1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 u vrai, et surtout pour un homme qui élit Freud «  président de la République du Rêve » – c’est presque un non-sens de chercher l’
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
2 du sabre balancé). Une auto encore, en retard le président du Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si l
3 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
3 r revanche, dans la laideur de cette salle que le président de la Cour s’obstine à nommer pompeusement « cette enceinte ». Une sa
4 s’exprimer, d’ailleurs, sinon par la voix de leur président , et la mimique d’un jeune aviateur, dont la mâchoire furieuse remâche
5 n’a réfuté ces témoignages, cette plaidoirie. Le président n’avait rien trouvé d’autre qu’une « colle » d’examinateur. « Le cas
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 u sabre balancé). Une auto encore, en retard : le président du Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si l
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 u sabre balancé). Une auto encore, en retard : le président du Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si l
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
8 dans le Conseil de Ville. Il est composé de deux présidents de ce conseil, de quatre Maîtres-Bourgeois fournis par le petit Sénat
7 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
9 stiques sinon antichrétiennes. Arthur A. Wharton, président de l’association des mécaniciens d’Amérique exprime ce point de vue e
8 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
10 qui pourraient être dégagés des deux discours du président sont tirés en effet du Plan du 9 juillet. Emprunts timides à un plan
9 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
11 »   Par Hippolyte Ducos Député, ancien ministre, président de la commission de renseignement à l’Exposition de 1937   L’Expositi
12 ns deux faits simples : un personnage consulaire, président d’une commission d’État pour une exposition promise à la publicité un
10 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
13 oulent.) Si j’étais dictateur, je nommerais Ramuz président de ce tribunal. Et nous aurions enfin un langage « châtié », comme on
11 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
14 nes. Lorsque les chefs de la nouvelle bourgeoisie président en 1303 les fameuses assemblées du Louvre, lorsqu’ils rédigent contre
12 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
15 nes. Lorsque les chefs de la nouvelle bourgeoisie président en 1303 les fameuses assemblées du Louvre, lorsqu’ils rédigent contre
13 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
16 adressé personnellement et confidentiellement au président responsable de chaque club qui le communique à ses adhérents. Ceux-ci
14 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
17 roite, un tout à gauche, le troisième, qui est le président , derrière la table, embarrassés de leurs mains, de leurs pieds, de le
18 Coups d’œil malicieux aux copains de la salle. Le président se lève : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous prése
19 oquente, un peu trop à mon goût. On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. Long silence embarrassé. Enfi
20 avec le sujet. Il n’y a pas d’autre question. Le président fait alors un bref remerciement à l’orateur. Il s’excuse encore de ne
21 . Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du «  président  » et promet de lui envoyer un Nouveau Testament. Nous faisons les cen
22 a paroi blanche de la salle la photo de Kalinine, président de l’URSS, debout dans un champ, en costume de moujik, il y a eu un p
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
23 roite, un tout à gauche, le troisième, qui est le président , derrière la table. Embarrassés de leurs mains, de leurs pieds, de le
24 Coups d’œil malicieux aux copains de la salle. Le président se lève : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous prése
25 oquente, un peu trop à mon goût. On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. Long silence embarrassé. Enfi
26 avec le sujet. Il n’y a pas d’autre question. Le président fait alors un bref remerciement à l’orateur. Il s’excuse encore de ne
27 . Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du «  président  » et promet de lui envoyer un Nouveau Testament. Nous faisons les ce
28 a paroi blanche de la salle la photo de Kalinine, président de l’URSS, debout dans un champ en costume de moujik, il y a eu un pr
16 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
29 être appelé ni dictateur, ni maréchal, ni roi, ni président , et il insiste sur ce point. Il n’avait même pas d’état civil alleman
17 1939, Nicolas de Flue. [PERSONNAGES]
30 assadeur de Venise. l’ambassadeur de Savoie. le président de la Diète. Waldmann, représentant des villes. Altinghausen, repré
18 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
31 , portant la bannière du canton représenté.) Le président . —  Députés des campagnes et des villes, représentants des huit canto
32 s que sous notre commun drapeau ! J’ai dit. Le président . —  La parole est au représentant des campagnes. Altinghausen. — 
33 ! Plutôt la guerre que la honte ! J’ai dit. Le président . —  Ainsi, d’une part les villes renonceront à leur Ligue si d’abord
34 -lons l’ar-gent ! Nous vou-lons l’ar-gent ! Le président . —  Une dernière fois, je vous adjure… salut de notre Confédération !
