1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 connaît4, de me présenter. Il m’en avait donné la promesse . Vos regards rencontrèrent les miens plus d’une fois pendant une dans
2 la rue. La fraîcheur de la brume m’apaisa. Sur la promesse que je fis que je me sentais mieux, on me laissa rentrer seul. Je ne
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobé
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
4 sophie et ce qui arrive aux hommes en dépit de sa promesse . » M. Brunschvicg fait un cours sur la technique du passage à l’absol
4 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
5 t espoir qui ne serait pas le seul espoir ; toute promesse qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
6 spoir ; toute promesse qui ne serait pas la seule promesse  : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
7 e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
8 l’absurde et au martyre, à l’« agonie » entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». Que fa
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
9 r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobé
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas compris les noms, on échange, à la dérobée, de
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
11 culte des ancêtres. Et pourtant, quelle est cette promesse mystérieusement liée au Cinquième Commandement : « …afin que tes jour
8 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
12 réalité certainement désespérante. Mais il y a la Promesse , mais il y a la foi qui vient nous prendre au point où tout espoir ap
9 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
13 omme, ils les accusent de diminuer l’homme par la promesse débilitante d’un « arrière-monde » qui serait comme une revanche cont
10 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
14 « conversion » au soviétisme considéré comme une promesse nouvelle de communion humaine. On s’en voudrait de condamner en trois
11 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
15 poir infini au sein du désespoir et la joie de la Promesse invisible, — cette vision donnée à l’homme, est la plus propre à crée
12 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
16 fondément dans le non que dans le oui » ; mais la promesse qui nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la promesse de la
17 nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la promesse de la victoire éternelle. ⁂ Loin de moi la prétention d’avoir, par ce
13 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
18 e de faire le bien, que la foi seule lui donne la promesse du salut, que cette foi n’est pas le couronnement de sa « vie religie
14 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
19 maine hors l’unanime attente trébuchante, hors la Promesse accordée à notre acte, humble et violent. Voilà ce que je veux. Mais
15 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
20 n11. ⁂ Le Nouvel Adam vit : il ne vit que dans la promesse . Cette Promesse est certaine, mais son accomplissement est hors du te
21 Adam vit : il ne vit que dans la promesse. Cette Promesse est certaine, mais son accomplissement est hors du temps, bien plus,
16 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
22 édifiant, s’il est certain que l’Évangile et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste
17 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
23 u monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire,
18 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
24 t édifiant s’il est certain que l’Évangile et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste
19 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
25 n second. Et pourtant mon espoir est gagé sur une promesse aussi certaine que ma mort et que la mort du temps lui-même au Jugeme
20 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
26 abdication de l’idéal premier. En échange de leur promesse d’abandonner leurs exigences trop réelles10, on leur accorde un triom
27 endu à l’industrie lourde, et ne règne que par la promesse de ne rien faire de ce qu’il revendiquait. 11. C’est dans ce jusqu’a
21 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
28 u monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire,
22 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
29 ut espoir qui ne serait pas le seul espoir, toute promesse qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
30 espoir, toute promesse qui ne serait pas la seule promesse  : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
31 e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
32 e, et parfois au martyre, à l’« agonie » entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». ⁂ Que
23 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
33 omme, ils les accusent de diminuer l’homme par la promesse débilitante d’un au-delà qui serait comme une revanche contre tout l’
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
34 exactement le contraire du commandement et de la promesse biblique : « Croyez premièrement au Royaume, et tout le reste vous se
35 Royaume de Dieu, il faut mourir ? Que toutes les promesses du Christ concernent la vie de celui qui d’abord est mort ? Que non s
36 en définitive ce que nie le marxisme. Toutes les promesses du Christ concernent une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces p
37 nt une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces promesses sont eschatologiques. Ce qui ne veut nullement dire : futures au sens
38 au terme des temps, elle est dans l’instant. Les promesses du marxisme elles aussi ont pu être appelées eschatologiques. Mais da
39 ans mille ans, deux-mille ans. La réalisation des promesses du Christ est promise à ses disciples pour l’instant même où ils obéi
25 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
40 abdication de l’idéal premier. En échange de leur promesse d’abandonner leurs exigences trop réelles, on leur accorde un triomph
26 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
41 u monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire,
27 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
42 ut espoir qui ne serait pas le seul espoir, toute promesse qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
43 espoir, toute promesse qui ne serait pas la seule promesse  : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
44 e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
45 e, et parfois au martyre, à l’« agonie » entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». ⁂ Que
28 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
