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s seulement défaut de communion, mais aussi, plus
prosaïquement
, défaut de communications. Toutes ces autos qui s’embouteillent sur l
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du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et «
prosaïquement
» restrictive. Peut-on soutenir que la faute morale est le vrai sujet
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du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et «
prosaïquement
» restrictive. Peut-on soutenir que la faute morale est le vrai sujet
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du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et «
prosaïquement
» restrictive. Peut-on soutenir que la faute morale est le vrai sujet
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faite en réalité, que de détails qui se succèdent
prosaïquement
. Rien d’excitant, sinon l’idée d’ensemble quand on prend un peu de re
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s seulement défaut de communion, mais aussi, plus
prosaïquement
, défaut de communications. Toutes ces autos qui s’embouteillent sur l
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aite, en réalité, que de détails qui se succèdent
prosaïquement
. Rien d’excitant, sinon l’idée d’ensemble quand on prend un peu de re
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par volonté. Il faut unir Éros et Agapè. Et plus
prosaïquement
, rendre le mariage plus difficile. Le temps, la réflexion, ne gâchent
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t-ce qui arriverait si ça réussissait ? » Et plus
prosaïquement
encore : « À quoi ça sert ? » Si l’on s’était interrogé à propos de l