1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
1 nterférences (décembre 1927)ap Un jeune auteur raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit, sur commande, une Prom
2 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
2 ieux réussi. Voici la vie de Ford, telle qu’il la raconte dans Ma vie et mon œuvre. Il naît fils de paysan. Il passe son enfanc
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 exaltation. Il semble se rapprocher de moi. Il me raconte de ces superstitions qui ne sont enfantines que pour nos savants reto
4 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
4 ence soit comparable à celle du cinéma ! Claretie raconte que les détenus des maisons de correction se jetaient sur ces volumes
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
5 sa vie le plus grand mystère. Cependant il aime à raconter certaines scènes terrifiantes de la révolution : il a été condamné à
6 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
6 récit comme celui d’Anderson : voici un homme qui raconte sa vie avec une émouvante simplicité et il faudrait avoir la grossièr
7 lité était l’assassinat du corps humain, mais qui raconte dans son autobiographie que son désir constant était que tous les hom
7 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
8 ur de Hölderlin (15 juillet 1929)n « Je lui ai raconté qu’il habite une chaumière au bord d’un ruisseau, qu’il dort les port
9 ort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement parce qu’il
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
10 foie de morue avant le repas, et le monsieur qui racontait gravement des choses qu’on ne comprend pas, la prière du soir pour qu
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
11 foie de morue avant le repas, et le monsieur qui racontait gravement des choses qu’on ne comprend pas, la prière du soir pour qu
10 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
12 incongrue de cette chronique. Enfin, un Étranger raconte l’histoire suivante qui est une des plus belles du monde :   Un prin
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 es turcs brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier h
14 la nature du Sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord les chapitres q
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
15 ne qui s’agrandit pendant des heures ? — Ce qu’en raconte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. De
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
16 existence et l’action de Kagawa, telles qu’il les raconte dans ces deux volumes, témoignent que l’amour chrétien peut encore au
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
17 force d’expression concrète. Le petit chien Botte raconte ses journées, « des choses et des choses comme des rats qui courent »
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
18 ême un phénomène assez bouleversant. Klaus Mann a raconté cette histoire avec beaucoup de grâces et des pointes d’ironie anachr
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
19 exaltation. Il semble se rapprocher de moi. Il me raconte de ces superstitions qui ne sont enfantines que pour nos savants reto
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 es turcs brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier h
21 la nature du sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord les chapitres q
22 ne qui s’agrandit pendant des heures ? — Ce qu’en raconte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. De
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
23 La tour de Hölderlin « Je lui ai raconté qu’il habite une chaumière au bord d’un ruisseau, qu’il dort les port
24 ort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement parce qu’il
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
25 nt une sainte. « Et pendant que l’aîné des frères racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se répandit
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
26 les entreprises des fantômes… Enfin, un Étranger raconte l’histoire suivante qui est une des plus belles du monde : Un prince
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 es turcs brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier h
28 ne qui s’agrandit pendant des heures ? — Ce qu’en raconte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. De
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
29 La tour de Hölderlin « Je lui ai raconté qu’il habite une chaumière au bord d’un ruisseau, qu’il dort les port
30 ort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement parce qu’il
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
31 s, nous parlions de prémonitions, et je venais de raconter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt t
32 nt une sainte. « Et pendant que l’aîné des frères racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se répandit
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
33 ation d’une société de collégiens. J’ai refusé de raconter devant tous, debout sur un tonneau comme le veut la coutume, l’histoi
25 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
34 e : il n’a pas l’air d’avoir pu inventer ce qu’il raconte . Cela donne envie d’aller voir. Or, je tiens qu’il n’y a rien de plus
26 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
35 eprendre la phrase de Shakespeare, à une histoire racontée par un idiot » (p. 261). C’est une histoire de ce genre qui caractéri
27 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
36 t livre d’Harold Begbie, Vies transformées 7, qui raconte les origines du Mouvement et cherche à décrire son esprit. Ce n’est p
28 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
37 e : il n’a pas l’air d’avoir pu inventer ce qu’il raconte . Cela donne envie d’aller voir. Or, je tiens qu’il n’y a rien de plus
29 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
38 savent des anecdotes et sont toujours prêts à en raconter , ne savent pas voir les visages32. Le moraliste voit des types, le p
30 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