46 omme, ils les accusent de diminuer l’homme par la promesse débilitante d’un au-delà qui serait comme une revanche contre tout l’
29 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
47 exactement le contraire du commandement et de la promesse biblique : « Croyez premièrement au Royaume, et tout le reste vous se
48 Royaume de Dieu, il faut mourir ? Que toutes les promesses du Christ concernent la vie de celui qui d’abord est mort ? Que non s
49 en définitive ce que nie le marxisme. Toutes les promesses du Christ concernent une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces p
50 nt une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces promesses sont eschatologiques. Ce qui ne veut nullement dire : futures au sens
51 au terme des temps, elle est dans l’instant. Les promesses du marxisme elles aussi ont pu être appelées eschatologiques. Mais da
52 ans mille ans, deux-mille ans. La réalisation des promesses du Christ est promise à ses disciples pour l’instant même où ils obéi
30 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
53 e chrétienne. Elles sont, avec les sacrements, la promesse de l’accomplissement en Christ — déjà venu et qui revient ! — de ce q
31 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
54 faite ! Ce que nous annonçons au monde, c’est la promesse de celui qui a dit : « Prenez courage, j’ai vaincu le monde. » — Chri
32 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
55 t c’est pourquoi la Parole, parmi nous, n’est que promesse et vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prop
33 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
56 le et imprévue n’est-elle pas comme un signe, une promesse émouvante de l’unité future des chrétiens, par-delà les funestes divi
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
57 s simplement, à la dernière minute, souligner des promesses d’accord aussi solides. w. « Manifeste au service du personnalisme
35 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
58 onde tel qu’il est sauvé, relié solidement par la Promesse et remis en marche vers elle, — le monde de la poésie. Diviser, sépar
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
59 me, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la promesse qu’elle portait. Mais cette Promesse enfin s’est incarnée. Et dès lor
60 re, et de la promesse qu’elle portait. Mais cette Promesse enfin s’est incarnée. Et dès lors la mesure n’est plus dans l’ancienn
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
61 sur le peuple, serait celle qui lui offrirait la promesse d’une communauté. Le « Nationalsozialismus » n’est pas le composé hyb
38 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
62 même qu’à cause de l’absolu de sa mesure et de la promesse qu’elle portait. Mais la Promesse enfin s’est incarnée dans un fils d
63 mesure et de la promesse qu’elle portait. Mais la Promesse enfin s’est incarnée dans un fils d’Israël, selon la prophétie, appor
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
64 sur le peuple, serait celle qui lui offrirait la promesse d’une communauté. Le « Nationalsozialismus » n’est pas le composé hyb
40 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
65 ce éternelle de Dieu, qui ne peut faillir dans sa promesse , et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
66 prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse , une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst
41 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
67 ’on détruit les racines de l’esprit créateur, les promesses de fécondité révolutionnaire de l’avenir. Montesquieu a dit l’essenti
42 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
68 C’est le placer sous la lumière fantastique de la Promesse , au point où tout se renverse, où le ciel s’ouvre sur le châtiment, o
43 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
69 forme présente, et pour le monde restauré dans la Promesse . Il faut aller plus loin que cette affirmation tout évidente. Non seu
70 ue nous voyons gagner toutes les églises, est une promesse à laquelle nous devons croire de toute la force de notre foi. Aussi n
44 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
71 paradoxe : Israël n’eût pas eu d’histoire sans la promesse que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tombe » avec la miss
72 ne menace et une angoisse, au moins autant qu’une promesse . Une menace pour les « intérêts immédiats » qui se voient par trop né
73 me, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la promesse qu’elle portait. ⁂ Revenons encore à Josèphe : Quant à ce que l’on n
74 endu à la Loi, qui était elle-même suspendue à la promesse messianique donnée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette pro
75 ée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette promesse , enfin, s’est incarnée. Et les juifs l’ont méconnue prenant prétexte
76 Elle étend à l’humanité entière le bénéfice de la Promesse qu’il a reçue, cependant que son destin final demeure entre les mains
77 ue nous avons à prendre position, mais au nom des promesses de la foi, et dans une perspective missionnaire qui réduit à leurs ju
45 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
78 ience éternelle de Dieu, qui ne peut faillir à sa promesse , et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
79 prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse , une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst
46 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
80 et de l’État. D’autre part, il nous tente par la promesse d’une communauté restaurée, d’un coude-à-coude physique, d’une grande
47 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
81 rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
82 On fausse l’éthique du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
83 problème ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse , considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
84 e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la promesse de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et d’accéder au plan
85 la personne. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
86 elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la promesse du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
87 — dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une promesse ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
88 ’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
89 upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse , ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais
48 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
