu, depuis la chute,
84
trop parfait, « qui supprime les plus angoissants
problèmes
, à force de les éclaircir », et l’impureté d’un humanisme que l’on cr
85
de tous nos jugements et la « crise » de tous nos
problèmes
? Mais si l’on opte pour le scandale et non pour les adaptations, qui
86
ement, mettant à nu les vraies raisons, les vrais
problèmes
. « Pasteur, je devais parler à des hommes aux prises avec les contrad
87
ots comme religion, piété, expérience religieuse,
problème
de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes parts de
88
ise au sérieux du fait de Dieu. Dieu n’est pas un
problème
, n’est pas l’objet de nos recherches, mais le Sujet de toute existenc
89
ses plus loyaux efforts, à se passionner pour le
problème
de la fonte, qui est le problème dominant dans cette région de la Sib
90
ssionner pour le problème de la fonte, qui est le
problème
dominant dans cette région de la Sibérie. Entre eux, une jeune et tou
91
ine ? C’est d’abord une volonté de considérer les
problèmes
économiques et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi une volonté c
92
nne, où nous les reposons. Prenons par exemple le
problème
du « minimum de vie matérielle » destiné à assurer la liberté de l’ho
93
e) ? En présence de ces faits, nous disons que le
problème
du minimum de vie matérielle ne prend son sens que dans le plan de la
94
le voir, le plan de la liberté créatrice ; que ce
problème
ne peut être défini correctement qu’à partir de la personne ; que seu
95
itions actuelles de la vérité qui nous posent un
problème
, et non pas ses conditions « éternelles ». Nous ne pensons pas qu’il
96
une tentation. Quand cesserons-nous d’agiter des
problèmes
qui n’ont jamais été notre problème ? Car un problème n’est jamais ré
97
d’agiter des problèmes qui n’ont jamais été notre
problème
? Car un problème n’est jamais réel que pour celui qui peut l’incarne
98
èmes qui n’ont jamais été notre problème ? Car un
problème
n’est jamais réel que pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le
99
bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul
problème
dont la réalité dernière, dont l’existence déborde les limites de l’i
100
es qui aimaient à dire : « La solution des grands
problèmes
sociaux est une question de morale individuelle. » L’originalité d’un
101
» que viennent en fin de compte retentir tous les
problèmes
sociaux et spirituels. C’est en elle, et c’est en elle seule, qu’ils
102
qu’il faut faire, nous répondent : Attention ! le
problème
est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
103
ention ! le problème est plus complexe ! Non, les
problèmes
ne sont pas si complexes, en réalité, ou s’ils le sont, osons les sim
104
rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais
problèmes
de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dis
105
ts, une solution ? Non point : un renversement du
problème
. Calvin ne fonde pas notre vie religieuse sur notre amour pour Jésus-
106
du même coup pour notre auteur, échapper aux faux
problèmes
du modernisme et revenir à l’orthodoxie réformée. Non point comme on
107
ire — voilà peut-être le seul auteur qui situe le
problème
dans sa réalité. Lisons ses Réflexions sur le Théâtre allemand. Il y
108
rapporte au christianisme, et en particulier à ce
problème
: comment peut-on devenir chrétien ? » Car, enfin, l’on ne naît pas c
109
erkegaard nous montre un homme aux prises avec un
problème
sentimental douloureux, et qui cherche à le résoudre, d’abord par le
110
réfutables d’un penseur qui sut devancer tous les
problèmes
de notre siècle. Le ton s’y élève à la hauteur de l’invective prophét
111
rsité c’est trop souvent un homme que l’étude des
problèmes
posés par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait.
