1
sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles
provençales
. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
2
me le poète lyrique — rattaché encore à une école
provençale
qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-syrienne pu
3
extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes
provençaux
et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute parce qu
4
. « Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle
provençal
, l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
5
à-dire de l’amour courtois. (Donnoi, ou domnei en
provençal
, désigne la relation de vasselage instituée entre l’amant-chevalier e
6
gner Thomas. 11. Fauriel, Histoire de la poésie
provençale
, I, p. 512. 12. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour,
7
langage du troubadour, qui n’a jamais été que le
provençal
.28 » Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amou
8
… et qui s’appelait consolament. Certains prêtres
provençaux
bénirent même cette union mystique en la plaçant sous l’invocation de
9
re. Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie
provençale
et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer
10
s et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique
provençale
: ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres ont suppos
11
t éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique
provençale
des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétiennes dénatur
12
’amour, qui forment les trois quarts de la poésie
provençale
, une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vide
13
u’un grand fait historique domine le xiie siècle
provençal
: Dans le même temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes prov
14
t Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en
provençal
est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes l
15
à Dante, son disciple, en un couplet du plus pur
provençal
: Jeu sui Arnautz, che plor e vai cantan… ⁂ L’Église de Rome savait
16
’était pas connue du tout, le problème du lyrisme
provençal
resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des roma
17
les thèmes que nous avons relevés chez les poètes
provençaux
entretiennent avec le néo-manichéisme des relations d’un type analogu
18
d’embrouiller les sens (entrebescar disaient les
Provençaux
: entrelacer) s’expliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’a
19
l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique
provençale
, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fois la poési
20
épondit qu’il fallait ignorer à la fois la poésie
provençale
et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe. Mais Schlegel prouvait d
21
ret des allégories. Or dans la plupart des poèmes
provençaux
apparaissent des personnages qualifiés de losengiers (médisants, indi
22
de la mystique occidentale mais aussi du lyrisme
provençal
. C’est l’oraison jaculatoire de sainte Thérèse : Je meurs de ne pas m
23
ables romans. C’est qu’à la différence des poèmes
provençaux
, ils s’attachent à décrire les trahisons de l’amour, au lieu d’exprim
24
éré comme « connaissance » suprême (canoscenza en
provençal
). Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de Voltaire à Freud)
25
et de l’amour courtois, mais chez les troubadours
provençaux
du xiie siècle. Les plus féconds éléments de leur doctrine, de leur
26
est à la rhétorique du mythe, héritage de l’amour
provençal
. Il n’est pas nécessaire de supposer ici quelque pouvoir magique des
27
n ne trouve à la cour de Palerme qu’un seul poète
provençal
, et Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se demander dans q
28
extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes
provençaux
et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute185, mais
29
3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle
provençal
, l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
30
un dialecte intermédiaire entre le français et le
provençal
. À tous égards, elle marque la transition de l’épopée française au «
31
à-dire de l’amour courtois. (Donnoi, ou domnei en
provençal
, désigne la relation de vasselage instituée entre l’amant-chevalier e
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gner Thomas. 13. Fauriel, Histoire de la poésie
provençale
, I, p. 512. 14. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour,
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re. Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie
provençale
et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer
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s et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique
provençale
: ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres ont suppos
35
t éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique
provençale
des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétiennes dénatur
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’amour, qui forment les trois quarts de la poésie
provençale
, une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vide
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u’un grand fait historique domine le xiie siècle
provençal
: Dans le même temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes prov
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t Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en
provençal
est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes l
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’était pas connue du tout, le problème du lyrisme
provençal
resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des roma
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les thèmes que nous avons relevés chez les poètes
provençaux
