1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 malaise seul liait les personnages auxquels je me prêtais . Mais en même temps que je le découvrais, dans tout mon être une forc
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
2 si. Le sujet était périlleux : si particulier, il prêtait à des abus de pittoresque, de couleur locale, de détails techniques o
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 a vie, n’est-ce pas être sincère aussi que de s’y prêter  ? Or, il vous tire aussitôt de l’indétermination violente qu’est la s
4 uloureuse encore. Pitoyable, trop visiblement, tu prêtais bien quelques voiles à mon dégoût d’un moi que la vie me montrait si
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
5 ucune signification et que mon anxiété seule leur prêtait quelque intention. Quand enfin l’orchestre s’arrêta, je me trouvais t
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
6 Potemkine était interdit à l’écran. Pitoëff avait prêté un accent, Mme d’Assilva deux actrices, M. Grosclaude son fils Lucas
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
7 mes parents un tombeau sur lequel je fis graver : Prêté — rendu, pour la gloire de l’Église. (Ici, il but une gorgée et prit
7 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
8 n’a point stérilisé : sa nature, il est vrai, s’y prêtait , peu complexe et comme réduite à deux dimensions ; la conscience ne p
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
9 un contraste de haut goût. Là, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations sociologiques (Rousseau), scient
10 lais). Ici, elles imposent une éthique. Là, elles prêtaient le romantisme de leur décor ; ici, par l’effort de discipline qu’elle
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
11 ieux. Finalement, la police accuse Eiichi d’avoir prêté son appui à une grève, et le récit se termine par une scène entre le
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
12 salut gratuit par la foi ; mais d’autre part nous prêtions des mains complices à des œuvres qui relevaient de conceptions nettem
11 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
13 es de l’Insoluble, nous n’avons plus le droit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces noms dont se meublent
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
14 fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel semble se prêter à ces parenthèses du sort, à ces conjonctions clandestines, à l’incog
13 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
15 ugement du système. Les circonstances actuelles y prêtent , il faut le dire, plus qu’il ne serait nécessaire pour la clarté de l
14 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
16 us prétexte de nous rapprocher de lui, l’histoire prêtait une réalité insurmontable aux dix-neuf siècles qui nous séparent de l
15 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
17 invitèrent à traiter sans trop de précautions, se prêtaient peu d’ailleurs à de rigoureux développements. C’est que la politique,
16 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
18 ugement du système. Les circonstances actuelles y prêtent , il faut le dire plus qu’il ne serait nécessaire pour la clarté de la
17 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
19 invitèrent à traiter sans trop de précautions, se prêtaient peu d’ailleurs à de rigoureux développements. C’est que la politique,
18 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
20 ugement du système. Les circonstances actuelles y prêtent , il faut le dire plus qu’il ne serait nécessaire pour la clarté de la
19 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
21 e n’est pas se mettre en location. Ce n’est pas «  prêter  » son nom ou son autorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce S
20 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
22 e me bornerai donc aux passages qui me paraissent prêter à un commentaire marginal, crayonné rapidement, à la volée, et sans a
21 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
23 ie » dans cette œuvre qui cependant paraissait ne prêter à rien d’autre : Les Affinités électives. Tout y est formes, actions,
22 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
24 ique et non systématique qu’il lui a donnée, peut prêter à de graves malentendus. À celui-ci en particulier : certains seront
23 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
25 nt bien que mal, mon anxiété. Mais le lieu ne s’y prêtait guère, me semblait-il : entre ces jeunes barthiens d’une part, si con
26 n « barthien », au sens que certains « libéraux » prêtent à ce terme malheureux. Assurément, il doit avoir lu Barth mieux que l
24 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
27 oncerne ces pharisiens, ces docteurs d’Israël qui prêtent à la folie des masses leur voix : Crucifie, relâche Barrabas ! Voilà
25 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
28 ndre, des malentendus les plus graves auxquels se prêtait mon langage. (Exemples : vocation, au sens strict où je prenais le mo
26 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
29 , ils oublient de dire que le néant, dont ils lui prêtent ainsi le goût, est justement celui que Kierkegaard dénonce au cœur de
27 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
30 re ; comprendre : entraîner avec soi ; assister : prêter assistance, etc. Parce que « rien ne s’achève sur soi seul » tout por
28 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
31 s 150 ans les mêmes erreurs, dans un pays qui s’y prêtait moins que le nôtre ? (Ou bien, contre Staline : était-ce la peine de
29 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
32 ivité, comme certains climats ou certains pays se prêtent mieux au personnalisme social, mais ce ne sont jamais que des résista
30 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
33 la Bible, ou si, au contraire, il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du « président » et p
31 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
34 Midi : là encore une maison abandonnée qu’on nous prêtait . Il y en a comme cela des centaines, des milliers, dans toutes les pr
32 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
35 rend ce que d’autres — presse ou partis — lui ont prêté , c’est-à-dire la monnaie de votre pièce, non la substance de sa vie.