35 Tumulte, cris : À la guerre ! À la guerre !) Le président . —  La séance est suspendue ! Gardes ! avancez ! (Les gardes essaien
36 t viennent se ranger au centre de la place.) Le président (lisant). —  Au nom de la vénérable Diète des huit cantons confédérés
19 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
37 isqu’il était signé par Émile Vandervelde, ancien président de la IIe Internationale. Le second article, paru dans une feuille co
20 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
38 x chefs de départements le temps de gouverner. Le président de la Confédération ne doit plus être en même temps chargé d’un dépar
21 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
39 éricain moyen des intentions « dictatoriales » du président . Les partisans de Willkie mirent en vente un bouton-insigne portant l
40 quence : « Je désire Willkie (ou Roosevelt) comme président . » Tout cela paraît, dans l’ensemble, gentil, un peu puéril, mi-publi
22 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
41 re. Willkie faisait une déclaration de loyauté au président et lui offrait l’appui d’une « opposition constructive ». On brûlait
42 e nous avons fait, voilà ce qui reste à faire. Le président et ses secrétaires d’État tiennent des conférences régulières avec le
23 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
43 rémonie dite de « l’Inauguration ». La veille, le président avait été harangué par des pasteurs et des prêtres des trois grandes
44 le. Cela s’intitulait : « La nation prie avec son président . » Le speaker commentait : « Maintenant, le président et M. Wallace s
45 ident. » Le speaker commentait : « Maintenant, le président et M. Wallace s’agenouillent avec toute la congrégation… Le chœur ent
46 tique : « Ô Dieu, notre aide aux temps passés… Le président y joint sa voix. » Puis ce fut la prestation de serment, à la tribune
47 rès une prière dite par le chapelain du Sénat, le président jura, la main posée sur sa vieille Bible de famille, en langue hollan
48 leurs « Ô Dieu, priait le chapelain, revêts notre président du manteau de l’humilité…, couronne-le des dons les plus saints du ch
24 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
49 oulent.) Si j’étais dictateur, je nommerais Ramuz président de ce tribunal. Et nous aurions enfin un langage châtié, comme on dis
25 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
50 ôture des universités ; et « l’Inauguration » des présidents … Qu’il y ait là quelque chose de typiquement américain, j’en vois la
26 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
51 araisse de critiquer l’avis d’un militaire que le président Truman déclarait récemment « plus grand que tous les capitaines connu
27 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
52 , et de la méfiance et de la peur réciproques qui président aux rapports des nations, et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétis
28 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
53 ires voudraient que ce monde lointain s’ouvre. Le président de la Chambre de commerce américaine est allé en Russie tenir des dis
29 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Une bureaucratie sans ronds-de-cuir (23 mai 1946)
54 de ce board. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que le président , ayant reçu cent-mille lettres de protestation, décide que les transp
55 é sans autres formes qu’une lettre personnelle du président , qu’il pourra lire le jour même dans le journal : « Mon cher Bill, au
56 Amérique. Dans la jungle administrative… Le président a plus de pouvoir qu’un roi, dit-on. Mais ce n’est pas beaucoup dire,
30 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
57 ses : un suppléant souvent, un chef de chœur, les présidents des divers comités, les diacres ou les vestrymen (anciens d’Église),
31 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
58 , et de la méfiance et de la peur réciproques qui président aux rapports des nations, et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétis
32 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
59 ’ai plus piloté depuis lors. Aujourd’hui, je suis président du club de golf. Si les affaires vont bien, après la guerre, j’espère
33 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
60 m’offrit de donner des conférences à Budapest. Le président de l’organisation qui m’invitait était un grand banquier, ami des let
34 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
61 donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un tiers des membres étant, croit-il, amis
35 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
62 eurs exilés de France et de Belgique. Son premier président fut Henri Focillon, auquel succéda Jacques Maritain. 12. Pseudonyme
36 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
63 ’ai plus piloté depuis lors. Aujourd’hui, je suis président de club de golf. Si les affaires vont bien, après la guerre, j’espère
