1
ité, — et qui renferme autant de mensonges que de
propositions
. En vérité, la force de l’anti-révolution ne réside pas dans l’argume
2
n d’être conduit par la pensée de quelques-uns22.
Proposition
antirévolutionnaire, il faut le dire, et niée par les faits dont elle
3
être comprise en arrière, mais il oublie l’autre
proposition
: qu’elle doit être vécue en avant.60 » Semble-t-il pas que le temps
4
. 17. Voir aussi, au sujet du service civil, les
propositions
du Plan, p. 46. 18. Nous les aurions mis à la porte. j. « Plans de
5
oi consiste en une action16. (Ce qui confirme nos
propositions
sur la nature actuelle de la personne). La foi au Christ est propreme
6
r, en effet, que la situation qui donne lieu à la
proposition
qu’on vient de lire ne saurait être celle d’une société équilibrée. O
7
e du libéral rationaliste, c’est de croire que la
proposition
« l’Angleterre est le plus beau pays du monde » comporte un sens rati
8
on et l’objet, entre la position de l’homme et la
proposition
du monde. C’est la région de la rencontre et de la forme. Et non poin
9
ù les objets qui « veulent dire » s’assemblent en
propositions
(à l’homme), seul discours proprement cohérent, puisqu’il ne tire ses
10
’il manifeste avec puissance, Claudel répond à la
proposition
universelle. Qu’on parle alors de procédé, si l’on y tient, mais il f
11
ns faire, et qui est utile, c’est de discuter les
propositions
générales et théoriques que l’on a voulu déduire de ces faits, et qui
12
uvons faire, et qui est utile, c’est de juger les
propositions
générales et théoriques que l’on a voulu déduire de ces faits, et qui
13
e : « Emmanuel ! » — Dieu avec nous ! 68. À la
proposition
qu’on lui faisait, en 1537, d’éditer ses œuvres complètes, le réforma
14
formulée et résumée, de part et d’autre, par deux
propositions
parfaitement claires qui, tout en affirmant avec vigueur la nécessité
15
e : « Emmanuel ! » — Dieu avec nous ! 30. À la
proposition
qu’on lui faisait, en 1587, d’éditer ses œuvres complètes, le réforma
16
aire passer pour « naturelles » les plus obscures
propositions
. Masque idéal ! Garantie de secret, mais aussi garantie d’approbation
17
condition qu’on change le signe de chacune de ses
propositions
. Par exemple, là où la science proclame que la mystique résulte d’une
18
des cathares. 3° C’est sans doute à tort qu’à la
proposition
: « Tout érotomane est un mystique qui s’ignore », on a cru pouvoir r
19
aire passer pour « naturelles » les plus obscures
propositions
. Masque idéal ! Garantie de secret, mais aussi garantie d’approbation
20
condition qu’on change le signe de chacune de ses
propositions
. Par exemple, là où la science proclame que la mystique résulte d’une
21
des cathares. 3° C’est sans doute à tort qu’à la
proposition
: « Tout érotomane est un mystique qui s’ignore », on a cru pouvoir r
22
aire passer pour « naturelles » les plus obscures
propositions
. Masque idéal ! Garantie de secret, mais aussi garantie d’approbation
23
condition qu’on change le signe de chacune de ses
propositions
. Par exemple, là où la science proclame que la mystique résulte d’une
24
des cathares. 3° C’est sans doute à tort qu’à la
proposition
: « Tout érotomane est un mystique qui s’ignore », on a cru pouvoir r
25
depuis longtemps l’occasion de formuler certaines
propositions
qui trouveront aujourd’hui, peut-être, de l’écho. J’ai passé plusieur
26
était nécessaire. Parfois le Malin retournait les
propositions
, commençait par le nécessaire ; il raisonnait ainsi — car le Malin c’
27
de l’amour prime le droit du serment. Mais cette
proposition
ébranle un monde. Car attaquer au plus intime de l’être le sens de l’
28
était nécessaire. Parfois le Malin retournait les
propositions
, commençait par le nécessaire ; il raisonnait ainsi — car le Malin c’
29
de l’amour prime le droit du serment. Mais cette
proposition
ébranle un monde. Car attaquer au plus intime de l’être le sens de l’
30
était nécessaire. Parfois le Malin retournait les
propositions
, commençait par le nécessaire ; il raisonnait ainsi — car le Malin c’
31
de l’amour prime le droit du serment. Mais cette
proposition
ébranle le monde. Car attaquer au plus intime de l’être le sens de l’
32
é vaudrait mieux. ⁂ Ces remarques m’amènent à une
proposition
que je voudrais défendre et illustrer dans une série d’écrits à venir
33
vois que vous allez passer sans crier gare à des
propositions
théologiques. Souffrez alors que je m’avoue incompétent, et que j’ass
34
e tout à Dieu. Traité du serf arbitre À la
proposition
qu’on lui faisait en 1537 d’éditer ses œuvres complètes, le réformate
35
on et l’objet, entre la position de l’homme et la
proposition
du monde. C’est la région de la rencontre et de la forme. Et non poin
36
ù les objets qui « veulent dire » s’assemblent en
propositions