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
36 cuir ne soit pas mouillé. » (C’est qu’on nous l’a prêté , il faut le soigner…) Nous sortons du port, et tout de suite la mer e
34 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
37 eux. 13 décembre 1933 Un ami auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en renvoie 100 par le co
38 e la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du « président » et p
35 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
39 e n’est pas se mettre en location. Ce n’est pas «  prêter  » son nom ou son autorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce S
36 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
40 page 92. L’auteur habite avec sa femme une maison prêtée  ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette poule.
37 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
41 tures de Gide, que je viens de recevoir et lui ai prêtées . Il s’étonne sincèrement du communisme affiché par l’auteur, et concl
38 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
42 s 150 ans les mêmes erreurs, dans un pays qui s’y prêtait moins que la France ? (Ou bien, contre Staline : était-ce la peine de
39 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
43 pour l’esprit que par la fausse vertu qu’on leur prêtait . Mais aussitôt qu’elles ont trahi leur commune vulgarité, le triomphe
40 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
44 e présentement dans un clair studio qui lui a été prêté par un de ses confrères en matière de « journal ». La NRF continue d’
41 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
45 quelques points. Au départ, cette même attention prêtée aux signes, aux intuitions, aux rencontres fortuites en apparence, ma
42 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
46 près-midi du mercredi 28 septembre où les peuples prêtaient l’oreille guettant le tocsin de la guerre. C’est alors qu’éclata la n
43 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
47 e voyage, ma femme m’apporte un livre qu’on lui a prêté  : une biographie de Nicolas de Flue, signée Anne-Marie de Gourlet4. G
44 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
48 oins dans une de ses tendances, ne s’est-elle pas prêtée à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage
45 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
49 rme, tandis que les individus qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à s
50 l’amour courtois. La religion des troubadours se prêtait aux complicités les plus sournoises avec l’instinct qu’elle excitait
51 rai support d’une rhétorique dont les figures lui prêtent désormais un semblant d’idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme
52 ture. Le mythe courtois, mieux que tout autre, se prêtait à ce processus, puisqu’il n’avait pu se traduire que dans les termes
46 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
53 récitant. Le chœur. En ce temps-là, Confédérés Prêtez l’oreille ! En ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Monta le ve
54 tre bastion sacré. Alors un homme s’est dressé Prêtez l’oreille ! Témoin de Dieu dans le fracas de la colère. Là-bas,
55 récitant. Le chœur. Ce soir encore, Confédérés Prêtez l’oreille ! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas, tous
56 Le récitant. Le chœur. Or écoutez Confédérés ! Prêtez l’oreille ! Tutti. Commence ici le Jeu de Nicolas ! 1. Pendan
47 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
57 hœur à bouche fermée.) (Tutti.) Tout un peuple a prêté l’oreille. Mais le grand vent des plaines s’est levé, il emporte la v
48 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
58 tend un chœur.) Chœur céleste. Terre et cieux prêtez l’oreille Au mystère de la paix. Cœur angoissé, cœur qui veille Ne ce
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
59 à se consacrer à Dieu seul, à ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout c
60 roman, son intrigue et ses thèmes directeurs, se prêtaient au projet du poète d’une manière que l’on doit qualifier de propremen
61 pouvoirs surnaturels, les mêmes que ceux que Ton prêtait au Graal… (Le Graal rajeunit ceux qui le contemplent)… Ensuite, dans
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
62 oins dans une de ses tendances, ne s’est-elle pas prêtée à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
63 rme, tandis que les individus qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à s
64 l’amour courtois. La religion des troubadours se prêtait aux complicités les plus sournoises avec l’instinct, qu’elle excitait
65 rai support d’une rhétorique dont les figures lui prêtent désormais un semblant d’idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme
66 ture. Le mythe courtois, mieux que tout autre, se prêtait à ce processus, puisqu’il n’avait pu se traduire que dans les termes
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
67 à se consacrer à Dieu seul, à ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout c
68 u roman, son intrigue et ses thèmes directeurs se prêtaient au projet du poète d’une manière que l’on doit qualifier de propremen