64 , et de la méfiance et de la peur réciproques qui président aux rapports des nations, et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétis
37 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le point de vue moral
65 Et nous sommes décidés à en garder le secret. Le président , après quelques phrases pieuses, semble s’être rangé à cet avis. Ains
38 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
66 araisse de critiquer l’avis d’un militaire que le président Truman déclarait récemment « plus grand que tous les capitaines connu
39 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le point de vue moral
67 Et nous sommes décidés à en garder le secret. Le président , après quelques phrases pieuses, semble s’être rangé à cet avis. Ains
40 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
68 araisse de critiquer l’avis d’un militaire que le président Truman déclarait récemment « plus grand que tous les capitaines connu
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
69 sabre balancé). Une auto encore, en retard : le président du Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si l
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
70 roite, un tout à gauche, le troisième, qui est le président , derrière la table. Embarrassés de leurs mains, de leurs pieds, de le
71 Coups d’œil malicieux aux copains de la salle. Le président se lève : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous prése
72 oquente, un peu trop à mon goût. On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. Long silence embarrassé. Enfi
73 avec le sujet. Il n’y a pas d’autre question. Le président fait alors un bref remerciement à l’orateur. Il s’excuse encore de ne
74 . Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du «  président  » et promet de lui envoyer un Nouveau Testament. Nous faisons les cen
75 a paroi blanche de la salle la photo de Kalinine, président de l’URSS, debout dans un champ en costume de moujik, il y a eu un pr
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
76 donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un tiers des membres étant, croit-il, amis
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
77 es études, université francophone en exil dont le président fondateur était Henri Focillon. Maritain déjà lui succède, seul à par
78 ses « vérités » sont relatives aux postulats qui président à ses expériences. Elle se conçoit elle-même comme un jeu (vrai, cohé
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
79 ard. 10 juillet 1944 Le général de Gaulle, président du gouvernement provisoire de la République française vous prie de lu
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
80 ’ai plus piloté depuis lors. Aujourd’hui, je suis président du club de golf. Si les affaires vont bien, après la guerre, j’espère
81 , et de la méfiance et de la peur réciproques qui président aux rapports des nations, et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétis
82 rvégiens, italiens, argentins. 100. Il s’agit du président et dictateur Getulio Vargas.
47 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
83 t d’ici que partit, en 1939, la fameuse lettre au président Roosevelt, par laquelle Einstein demandait que fussent organisées d’u
48 1947, Articles divers (1946-1948). Conversation à bâtons rompus avec M. Denis de Rougemont (30-31 août 1947)
84 qui illustre bien ce que nous venons de dire. Le président Truman avait constitué un comité civil, composé d’éminentes personnal
49 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
85 m’offrit de donner des conférences à Budapest. Le président de l’organisation qui m’invitait était un grand banquier, ami des let
50 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
86 e clôture des universités ; et l’Inauguration des présidents … Qu’il y ait là quelque chose de typiquement américain, j’en vois la
51 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
87 re. Willkie faisait une déclaration de loyauté au président et lui offrait l’appui d’une « opposition constructive ». On brûlait
88 e nous avons fait, voilà ce qui reste à faire. Le président et ses secrétaires d’État tiennent des conférences régulières avec le
89 de ce Board. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que le président , ayant reçu cent-mille lettres de protestation, décide que les transp
90 é sans autres formes qu’une lettre personnelle du président , qu’il pourra lire le jour même dans le journal : « Mon cher Bill, au
91 ges du gouvernement des États-Unis d’Amérique. Le président a plus de pouvoir qu’un roi, dit-on. Mais ce n’est pas beaucoup dire,
52 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
92 rémonie dite de « l’Inauguration ». La veille, le président avait été harangué par des pasteurs et des prêtres des trois grandes
93 le. Cela s’intitulait : « La nation prie avec son président . » Le speaker commentait : « Maintenant, le président et M. Wallace s
94 ident. » Le speaker commentait : « Maintenant, le président et M. Wallace s’agenouillent avec toute la congrégation… Le chœur ent