112
des problèmes posés par sa technique détourne des
problèmes
qui se posent en fait. Mais que faut-il penser de ces techniques d’ab
113
sont de peu de recours. Ils ont fait de l’être un
problème
qu’ils placent devant eux et qu’ils se mettent à critiquer, comme s’i
114
moi qui questionne sur l’être ? »49 (p. 264). Le
problème
devient alors tout autre chose qu’un problème : un mystère. Et toute
115
Le problème devient alors tout autre chose qu’un
problème
: un mystère. Et toute démarche pour s’en approcher figure déjà par e
116
oir, — autant de traits qui nous assurent que les
problèmes
débattus dans ce livre sont de ceux qui se posent ; non point de ceux
117
On s’occupera d’eux en temps voulu : il y a là un
problème
de rééducation qui fait l’objet de nos travaux dans le domaine pédago
118
isait observer que notre époque dominée par les «
problèmes
économiques », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entenda
119
ment des idées neuves — une nouvelle position des
problèmes
— mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplemen
120
rrait montrer facilement, à propos de maint autre
problème
dont traite cet ouvrage (travail et chômage, machinisme, syndicats, é
121
e. Il a surtout le grand mérite d’aller droit aux
problèmes
réels que pose ce livre, sur le plan philosophique. 14. Mais le conc
122
re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le
problème
des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, en e
123
e l’État, paraissent bien inactuels en regard des
problèmes
économiques qui nous pressent. Un chrétien a-t-il le droit de rêver ?
124
tivité auprès des ouvriers ne pose-t-elle pas des
problèmes
de doctrine économique et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manq
125
e nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au
problème
de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi pour être moins
126
puis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les
problèmes
généraux du temps considérés dans la perspective de l’ON. Voir Daniel
127
e. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de
problèmes
sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de me
128
use des échos qu’elle ébranle, mieux informée des
problèmes
qu’elle incarne, parce qu’elle tiendra la mesure de l’humain et qu’el
129
riennes64. Nous sommes ici au nœud tragique de ce
problème
allemand qui domine l’après-guerre, et dont le dénouement doit nous l
130
pect du sort de la nation ? Tel est, je crois, le
problème
central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu
131
tement « allemand » de l’auteur, qu’il est peu de
problèmes
plus graves pour notre avenir immédiat. Mais ce Destin allemand évoqu
132
plan ont eu pour « méthode » de « foncer sur les
problèmes
» ! Allons, voilà qui devrait rassurer M. Thibaudet, lequel craignait
133
ger les ressources du Trésor » ; ou encore : « Le
problème
consiste simplement (sic) à créer les conditions d’une liberté réelle
134
ns une reprise à la base, à la racine de tous les
problèmes
. Nous savons bien que seules les révolutions font aboutir les réforme
135
nes seulement que pourra se résoudre l’angoissant
problème
des cités. Mais il faudrait d’abord transformer la province et la ren
136
ire ne sera ordre qu’à ce prix. C’est là son vrai
problème
. m. « Jeunesse déracinée », La Revue du xxe siècle, Paris, n° 1,
137
orsque nous parlons du concret, nous supposons le
problème
résolu. Seule, une valeur déterminée de l’inconnue donne une réalité
138
oseur de questions, un « prochain » et non pas un
problème
à résoudre à distance ; en un mot, si l’homme est un acte. 4. L’ac
139
à même le déshumanise. Elle pose l’homme comme un
problème
, et pour autant elle est bien obligée de prendre du recul par rapport
140
s nous connaissons complexes et impurs, pleins de
problèmes
, peuplés de fantômes et séparés par eux de nous-mêmes et du monde. No
141
tes d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieux
problème
avec des airs de conspirateur traqué ? Alors que cette confusion dési
142
lle a conduit ce lecteur au carrefour de quelques
problèmes
qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent-ils ? Et comm
143
peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs
problèmes
— jusqu’au bout11 ! II. En mettant sous une même couverture quelque
144
qu’il faut faire, nous répondent : attention ! le
problème
est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
145
ention ! le problème est plus complexe ! Non, les
problèmes
ne sont pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les si
146
rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais
problèmes
de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dis
147
tant que parce qu’il vous permet d’éluder le vrai
problème
. » Mais cette réponse simpliste, valable tout au plus contre certaine
148
mais la nécessité d’une spiritualité nouvelle. Le
problème
, en tout cas, cesse d’être théorique. Cette spiritualité que Marx n’a
149
re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le
problème
des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, est
150
sur l’attitude des jeunes protestants devant les
problèmes
sociaux et culturels du temps. 24. Illustration politique : à tout s
151
. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le
problème
a été résolu, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec rés
152
ien ne peut pas prendre totalement au tragique le
problème
de l’aménagement des intérêts terrestres. Il les prend au sérieux dan
153
rte contraint d’accorder une valeur absolue à des
problèmes
insondablement relatifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il co
154
de conséquences politiques que si nous posons le
problème
sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
155
elle nous croyons distinguer une évasion hors des
problèmes
qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loi
156
. Je laisserai de côté, dans ces notes, le fameux
problème
de la personne chrétienne en face du collectif marxiste. C’est l’oppo
157
le marxisme ne peut plus nous apparaître comme un
problème
difficile, une tentation ou un appel à la compromission avec le monde
158
uelles fins elle entend justifier ses moyens. Le
problème
des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme
159
s que l’école primaire leur a mis dans la tête. —
Problème
d’éducation civique. Incertitude essentielle de toute considératio
160
inis : il ne faut pas épauler au hasard. Le grand
problème
de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduit
161
de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des
problèmes
pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces problèmes « a
162
ues tout à fait étrangers à la révolution. Et ces
problèmes
« autonomes » à leur tour se sont révélés si urgents que la doctrine,
163
nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au
problème
de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi, pour être moin
164
puis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les
problèmes
généraux du temps considérés dans la perspective de l’ON voir Daniel-
165
tant qu’au sens littéral.) Prendre au sérieux des
problèmes
tels que le chômage, le machinisme, le fédéralisme ou l’État, — comme
166
ar autant de groupes fort inégaux en nombre. Tout
problème
concret, particulier (loi sur les chemins de fer, sur le régime du bl
167
isait observer que notre époque dominée par les «
problèmes
économiques », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entenda
168
ment des idées neuves — une nouvelle position des
problèmes
— mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplemen
169
rrait montrer facilement, à propos de maint autre
problème
dont traite cet ouvrage (travail et chômage, machinisme, syndicats, é
170
lle a conduit ce lecteur au carrefour de quelques
problèmes
qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent-ils ? Et comm
171
peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs
problèmes
— jusqu’au bout6 ! II. — En mettant sous une même couverture quelqu
172
qu’il faut faire, nous répondent : attention ! le
problème
est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
173
ention ! le problème est plus complexe ! Non, les
problèmes
ne sont pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les si
174
rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais
problèmes
de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent di
175
tant que parce qu’il vous permet d’éluder le vrai
problème
. » Mais cette réponse simpliste, valable tout au plus contre certaine
176
mais la nécessité d’une spiritualité nouvelle. Le
problème
, en tout cas, cesse d’être théorique. Cette spiritualité que Marx n’a
177
re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le
problème
des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, est
178
sur l’attitude des jeunes protestants devant les
problèmes
sociaux et culturels du temps. 19. Illustration politique : à tout s
179
. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le
problème
a été résolu, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec rés
180
ien ne peut pas prendre totalement au tragique le
problème
de l’aménagement des intérêts terrestres. Il les prend au sérieux dan
181
rte contraint d’accorder une valeur absolue à des
problèmes
insondablement relatifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il co
182
de conséquences politiques que si nous posons le
problème
sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
183
u marxisme. Je laisserai de côté, aujourd’hui, le
problème
de la personne chrétienne en face du collectif marxiste. C’est l’oppo
184
le marxisme ne peut plus nous apparaître comme un
problème
difficile, une tentation ou un appel à la compromission avec le monde
185
quelles fins elle entend justifier ses moyens. Le
problème
des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme
186
s que l’école primaire leur a mis dans la tête. —
Problème
d’éducation civique. Incertitude essentielle de toute considératio
187
inis : il ne faut pas épauler au hasard. Le grand
problème
de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduit
188
e de Marx (anarchique), n’a pas tardé à poser des
problèmes
pratiques tout à fait étrangers au but de la révolution. Et ces probl
189
à fait étrangers au but de la révolution. Et ces
problèmes
« autonomes » à leur tour se sont révélés si urgents que la doctrine,
190
nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au
problème