69 pouvoirs surnaturels, les mêmes que ceux que l’on prêtait au Graal… (Le Graal rajeunit ceux qui le contemplent…) Ensuite, dans
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
70 oins dans une de ses tendances, ne s’est-elle pas prêtée à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
71 rme, tandis que les individus qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à s
72 l’amour courtois. La religion des troubadours se prêtait aux complicités les plus sournoises avec l’instinct, qu’elle excitait
73 rai support d’une rhétorique dont les figures lui prêtent désormais un semblant d’idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme
74 ture. Le mythe courtois, mieux que tout autre, se prêtait à ce processus, puisqu’il n’avait pu se traduire que dans les termes
55 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
75 r exemple, à l’égard des pudeurs et interdits qui prêtaient à l’acte sexuel la gravité d’un engagement, cette espèce d’insoucianc
56 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
76 n fait : l’homme moderne éprouve moins de peine à prêter foi aux mensonges du jour qu’aux éternelles vérités transmises par le
57 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
77 l’histoire de notre race. Hitler n’a fait que lui prêter figure et nom, à l’occasion d’une de ses éruptions les plus violentes
58 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
78 r exemple, à l’égard des pudeurs et interdits qui prêtaient à l’acte sexuel la gravité d’un engagement, cette espèce d’insoucianc
59 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
79 n fait : l’homme moderne éprouve moins de peine à prêter foi aux mensonges du jour qu’aux éternelles vérités transmises par le
60 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
80 l’histoire de notre race. Hitler n’a fait que lui prêter figure et nom, à l’occasion d’une de ses éruptions les plus violentes
61 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
81 r exemple, à l’égard des pudeurs et interdits qui prêtaient à l’acte sexuel la gravité d’un engagement, cette espèce d’insoucianc
62 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
82 i la lui prête parce que d’abord l’auteur s’y est prêté . Quant à moi, je suis trop égoïste pour me laisser aller à ce jeu-là.
63 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
83 r exemple, à l’égard des pudeurs et interdits qui prêtaient à l’acte sexuel la gravité d’un engagement, cette espèce d’insoucianc
64 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
84 re ; comprendre : entraîner avec soi ; assister : prêter assistance, etc. Parce que « rien ne s’achève sur soi seul », tout po
65 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
85 ue et romantisme. Au départ, cette même attention prêtée aux signes, aux intuitions, aux rencontres fortuites en apparence, ma
66 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
86 qu’une image. Ne serait-ce pas là son secret ? Se prêter à la fantaisie de toutes les imaginations. Comme elle est belle et co
67 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
87 ue toutes les autres jouent dans le même sens, se prêtent appui et se renforcent mutuellement. Voici comment. Un gouvernement m
68 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
88 l y a un an déjà si les circonstances s’y étaient prêtées . Êtes-vous venu en Suisse directement ? Oui, à part un arrêt de quelq
69 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
89 e n’est pas se mettre en location. Ce n’est pas «  prêter  » son nom ou son autorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce S
70 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
90 ion sur les bras ! » Remarquons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des critiques de ce genre parce qu’ils ne publient rie
71 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
91 urs sermons. Ce n’est pas la littérature qui doit prêter secours à la Parole de Dieu, mais c’est le contraire. S’il arrive qu’
72 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
92 rrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’escalier. I
73 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
93 r 25 kilomètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa maison de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maiso
94 rs si strictement vêtues de noir et blanc, et qui prêtaient au Paris d’avant-guerre ses plus élégantes Parisiennes. Je sais bien
74 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
95 heures au fond de la grande salle. Il vient nous prêter sa voix noble, agrémentée d’un léger sifflement, mais il garde pour l
75 1946, Lettres sur la bombe atomique. La tâche politique du siècle
96 e toutes les autres, jouent dans le même sens, se prêtent appui, et se renforcent mutuellement. Voici comment. Un gouvernement
76 1946, Lettres sur la bombe atomique. La tâche politique du siècle
97 e toutes les autres, jouent dans le même sens, se prêtent appui, et se renforcent mutuellement. Voici comment. Un gouvernement
