1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 . C’est plutôt qu’il est trop attaché encore à se regarder chercher, absorbant son attention dans une sincérité si voulue qu’ell
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 arre droite au travers d’un tableau. Nos yeux ont regardé longtemps — où va l’âme durant ces minutes ? — jusqu’à ce que les bœu
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 ant à l’intérieur. Un arrêt (l’auteur se met à se regarder vivre, le personnage à douter du sens de sa vie) et les forces centri
4 estitue qu’un dégoût. J’ai cru que je pourrais me regarder sans rien toucher en moi. En réalité, je n’assiste pas à moi-même, ma
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
5 ressemblait tant. Mais je n’osais presque pas la regarder , à cause d’une incertitude qui redonnait tout son empire à ma timidit
6 Saint-Michel, elle sortit, en me frôlant, sans me regarder . Je descendis derrière elle. Mais tout de suite des parapluies la dér
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
7 n lâche. Parce que je reviens seul. Mais moi, qui regarde comme de l’autre bord, je songe qu’il est des visites à de certaines
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 cette tulipe bizarre, cette tête prisonnière qui regarde ailleurs… Qu’il sorte enfin et se mette à graver les scènes qu’il voi
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
9 op sincèrement. » Vers cette époque, une femme me regarda longuement. » Mes parents me savaient vierge et c’était la joie de le
10 in, ses cheveux avaient légèrement blanchi. Il me regardait avec une terreur ou je crus distinguer je ne sais quelle déchirante n
11 e passa, et une femme en robe bleue légère qui me regarda un instant, si doucement… Je me levai sans payer, je partis par les r
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
12 Tous nos ennuis nous seraient épargnés si nous ne regardions que les jambes des femmes », dit-il, pour vous apprendre ! — sans se
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
13 mais ici décisive), une secrète complaisance à se regarder vivre qui est bien d’aujourd’hui — entre autres. ap. « Léon Bopp :
10 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
14 la sur les dés, et partit d’un long rire. Elle me regardait et l’étranger aussi se mit à me regarder bizarrement et j’étais possé
15 Elle me regardait et l’étranger aussi se mit à me regarder bizarrement et j’étais possédé de joies et de peurs. Il fallut se lev
16 nt rentrer chez moi, et ma femme m’embrasse et me regarde avec inquiétude, parce que je ne suis plus tout à fait le même. Puis
11 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
17 et se tromper mortellement. Il suffit pourtant de regarder autour de nous et d’en croire nos yeux. I. L’homme qui a réussi
12 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
18 usa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes pas dissimuler nous trahi
19 mprends que l’Europe est en décadence quand je la regarde s’amuser. Je vois se perdre ce sens des correspondances secrètes et s
20 peine à toucher leurs sens fatigués et épaissis. Regardez ces yeux mornes, ou luisants de concupiscences élémentaires : Ce sont
21 de gravité et de détachement. Je viens souvent la regarder , à cause de la noblesse de sa danse. Je la nomme Clarissa, parce que
22 u genre le plus conventionnel qui soit. Gérard la regarda avec une certaine pitié : « Chère enfant, dit-il doucement, pauvre co
23 omard avec toutes sortes de soins. Les chauffeurs regardaient d’un œil las, trop las pour s’étonner. Transi, je me balançais d’un p
13 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
24 obsédant. Stéphane passe des heures entières à se regarder dans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de lumière et de sent
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
25 ions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un écolier préparer ses devoirs, c’est frappant : il apprend les ques
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
26 la nature. Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder . De faire connaissance. Je ne sais s’il est très exagéré de dire que
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
27 ions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un écolier préparer ses devoirs, c’est frappant : il apprend les ques
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
28 la nature. Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder . De faire connaissance. Je ne sais s’il est très exagéré de dire que
18 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
29 Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais trop profond pour te voir ? Maintenant je suis seul à redescendre au
19 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
30 s un journaliste, un libéral et un jeanfoutre qui regardaient travailler un maçon. Le maçon creusait et défonçait, or on lui avait
20 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
31 sé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi ? Regardez  : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office, a pris pla
32 que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans
33 s noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
34 ministres en retraite que de fauteuils. Et on me regarde . J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
35 sur un banc humide, — juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le
36 les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les d
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
37 randiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car a
38 t presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la pensée, qui ne peut pl
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
39 e prévenu, qui vaut d’être citée : — Pourquoi me regardez -vous ainsi ? tonna le Procureur, qui cherchait à intimider Eiichi. Ei
40 hie. — Qu’est-ce que cela veut dire ? Pourquoi me regardez -vous aussi insolemment ? Le Procureur continuait à enrager ; sa figur
41 , quatre, cinq minutes s’écoulèrent. Le Procureur regardait distraitement son carnet de notes. Il tremblait jusqu’au bout des doi
42 ne fois, désespéré, — « heureusement, personne ne regardait , il se jeta par terre sur la route, criant à son corps : “Meurs !”, m
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
43 e chose extraordinaire : soudain c’est lui qui me regarde et qui me perce, — et me fait honte d’oublier la grandeur. 25. Rema
25 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
44 idité, parce que c’est le pays des ressemblances. Regarde , tout y tient ensemble fortement, comme dans le tableau d’un grand pe
26 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
45 et dans un sens plus vaste, la religion, que cela regarde . M. Nizan demande inlassablement ce que les philosophes bourgeois fon
