1
connaît4, de me présenter. Il m’en avait donné la
promesse
. Vos regards rencontrèrent les miens plus d’une fois pendant une dans
2
la rue. La fraîcheur de la brume m’apaisa. Sur la
promesse
que je fis que je me sentais mieux, on me laissa rentrer seul. Je ne
3
r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes
Promesses
nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobé
4
sophie et ce qui arrive aux hommes en dépit de sa
promesse
. » M. Brunschvicg fait un cours sur la technique du passage à l’absol
5
t espoir qui ne serait pas le seul espoir ; toute
promesse
qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
6
spoir ; toute promesse qui ne serait pas la seule
promesse
: espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
7
e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et
promesse
de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
8
l’absurde et au martyre, à l’« agonie » entre la
Promesse
et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». Que fa
9
r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes
Promesses
nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobé
10
r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes
Promesses
nationales (on n’a pas compris les noms, on échange, à la dérobée, de
11
culte des ancêtres. Et pourtant, quelle est cette
promesse
mystérieusement liée au Cinquième Commandement : « …afin que tes jour
12
réalité certainement désespérante. Mais il y a la
Promesse
, mais il y a la foi qui vient nous prendre au point où tout espoir ap
13
omme, ils les accusent de diminuer l’homme par la
promesse
débilitante d’un « arrière-monde » qui serait comme une revanche cont
14
« conversion » au soviétisme considéré comme une
promesse
nouvelle de communion humaine. On s’en voudrait de condamner en trois
15
poir infini au sein du désespoir et la joie de la
Promesse
invisible, — cette vision donnée à l’homme, est la plus propre à crée
16
fondément dans le non que dans le oui » ; mais la
promesse
qui nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la promesse de la
17
nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la
promesse
de la victoire éternelle. ⁂ Loin de moi la prétention d’avoir, par ce
18
e de faire le bien, que la foi seule lui donne la
promesse
du salut, que cette foi n’est pas le couronnement de sa « vie religie
19
maine hors l’unanime attente trébuchante, hors la
Promesse
accordée à notre acte, humble et violent. Voilà ce que je veux. Mais
20
n11. ⁂ Le Nouvel Adam vit : il ne vit que dans la
promesse
. Cette Promesse est certaine, mais son accomplissement est hors du te
21
Adam vit : il ne vit que dans la promesse. Cette
Promesse
est certaine, mais son accomplissement est hors du temps, bien plus,
22
édifiant, s’il est certain que l’Évangile et ses
promesses
de salut sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste
23
u monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la
promesse
d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire,
24
t édifiant s’il est certain que l’Évangile et ses
promesses
de salut sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste
25
n second. Et pourtant mon espoir est gagé sur une
promesse
aussi certaine que ma mort et que la mort du temps lui-même au Jugeme
26
abdication de l’idéal premier. En échange de leur
promesse
d’abandonner leurs exigences trop réelles10, on leur accorde un triom
27
endu à l’industrie lourde, et ne règne que par la
promesse
de ne rien faire de ce qu’il revendiquait. 11. C’est dans ce jusqu’a
28
u monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la
promesse
d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire,
29
ut espoir qui ne serait pas le seul espoir, toute
promesse
qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
30
espoir, toute promesse qui ne serait pas la seule
promesse
: espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
31
e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et
promesse
de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
32
e, et parfois au martyre, à l’« agonie » entre la
Promesse
et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». ⁂ Que
33
omme, ils les accusent de diminuer l’homme par la
promesse
débilitante d’un au-delà qui serait comme une revanche contre tout l’
34
exactement le contraire du commandement et de la
promesse
biblique : « Croyez premièrement au Royaume, et tout le reste vous se
35
Royaume de Dieu, il faut mourir ? Que toutes les
promesses
du Christ concernent la vie de celui qui d’abord est mort ? Que non s
36
en définitive ce que nie le marxisme. Toutes les
promesses
du Christ concernent une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces p
37
nt une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces
promesses
sont eschatologiques. Ce qui ne veut nullement dire : futures au sens
38
au terme des temps, elle est dans l’instant. Les
promesses
du marxisme elles aussi ont pu être appelées eschatologiques. Mais da
39
ans mille ans, deux-mille ans. La réalisation des
promesses
du Christ est promise à ses disciples pour l’instant même où ils obéi
40
abdication de l’idéal premier. En échange de leur
promesse
d’abandonner leurs exigences trop réelles, on leur accorde un triomph
41
u monde ; dans le péché, mais comme ayant reçu la
promesse
d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire,
42
ut espoir qui ne serait pas le seul espoir, toute
promesse
qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
43
espoir, toute promesse qui ne serait pas la seule
promesse
: espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
44
e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et
promesse
de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
45
e, et parfois au martyre, à l’« agonie » entre la
Promesse
et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». ⁂ Que
46
omme, ils les accusent de diminuer l’homme par la
promesse
débilitante d’un au-delà qui serait comme une revanche contre tout l’
47
exactement le contraire du commandement et de la
promesse
