1 oup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le tilleul imme

2 ter une provision d’« œillades ». C’est leur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des hauteurs, on voyait la pl

3 ame Turc. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin , il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travail

4 e. Elle nous conduit à la chambre de conserve des raisins . Pendant qu’elle fait la pesée : « C’est pour qui, Monsieur, sans ind

5 oup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le tilleul imme

6 ter une provision d’« œillades ». C’est leur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des hauteurs, on voyait la pl

7 Mme Turc. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin , il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travail

8 e. Elle nous conduit à la chambre de conserve des raisins . Pendant qu’elle fait la pesée : — C’est pour qui, monsieur, sans ind

9 oup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le tilleul imme

10 ter une provision d’« œillades ». C’est leur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des hauteurs, on voyait la pl

11 Mme Turc. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin , il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travail

12 e. Elle nous conduit à la chambre de conserve des raisins . Pendant qu’elle fait la pesée : « C’est pour qui, monsieur, sans ind

13 sorte de sérénité meurtrie ». Mussolini et les raisins Plus tard, c’est à la veille de l’autre guerre mondiale, une délég

14 où je remarque soudain une coupe emplie de beaux raisins pâles. Il tient le menton haut… L’œil est impérieux, mais impérieux d

15 e officielle. Plus du tout cambré, il piquait des raisins avec une surprenante prestesse. » Plusieurs chapitres ici ou là, et q