(à l’homme), seul discours proprement cohérent, puisqu’il ne tire ses
37
’il manifeste avec puissance, Claudel répond à la
proposition
universelle. Qu’on parle alors de procédé, si l’on y tient, mais il f
38
scutées. L’art consistait jadis à donner sens aux
propositions
de la vie. Ses règles émergeaient de la nature profonde, elles prolon
39
autres lois que les lois mêmes de la vie. » Cette
proposition
des plus étranges est reçue sans le moindre étonnement par la critiqu
40
rd qui fait trop bien les choses ». J’extrais ces
propositions
de la préface aux Hommes de bonne volonté, bon témoignage sur l’opini
41
l’Europe est prête à faire le bien, mais que des
propositions
aussi simplistes que la mienne méritent au mieux un sourire indulgent
42
l’Europe est prête à faire le bien, mais que des
propositions
aussi simplistes que la mienne méritent au mieux un sourire indulgent
43
s son papier à Paulhan, et allait m’envoyer « des
propositions
de lutte commune sur des objectifs précis ». Mais soudain, dans un pa
44
uvernements démocratiques prennent au sérieux une
proposition
de ce genre et assument tous les risques qu’elle comporte. Non que le
45
Allemagne. Inutile de dire que l’auteur de cette
proposition
déconcertante n’est pas un vieux routier de la politique. C’est un gé
46
de ce genre seront sans efficacité. Cependant, la
proposition
Baruch a cela d’excellent qu’elle impliquerait un renoncement partiel
47
vois que vous allez passer sans crier gare à des
propositions
théologiques. Souffrez alors que je m’avoue incompétent, et que j’ass
48
l y a deux semaines, elle faisait bon accueil aux
propositions
détaillées que les délégués de notre Mouvement européen lui soumettai
49
emeurent. Et il y a un redoutable abîme entre les
propositions
de Denis de Rougemont et les résultats des travaux de Strasbourg. On
50
local directement à l’Europe. Pour en venir à des
propositions
plus pratiques, je proposerai que s’établisse un réseau européen de d
51
d’hygiène et de psychologie sportives. Quatrième
proposition
: nous pourrions faire circuler parmi les foyers une sorte de lettre
52
une aire donnée), de subvention (après examen des
propositions
étudiées et soumises par les intéressés directs) et parfois d’arbitra
53
nvoyées à chacun des 12 compositeurs retenus. Sur
proposition
de MM. Nabokov et de Rougemont, le comité exécutif fonctionnera à la
54
une aire donnée), de subvention (après examen des
propositions
étudiées et soumises par les intéressés directs) et parfois d’arbitra
55
l’Assemblée fédérale et donne son préavis sur les
propositions
qui lui sont adressées par les conseils ou par les cantons » (art. 10
56
arler comme certains journaux neutralistes, « une
proposition
constructive et que l’on ne saurait écarter sans un examen attentif »
57
urde ; pratiquement, elle conduit à refuser toute
proposition
concrète d’union — on vient de le voir par le rejet de la CED. Ceci d
58
nt les cantons étouffaient l’économie. Mais toute
proposition
de pacte fédéral plus étroit se heurtait au veto des cantons, jaloux
59
ire connaître aux Russes « ce qui existe ». Et la
proposition
spectaculaire du président Eisenhower — « photographiez toutes nos in
60
ndant à une invitation lancée par le CEC, sur une
proposition
de son conseiller musical, Igor Markevitch, les directeurs d’une quin
61
trois raisons : 1. Il n’est pas exact que les 17
propositions
occidentales relatives aux échanges culturels aient été rejetées unif
62
nvisagées dans ce bulletin, et donneront lieu aux
propositions
concrètes qui le terminent. ⁂ Un rappel des phases principales de l’h
63
on présente, sur la base duquel sont établies nos
propositions
. y. « Pourquoi nous persévérons », Bulletin du Centre européen de l
64
culturelles. A. Points de départ I. Les 17
propositions
occidentales (Propositions des gouvernements de la France, du Roya
65
part I. Les 17 propositions occidentales (
Propositions
des gouvernements de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis, tex
66
onnaître et de rechercher ce qui unit ». D’où les
propositions
suivantes : 1. « …que toute censure soit progressivement supprimée. »
67
II. La première déclaration de M. Molotov et la
proposition
soviétique (31 octobre 1955) M. Molotov rappelle que le Soviet sup
68
l s’agit des 17 points)… il contient une série de
propositions
qui constituent une tentative de s’immiscer dans les affaires intérie
69
chose : elle ne peut pas accepter pour examen des
propositions
de ce genre et les considère déplacées. Il a été dit ici (en juillet)
70
aines indications essentielles » telles que « les
propositions
déposées par la délégation soviétique, ainsi qu’un nombre de points d
71
spectifs ce qui intéresse surtout ces pays ». Une
proposition
de résolution commune, déposée par l’URSS, condense ce discours de M.
