1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales . La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
2 me le poète lyrique — rattaché encore à une école provençale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-syrienne pu
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
3 extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes provençaux et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute parce qu
4 . « Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle provençal , l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
5 à-dire de l’amour courtois. (Donnoi, ou domnei en provençal , désigne la relation de vasselage instituée entre l’amant-chevalier e
6 gner Thomas. 11. Fauriel, Histoire de la poésie provençale , I, p. 512. 12. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour,
5 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
7 langage du troubadour, qui n’a jamais été que le provençal .28 » Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amou
8 … et qui s’appelait consolament. Certains prêtres provençaux bénirent même cette union mystique en la plaçant sous l’invocation de
9 re. Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie provençale et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer
10 s et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale  : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres ont suppos
11 t éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétiennes dénatur
12 ’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale , une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vide
13 u’un grand fait historique domine le xiie siècle provençal  : Dans le même temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes prov
14 t Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes l
15 à Dante, son disciple, en un couplet du plus pur provençal  : Jeu sui Arnautz, che plor e vai cantan… ⁂ L’Église de Rome savait
16 ’était pas connue du tout, le problème du lyrisme provençal resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des roma
17 les thèmes que nous avons relevés chez les poètes provençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des relations d’un type analogu
18 d’embrouiller les sens (entrebescar disaient les Provençaux  : entrelacer) s’expliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’a
19 l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale , A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fois la poési
20 épondit qu’il fallait ignorer à la fois la poésie provençale et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe. Mais Schlegel prouvait d
21 ret des allégories. Or dans la plupart des poèmes provençaux apparaissent des personnages qualifiés de losengiers (médisants, indi
22 de la mystique occidentale mais aussi du lyrisme provençal . C’est l’oraison jaculatoire de sainte Thérèse : Je meurs de ne pas m
23 ables romans. C’est qu’à la différence des poèmes provençaux , ils s’attachent à décrire les trahisons de l’amour, au lieu d’exprim
6 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
24 éré comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal ). Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de Voltaire à Freud)
25 et de l’amour courtois, mais chez les troubadours provençaux du xiie siècle. Les plus féconds éléments de leur doctrine, de leur
7 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
26 est à la rhétorique du mythe, héritage de l’amour provençal . Il n’est pas nécessaire de supposer ici quelque pouvoir magique des
27 n ne trouve à la cour de Palerme qu’un seul poète provençal , et Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se demander dans q
8 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
28 extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes provençaux et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute185, mais
29 3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle provençal , l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
9 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
30 un dialecte intermédiaire entre le français et le provençal . À tous égards, elle marque la transition de l’épopée française au « 
10 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
31 à-dire de l’amour courtois. (Donnoi, ou domnei en provençal , désigne la relation de vasselage instituée entre l’amant-chevalier e
32 gner Thomas. 13. Fauriel, Histoire de la poésie provençale , I, p. 512. 14. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour,
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
33 re. Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie provençale et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer
34 s et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale  : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres ont suppos
35 t éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétiennes dénatur
36 ’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale , une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vide
37 u’un grand fait historique domine le xiie siècle provençal  : Dans le même temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes prov
38 t Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes l
39 ’était pas connue du tout, le problème du lyrisme provençal resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des roma
40 les thèmes que nous avons relevés chez les poètes provençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des relations d’un type analogu
41 d’embrouiller les sens (entrebescar disaient les Provençaux  : entrelacer) s’expliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’a
42 l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale , A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fois la poési