de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi, pour être moin
191
einte profonde, portant comme une plaie béante le
problème
de leur existence, ce problème qu’ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce
192
ne plaie béante le problème de leur existence, ce
problème
qu’ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce que, dans leur maladie justemen
193
sous l’aspect de la nation ? Tel est je crois le
problème
central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu
194
oint de vue raciste de l’auteur, qu’il est peu de
problèmes
plus graves pour notre avenir immédiat. Je n’ai rien dit de l’art d’E
195
bition doit donc se limiter à poser clairement le
problème
, et à formuler, si possible, le principe critique qui nous rappellera
196
ématiser encore les pages que Barth consacre à ce
problème
. Mais faut-il le redire ? La théologie n’est pas là pour résoudre con
197
logie n’est pas là pour résoudre concrètement nos
problèmes
. Elle a pour but de les poser, de nous donner un instrument critique
198
el et perverti de nos pensées. Cette position du
problème
, que nous venons d’esquisser, nous permettra de situer honnêtement le
199
lu confronter avec les témoins de la Bible, les «
problèmes
» — le mot est bien faible — qui se posent au chrétien en tout temps
200
que vous n’avez pas d’expérience ! W. Monod, Le
Problème
du Bien, I, p. 512. Nous avions dîné chez Nicodème, et l’on apportai
201
uvrage, que vous connaissez sans aucun doute : Le
Problème
du Bien, du professeur Wilfred Monod. « Un monument ! » prononça Nico
202
notre vieux débat. Je n’ignore pas que l’éternel
problème
de la mort à soi-même et au monde est l’un de ceux qui préoccupent le
203
tiens en tous cas votre définition de l’auteur du
Problème
du Bien ! “L’homme qui ne veut pas mourir”, c’est exactement ça ! Vra
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? Il suffira de résumer notre débat. Quel est le
problème
que nous discutons ? C’est le problème inverse de celui d’Hamlet. « Ê
205
uel est le problème que nous discutons ? C’est le
problème
inverse de celui d’Hamlet. « Être ou ne pas être », disait Hamlet. Et
206
n-Bicêtre… Et je pus constater que les données du
problème
avaient un peu changé, — si vous me permettez cet euphémisme académiq
207
z abstraite. Me voilà bien loin, pensez-vous, des
problèmes
concrets que pose la cité. Encore un qui s’évade ! Encore un qui déco
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sont en train de penser cela. Avant d’aborder le
problème
de l’action politique du chrétien, je tiens à dire deux mots concerna
209
ent peuvent-ils encore éluder si cavalièrement le
problème
dernier de l’action ? Et je demande encore : qui donc osera poser ces
210
e de sa transformation. Ici se posent deux grands
problèmes
pratiques : est-il possible et nécessaire, partant de cette vocation,
211
fait de leur foi, des lumières spéciales sur les
problèmes
techniques que pose la vie de la cité moderne. Je ne crois pas qu’il
212
tion correcte et à mon sens parfaitement vaine de
problèmes
qui n’empêchent personne de dormir, diminue nettement dans ce tome IV
213
use dont l’auteur fait preuve dans l’attaque d’un
problème
entre tous urgent. Il se pourrait d’ailleurs que l’apparence brutale
214
impuissance à résoudre ce que j’appellerais le «
problème
des gens », qui est moins grandiose et beaucoup plus encombrant… t.
215
e député avait-il conscience de soulever l’un des
problèmes
les plus impressionnants du siècle ? Avait-il conscience de l’aveu qu
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vre alors la profondeur, il devient à son tour un
problème
, il se trouve mis en question. Il faut voir, en effet, que la situati
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célébrer ? Et plutôt que de ricaner, vous que ces
problèmes
occupent, que ne louez-vous le désintéressement d’un député et d’un l
218
s hommes. On allègue un « progrès » continu des «
problèmes
» où le tragique se résorbe en erreurs. Cette obsession de la science
219
gie : science de l’âme — d’un tout autre ordre de
problèmes
: à savoir la physiologie des sensations et la classification des mal
220
’intérêts devenus criminels ; — constate : que le
problème
de la culture est le problème central de notre temps, la culture étan
221
— constate : que le problème de la culture est le
problème
central de notre temps, la culture étant responsable de concentrer, d
222
é et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce
problème
n’est plus jamais posé que par des penseurs sans audience et sans pre
223
te ni de gauche, mais qui apporte la solution des
problèmes
qui se posent concrètement, au lieu de se perdre à rechercher d’abord
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au lieu de se perdre à rechercher d’abord si ces
problèmes
sont de droite ou de gauche. Cette troisième force existe-t-elle ? Je
225
araisse, personne ne s’est encore préoccupé de ce
problème
tactique vraiment crucial, en dehors de L’Ordre nouveau. 5. — Les
226
été plus loin que la simple position théorique du
problème
— et nos expériences de cet été le prouvent. Mais il n’est pas indiff
227
el revêche et stérilisant à la « complexité » des
problèmes
, — cette démagogie du juste milieu et de la scrupuleuse impartialité,