72
e peuple. M. Pinay (14 novembre) : En fait, les
propositions
soviétiques sacrifient les échanges d’idées aux échanges techniques.
73
réponse que fait le gouvernement soviétique à nos
propositions
constructives et conciliantes est de nous demander l’abolition des co
74
rées, ont été rejetés ». (16 novembre) : Aucune
proposition
concrète des Occidentaux pour éliminer les obstacles au libre-échange
75
tre aisément renversé. Tableau récapitulatif
Propositions
occidentales du 31 octobre Réponses soviétiques du 14 novembre
77
-elles. Nous éliminerons par principe toutes les
propositions
qui pourraient contenir un piège politique ou cacher une manœuvre de
78
Nous ne reprendrons pas à notre compte, dans les
propositions
qui suivent, les demandes « inacceptables » aux yeux des dirigeants s
79
essés, très logiquement de leur point de vue, aux
propositions
des Trois Grands occidentaux. II. Propositions Les projets que
80
propositions des Trois Grands occidentaux. II.
Propositions
Les projets que nous avons étudiés sont précis et modestes, non sp
81
ns maintenant, à l’aide de quelques exemples, ces
propositions
de départ, qui sont toutes susceptibles de modifications et de mises
82
pes. Telle est la conviction qui inspire les deux
propositions
suivantes : Équipe de sociologues.— Des revues soviétiques exprimaie
83
seules compétentes en URSS opposaient à de telles
propositions
une fin de non-recevoir absolue, ou un mutisme massif, les intellectu
84
erraient obligés, du même coup, de penser que les
propositions
soviétiques d’échanges culturels sont vides de tout contenu concret,
85
ue commune : ils ne savent pas dessiner. » ab. «
Propositions
», Bulletin du Centre européen de la culture : « Europe-URSS : la que
86
bation et des articles de presse favorables à nos
propositions
. Mais il faut être deux pour dialoguer. En attendant, citons quelques
87
anifestations musicales, illustrant ainsi par des
propositions
concrètes les conclusions générales qui me semblent résulter de notre
88
re philosophe se résumerait alors en une série de
propositions
aussi simples en soi que surprenantes dans leur succession : la polit
89
avérés, invétérés et systématiques ? Telle est la
proposition
centrale du dernier livre de Suzanne Labin, Les Entretiens de Saint-G
90
péciaux du bulletin sont demandés de partout, les
propositions
d’activités nouvelles affluent, la nécessité de recherches coordonnée
91
oles publiques des cours de lecture des journaux.