90 qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses promesses . Qu’opposeraient-ils à Rosenberg ? 1er mai 1936 En l’honneur de
91 plan général : Décalogue, confession des péchés, promesses de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences
49 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
92 t. L’ère des religions s’ouvre à nous, chargée de promesses , mais aussi de menaces. Ère nouvelle pour les chrétiens qui pensaient
50 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
93 ue et qui s’empare avec avidité des plus furtives promesses de bonheur, surtout si elles sont assez obscures et ambiguës pour éch
51 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
94 la pire menace. Mais en même temps, la plus belle promesse  ! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
52 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
95 ssion que nous en sommes venus à voir en elle une promesse de vie plus vivante, une puissance qui transfigure, quelque chose qui
53 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
96 is joie, ni douce, ni bonne. Ne puis entrevoir en promesse  : Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vou
97 voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en blanc » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui demande un
54 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
98 eront jamais que les exaltations d’un crépuscule, promesses de gloire jamais tenues… 86. Philippe de Félice, Poisons sacrés, i
55 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
99 rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
100 On fausse l’éthique du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
101 problème ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse , considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
102 e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la promesse de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et de s’élever au pl
103 la personne. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
104 elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la promesse du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
105 — dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une promesse ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
106 ’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
107 upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse , ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais
56 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
108 e la scène.) Chœur céleste4. Étoile du matin, promesse du vrai jour, En ta clarté sois notre éveil toujours ! Surgissez et l
109 e perfides séducteurs ! Ils vous feront de belles promesses  : Viens avec nous, tu auras de l’or… Fais alliance avec moi, je te do
110 et de sang, au travers des reflets dorés que vos promesses font luire aux yeux des Suisses ! Ah ! vous êtes deux bons oiseleurs 
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
111 ssion que nous en sommes venus à voir en elle une promesse de vie plus vivante, une puissance qui transfigure, quelque chose qui
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
112 is joie, ni douce, ni bonne, Ne puis entrevoir en promesse  : Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vou
113 voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en blanc » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui demande un
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
114 eront jamais que les exaltations d’un crépuscule, promesses de gloire jamais tenues… 104. Philippe de Félice, Poisons sacrés,
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
115  », qui entraîne un nouveau mariage, une nouvelle promesse de bonheur ; les trois mots étant synonymes. Ainsi, guérissant son en
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
116 rpent au sang froid — le cynique pur — insinue sa promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
117 On fausse l’éthique du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
118 problème ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse , considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
119 e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la promesse de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et de s’élever au pl
120 la personne. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
121 elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la promesse du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
122 — dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une promesse ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
123 ’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
124 upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse , ni à cet être symbolique, ce beau prétexte, qui s’appelle Iseut, mai
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
125 ssion que nous en sommes venus à voir en elle une promesse de vie plus vivante, une puissance qui transfigure, quelque chose qui
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
126 is joie, ni douce, ni bonne, Ne puis entrevoir en promesse  : Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vou
127 voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en blanc » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui demande un
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
128 eront jamais que les exaltations d’un crépuscule, promesses de gloire jamais tenues… 96. Philippe de Félice, Poisons sacrés, i
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
129  », qui entraîne un nouveau mariage, une nouvelle promesse de bonheur ; les trois mots étant synonymes. Ainsi, guérissant son en
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
130 rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
131 On fausse l’éthique du mariage en faisant de la promesse de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
132 problème ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse , considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
133 e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la promesse de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et de s’élever au pl
134 la personne. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
135 elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la promesse du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
136 — dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une promesse ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
137 ’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