43 épondit qu’il fallait ignorer à la fois la poésie provençale et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe. Mais Schlegel prouvait d
44 ret des allégories. Or dans la plupart des poèmes provençaux apparaissent des personnages qualifiés de losengiers (médisants, indi
45 de la mystique occidentale mais aussi du lyrisme provençal . C’est l’oraison jaculatoire de sainte Thérèse : Je meurs de ne pas m
46 ici remplir des pages de citations d’Arabes et de Provençaux dont nos grands spécialistes de « l’abîme qui sépare » auraient parfo
47 mme » Barlaam. La version qui nous est restée, en provençal du xive siècle, quoique orthodoxe dans les grandes lignes, porte des
48 ables romans. C’est qu’à la différence des poèmes provençaux , ils s’attachent à décrire les trahisons de l’amour, au lieu d’exprim
49 Cingria, Ieu oc tan (dans Mesures, n° 2, 1937). «  Provençal  » veut dire en réalité : toulousain, en l’occurrence. 31. A. Jeanroy
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
50 éré comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal ). Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de Voltaire à Freud)
51 et de l’amour courtois, mais chez les troubadours provençaux du xiie siècle. Les plus féconds éléments de leur doctrine, de leur
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
52 est à la rhétorique du mythe, héritage de l’amour provençal . Il n’est pas nécessaire de supposer ici quelque pouvoir magique des
53 n ne trouve à la cour de Palerme qu’un seul poète provençal , et Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se demander dans q
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
54 extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes provençaux et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute203, mais
55 3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle provençal , l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
56 à-dire de l’amour courtois. (Donnoi, ou domnei en provençal , désigne la relation de vasselage institué entre l’amant-chevalier et
57 u’il soit… » 7. Fauriel, Histoire de la poésie provençale , I, p. 512. 8. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour,
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
58 langage du troubadour, qui n’a jamais été que le provençal . »22 Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amo
59 e. Tout le monde admet aujourd’hui que la poésie provençale et les conceptions de l’amour qu’elle illustre, « loin de s’expliquer
60 s et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale  : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres ont suppos
61 t éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétiennes dénatur
62 ’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale , une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vide
63 u’un grand fait historique domine le xiie siècle provençal  : Dans le même temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes prov
64 t Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes l
65 ’était pas connue du tout, le problème du lyrisme provençal resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des roma
66 les thèmes que nous avons relevés chez les poètes provençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des relations d’un type analogu
67 d’embrouiller les sens (entrebescar disaient les Provençaux  : entrelacer) s’expliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’a
68 l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale , A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fois la poési
69 épondit qu’il fallait ignorer à la fois la poésie provençale et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe. Mais Schlegel prouvait d
70 ret des allégories. Or dans la plupart des poèmes provençaux apparaissent des personnages qualifiés de losengiers (médisants, indi
71 de la mystique occidentale mais aussi du lyrisme provençal et de Tristan. C’est l’oraison jaculatoire de sainte Thérèse : Je meu
72 ici remplir des pages de citations d’Arabes et de Provençaux dont nos grands spécialistes de « l’abîme qui sépare » auraient parfo
73 mme » Barlaam. La version qui nous est restée, en provençal du xive siècle, quoique orthodoxe dans les grandes lignes, porte des
74 ables romans. C’est qu’à la différence des poèmes provençaux , ils s’attachent à décrire les trahisons de l’amour, au lieu d’exprim
75 ria, « leu oc tan » (dans Mesures, n° 2, 1937). «  Provençal  » veut dire en réalité : limousin, puis toulousain, en l’occurrence.
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
76 éré comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal ). Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de Voltaire à Freud)
77 et de l’amour courtois, mais chez les troubadours provençaux du xiie siècle. Les plus féconds éléments de leur doctrine, de leur
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
78 est à la rhétorique du mythe, héritage de l’amour provençal . Il n’est pas nécessaire de supposer ici quelque pouvoir magique des
79 n ne trouve à la cour de Palerme qu’un seul poète provençal , et Frédéric persécute l’hérésie. De même, on peut se demander dans q
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
80 extricables. Pour l’amateur non initié des poèmes provençaux et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute189, mais
81 3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècle provençal , l’amour était considéré comme noble. Non seulement il ennoblissait m
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
82 un dialecte intermédiaire entre le français et le provençal . À tous égards, elle marque la transition de l’épopée française au « 
83 arfois, le premier vers semble traduit d’un poème provençal ou français… À la lisière des Flandres se trouvaient alors en effet d