95 antique : Ô Dieu, notre aide aux temps passés… Le président y joint sa voix. » Puis ce fut la prestation de serment, à la tribune
96 rès une prière dite par le chapelain du Sénat, le président jura, la main posée sur sa vieille Bible de famille, en langue hollan
97 eurs. « Ô Dieu, priait le chapelain, revêts notre président du manteau de l’humilité…, couronne-le des dons les plus saints du ch
98 ses : un suppléant souvent, un chef de chœur, les présidents des divers comités, les diacres ou les vestrymen (anciens d’Église),
53 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
99 s le soin de marquer les distances. Et lorsque le président écrit : « Mon cher Harold » en tête d’une lettre par laquelle il renv
54 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
100 par le United Europe Committee déclarèrent que le président de ce mouvement, Winston Churchill, avait également l’intention de pr
101 hollandais, qui parle ainsi devant douze anciens présidents du Conseil, soixante ministres et anciens ministres, deux-cents déput
102 nts suivants : Union européenne des fédéralistes ( président H. Brugmans) ; United Europe Committee (président Winston Churchill) 
103 président H. Brugmans) ; United Europe Committee ( président Winston Churchill) ; Ligue indépendante de coopération européenne (pr
104 ) ; Ligue indépendante de coopération européenne ( président Paul van Zeeland) ; Mouvement français pour l’Europe unie (président
105 Zeeland) ; Mouvement français pour l’Europe unie ( président Raoul Dautry). Les Nouvelles équipes internationales et l’Union parle
55 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
106 ur : Mme Saumier, conseillère de la République et présidente de la Commission de l’Éducation nationale ; M. Paul Bret, directeur d
56 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
107 u United Europe Committee nous informèrent que le président de ce groupement, Winston Churchill, avait également l’intention de c
108 ns suivantes : Union européenne des fédéralistes ( présidents H. Brugmans et Ignazio Silone) ; United Europe Committee (W. Churchil
109 présence de tous les ministres par un discours du président de la République, lui-même fédéraliste convaincu. Le comte Sforza vin
110 ait pris le nom de Mouvement européen, ses quatre présidents d’honneur étant Léon Blum, Winston Churchill, Alcide de Gasperi et Pa
57 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
111 ession, l’Assemblée sera saisie d’un plan dont le président de la Commission, M. Bidault, peut déjà déclarer qu’il s’orientera ne
58 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
112 ar M. Salvador de Madariaga, qui était d’ailleurs président de la conférence de Lausanne (NDLR). 7. Dirigé par M. Denis de Rouge
59 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
113 ltures, Moscou, 1947. Ce Kemenov était à l’époque président de la VOKS, c’est-à-dire chef des relations culturelles de l’URSS ave
60 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
114 il peut démontrer aux Finances, au Parlement, aux présidents de ses commissions, que tel ou tel projet « sert le pays », c’est-à-d
61 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
115 rence seront conduits de la manière suivante : le président désigné pour chaque séance fera préparer 2 ou 3 communications, et s’
62 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
116 il peut démontrer aux Finances, au Parlement, aux présidents de ses commissions, que tel ou tel projet « sert le pays », c’est-à-d
63 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
117 nt l’allocution inaugurale de Denis de Rougemont, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture. Preuves
64 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
118 jà fameuse, prononcée l’an dernier par le premier président de l’Assemblée de Strasbourg, Paul-Henri Spaak, répond d’une manière
65 1953, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « Ce qu’ils pensent de Noël… » [Réponse] (24 décembre 1953)
119 , et de la méfiance et de la peur réciproques qui président aux rapports des nations, et de l’antisémitisme et de l’antisoviétism
66 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
120 lité, présidé par le maire (aussi nommé syndic ou président de commune, selon les cantons). La commune a le droit de lever des im
121 semblée nationale élisent le Conseil fédéral, son président , les membres du Tribunal fédéral et du Tribunal des assurances, et le
122 nt fédéral. L’un d’entre eux est élu chaque année président de la Confédération. Il ne peut exercer cet office deux années de sui
123 ation entre les sept conseillers : chacun devient président une fois tous les sept ans, par ordre d’ancienneté dans le collège. L
124 et enfin que l’on aime à souligner le fait que le président de la Confédération n’est, en somme, qu’un primus inter pares. À la v
125 démocratie-témoin, 1948, p. 145-146 et 148. 11. Président du Conseil d’État. 12. William Martin, Histoire de la Suisse, 1940,
