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disciples des grands prophètes. Ce serait donc le
prophétisme
, c’est-à-dire l’élément le plus finaliste de la religion d’Israël qui
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disciples des grands prophètes. Ce serait donc le
prophétisme
, c’est-à-dire l’élément le plus finaliste de la religion d’Israël qui
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disciples des grands prophètes. Ce serait donc le
prophétisme
, c’est-à-dire l’élément le plus finaliste de la religion d’Israël qui
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étorique. Elle s’oppose à l’inspiration libre, au
prophétisme
. Ici apparaît la limite du jeu : dans le christianisme, par exemple,
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il se trouve que le même poète, dans un accès de
prophétisme
, a pu écrire : La Suisse, dans l’Histoire, aura le dernier mot. Ent
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s notions de la foi, du monothéisme jaloux, et du
prophétisme
transcendant la Loi, notions reprises et universalisées par le christ
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oint d’harmonie préétablie entre, par exemple, le
prophétisme
juif et le sens grec de la mesure ; ou entre le sens critique d’un So
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disciples des grands prophètes. Ce serait donc le
prophétisme
, c’est-à-dire l’élément le plus finaliste de la religion d’Israël qui
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is son départ. Nulle harmonie préétablie entre le
prophétisme
juif et la mesure grecque, le sens critique et la raison d’État, les
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e, le sens romain des institutions, mais aussi le
prophétisme
juif, antidote spirituel des rites, le sens germanique de la communau