39 l’effarante description de sa vie telle qu’il l’a racontée dans une espèce d’autobiographie romancée qu’on a traduite en France
31 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
40 ants à cause du sujet, même maltraité. Miss Brett raconte la même période et n’irrite pas, ne passionne pas non plus, mais nous
41 très peiné, et je dis, moi, qu’on ne devrait pas raconter de pareilles histoires à Tony. Vous répondez avec force et chaleur :
32 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
42 tte affaire, c’est le journaliste allemand qui la raconte , et qui ne manque pas de féliciter la Chambre des communes. (Gazette
33 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
43 mplicité cette vieille princesse russe à qui l’on racontait que sa maison de campagne, aux environs de Moscou, avait été transfor
34 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
44 — Tout ce que le lecteur demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lect
45 lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des histoires inventées. — Mais si j
35 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
46 38. Dans le conte intitulé « l’Ombre », Andersen raconte comment un philosophe « Venant des froides régions du Nord » et voyag
36 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
47 ont un peu de respect pour moi, c’est parce qu’on raconte dans le pays que je possède une machine à écrire…) Février 1934 Les
48 de cinq ans. Et je m’étonnais tout en parlant de raconter une épopée contemporaine : tout cela se dégageait ici de la mesquiner
49 rquer ce doute. Un agriculteur auquel je viens de raconter ce petit fait, m’explique qu’avec un manche court « on travaille plus
37 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
50 journaux, sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays. Je l’ai laissée en plein mystère. Elle a dû en parler lo
51 peu de fantaisie dans ses souvenirs, trop souvent racontés . (« Quand nous étions devant Tamatave, en 1886. ») Il s’occupe mainte
52 vent, ils se taisent bien vite, ou se remettent à raconter des anecdotes subitement sans intérêt. Je ne sens pas qu’ils se méfie
53 s habitent trop loin, ou sont indifférents. Il me raconte les efforts qu’il a faits, pendant six ans, pour entrer en contact av
38 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
54 journaux, sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays… Je l’ai laissée en plein mystère. Elle a dû en parler lo
39 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
55 ng mort, il ne reste que Selma Lagerlöf pour nous raconter des histoires, des histoires inventées, impossibles, caracolantes et
40 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
56 t les gars de la buvette ont bien des choses à se raconter . Dès le démarrage, la voiture craque et crisse de partout. Un incroya
41 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
57 journaux, sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays… Je l’ai laissée en plein mystère. Elle a dû en parler lo
58 peu de fantaisie dans ses souvenirs, trop souvent racontés . (« Quand nous étions devant Tamatave, en 1886… ») Il s’occupe mainte
59 vent, ils se taisent bien vite, ou se remettent à raconter des anecdotes subitement sans intérêt. Je ne sens pas qu’ils se méfie
60 s habitent trop loin, ou sont indifférents. Il me raconte les efforts qu’il a faits, pendant six ans, pour entrer en contact av
61 et maintenant, ça ne va plus. Il faut qu’elle me raconte cela. Elle vient donc s’appuyer contre la barrière de la cour, cale s
62 de cinq ans. Et je m’étonnais tout en parlant de raconter une épopée contemporaine : tout cela se dégageait ici de la mesquiner
63 rquer ce doute. Un agriculteur auquel je viens de raconter ce petit fait m’explique qu’avec un manche court « on travaille plus
42 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
64 — Tout ce que le lecteur demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lect
65 lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des histoires inventées. — Mais si j
43 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
66 llait une grande partie de la nuit. Georg Brandes raconte qu’on pouvait le voir, de la rue, arpenter longuement les pièces illu
44 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
67 où nous sommes attablés, depuis deux heures il me raconte ses bagarres avec les nazis, avant 1933, quand il était en feldgrau (
45 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
68 . Au sommet de l’ascension spirituelle qu’il nous raconte dans le langage de la plus ardente passion, saint Jean de la Croix co
46 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 où nous sommes attablés, depuis deux heures il me raconte ses bagarres avec les nazis, avant 1933, quand il était en feldgrau (
47 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
70 sort même de la paix qu’elle chantait. Je vous ai raconté cette histoire pour apporter un témoignage assez précis au vieux déba
48 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
71 ises, nous trouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, o
49 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
72 raiment passion, elle tend du même mouvement à se raconter elle-même, que ce soit pour se justifier, pour s’exalter, ou simpleme
73 coup d’enfants » signifie qu’il n’y a plus rien à raconter  ; ou bien c’est le baiser en gros plan, bouchant l’écran et refermant
74 , Les Romantiques allemands, p. 285). 150. Tieck raconte l’histoire du troubadour Jauffré Rudel dans Sternbald, et caractérise
50 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
75 . Au sommet de l’ascension spirituelle qu’il nous raconte dans le langage de la plus ardente passion, saint Jean de la Croix co
51 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
76 ne seule fois par semaine ? 2e valet. —  On en raconte , vous savez… 1er valet. —  Et tu crois ça ? 2e valet. —  C’est
77 tu que nous t’interrogions sur des miracles qu’on raconte au loin ? (Deux personnages de la suite s’avancent.) 1er seigneur.
