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ique, dernier agent de liaison de nos esprits, va
périr
. C’est du moins ce que proclame M. Breton en un manifeste dont la pse
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sation sous le poids de laquelle nous risquons de
périr
. Il se prépare déjà des révoltes terribles4, celles d’un mysticisme e
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cule écrasant, sous lequel vous ne tarderez pas à
périr
. 12. La Raison de Spinoza ou de Descartes n’a que de lointains rapp
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cule écrasant, sous lequel vous ne tarderez pas à
périr
. 12. La Raison de Spinoza ou de Descartes n’a que de lointains ra
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rent à combattre sachant qu’ils ne pourraient que
périr
avec elle, ils vont chercher dans la lecture, pour eux très aride, de
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us « révolutionnaires » d’une doctrine destinée à
périr
avec le système régnant, qu’elle croit combattre, et dont elle figure
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rner dans sa vie, le résoudre au concret, ou bien
périr
par lui. Il n’y a pas au monde un seul problème dont la réalité derni
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sses, non point pour les confondre éloquemment et
périr
ensuite avec elles, mais pour restaurer le pouvoir qui nous désigne e
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dialogue à soutenir avec l’époque. Notre culture
périt
d’être par trop « irresponsable ». Peut-être nous faut-il revenir ver
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her des conformismes et des « cabales ». Certains
périssent
dans cette lutte ; beaucoup en tirent de l’énergie ; tous savent et s
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mes. Les animaux se mangent entre eux, les hommes
périssent
par accident, la terre tremble : est-ce là l’œuvre du Dieu d’amour do
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utons Nietzsche, qui ricane sa sagesse : « Ne pas
périr
imperceptiblement ! » Je l’ai dit, et je le répète : c’est parce qu’i
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ises de l’élite, et qui maintenant la désignent à
périr
. Pensée privée de mains, mains privées de pensées, si leur confort fu
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rner dans sa vie, le résoudre au concret, ou bien
périr
par lui. Il n’y a pas au monde un seul problème dont la réalité derni
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utons Nietzsche, qui ricane sa sagesse : « Ne pas
périr
imperceptiblement ! » C’est parce qu’il est en apparence insaisissabl
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ises de l’élite, et qui maintenant la désignent à
périr
. Pensée privée de mains, mains privées de pensées, si leur confort fu
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rner dans sa vie, le résoudre au concret, ou bien
périr
par lui. Il n’y a pas au monde un seul problème dont la réalité derni
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s » comme Sylla et César, ont bien vu que Rome va
périr
: elle n’est plus qu’une cohue de jouisseurs sénatoriaux et équestres
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ui n’est pas. De là vient que bien des hommes ont
péri
pour avoir tardé d’aller vers le Seigneur. Le temps venait où les po
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ir, Prière, Servir, Baiser et Faire, par où Amour
périt
. » Les quatre degrés sont « honorer, dissimuler, bien servir, patiemm
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ui n’est pas. De là vient que bien des hommes ont
péri
pour avoir tardé d’aller vers le Seigneur. Le temps venait où les poè
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ir, Prière, Servir, Baiser et Faire, par où Amour
périt
. » Les quatre degrés sont « honorer, dissimuler, bien servir, patiemm
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ui n’est pas. De là vient que bien des hommes ont
péri
pour avoir tardé d’aller vers le Seigneur. Le temps venait où les po
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ents témoins de la crise de 1929, où les affaires
périssent
et les bureaux se vident au-dessus du cinquantième étage, pour peu qu
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ous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte
périssent
dans la surdité. Qu’y pouvons-nous ? La bêtise est inexorable : rien
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ous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte
périssent
dans la surdité. Qu’y pouvons-nous ? La bêtise est inexorable : rien
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ous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte
périssent
dans la surdité. Qu’y pouvons-nous ? La bêtise est inexorable : rien
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que sous la cuirasse. Hâtons-nous, car tout peut
périr
. Nous qui sommes encore épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce
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ntes de l’Apocalypse, — « et le tiers des navires
périt
». Si c’est un four, comme certains le prévoient, je vous conseille d
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la vérité actuelle fût totalement démesurée ? Qui
périrait
dans la honte et la rage ? Ceux qui croient encore aux mesures et che
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que sous la cuirasse. Hâtons-nous, car tout peut
périr
. Nous qui sommes encore épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce
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ents témoins de la crise de 1929, où les affaires
périssent
et les bureaux se vident au-dessus du cinquantième étage, pour peu qu
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que sous la cuirasse. Hâtons-nous, car tout peut
périr
. Nous qui sommes encore épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce
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que sous la cuirasse. Hâtons-nous, car tout peut
périr
. Nous qui sommes encore épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce
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la vérité actuelle fût totalement démesurée ? Qui
périrait
dans la honte et la rage ? Ceux qui croient encore aux mesures et che
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ents témoins de la Crise de 1929, où les affaires