biblique : « Croyez premièrement au Royaume, et tout le reste vous se
48
Royaume de Dieu, il faut mourir ? Que toutes les
promesses
du Christ concernent la vie de celui qui d’abord est mort ? Que non s
49
en définitive ce que nie le marxisme. Toutes les
promesses
du Christ concernent une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces p
50
nt une vie qui est au-delà de la mort. Toutes ces
promesses
sont eschatologiques. Ce qui ne veut nullement dire : futures au sens
51
au terme des temps, elle est dans l’instant. Les
promesses
du marxisme elles aussi ont pu être appelées eschatologiques. Mais da
52
ans mille ans, deux-mille ans. La réalisation des
promesses
du Christ est promise à ses disciples pour l’instant même où ils obéi
53
e chrétienne. Elles sont, avec les sacrements, la
promesse
de l’accomplissement en Christ — déjà venu et qui revient ! — de ce q
54
faite ! Ce que nous annonçons au monde, c’est la
promesse
de celui qui a dit : « Prenez courage, j’ai vaincu le monde. » — Chri
55
t c’est pourquoi la Parole, parmi nous, n’est que
promesse
et vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prop
56
le et imprévue n’est-elle pas comme un signe, une
promesse
émouvante de l’unité future des chrétiens, par-delà les funestes divi
57
s simplement, à la dernière minute, souligner des
promesses
d’accord aussi solides. w. « Manifeste au service du personnalisme
58
onde tel qu’il est sauvé, relié solidement par la
Promesse
et remis en marche vers elle, — le monde de la poésie. Diviser, sépar
59
me, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la
promesse
qu’elle portait. Mais cette Promesse enfin s’est incarnée. Et dès lor
60
re, et de la promesse qu’elle portait. Mais cette
Promesse
enfin s’est incarnée. Et dès lors la mesure n’est plus dans l’ancienn
61
sur le peuple, serait celle qui lui offrirait la
promesse
d’une communauté. Le « Nationalsozialismus » n’est pas le composé hyb
62
même qu’à cause de l’absolu de sa mesure et de la
promesse
qu’elle portait. Mais la Promesse enfin s’est incarnée dans un fils d
63
mesure et de la promesse qu’elle portait. Mais la
Promesse
enfin s’est incarnée dans un fils d’Israël, selon la prophétie, appor
64
sur le peuple, serait celle qui lui offrirait la
promesse
d’une communauté. Le « Nationalsozialismus » n’est pas le composé hyb
65
ce éternelle de Dieu, qui ne peut faillir dans sa
promesse
, et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
66
prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa
promesse
, une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst
67
’on détruit les racines de l’esprit créateur, les
promesses
de fécondité révolutionnaire de l’avenir. Montesquieu a dit l’essenti
68
C’est le placer sous la lumière fantastique de la
Promesse
, au point où tout se renverse, où le ciel s’ouvre sur le châtiment, o
69
forme présente, et pour le monde restauré dans la
Promesse
. Il faut aller plus loin que cette affirmation tout évidente. Non seu
70
ue nous voyons gagner toutes les églises, est une
promesse
à laquelle nous devons croire de toute la force de notre foi. Aussi n
71
paradoxe : Israël n’eût pas eu d’histoire sans la
promesse
que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tombe » avec la miss
72
ne menace et une angoisse, au moins autant qu’une
promesse
. Une menace pour les « intérêts immédiats » qui se voient par trop né
73
me, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la
promesse
qu’elle portait. ⁂ Revenons encore à Josèphe : Quant à ce que l’on n
74
endu à la Loi, qui était elle-même suspendue à la
promesse
messianique donnée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette pro
75
ée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette
promesse
, enfin, s’est incarnée. Et les juifs l’ont méconnue prenant prétexte
76
Elle étend à l’humanité entière le bénéfice de la
Promesse
qu’il a reçue, cependant que son destin final demeure entre les mains
77
ue nous avons à prendre position, mais au nom des
promesses
de la foi, et dans une perspective missionnaire qui réduit à leurs ju
78
ience éternelle de Dieu, qui ne peut faillir à sa
promesse
, et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
79
prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa
promesse
, une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst
80
et de l’État. D’autre part, il nous tente par la
promesse
d’une communauté restaurée, d’un coude-à-coude physique, d’une grande
81
rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa
promesse
éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
82
On fausse l’éthique du mariage en faisant de la
promesse
de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
83
problème ne devrait se poser qu’à partir de cette
promesse
, considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
84
e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la
promesse
de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et d’accéder au plan
85
la personne. (À condition bien entendu que cette
promesse
ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
86
elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la
promesse
du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
87
— dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une
promesse
ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
88
’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une
promesse
faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
89
upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une
promesse
, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais
90
qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses
promesses
. Qu’opposeraient-ils à Rosenberg ? 1er mai 1936 En l’honneur de
91
plan général : Décalogue, confession des péchés,
promesses
de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences
92
t. L’ère des religions s’ouvre à nous, chargée de
promesses
, mais aussi de menaces. Ère nouvelle pour les chrétiens qui pensaient
93
ue et qui s’empare avec avidité des plus furtives
promesses
de bonheur, surtout si elles sont assez obscures et ambiguës pour éch