67 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
126 er. Champion du radicalisme dans sa belle époque, président de la Confédération à plusieurs reprises, le Neuchâtelois Numa Droz é
127 du Département politique revenait chaque année au président de la Confédération et prenait ainsi, quelque peu, le caractère d’une
68 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
128 jà fameuse, prononcée l’an dernier par le premier président de l’Assemblée de Strasbourg, Paul-Henri Spaak, répond d’une manière
129 a table ronde de l’Europe : M. de Gasperi, ancien président du Conseil italien ; M. van Kleffens, ancien ministre des Affaires ét
130 fesseur Kogon, directeur des Frankfurter Hefte et président d’Europa-Union ; le professeur Löfstedt, recteur de l’Université de L
131 13 octobre, sous la présidence de M. de Menthon, président de l’Assemblée consultative, et en présence de M. Pella, président du
132 semblée consultative, et en présence de M. Pella, président du Conseil italien, ainsi que du corps diplomatique, qu’a eu lieu l’o
69 1954, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Visite à M. Denis de Rougemont, directeur du Centre européen de la culture (septembre 1954)
133 revue Esprit  ; Denis de Rougemont est également président du Congrès pour la liberté de la culture et l’auteur de dix-sept ouvr
70 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
134 ontagnarde dans le Trentin, il avait téléphoné au président du Conseil Scelba, l’adjurant « en pleurant », disent les journaux, d
71 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
135 qui existe ». Et la proposition spectaculaire du président Eisenhower — « photographiez toutes nos installations ! » — doit trou
72 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
136 n d’œuvres occidentales modernes, M. Guerassimov, président de l’Académie des beaux-arts de l’URSS et peintre célèbre, répondit :
73 1955, Articles divers (1951-1956). Une présence (1955)
137 . Quoi de commun, pourrait-on demander, entre nos présidents d’honneur ? Entre Maritain et Russell, entre Niebuhr et Madariaga, en
74 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Prix européen de littérature n’a pas été donné en 1956 (juin-juillet 1956)
138 ilone, Stephen Spender et de M. Helmuth Dressier, président de la Communauté européenne des guildes et clubs du livre, s’est réun
75 1956, Articles divers (1951-1956). Serrer la main d’un communiste, désormais… (10 novembre 1956)
139 nom du Congrès pour la liberté de la culture, Le président du comité exécutif, Denis de Rougemont af. « Serrer la main d’un co
76 1957, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une lettre de Denis de Rougemont (16-17 février 1957)
140 ncan Sandys y prit part, il est vrai, en tant que président du Mouvement européen. Votre photo me rappelle que je m’y trouvais au
77 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
141 mbe n’a jamais rien fait sans l’ordre exprès d’un président , d’un général. Ce n’est pas elle qui est dangereuse, c’est l’homme. E
78 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
142 st bon que pour les députés. A. — Vous oubliez le président américain. R. — Là, vous marquez un point. Ce mélange de plébiscite e
79 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
143 Genève le 7 octobre par M. Salvador de Madariaga, président du conseil de direction. Les 10 et 11 décembre a lieu la première réu
80 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
144 le chiffre de « 150 » milliards que lui opposa le président du Conseil, tient pour incontestable le chiffre de 362 milliards cité
81 1958, Articles divers (1957-1962). Pourquoi la guerre ? Un échange de lettres prophétique entre Einstein et Freud (avril 1958)
145 lire, Hitler réoccupait la Rhénanie. À Paris, le président du Conseil criait au monde : « Nous opposerons au droit de la Force,
82 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
146 ands d’aujourd’hui souhaitent avoir pour prochain président de leur République un professeur, 18 % souhaitent un homme politique,
83 1960, Articles divers (1957-1962). Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de la rencontre de Berlin (extraits) (juin-juillet 1960)
147 Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de l
148 lutisée. p. « Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de l
84 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
149 ent signés par MM. Robert Schuman, agissant comme président  ; D. de Rougemont, agissant comme secrétaire ; H. Brugmans, F. Marino
85 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
150 que je quittai le Mexique pour de bon en 1936, le président Calles donna un dîner pour moi, au cours duquel il déclara, pour mon
151 Un an plus tard, le général Obregon étant devenu président , les amis que Retinger compte dans son gouvernement le rappellent au
152 t dite dans ce pays. À la veille de Noël 1921, le président confie à Retinger qu’il est entré en possession d’un très volumineux