entretiennent avec le néo-manichéisme des relations d’un type analogu
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d’embrouiller les sens (entrebescar disaient les
Provençaux
: entrelacer) s’expliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’a
42
l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique
provençale
, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fois la poési
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épondit qu’il fallait ignorer à la fois la poésie
provençale
et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe. Mais Schlegel prouvait d
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ret des allégories. Or dans la plupart des poèmes
provençaux
apparaissent des personnages qualifiés de losengiers (médisants, indi
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de la mystique occidentale mais aussi du lyrisme
provençal
. C’est l’oraison jaculatoire de sainte Thérèse : Je meurs de ne pas m
46
ici remplir des pages de citations d’Arabes et de
Provençaux
dont nos grands spécialistes de « l’abîme qui sépare » auraient parfo
47
mme » Barlaam. La version qui nous est restée, en
provençal
du xive siècle, quoique orthodoxe dans les grandes lignes, porte des
48
ables romans. C’est qu’à la différence des poèmes
provençaux
, ils s’attachent à décrire les trahisons de l’amour, au lieu d’exprim
49
Cingria, Ieu oc tan (dans Mesures, n° 2, 1937). «
Provençal
» veut dire en réalité : toulousain, en l’occurrence. 31. A. Jeanroy
50
éré comme « connaissance » suprême (canoscenza en
provençal
). Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de Voltaire à Freud)
51
et de l’amour courtois, mais chez les troubadours
provençaux
du xiie siècle. Les plus féconds éléments de leur doctrine, de leur
52
est à la rhétorique du mythe, héritage de l’amour
provençal
. Il n’est pas nécessaire de supposer ici quelque pouvoir magique des
53
n ne trouve à la cour de Palerme qu’un seul poète
provençal
, et Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se demander dans q
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extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes
provençaux
et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute203, mais
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3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle
provençal
, l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
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à-dire de l’amour courtois. (Donnoi, ou domnei en
provençal
, désigne la relation de vasselage institué entre l’amant-chevalier et
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u’il soit… » 7. Fauriel, Histoire de la poésie
provençale
, I, p. 512. 8. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour,
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langage du troubadour, qui n’a jamais été que le
provençal
. »22 Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amo
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e. Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie
provençale
et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer
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s et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique
provençale
: ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres ont suppos
61
t éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique
provençale
des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétiennes dénatur
62
’amour, qui forment les trois quarts de la poésie
provençale
, une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vide
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u’un grand fait historique domine le xiie siècle
provençal
: Dans le même temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes prov
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t Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en
provençal
est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes l
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’était pas connue du tout, le problème du lyrisme
provençal
resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des roma
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les thèmes que nous avons relevés chez les poètes
provençaux
entretiennent avec le néo-manichéisme des relations d’un type analogu
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d’embrouiller les sens (entrebescar disaient les
Provençaux
: entrelacer) s’expliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’a
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l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique
provençale
, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fois la poési
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épondit qu’il fallait ignorer à la fois la poésie
provençale
et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe. Mais Schlegel prouvait d
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ret des allégories. Or dans la plupart des poèmes
provençaux
apparaissent des personnages qualifiés de losengiers (médisants, indi
71
de la mystique occidentale mais aussi du lyrisme
provençal
et de Tristan. C’est l’oraison jaculatoire de sainte Thérèse : Je meu
72
ici remplir des pages de citations d’Arabes et de
Provençaux
dont nos grands spécialistes de « l’abîme qui sépare » auraient parfo
73
mme » Barlaam. La version qui nous est restée, en
provençal
du xive siècle, quoique orthodoxe dans les grandes lignes, porte des
74
ables romans. C’est qu’à la différence des poèmes
provençaux
, ils s’attachent à décrire les trahisons de l’amour, au lieu d’exprim
75
ria, « leu oc tan » (dans Mesures, n° 2, 1937). «
Provençal
» veut dire en réalité : limousin, puis toulousain, en l’occurrence.