94
la pire menace. Mais en même temps, la plus belle
promesse
! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
95
ssion que nous en sommes venus à voir en elle une
promesse
de vie plus vivante, une puissance qui transfigure, quelque chose qui
96
is joie, ni douce, ni bonne. Ne puis entrevoir en
promesse
: Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vou
97
voit un grand nombre d’aventures débuter par une
promesse
« en blanc » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui demande un
98
eront jamais que les exaltations d’un crépuscule,
promesses
de gloire jamais tenues… 86. Philippe de Félice, Poisons sacrés, i
99
rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa
promesse
éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
100
On fausse l’éthique du mariage en faisant de la
promesse
de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
101
problème ne devrait se poser qu’à partir de cette
promesse
, considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
102
e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la
promesse
de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et de s’élever au pl
103
la personne. (À condition bien entendu que cette
promesse
ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
104
elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la
promesse
du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
105
— dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une
promesse
ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
106
’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une
promesse
faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
107
upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une
promesse
, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais
108
e la scène.) Chœur céleste4. Étoile du matin,
promesse
du vrai jour, En ta clarté sois notre éveil toujours ! Surgissez et l
109
e perfides séducteurs ! Ils vous feront de belles
promesses
: Viens avec nous, tu auras de l’or… Fais alliance avec moi, je te do
110
et de sang, au travers des reflets dorés que vos
promesses
font luire aux yeux des Suisses ! Ah ! vous êtes deux bons oiseleurs
111
ssion que nous en sommes venus à voir en elle une
promesse
de vie plus vivante, une puissance qui transfigure, quelque chose qui
112
is joie, ni douce, ni bonne, Ne puis entrevoir en
promesse
: Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vou
113
voit un grand nombre d’aventures débuter par une
promesse
« en blanc » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui demande un
114
eront jamais que les exaltations d’un crépuscule,
promesses
de gloire jamais tenues… 104. Philippe de Félice, Poisons sacrés,
115
», qui entraîne un nouveau mariage, une nouvelle
promesse
de bonheur ; les trois mots étant synonymes. Ainsi, guérissant son en
116
rpent au sang froid — le cynique pur — insinue sa
promesse
éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
117
On fausse l’éthique du mariage en faisant de la
promesse
de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
118
problème ne devrait se poser qu’à partir de cette
promesse
, considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
119
e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la
promesse
de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et de s’élever au pl
120
la personne. (À condition bien entendu que cette
promesse
ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
121
elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la
promesse
du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
122
— dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une
promesse
ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
123
’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une
promesse
faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
124
upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une
promesse
, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte, qui s’appelle Iseut, mai
125
ssion que nous en sommes venus à voir en elle une
promesse
de vie plus vivante, une puissance qui transfigure, quelque chose qui
126
is joie, ni douce, ni bonne, Ne puis entrevoir en
promesse
: Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vou
127
voit un grand nombre d’aventures débuter par une
promesse
« en blanc » faite par le roi à quelque damoiselle qui lui demande un
128
eront jamais que les exaltations d’un crépuscule,
promesses
de gloire jamais tenues… 96. Philippe de Félice, Poisons sacrés, i
129
», qui entraîne un nouveau mariage, une nouvelle
promesse
de bonheur ; les trois mots étant synonymes. Ainsi, guérissant son en
130
rpent au sang-froid — le cynique pur — insinue sa
promesse
éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste
131
On fausse l’éthique du mariage en faisant de la
promesse
de fidélité un problème, alors que le problème ne devrait se poser qu
132
problème ne devrait se poser qu’à partir de cette
promesse
, considérée comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du c
133
e de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la
promesse
de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et de s’élever au pl
134
la personne. (À condition bien entendu que cette
promesse
ne soit pas faite pour des « raisons » que l’on se réserve de répudie
135
elles cesseront de paraître raisonnables ! Si la
promesse
du mariage est le type même de l’acte sérieux, c’est dans la mesure o
136
— dire non en vertu de l’absurde, en vertu d’une
promesse
ancienne, d’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une promesse
137
’une déraison humaine, d’une raison de foi, d’une
promesse
faite à Dieu, gagée par Dieu… (Et peut-être, plus tard, après coup, l
138
upable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une
promesse
, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appelle Iseut, mais
139
la pire menace. Mais en même temps, la plus belle
promesse
! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
140
tié de nous ! Christ, aie pitié de nous !… »). V.