Proposition
toute naturelle d’ailleurs, si l’on veut bien se rappeler qu’apprendr
92
pour rapporter sur cet objet devait remettre ses
propositions
le 1er juillet aux Conseils des ministres. Nous ignorons encore le co
93
européen de la recherche Dans l’esprit de la
proposition
qu’on vient de lire, le CEC a lancé une enquête auprès des personnali
94
dès l’automne 1958. Il a la charge d’étudier les
propositions
émanant des membres du pool, des institutions européennes, ou des aut
95
nne ont coutume d’affirmer simultanément les deux
propositions
contradictoires que voici : primo ; il n’y a pas de culture européenn
96
nne ont coutume d’affirmer simultanément les deux
propositions
contradictoires que voici. Ils affirment primo : qu’il n’y a pas de c
97
des choses différentes et chacun d’eux appuie ses
propositions
sur des raisons particulières. On en vient à se battre entre collègue
98
des choses différentes et chacun d’eux appuie ses
propositions
sur des raisons particulières. On en vient à se battre entre collègue
99
pratique, puis, sous cette majeure, il subsume la
proposition
particulière, qui constitue proprement son objet, et il conclut à tel
100
quelque chose des secrètes instructions et hautes
propositions
que le roi vous avait ordonné de lui faire, mais seulement comme de v
101
.— Des réels avantages qui résulteraient de cette
proposition
en vue de la paix Je suis maintenant parvenu à mon dernier chapitre d
102
eux et réels bienfaits qui découleraient de cette
proposition
pour la présente et future paix de l’Europe… En dehors de la perte de
103
ions de l’Europe, quoique certaines parties de ma
proposition
aient été envisagées par la sagesse, la justice et la valeur d’Henri
104
e les ai toutes rapportées à deux chefs ou à deux
Propositions
, que je me propose d’y démontrer. 1° La constitution présente de l’Eu
105
u’à ne le pas signer. La majeure, ou la première
proposition
contient les motifs, & l’on en trouvera la preuve dans le troisiè
106
rce de la démonstration. La mineure ou la seconde
proposition
contient les moyens, la preuve s’en trouvera au quatrième Discours. À
107
a au quatrième Discours. À l’égard de la dernière
proposition
, ou de la conclusion, c’est le but que je me suis proposé dans cet Ou
108
son intrigue. Le plan qui suit se fonde sur deux
propositions
fondamentales : 1. La réduction et la fixation de la force des différ
109
ndances lointaines de chaque État. Chacune de ces
propositions
possède ses avantages distincts ; mais ni l’une ni l’autre, comme on
110
poir, mais qu’elle l’est à un degré tel que toute
proposition
dans ce sens mériterait d’être tenue pour visionnaire et ridicule. Je
111
ux fait, pour préparer les esprits à recevoir une
proposition
de ce genre, que la proposition elle-même ? Et qu’on ne m’objecte pas
112
ts à recevoir une proposition de ce genre, que la
proposition
elle-même ? Et qu’on ne m’objecte pas que les temps ne sont pas mûrs
113
paix. La réflexion m’a convaincu de la vérité des
propositions
suivantes : I. Qu’il n’est pas de l’intérêt de la Grande-Bretagne d’a
114
cidé peu après qu’un Mémorandum préciserait cette
proposition
très générale et assez ambiguë, et qu’il serait élaboré par la France
115
mmunauté européenne autant que de l’humanité. La
proposition
française n’eut pas de suites concrètes : d’une part, tout en préconi
116
de donner leur opinion sur le principe même de la
proposition
, et d’informer leurs collègues sur les possibilités et difficultés ex
117
anière, il nous semble que la discussion de notre
proposition
, même si elle n’aboutit pas à des résultats immédiats dans toutes les
118
à n’en pas tenir compte, je finis par accepter la
proposition
de voyage aux États-Unis. Pour la Suisse, cet été-là, le péril milita
119
ntraîne une politique bien définie. ⁂ La première
proposition
n’entraîne pas de longs commentaires. Il est évident que des peuples,
120
ces de division, internes ou externes. La seconde
proposition
n’est pas aussi évidente pour chacun. Cependant, il n’est pas diffici
121
l est le refrain qui saluera désormais toutes les
propositions
de paix et d’union, jusqu’à nos jours. (Il faudra la menace de la bom
122
de Paris27. Il se signale entre autres par trois
propositions
fort étonnantes pour l’époque : 1° englober les Turcs dans la fédérat
123
ocrement écrits pas grand-chose de neuf, sinon la
proposition
de commencer l’union de l’Europe par un congrès réuni à La Haye — ce
124
formulée et résumée, de part et d’autre, par deux
propositions
parfaitement claires qui, tout en affirmant avec vigueur la nécessité
125
que j’avais à vous dire aujourd’hui se résume en
propositions
d’une extrême simplicité. La technique est un instrument qui ne saura
126
serait tout le monde… » Cette honnête et curieuse
proposition
émanait de Marcel Thiébaut, directeur d’une nouvelle collection sur l
127
l’Assemblée fédérale et donne son préavis sur les
propositions
qui lui sont adressées par les conseils ou par les cantons » (art. 10
128
yen. Je ne puis m’expliquer autrement la curieuse
proposition
publiée au moment du grand débat sur le suffrage féminin : faire paye
129
ient des barrières entre les divers membres d’une
proposition
. « Ouais, enfin… tu comprends ? » On se quitte sans s’être compris. D
130
eignement des arts, je voudrais formuler quelques
propositions
méthodologiques, déduites des considérations générales qui précèdent.