153 forcer le Mexique à accepter leurs conditions. Le président demande à Retinger d’élaborer un plan d’action. Après avoir étudié le
154 strie, et réputé le plus honnête des ministres du président Harding. Hoover seul, selon lui, sera capable de négocier et d’impose
155 r. Hoover. Chargé de cette mission secrète par le président , il part pour Washington. À son passage à Saint-Louis, Missouri, il e
156 ternationale l’a dépêché auprès du général, alors président du Conseil, pour essayer de prévenir une campagne militaire que la Po
157 n son instinct politique. Le général est redevenu président du Conseil en exil. Retinger sera désormais son conseiller le plus in
158 Certains milieux polonais de Londres, et même le président de la République en exil, s’étaient violemment opposés à toute négoci
159 s, chancelier de l’Échiquier, et Mr. Hugh Dalton, président du Board of Trade. De la sorte, il me fut possible d’obtenir pour mon
160 e Belgique, qu’effrayait la stature de Churchill, président d’honneur du congrès. (Finalement, tous vinrent à La Haye, y compris
161 parmi lesquels une vingtaine d’anciens et futurs présidents du Conseil, cinquante ministres, 250 parlementaires, des écrivains et
162 personnelles auprès des Premiers ministres et des présidents du parlement en Belgique, France, Grande-Bretagne, Hollande et Italie
163 qualité, il forme et conduit, avec Duncan Sandys, président du Mouvement, des délégations qui présentent les résolutions de La Ha
164 en étroite coopération avec Duncan Sandys, alors président du Mouvement européen, qui met sur pied les grands congrès politique
86 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
165 eur, avec E. Mounier, du mouvement personnaliste, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture, et gouve
87 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
166 ait un seul conseil propre et spécial, qu’un seul président X en soit le père et la tête, et que nous autres rois et princes de l
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
167 rempliront, chacun à leur tour, les fonctions de président à qui on devra s’adresser pour obtenir la parole ; ce président dirig
168 i on devra s’adresser pour obtenir la parole ; ce président dirigera les débats et mettra les questions au vote, lequel devrait a
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
169 is de l’établir à Rome même et d’en faire le pape président , comme en effet il faisoit autrefois figure de juge entre les princes
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
170 tes !212 Mais déjà le 21 août 1849, Hugo, nommé président du Congrès de la paix, réuni à Paris, avait proclamé sa foi dans la v
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
171 ons un projet de Confédération européenne. Devenu président du Conseil en 1929, et parlant au nom de la France, il prononça le 5
92 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
172 atique de plus de 2 millions d’habitants, dont le président est reçu en grande pompe à l’Élysée en 1961. Je laisse à MM. Sartre e
93 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
173 . Churchill, le chairman étant Duncan Sandys. Les présidents et rapporteurs des trois commissions étaient, pour la politique Paul
94 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
174 atique de plus de 2 millions d’habitants, dont le président est reçu en grande pompe à l’Élysée en 1961. Je laisse à MM. Sartre e
95 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
175 he. « À 3 heures, dans la Salle de Bal, D. de R., président du Congrès pour la liberté de la culture, et auteur de L’Amour et l’
96 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
176 t choisir plus d’un membre dans le même pays. Son président est élu par l’Assemblée. Il porte le titre de président de la fédérat
177 ent est élu par l’Assemblée. Il porte le titre de président de la fédération d’Europe. Le Conseil fédéral est assisté de commissi
178 vaient pas le droit de vote lors de l’élection du président )9 préviennent toute ingérence particulière des affaires suisses dans
97 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [Avant-propos] (juillet 1963)
179 st donc au double titre de directeur du CEC et de président de l’AEFM que je me félicite de pouvoir accueillir dans nos publicati
98 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
180 ur la cause du fédéralisme européen. Fondateur et président du Congrès européen pour la liberté de la cultures, son activité se s
181 agea en parallèle, mais dont il ne fut « que » le président du comité exécutif, de 1951 à 1966.
99 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
182 enève, qu’il dirige encore aujourd’hui. Dès 1951, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture. Auteur d
100 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
183 mbe n’a jamais rien fait sans l’ordre exprès d’un président , d’un général. Ce n’est pas elle qui est dangereuse, c’est l’homme. E