21 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
84 sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales . La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
22 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
85 sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales . La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
23 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
86 sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales . La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
87 sées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provençales . La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un
25 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
88 -romane, qu’on ne peut rapprocher que de l’ancien provençal . ⁂ La vocation européenne de la Suisse est donc clairement inscrite d
26 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
89 mme » Barlaam. La version qui nous est restée, en provençal du xive siècle, quoiqu’orthodoxe dans les grandes lignes, porte des
27 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
90 l’allemand, le flamand, le breton, le catalan, le provençal , l’arabe et l’italien, — je pense à la Corse, bien entendu. En revanc
28 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
91 vention doit être attribuée aux chevaliers poètes provençaux , ces hommes magnifiques et ingénieux du gai saber à qui l’Europe est
29 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
92 vention doit être attribuée aux chevaliers-poètes provençaux , ces hommes magnifiques et ingénieux du gai saber à qui l’Europe est
30 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
93 agon ; au midi également, ils sont bornés par les Provençaux et par les pentes de l’Apennin. Pierre Dubois (env. 1250-1320)
31 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
94 Nord à Stamboul, comme c’était le cas naguère du Provençal à Paris, du Saint-Gallois à Genève, du Sicilien en Lombardie. Ils dis
32 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
95 le flamand, le breton, le basque, le catalan, le provençal , l’italien et l’arabe. Et l’on parle le français dans quatre autres n
33 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
96 le flamand, le breton, le basque, le catalan, le provençal , l’italien et — hier — l’arabe. Et l’on parle le français dans quatre
34 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stage d’Oosterbeek (septembre 1964)
97 grois et le Rhône réunit les Languedociens et les Provençaux  ? Allons donc ! C’est l’histoire du trait d’union : est-ce qu’il sépa
35 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
98 le flamand, le breton, le basque, le catalan, le provençal et au moins deux dialectes italiens, pour ne rien dire de l’arabe hie
36 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
99 s, ses Catalans, ses Alsaciens, ses Flamands, ses Provençaux , ses Italiens et ses Corses — et que sera-ce demain en Tchécoslovaqui
37 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
100 français, les autres à parler espagnol. On parle provençal sur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux rives du Rhin, fra
38 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
101 t aux Catalans, aux Bretons et aux Alsaciens, aux Provençaux , aux Corses, aux Sardes, aux Siciliens, aux Bessarabiens et aux Ruthè
39 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
102 français, les autres à parler espagnol. On parle provençal sur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux rives du Rhin, fra
40 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
103 , Alsaciens, Flamands, Basques, Catalans, Corses, Provençaux et Occitans, qui persistent à parler leur langue maternelle au lieu d
41 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
104 commune substance de l’amour arabe et de l’amour provençal . » Et certes, si l’on voit bien que « l’amour insatisfait par essence
105 t le crime des manichéens », et que dans le roman provençal anonyme intitulé Flamenca, obligé de se déguiser en clerc pour approc
106 que je soulignais d’entrée de jeu : que « l’amour provençal  » s’est développé parallèlement au catharisme, dans les mêmes régions
107 se répandre vers le sud toulousain et le sud-est provençal , avec lesquels on confond de nos jours les troubadours — mais Dante,
108 seille, 1943, article de René Nelli sur « L’Amour Provençal  », p. 66. 227. Bleheri, barde breton, vit et chante à la cour de Gui
42 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
109 aises, comme le breton, le flamand, l’occitan, le provençal , le basque, l’italien, le catalan et l’allemand. Toute la géographie
43 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
110 ités italiennes, flamandes, rhénanes, espagnoles, provençales , hanséatiques) du Moyen Âge et de la Renaissance, et par de grands co
44 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
111 rope à partir des régions. Longo Maï, expression provençale , signifie « Que cela dure ! » et relève le défi des sociologues. L’en
45 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
112 les qu’écrase le colonialisme français : basques, provençaux , bretons, lorrains, alsaciens, corses ». (Je n’ai jamais rien écrit d
46 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
113 s et de niveau de vie entre Bretons, Alsaciens et Provençaux , Souabes et Prussiens, Piémontais et Siciliens, ou encore entre pâtre
47 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
114 a été étouffée, et d’autres comme la bretonne, la provençale ou l’allemande de l’Alsace et de la Lorraine, pratiquement interdites
48 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
115 ridionales (gascon, occitan, limousin, auvergnat, provençal , dauphinois) ; langue franco-provençale des zones intermédiaires68 ;