131
sont requis de se prononcer publiquement sur une
proposition
d’union. La montée de Hitler au pouvoir fait oublier leurs prises de
132
multinationales à l’échelle de l’Europe — toutes
propositions
qui étaient encore proprement impensables pour un esprit français, il
133
ces termes soient traduits et exemplifiés par des
propositions
plus détaillées d’institutions ou d’organismes à créer. Toutefois, da
134
pard sur le syndicalisme, je souligne beaucoup de
propositions
plus riches et plus précises que les motions finales. Le cadre de tou
135
la mise en place d’exécutifs régionaux, — toutes
propositions
qui étaient proprement impensables pour un esprit français il y a dix
136
d’opposer un refus quasi automatique à toutes les
propositions
d’union un peu hardies, sous le double prétexte « qu’on n’est pas sûr
137
, croit, sans la moindre discussion, une série de
propositions
axiomatiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible.
138
e la science constitutionnelle », je trouve cette
proposition
: Organiser en chaque État fédéré le gouvernement d’après la loi de
139
, croit, sans la moindre discussion, une série de
propositions
axiomatiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible.
140
e sa science constitutionnelle », je trouve cette
proposition
: Organiser en chaque État fédéré le gouvernement d’après la loi de
141
t obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma
proposition
. Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire tenait le fédérali
142
t obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma
proposition
. Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire tenait le fédérali
143
seul permettre le fédéralisme. Je retournerai la
proposition
et dirai que, s’il y a un sens civique en Suisse, c’est dû précisémen
144
s, j’aurais pleinement atteint mon but. Toute sa
proposition
tient en une phrase, au surplus interrogative : N’y aurait-il pas mo
145
ir fait œuvre cohérente). 4. Il y a, enfin, cette
proposition
de District fédéral de l’Europe. Elle a fait quelque bruit, mais rien
146
n attentif, lucide du passé suisse est sortie une
proposition
constructive, peut-être la première depuis un siècle qui soit inspiré
147
mule fédérale pour l’union de l’Europe. Car cette
proposition
-là, elle sortirait de toute son histoire, elle sortirait de ce que no
148
eignement des arts, je voudrais formuler quelques
propositions
méthodologiques, déduites des considérations générales qui précèdent.
149
oles publiques des cours de lecture des journaux.
Proposition
toute naturelle d’ailleurs, si l’on veut bien se rappeler qu’apprendr
150
ngt-cinq qui constituent l’Europe à mon sens. Les
propositions
des fédéralistes ? En réalité, les États ne les ont jamais prises le
151
t obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma
proposition
. Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire tenait le fédérali
152
re les cantons étouffaient l’économie. Mais toute
proposition
de pacte fédéral plus étroit se heurtait au veto des cantons, jaloux
153
ionales multinationales à l’échelle de l’Europe —
propositions
proprement impensables pour un esprit français, il y a dix ou vingt a
154
, croit, sans la moindre discussion, une série de
propositions
axiomatiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible44
155
e sa science constitutionnelle », je trouve cette
proposition
: Organiser en chaque État fédéré le gouvernement d’après la loi de
156
t obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma
proposition
. Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire tenait le fédérali
157
hercherait en vain dans leurs œuvres « la moindre
proposition
spécifiquement hérétique » (p. 234), mais ceci est une autre histoire
158
ercherait en vain dans (leurs) cansos… la moindre
proposition
spécifiquement hérétique… Tous s’en tiennent aux données de l’érotiqu
159
dans les poèmes de Tzara ou d’Éluard « la moindre
proposition
spécifiquement anarchiste » (ni d’ailleurs spécifiquement communiste,
160
a un purgatoire de mille ans » ? C’est la seconde
proposition
qui a été retenue par l’histoire. Peut-on décrire alors le « purgatoi
161
munautaire dans les esprits. Dans cette vue trois
propositions
d’action concrète, culturelles tout autant que politiques, et l’inver
162
sons de me retrouver dans l’une et l’autre de ces
propositions
rigoureusement complémentaires). Tout le monde parle aujourd’hui de r
163
e foi et que sa main d’un geste donne un sens aux
propositions
de la nature. Et c’est pourquoi, parmi les œuvres de Théodore Strawin