périssent
et les bureaux se vident au-dessus du 50e étage, pour peu que la pres
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lus, pour nous, que d’empêcher cette guerre ou de
périr
en elle. Séparés, isolés, aucun de nos pays n’empêchera rien. Séparés
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eul à la professer. Voici donc le sage condamné à
périr
ou à faire école. En d’autres termes si l’Europe continue d’être foll
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l en est, nous ne marchons pas, saute la bombe et
périsse
le monde : ça nous fait moins peur que Churchill… » Ces petites natur
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lus, pour nous, que d’empêcher cette guerre ou de
périr
en elle. Séparé, isolé, aucun de nos pays n’empêchera rien : nous ser
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l en est, nous ne marchons pas, saute la bombe et
périsse
le monde : ça nous fait moins peur que Churchill… » Ces petites natur
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irante d’une France désuète et qui naguère encore
périssait
« par excès de sagesse », d’une France vers laquelle il rêve son reto
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sable au monde — mais cette Europe aussi qui peut
périr
demain. La situation paraît tragiquement claire, encore qu’elle soit
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evant lequel il balançait. Il tue l’usurpateur et
périt
dans ce combat. Mélancolie, secret qu’il faut garder tout en essayant
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s vies dépend en fait d’une civilisation qui peut
périr
par notre désunion. 3. L’Europe que nous voulons ne sera pas unitaire
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urope persistant à rester désunie doit rapidement
périr
par asphyxie à la fois physique et morale. Marchés perdus, positions
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urope persistant à rester désunie doit rapidement
périr
par asphyxie à la fois physique et morale. Marchés perdus, positions
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urope persistant à rester désunie doit rapidement
périr
par asphyxie. Marchés perdus, alliance atlantique perdue, prestige pe
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it « bien gouvernée ». Enfin certains se disent :
périsse
l’Europe, pourvu que mes bénéfices continuent à rentrer, cela durera
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ris qu’il s’agit de se sauver tous ensemble ou de
périr
isolément. k. « L’avis de D. de Rougemont, directeur du Centre euro
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r, Prière, Servir, Baiser, et Faire, par où Amour
périt
. » Les quatre degrés sont « honorer, dissimuler, bien servir, patiemm
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rme d’un dilemme vital : s’unir immédiatement, ou
périr
en ordre dispersé. Quant à la méthode proprement fédéraliste, elle se
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national : 4 %, ne l’oublions pas. L’Europe seule
périrait
, sans discussion possible, si elle en était réduite à vivre sur elle-
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z une victoire qui sera celle de l’humanité. Il a
péri
des hommes ; mais c’est pour qu’il n’en périsse plus. Je le jure, au
55
Il a péri des hommes ; mais c’est pour qu’il n’en
périsse
plus. Je le jure, au nom de la fraternité universelle que vous allez
56
isations étant mortelles, la nôtre aussi pourrait
périr
, va donc probablement périr. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprim
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nôtre aussi pourrait périr, va donc probablement
périr
. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprime, à mon avis, l’une des err
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e… Mais la passion de la connaissance peut faire
périr
l’humanité ? Qu’à cela ne tienne ! « Cette pensée, elle aussi, est sa
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evant lequel il balançait. Il tue l’usurpateur et
périt
dans ce combat. Mélancolie, secret qu’il faut garder tout en essayant
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e… Mais la passion de la connaissance peut faire
périr
l’humanité ? Qu’à cela ne tienne ! « Cette pensée, elle aussi, est sa
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oup plus ancienne que ses nations. Elle risque de
périr
du fait de leur désunion et de leurs prétentions — toujours plus illu
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e pourra plus en supporter beaucoup d’autres sans
périr
… Les longues années qu’il a passées à observer l’agitation des hommes
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nt se sont anéantis tant de travaux !… Ainsi donc
périssent
les ouvrages des hommes ! ainsi s’évanouissent les empires et les nat
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z une victoire qui sera celle de l’humanité. Il a
péri
des hommes ; mais c’est pour qu’il n’en périsse plus. Je le jure, au
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Il a péri des hommes ; mais c’est pour qu’il n’en
périsse
plus. Je le jure, au nom de la fraternité universelle que vous allez
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écadence ? Se garder de la médiocrisation. Plutôt
périr
.261 C’est à l’historien suédois Harald Hjärne que nous emprunterons
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e. Tout ne s’est pas perdu, mais tout s’est senti
périr
. Un frisson extraordinaire a couru la moelle de l’Europe. Elle a sent
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ines catholiques, dit un troisième, — l’Europe va
périr
. Ainsi Thomas Mann (1875-1955) : Dans tout humanisme il y a un éléme
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dans un renouveau de ses forces vitales, alors il
périra
et avec lui l’Europe, dont le nom ne sera plus qu’une expression pure
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ligion avait sauvé le monde ancien à l’instant de
périr
, et formé une culture nouvelle, quoique obérée par le déclin des scie
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p d’esprit, qui se précipite dans la lutte pour y
périr
bientôt et entrer ainsi dans l’immortalité. Ulysse est incomparableme
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laquelle j’appartiens, et l’Europe a risqué d’en
périr
. Insister sur nos seules diversités détruit l’Europe matériellement.