52 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
78 ises, nous trouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, o
53 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
79 raiment passion, elle tend du même mouvement à se raconter elle-même, que ce soit pour se justifier, pour s’exalter, ou simpleme
80 coup d’enfants » signifie qu’il n’y a plus rien à raconter ou bien c’est le baiser en gros plan, bouchant l’écran et refermant l
81 , les Romantiques allemands, p. 285). 168. Tieck raconte l’histoire du troubadour Jauffré Rudel dans Sternbald, et caractérise
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
82 . Au sommet de l’ascension spirituelle qu’il nous raconte dans le langage de la plus ardente passion, saint Jean de la Croix co
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
83 ises, nous trouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, o
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
84 raiment passion, elle tend du même mouvement à se raconter elle-même, que ce soit pour se justifier, pour s’exalter, ou simpleme
85 coup d’enfants » signifie qu’il n’y a plus rien à raconter  ; ou bien c’est le baiser en gros plan, bouchant l’écran et refermant
86 , Les Romantiques allemands, p. 285.) 157. Tieck raconte l’histoire du troubadour Jaufré Rudel dans Sternbald, et caractérise
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
87 . Au sommet de l’ascension spirituelle qu’il nous raconte dans le langage de la plus ardente passion, saint Jean de la Croix co
58 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
88 r l’active complicité de son modèle. Jakob Boehme raconte qu’on demandait à Satan : Pourquoi es-tu sorti du Paradis ? — J’ai vo
89 rise à l’infini dans Sa Création déployée. Il s’y raconte à lui-même sa grandeur « et l’étendue célèbre l’œuvre de ses mains ».
59 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
90 r l’active complicité de son modèle. Jakob Boehme raconte qu’on demandait à Satan : Pourquoi es-tu sorti du Paradis ? — J’ai vo
91 rise à l’infini dans Sa Création déployée. Il s’y raconte à lui-même sa grandeur « et l’étendue célèbre l’œuvre de ses mains ».
60 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
92 r l’active complicité de son modèle. Jakob Boehme raconte qu’on demandait à Satan : Pourquoi es-tu sorti du Paradis ? — J’ai vo
93 rise à l’infini dans Sa Création déployée. Il s’y raconte à lui-même sa grandeur « et l’étendue célèbre l’œuvre de ses mains ».
61 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
94 ient pas. Voici la réponse qu’elle me fit : Jésus racontait des histoires pour qu’ils s’en souviennent mieux plus tard. C’est com
62 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
95 si vous alliez dire au même enfant, avant de lui raconter la même histoire, que cela s’est passé tout à l’heure, dans la rue, i
63 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
96 c naturel des questions follement indiscrètes, me racontaient leur vie sans le moindre souci de se faire bien ou mal juger, m’appel
64 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
97 axi. Trois militaires, rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail de leurs campagnes. Aucun d’eux ne donnait l’impression de
65 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : Post-scriptum (27 avril 1946)
98 tiendra bien coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’histoires. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homm
66 1946, Combat, articles (1946–1950). Post-scriptum (24 mai 1946)
99 tiendra bien coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’histoires. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homm
67 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
100 de suite, l’Américain vous dit votre prénom, vous raconte sa vie sentimentale et l’état de ses affaires, enfin vous invite pour
68 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
101 ive et propice aux aveux. V., ex-cagoulard, ayant raconté , non sans verve comment ses camarades et lui-même, avant la guerre, o
69 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
102 bien cela. Il parle beaucoup pour me réconforter, raconte avec vivacité comment il a organisé mes conférences, et quel public j
70 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
103 ⁂ R. vient d’être reçu au palais de Venise et me raconte sa visite. Il pénètre dans le fameux cabinet où le Duce a coutume de
71 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
104 dive et propice aux aveux. V. ex-cagoulard, ayant raconté , non sans verve, comment ses camarades et lui-même, avant la guerre,
72 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
105 emblant, mieux imité, plus conforme à celui qu’on raconte dans leurs livres. Mais les amis qui étaient venus parlaient du Noël
73 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
106 ns rien ! J’ai dû les jeter par la fenêtre. Il me raconte encore quelques histoires du diable. Je prends congé, nous déjeuneron
74 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
107 accouru sur la galerie, à la nouvelle, et j’ai dû raconter l’histoire comme si je revenais d’Hiroshima, comme si j’en étais resp
75 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
108 axi. Trois militaires, rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail de leurs campagnes. Aucun d’eux ne donnait l’impression de
76 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
109 théories politiques vous assomment, je vais vous raconter une histoire. Elle vous prouvera qu’en Amérique, on trouve parfois de
77 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
