1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 pays qu’on s’est trop souvent plu à dire si âpre, prosaïque et d’une maigre végétation artistique. Pays où l’on préfère la nettet
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
2 ssais l’amour dans ce qu’il a de plus étrangement prosaïque à la fois et bêtement heureux. Le lendemain était le premier jour du
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
3 rêve raisonnablement organisé des esprits moyens, prosaïques et rassis3 qui tiennent aujourd’hui les charges de l’État, piliers d’
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
4 rêve raisonnablement organisé des esprits moyens, prosaïques et rassis qui tiennent aujourd’hui les charges de l’État, piliers d’u
5 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
5 s symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et rationnels. Ce n’est donc que sur le double sens allégorique que d
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
6 s symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et rationnels. Ce n’est donc que sur le double sens allégorique que d
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
7 s symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et rationnels. Ce n’est donc que sur le double sens allégorique que d
8 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
8 restituées dans leur nouveauté la plus abrupte et prosaïque . Son baroque est celui du bon sens et du langage quotidien de son tem
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
9 n de s’exalter dans la révolte contre les données prosaïques et tyranniques de la société, de la morale, et plus profondément de l
10 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
10 tude. C’est patriarcal et abstrait, très nu, très prosaïque , non dépourvu d’un sombre charme pour certains — Andersen écrivit au