138 upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse , ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais
67 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
139 la pire menace. Mais en même temps, la plus belle promesse  ! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
68 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
140 tié de nous ! Christ, aie pitié de nous !… »). V. Promesses de grâce et absolution collective (l’assemblée debout chante : « Ô qu
69 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
141 la pire menace. Mais en même temps, la plus belle promesse  ! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
70 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
142 la pire menace. Mais en même temps la plus belle promesse  ! Maintenant la preuve est faite, attestée par le sang, que la soluti
71 1944, Les Personnes du drame. Introduction
143 rsonne reste à nos propres yeux un mystère et une promesse , qu’en sera-t-il aux yeux d’autrui ? Et de quel droit prétendrons-nou
72 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
144 st pourquoi enfin la Parole parmi nous, n’est que promesse et vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prop
73 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
145 celui qui aurait saisi, ne fût-ce qu’une fois la promesse de sa délivrance. De fait, on ne voit guère que les chrétiens pour av
74 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
146 ce éternelle de Dieu, qui ne peut faillir dans sa promesse , et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
147 prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse , une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst
75 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
148 onde tel qu’il est sauvé, relié solidement par la Promesse et remis en marche vers elle, — le monde retrouvé dans l’anticipation
76 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
149 ue et qui s’empare avec avidité des plus furtives promesses de bonheur, de libération, d’aventure ! Toute la poésie romantique de
77 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
150 idats en députés, des programmes en combines, des promesses en oublis. Je pense aux élections de demain et je demande : de quoi s
78 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
151 elle, puisqu’il a été racheté, et qu’il a reçu la promesse de sa résurrection individuelle. Il est donc à la fois engagé et libé
79 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
152 la pire menace. Mais en même temps, la plus belle promesse  ! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
80 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
153 er le premier raid anglais de mille avions, et la promesse du général Marshall : « Nous débarquerons en France. » Juillet 194
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
154 r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobé
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
155 qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses promesses . Qu’opposeraient-ils à Rosenberg ? 1er mai 1936 En l’honneur de
156 plan général : Décalogue, confession des péchés, promesses de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
157 t. L’ère des religions s’ouvre à nous, chargée de promesses équivoques. Ère nouvelle pour les chrétiens qui pensaient n’avoir plu
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
158 la pire menace. Mais en même temps, la plus belle promesse  ! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
159 er le premier raid anglais de mille avions, et la promesse du général Marshall : « Nous débarquerons en France. » 26 juin 194
86 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
160 er le premier raid anglais de mille avions, et la promesse du général Marshall : « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942
87 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
161 s en vrac, dont chacune signale une menace ou une promesse qui peut nous concerner, mais dont il nous est impossible d’évaluer l
88 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
162 dans la littérature américaine. Tout le reste est promesses , ou best-sellers. Cette dernière expression domine le marche du livre
89 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
163 oucher les yeux pour ne pas voir de quel côté les promesses faites aux masses sont tenues aux USA, non pas en URSS. Enfin, l’on m
90 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
164 oucher les yeux pour ne pas voir de quel côté les promesses faites aux masses sont tenues : aux USA, non pas en URSS. Enfin, l’on
91 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
165 mbler des électeurs, et de les acheter à coups de promesses en l’air, dont chacun sait qu’elles sont purement tactiques, mensongè
92 1948, Suite neuchâteloise. IV
166 culte des ancêtres. Et pourtant, quelle est cette promesse mystérieusement liée au Cinquième Commandement : « …afin que tes jour
93 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
167 ons Strasbourg. Ce n’est pas beaucoup plus qu’une promesse , mais c’en est une. Nous verrons ce qu’elle vaut, avant la fin de l’a
94 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
168 u tant de temps pour qu’il obtienne les premières promesses d’un financement régulier. Il est clair que la tâche d’un organisme c
95 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
169 é de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une promesse effarante : le loisir. La technocratie. L’homme qui cesse de sentir
96 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
170 e mesure qui donnerait un contenu concret à cette promesse  : la reconnaissance du droit d’opposition. 7. K. demande la libératio
97 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Promesses du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)
171 Promesses du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)aw C’est au début d
172  », Bulletin du Centre européen de la culture : «  Promesses du Marché commun », Genève, n° 6, décembre 1957, p. 1.
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
173 on de nos jours le message communiste apporter la promesse d’une « fin de l’histoire », c’est-à-dire d’une fin de la souffrance
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
174 souvent, Dieu ou le monde ? Les privilèges et les promesses que Dieu accorde, Il ne les rompt pas, et Il ne dit pas non plus, apr
100 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
175 é de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une promesse effarante : le loisir. La technocratie. L’homme qui cesse de sentir