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e rendre Israël responsable de ce qui n’est que «
profanations
» de la notion de mesure totalitaire. 75. Cf. Ramuz. 76. Par exempl
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retour vers l’orthodoxie75 ? Ou simplement, une «
profanation
» des thèmes courtois, que les trouvères auraient utilisés sans grand
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, la possession physique d’une femme réelle, la «
profanation
» de l’amour. Et c’est à cause de cette faute initiale que Lancelot n
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du mythe, ou comme nous préférons le dire : des «
profanations
» successives de son contenu et de sa forme. Enfin, la guerre, en Occ
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de Tristan est, à bien des égards, une première «
profanation
» de la mystique courtoise et de ses sources (néo-platonisme, maniché
6
rire que « l’instinct » en question résulte d’une
profanation
de la mystique primitive. ⁂ Cependant, la conscience moderne montre u
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vulgarisation du mythe, ou pour mieux dire : sa «
profanation
»117 que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux Roses Le me
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nfin devenu la rhétorique du cœur humain. Cette «
profanation
» radicale doit faire naître, on a vu pourquoi (au livre II), une poé
9
un recherche dans l’acte d’amour la volupté d’une
profanation
, l’autre accomplit en restant chaste la « prouesse » divinisante. La
10
fication du sexe est une constante et rationnelle
profanation
de la morale profanée du xviiie . C’est la « voie négative » d’un ath
11
ous offre un exemple parfait pour l’analyse de la
profanation
du mythe. Voici un homme que le besoin de la passion tourmente : il a
12
ez les peuplades polynésiennes. Cette progressive
profanation
du mythe, sa conversion en rhétorique, puis la dissolution de cette r
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ant la mort, à Fontenoy. ⁂ Mais voici la totale «
profanation
» de la guerre et de sa passion sacrée : c’est Law, le financier de l
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la dissection du corps humain, c’est toujours une
profanation
que l’on opère. Du moins ces gestes sont-ils ressentis comme tels à c
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retour vers l’orthodoxie88 ? Ou simplement, une «
profanation
» des thèmes courtois, que les trouvères auraient utilisés sans grand
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, la possession physique d’une femme réelle, la «
profanation
» de l’amour. Et c’est à cause de cette faute initiale que Lancelot n
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ons du mythe, ou comme je préfère le dire : des «
profanations
» successives de son contenu et de sa forme. Enfin, la guerre, en Occ
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de Tristan est, à bien des égards, une première «
profanation
» de la mystique courtoise et de ses sources (néo-platonisme, maniché
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rire que « l’instinct » en question résulte d’une
profanation
de la mystique primitive. ⁂ Cependant, la conscience moderne montre u
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nfin devenu la rhétorique du cœur humain. Cette «
profanation
» radicale doit faire naître, on a vu pourquoi (au livre II), une poé
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un recherche dans l’acte d’amour la volupté d’une
profanation
, l’autre accomplit en restant chaste la « prouesse » divinisante. La
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fication du sexe est une constante et rationnelle
profanation
de la morale profanée du xviiie . C’est la « voie négative » d’un ath
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ous offre un exemple parfait pour l’analyse de la
profanation
du mythe. Voici un homme que le besoin de la passion tourmente : il a
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ez les peuplades polynésiennes. Cette progressive
profanation
du mythe — sa conversion en rhétorique, puis la dissolution de cette
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ant la mort, à Fontenoy. ⁂ Mais voici la totale «
profanation
» de la guerre et de sa passion sacrée : c’est Law, le financier de l
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retour vers l’orthodoxie80 ? Ou simplement, une «
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» des thèmes courtois, que les trouvères auraient utilisés sans grand
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, la possession physique d’une femme réelle, la «
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» de l’amour. Et c’est à cause de cette faute initiale que Lancelot n
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ons du mythe, ou comme je préfère le dire : des «
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» successives de son contenu et de sa forme. Enfin, la guerre, en Occ
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de Tristan est, à bien des égards, une première «
profanation
» de la mystique courtoise et de ses sources (néo-platonisme, maniché
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rire que « l’instinct » en question résulte d’une
profanation
de la mystique primitive. ⁂ Cependant, la conscience moderne montre u
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vulgarisation du mythe, ou pour mieux dire : sa «
profanation
»124 que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux roses Le me
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nfin devenu la rhétorique du cœur humain. Cette «
profanation
» radicale doit faire naître, on a vu pourquoi (au livre II), une poé
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un recherche dans l’acte d’amour la volupté d’une
profanation
, l’autre accomplit en restant chaste la « prouesse » divinisante. La
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fication du sexe est une constante et rationnelle
profanation
de la morale profanée du xviiie . C’est la « voie négative » d’un ath
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ous offre un exemple parfait pour l’analyse de la
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du mythe. Voici un homme que le besoin de la passion tourmente : il a
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ez les peuplades polynésiennes. Cette progressive
profanation
du mythe — sa conversion en rhétorique, puis la dissolution de cette
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ant la mort, à Fontenoy. ⁂ Mais voici la totale «
profanation
» de la guerre et de sa passion sacrée : c’est Law, le financier de l
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la dissection du corps humain, c’est toujours une
profanation
que l’on opère. Du moins ces gestes sont-ils ressentis comme tels à c
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la dissection du corps humain, c’est toujours une
profanation
que l’on opère. Du moins ces gestes sont-ils ressentis comme tels à c
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es fervents de l’Armée, pour protester contre une
profanation
si littéralement éclatante. Au contraire, toute la résistance est ven
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es fervents de l’Armée, pour protester contre une
profanation
si littéralement éclatante. Au contraire, toute la résistance est ven
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es fervents de l’armée, pour protester contre une
profanation
si littéralement éclatante. Au contraire, toute la résistance est ven
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acré. — Naissance de la raison et de l’individu :
profanation
et « tricherie ». — Formation de sociétés contractuelles. — Décadence
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ation répétée des allégeances et de la foi jurée,
profanation
du sacré féodal et des sacrements catholiques, faux serments, sorcell
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cré exténue les passions, que la conscience d’une
profanation
faisait flamber. Nous restent deux tabous sexuels, curieusement respe
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un recherche dans l’acte d’amour la volupté d’une
profanation
, l’autre accomplit en restant chaste la « prouesse » divinisante. La
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tumes, ne serait-elle que l’histoire d’une longue
profanation
? Faut-il penser que les pouvoirs du mythe sont épuisés et que nous s
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ation répétée des allégeances et de la foi jurée,
profanation
du sacré féodal et des sacrements catholiques, faux serments, sorcell
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cré exténue les passions, que la conscience d’une
profanation
faisait flamber. Nous restent deux tabous sexuels, curieusement respe
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un recherche dans l’acte d’amour la volupté d’une
profanation
, l’autre accomplit en restant chaste la « prouesse » divinisante. La
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éments sacrés de la vie publique et privée. Cette
profanation
générale résulte de nombreuses causes concomitantes, telles que le ra
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e rendre Israël responsable de ce qui n’est que «
profanations
» de la notion de mesure totalitaire. 17. Cf. Ramuz. 18. Par exempl
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tumes, ne serait-elle que l’histoire d’une longue
profanation
? Faut-il penser que les pouvoirs du mythe sont épuisés et que nous s
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le sacré par la science, rationaliste jusqu’à la
profanation
, hédoniste jusqu’à la provocation devant la mort. Don Juan autant que
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ent. Ce n’est pas dans le crime pendable, dans la
profanation
ou le blasphème, ni dans le vice catalogué que j’ai cherché la trace