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
98 es de l’Insoluble, nous n’avons plus le droit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces noms dont se meublent
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
99 e cuir ne soit pas mouillé. (C’est qu’on nous l’a prêté , il faut le soigner…) Nous sortons du port, et tout de suite la mer e
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
100 eux. 13 décembre 1933 Un ami auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en renvoie 100 par le co
101 e la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du « président » et p
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
102 tures de Gide, que je viens de recevoir et lui ai prêtées . Il s’étonne sincèrement du communisme affiché par l’auteur, et concl
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
103 Certaines phrases de ma Conclusion 1938 pouvaient prêter à équivoque, et y ont prêté. Je demandais que les démocraties résolve
104 usion 1938 pouvaient prêter à équivoque, et y ont prêté . Je demandais que les démocraties résolvent à leur manière les problè
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
105 e n’est pas se mettre en location. Ce n’est pas «  prêter  » son nom ou son autorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce S
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
106 rrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’escalier. I
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
107 r 25 kilomètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa maison de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maiso
108 rs si strictement vêtues de noir et blanc, et qui prêtaient au Paris d’avant-guerre ses plus élégantes Parisiennes. Gratin sans
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
109 heures au fond de la grande salle. Il vient nous prêter sa voix noble, agrémentée d’un léger sifflement, mais il garde pour l
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
110 ailes de chauves-souris géantes. Un antiquaire a prêté sa collection de statues du diable, de toutes les tailles, de tous le
87 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
111 rrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’escalier. I
112 heures au fond de la grande salle. Il vient nous prêter sa voix noble, agrémentée d’un léger sifflement, mais il garde pour l
88 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
113 pour l’esprit que par la fausse vertu qu’on leur prêtait . Mais aussitôt qu’elles ont trahi leur commune vulgarité, le triomphe
89 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
114 i la lui prête parce que d’abord l’auteur s’y est prêté . Quant à moi, je suis trop égoïste pour me laisser aller à ce jeu-là.
90 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
115 isolent de nouveau ! Remarquons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des critiques de ce genre parce qu’ils ne publient rie
91 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
116 qu’une image. Ne serait-ce pas là son secret ? Se prêter à la fantaisie de toutes les imaginations ? Comme elle est belle et c
92 1948, Suite neuchâteloise. VI
117 fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel semble se prêter à ces parenthèses du sort, à ces conjonctions clandestines, à l’incog
93 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
118 rgi. Ce pionnier réussit à convaincre Briand, qui prêta sa grande voix traînarde à l’idée d’une union continentale. Mais ces
94 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
119 de cette Conférence. Les mots européen, culture, prêtent à des controverses trop faciles. Dès qu’on parle d’Europe, d’unir l’E
120 rence s’interdise les débats académiques auxquels prêtent ces définitions. À toutes fins utiles, elle partira de l’idée que la
95 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
121 orte de cabinet mondial : en tant que tel il doit prêter l’oreille à l’opinion mondiale qui parle ici… » Mais sans me laisser
96 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
122 i, mais la prostitution leur est commune : ils se prêtent aux plus basses luxures, comme par exemple au narcissisme collectif q
97 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
123 ême un peu obscur, comme le voulait Napoléon, s’y prêtera mieux que tout perfectionnisme et que les compromis les plus subtils.
98 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
124 roïques qui naissent de la nature ? Et ne faut-il prêter au Suisse que les façons d’être et de sentir du Flamand des plaines,
99 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
125 939-1945) n’a peut-être pas eu la netteté que lui prêtent les intellectuels. » Et je sens aussitôt que l’intellectuel qui écrit
126 rpusculaire) n’a peut-être pas la netteté que lui prêtent les savants. » Dans les deux cas, le conflit désigné, idéologique ou
100 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
127 e donne pas non plus le martyre à quiconque, pour prêter de la couleur à la force pure : Il s’en tient à la lettre ; tout ce q