Promesses
de grâce et absolution collective (l’assemblée debout chante : « Ô qu
141
la pire menace. Mais en même temps, la plus belle
promesse
! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
142
la pire menace. Mais en même temps la plus belle
promesse
! Maintenant la preuve est faite, attestée par le sang, que la soluti
143
rsonne reste à nos propres yeux un mystère et une
promesse
, qu’en sera-t-il aux yeux d’autrui ? Et de quel droit prétendrons-nou
144
st pourquoi enfin la Parole parmi nous, n’est que
promesse
et vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prop
145
celui qui aurait saisi, ne fût-ce qu’une fois la
promesse
de sa délivrance. De fait, on ne voit guère que les chrétiens pour av
146
ce éternelle de Dieu, qui ne peut faillir dans sa
promesse
, et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
147
prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa
promesse
, une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst
148
onde tel qu’il est sauvé, relié solidement par la
Promesse
et remis en marche vers elle, — le monde retrouvé dans l’anticipation
149
ue et qui s’empare avec avidité des plus furtives
promesses
de bonheur, de libération, d’aventure ! Toute la poésie romantique de
150
idats en députés, des programmes en combines, des
promesses
en oublis. Je pense aux élections de demain et je demande : de quoi s
151
elle, puisqu’il a été racheté, et qu’il a reçu la
promesse
de sa résurrection individuelle. Il est donc à la fois engagé et libé
152
la pire menace. Mais en même temps, la plus belle
promesse
! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
153
er le premier raid anglais de mille avions, et la
promesse
du général Marshall : « Nous débarquerons en France. » Juillet 194
154
r demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes
Promesses
nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobé
155
qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses
promesses
. Qu’opposeraient-ils à Rosenberg ? 1er mai 1936 En l’honneur de
156
plan général : Décalogue, confession des péchés,
promesses
de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences
157
t. L’ère des religions s’ouvre à nous, chargée de
promesses
équivoques. Ère nouvelle pour les chrétiens qui pensaient n’avoir plu
158
la pire menace. Mais en même temps, la plus belle
promesse
! Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la solut
159
er le premier raid anglais de mille avions, et la
promesse
du général Marshall : « Nous débarquerons en France. » 26 juin 194
160
er le premier raid anglais de mille avions, et la
promesse
du général Marshall : « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942
161
s en vrac, dont chacune signale une menace ou une
promesse
qui peut nous concerner, mais dont il nous est impossible d’évaluer l
162
dans la littérature américaine. Tout le reste est
promesses
, ou best-sellers. Cette dernière expression domine le marche du livre
163
oucher les yeux pour ne pas voir de quel côté les
promesses
faites aux masses sont tenues aux USA, non pas en URSS. Enfin, l’on m
164
oucher les yeux pour ne pas voir de quel côté les
promesses
faites aux masses sont tenues : aux USA, non pas en URSS. Enfin, l’on
165
mbler des électeurs, et de les acheter à coups de
promesses
en l’air, dont chacun sait qu’elles sont purement tactiques, mensongè
166
culte des ancêtres. Et pourtant, quelle est cette
promesse
mystérieusement liée au Cinquième Commandement : « …afin que tes jour
167
ons Strasbourg. Ce n’est pas beaucoup plus qu’une
promesse
, mais c’en est une. Nous verrons ce qu’elle vaut, avant la fin de l’a
168
u tant de temps pour qu’il obtienne les premières
promesses
d’un financement régulier. Il est clair que la tâche d’un organisme c
169
é de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une
promesse
effarante : le loisir. La technocratie. L’homme qui cesse de sentir
170
e mesure qui donnerait un contenu concret à cette
promesse
: la reconnaissance du droit d’opposition. 7. K. demande la libératio
171
Promesses
du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)aw C’est au début d
172
», Bulletin du Centre européen de la culture : «
Promesses
du Marché commun », Genève, n° 6, décembre 1957, p. 1.
173
on de nos jours le message communiste apporter la
promesse
d’une « fin de l’histoire », c’est-à-dire d’une fin de la souffrance
174
souvent, Dieu ou le monde ? Les privilèges et les
promesses
que Dieu accorde, Il ne les rompt pas, et Il ne dit pas non plus, apr
175
é de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une
promesse
effarante : le loisir. La technocratie. L’homme qui cesse de sentir