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le virus du nationalisme, dont elle a bien failli
périr
elle-même à deux reprises. Et ce mal enfièvre aujourd’hui la plupart
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e depuis un siècle, et qui ont risqué de la faire
périr
à deux reprises en 1914 et en 1939, se résument dans le terme nationa
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des nationalismes exaspérés que l’Europe a failli
périr
à deux reprises dans la première moitié de notre siècle. Et c’est aus
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: Tout ne s’est pas perdu, mais tout s’est senti
périr
… Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mo
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le virus du nationalisme, dont elle a bien failli
périr
elle-même à deux reprises. Et ce mal enfièvre aujourd’hui la plupart
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en distinctes. Le christianisme peut triompher ou
périr
avec ses confessions distinctes et avec la civilisation occidentale,
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t seul à professer. Voici donc le sage condamné à
périr
ou à faire école. En d’autres termes : si l’Europe continuait d’être
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des journaux : « Oui, Messieurs, si l’Europe doit
périr
, que ce soit au moins une injustice ! » Mais les grandes heures capté
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isations étant mortelles, la nôtre aussi pourrait
périr
, va donc probablement périr. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprim
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nôtre aussi pourrait périr, va donc probablement
périr
. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprime, à mon sens, l’une des err
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ut d’un même système de valeurs menacées ; qu’ils
périront
ou se sauveront ensemble. Qu’en est-il donc de l’unité réelle de ce c
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isations étant mortelles, la nôtre aussi pourrait
périr
, va donc probablement périr. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprim
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nôtre aussi pourrait périr, va donc probablement
périr
. Pour émouvante qu’elle soit, elle exprime, à mon sens, l’une des err
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rs de deux guerres mondiales où l’Europe a failli
périr
, mais encore ils faussaient notre vision de l’histoire et le sens mêm
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rs de deux guerres mondiales où l’Europe a failli
périr
, mais encore ils faussaient notre vision de l’histoire et le sens mêm
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rs de deux guerres mondiales où l’Europe a failli
périr
. La vérité, c’est que la culture de tous nos peuples est une, quoiqu
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on rit de plus belle. C’est ainsi, je pense, que
périra
le monde : dans la joie générale des malins qui croiront à une farce.
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’hui, toute révolution liée à un État-nation doit
périr
par les soins du Pouvoir qu’elle instaure. Ses chefs sont condamnés à
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rs de deux guerres mondiales où l’Europe a failli
périr
, mais encore ils faussaient notre vision de l’histoire et le sens mêm
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s grands savants de notre ère. Cette culture peut
périr
demain, si les Européens ne la vivent plus, perdent le sens de ses va
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sation sous le poids de laquelle nous risquons de
périr
. Il se prépare déjà des révoltes terribles107, celles d’un mysticisme
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rritoire : chacal est maître chez soi. Tout peut
périr
par le fait du « plus froid de tous les monstres froids » que la majo
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ions. Nous n’avons plus qu’un choix : inventer ou
périr
. Mais innover, au sein d’un régime en faillite, ne saurait consister
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Rousseau. Il estimait, en effet, que « la France
périrait
par la démocratie, qui ne convient ni à ses mœurs, ni à la grandeur d
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né leur condamnation aux yeux de l’histoire : ils
périront
déshonorés par cela même qu’ils ont vendu pour le prestige. Mais si
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e de la rhétorique. Le choix est simple : ou nous
périrons
un à un, ou nous survivrons fédérés. Telle étant la situation de l’Eu
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de culture intellectuelle qui en résulte doivent
périr
. » « Nous autres tard venus de l’humanité » s’exclame J. Burckhardt a
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« Nous subsisterons unis, ou nous
périrons
séparés ! » (avril-mai 1979)ak J’entends dire que l’idée de l’Euro
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its pour l’Europe. Nous subsisterons unis ou nous
périrons
séparés. Cette évidence saute aux yeux. La plupart des grands problèm
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à rien. ak. « Nous subsisterons unis, ou nous
périrons
séparés ! », Panorama aujourd’hui, Paris, avril-mai 1979, p. 11-12. P
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quelque chose de grand qui nous englobe, qui peut
périr
et qui attend de nous seuls sa renaissance. Et de nouveau, c’est un g
105
e de la rhétorique. Le choix est simple : ou nous
périrons
un à un, ou nous survivrons fédérés. B.L’Europe et l’Occident
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ous unir, c’est-à-dire de survivre ensemble ou de
périr
séparément. Dans l’état actuel de division de l’Europe en 30 États so
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met ma vie en danger. Vogue la galère. S’il faut
périr
, périssons bien. 11 mars. Tout est perdu par cela même que tout le m
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vie en danger. Vogue la galère. S’il faut périr,
périssons
bien. 11 mars. Tout est perdu par cela même que tout le monde dit qu
109
les Débats. S’il triomphe et qu’il me prenne, je
péris
. N’importe. Tâchons de nous souvenir que la vie est ennuyeuse. Le le
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quelque chose de grand qui nous englobe, qui peut
périr
et qui attend de nous seuls sa renaissance. Et de nouveau, c’est un g