110 tiendra bien coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’histoires. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homm
78 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
111 accouru sur la galerie, à la nouvelle, et j’ai dû raconter l’histoire comme si je revenais d’Hiroshima, comme si j’en étais resp
79 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
112 axi. Trois militaires, rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail de leurs campagnes. Aucun d’eux ne donnait l’impression de
80 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
113 théories politiques vous assomment, je vais vous raconter une histoire. Elle vous prouvera qu’en Amérique, on trouve parfois de
81 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
114 tiendra bien coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’histoires. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homm
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
115 poque européenne qui dure encore et que je compte raconter , vue et vécue de l’intérieur, dans une suite à ce recueil, jusqu’à re
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
116 es turcs brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier h
117 ne qui s’agrandit pendant des heures ? — Ce qu’en raconte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. De
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
118 VILa tour de Hölderlin « Je lui ai raconté qu’il habite une chaumière au bord d’un ruisseau, qu’il dort les port
119 ort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement parce qu’il
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
120 s, nous parlions de prémonitions, et je venais de raconter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt t
121 nt une sainte. « Et pendant que l’aîné des frères racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se répandit
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
122 t les gars de la buvette ont bien des choses à se raconter . Dès le démarrage, la voiture craque et crisse de partout. Un incroya
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
123 journaux, sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays… Je l’ai laissée en plein mystère. Elle a dû en parler lo
124 peu de fantaisie dans ses souvenirs, trop souvent racontés . (« Quand nous étions devant Tamatave, en 1886… ») Il s’occupe mainte
125 vent, ils se taisent bien vite, ou se remettent à raconter des anecdotes subitement sans intérêt. Je ne sens pas qu’ils se méfie
126 s habitent trop loin, ou sont indifférents. Il me raconte les efforts qu’il a faits, pendant six ans, pour entrer en contact av
127 t maintenant, ça ne va plus. » Il faut qu’elle me raconte cela. Elle vient donc s’appuyer contre la barrière de la cour, cale s
128 de cinq ans. Et je m’étonnais tout en parlant de raconter une épopée contemporaine : tout cela se dégageait ici de la mesquiner
129 rquer ce doute. Un agriculteur auquel je viens de raconter ce petit fait m’explique qu’avec un manche court « on travaille plus
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
130 « Tout ce que le lecteur demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R… — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lect
131 lui raconte une histoire, me dit R… — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des histoires inventées. — Mais si j
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
132 où nous sommes attablés, depuis deux heures il me raconte ses bagarres avec les nazis, avant 1933, quand il était en feldgrau (
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
133 ynold vient d’être reçu au palais de Venise et me raconte sa visite. Il pénètre dans le fameux cabinet où le Duce a coutume de
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
134 aux aveux. Henri de Vilmorin, ex-cagoulard, ayant raconté , non sans verve, comment ses camarades et lui-même, avant la guerre,
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
135 emblant, mieux imité, plus conforme à celui qu’on raconte dans leurs livres. Mais les amis qui étaient venus parlaient du Noël
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
136 ns rien ! J’ai dû les jeter par la fenêtre. Il me raconte encore quelques histoires du diable. Je prends congé, nous déjeuneron
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
137 u’elles durent99. 9 août 1945 Commencer par raconter l’entrée de la Chose dans nos esprits. Ce sera le début de la premièr
138 accouru sur la galerie, à la nouvelle, et j’ai dû raconter l’histoire comme si je revenais d’Hiroshima, comme si j’en étais resp
95 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
139 Orientation Les mythes racontent le réel comme un événement permanent. Et leurs fables illustrent les
96 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
140 ient pas. Voici la réponse qu’elle me fit : Jésus racontait des histoires pour qu’ils s’en souviennent mieux plus tard. C’est com
97 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
141 té. 4. Dans le conte intitulé L’Ombre, Andersen raconte comment un philosophe « venant des froides régions du nord » et voyag
98 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
142 bien cela. Il parle beaucoup pour me réconforter, raconte avec vivacité comment il a organisé mes conférences, et quel public j
99 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
143 c naturel des questions follement indiscrètes, me racontaient leur vie sans le moindre souci de se faire bien ou mal juger, m’appel
100 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
144 , et qui s’acquiert au prix de quelques aventures racontées avec brusquerie, sans desserrer les dents sauf pour sourire un peu, u