76
éré comme « connaissance » suprême (canoscenza en
provençal
). Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de Voltaire à Freud)
77
et de l’amour courtois, mais chez les troubadours
provençaux
du xiie siècle. Les plus féconds éléments de leur doctrine, de leur
78
est à la rhétorique du mythe, héritage de l’amour
provençal
. Il n’est pas nécessaire de supposer ici quelque pouvoir magique des
79
n ne trouve à la cour de Palerme qu’un seul poète
provençal
, et Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se demander dans q
80
extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes
provençaux
et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute189, mais
81
3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle
provençal
, l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
82
un dialecte intermédiaire entre le français et le
provençal
. À tous égards, elle marque la transition de l’épopée française au «
83
arfois, le premier vers semble traduit d’un poème
provençal
ou français… À la lisière des Flandres se trouvaient alors en effet d
84
sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles
provençales
. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
85
sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles
provençales
. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
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sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles
provençales
. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
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sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles
provençales
. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
88
-romane, qu’on ne peut rapprocher que de l’ancien
provençal
. ⁂ La vocation européenne de la Suisse est donc clairement inscrite d
89
mme » Barlaam. La version qui nous est restée, en
provençal
du xive siècle, quoiqu’orthodoxe dans les grandes lignes, porte des
90
l’allemand, le flamand, le breton, le catalan, le
provençal
, l’arabe et l’italien, — je pense à la Corse, bien entendu. En revanc
91
vention doit être attribuée aux chevaliers poètes
provençaux
, ces hommes magnifiques et ingénieux du gai saber à qui l’Europe est
92
vention doit être attribuée aux chevaliers-poètes
provençaux
, ces hommes magnifiques et ingénieux du gai saber à qui l’Europe est
93
agon ; au midi également, ils sont bornés par les
Provençaux
et par les pentes de l’Apennin. Pierre Dubois (env. 1250-1320)
94
Nord à Stamboul, comme c’était le cas naguère du
Provençal
à Paris, du Saint-Gallois à Genève, du Sicilien en Lombardie. Ils dis
95
le flamand, le breton, le basque, le catalan, le
provençal
, l’italien et l’arabe. Et l’on parle le français dans quatre autres n
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le flamand, le breton, le basque, le catalan, le
provençal
, l’italien et — hier — l’arabe. Et l’on parle le français dans quatre
97
grois et le Rhône réunit les Languedociens et les
Provençaux
? Allons donc ! C’est l’histoire du trait d’union : est-ce qu’il sépa
98
le flamand, le breton, le basque, le catalan, le
provençal
et au moins deux dialectes italiens, pour ne rien dire de l’arabe hie
99
s, ses Catalans, ses Alsaciens, ses Flamands, ses
Provençaux
, ses Italiens et ses Corses — et que sera-ce demain en Tchécoslovaqui
100
français, les autres à parler espagnol. On parle
provençal
sur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux rives du Rhin, fra
101
t aux Catalans, aux Bretons et aux Alsaciens, aux
Provençaux
, aux Corses, aux Sardes, aux Siciliens, aux Bessarabiens et aux Ruthè
102
français, les autres à parler espagnol. On parle
provençal
sur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux rives du Rhin, fra
103
, Alsaciens, Flamands, Basques, Catalans, Corses,
Provençaux
et Occitans, qui persistent à parler leur langue maternelle au lieu d
104
commune substance de l’amour arabe et de l’amour
provençal
. » Et certes, si l’on voit bien que « l’amour insatisfait par essence
105
t le crime des manichéens », et que dans le roman
provençal
anonyme intitulé Flamenca, obligé de se déguiser en clerc pour approc
106
que je soulignais d’entrée de jeu : que « l’amour
provençal
» s’est développé parallèlement au catharisme, dans les mêmes régions
107
se répandre vers le sud toulousain et le sud-est
provençal
, avec lesquels on confond de nos jours les troubadours — mais Dante,
108
seille, 1943, article de René Nelli sur « L’Amour
Provençal
», p. 66. 227. Bleheri, barde breton, vit et chante à la cour de Gui
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aises, comme le breton, le flamand, l’occitan, le
provençal
, le basque, l’italien, le catalan et l’allemand. Toute la géographie
110
ités italiennes, flamandes, rhénanes, espagnoles,
provençales
, hanséatiques) du Moyen Âge et de la Renaissance, et par de grands co
111
rope à partir des régions. Longo Maï, expression
provençale
, signifie « Que cela dure ! » et relève le défi des sociologues. L’en
112
les qu’écrase le colonialisme français : basques,
provençaux
, bretons, lorrains, alsaciens, corses ». (Je n’ai jamais rien écrit d
113
s et de niveau de vie entre Bretons, Alsaciens et
Provençaux
, Souabes et Prussiens, Piémontais et Siciliens, ou encore entre pâtre
114
a été étouffée, et d’autres comme la bretonne, la
provençale
ou l’allemande de l’Alsace et de la Lorraine, pratiquement interdites
115
ridionales (gascon, occitan, limousin, auvergnat,
provençal
, dauphinois) ; langue franco-provençale des zones intermédiaires68 ;