27 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
46 usa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes pas dissimuler nous trahi
47 mprends que l’Europe est en décadence quand je la regarde s’amuser. Je vois se perdre ce sens des correspondances secrètes et s
48 peine à toucher leurs sens fatigués et épaissis. Regardez ces yeux mornes, ou luisants de concupiscences élémentaires : Ce sont
49 de gravité et de détachement. Je viens souvent la regarder , à cause de la noblesse de sa danse. Je la nomme Clarissa, parce que
50 u genre le plus conventionnel qui soit. Gérard la regarda avec une certaine pitié : « Chère enfant, dit-il doucement, pauvre co
51 omard avec toutes sortes de soins. Les chauffeurs regardaient d’un œil las, trop las pour s’étonner. Transi, je me balançais d’un p
28 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
52 es yeux agrandis, aux pieds d’une femme qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’écouter autre chose… En vérité l
53 nse salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a là dans un e
54 qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un reproche… Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
55 ministres en retraite que de fauteuils. Et on me regarde . J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
56 sur un banc humide, — juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le
57 les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les d
58 randiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car a
59 t presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la pensée, qui ne peut pl
30 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
60 et, tout près d’ici. Vont-elles sentir que je les regarde  ? Vraiment la plus petite est jolie, très brune, avec un gros collier
61 à nos sens leur efficacité et leur étonnement. Je regarde les feuilles de ma salade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse
62 es corridors, pendant toute la nuit, et qu’on n’y regarde pas à quelques kilowatts. Je veux être mis en bière dans mes habits d
63 r subi une sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devien
64 erme son magazine d’un coup, ôte ses lunettes, me regarde avec des yeux écarquillés. « Maintenant, dit-il (et l’on sent qu’il p
65 s noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles
66 ivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans fin. (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent l
67 encore une gare en géraniums, et il faut bien la regarder , la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la réquisition de l’él
68 ui faire place. Je sens que les deux ouvrières me regardent . Elle, sans doute, ne veut pas trop choisir, ni surtout me choisir, —
31 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
69 mille de géants, debout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le d
70 alisme. Satan lui-même y donne ses directives. Et regardez les têtes qui vous entoureront. Personne, croyez-m’en, de la race des
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
71 l’eau Tu es appuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille de
33 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
72 sé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi ? Regardez  : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office, a pris pla
73 que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
74 es yeux agrandis, aux pieds d’une femme qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’écouter autre chose… En vérité le m
75 nse salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a là dans un e
76 qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un reproche… Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
77 ministres en retraite que de fauteuils. Et on me regarde . J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
78 sur un banc humide, — juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le
79 les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les d
80 randiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car a
81 t presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar pensé, qui ne peut plus s’ar
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
82 l’eau Tu es appuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille de
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
83 mille de géants, debout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le de
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
84 et, tout près d’ici. Vont-elles sentir que je les regarde  ? Vraiment la plus petite est jolie, très brune, avec un gros collier
85 à nos sens leur efficacité et leur étonnement. Je regarde les feuilles de ma salade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse
86 es corridors, pendant toute la nuit, et qu’on n’y regarde pas à quelques kilowatts. Je veux être mis en bière dans mes habits d
87 r subi une sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devien
88 erme son magazine d’un coup, ôte ses lunettes, me regarde avec des yeux écarquillés. « Maintenant, dit-il (et l’on sent qu’il p
89 s noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles
90 ivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans fin. (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent l
91 encore une gare en géraniums, et il faut bien la regarder , la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la réquisition de l’él
92 ui faire place. Je sens que les deux ouvrières me regardent . Elle, sans doute, ne veut pas trop choisir, ni surtout me choisir, —
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
93 uvement. Les uns écrivent, d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Ma
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
94 y découvrir, à mon retour, que jamais je n’ai su regarder  ? On lui dit : — Vous êtes Suisse ? Vous en avez de la chance ! Mais
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
95 uées et daguerréotypes. Que sais-je d’eux, qui me regardent  ? Cette aïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires, j’
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
96 ons entre nous d’un air grave, d’un air de ne pas regarder les filles qui passent, mais je la vois venir de loin. Elle porte un
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
97 émissait, immobile et terrorisé. Nous nous sommes regardés un moment, de tout près. Un seul geste rapide eût suffi pour l’attrap
44 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
98 re ni même froncement de ce grand visage qui nous regarde tellement, mais nous sommes plutôt égarés dans son aire parmi des piè
45 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
99 , à montrer que les rôles se renversent dès qu’on regarde l’homme dans la perspective chrétienne. Ce n’est plus l’homme qui pos
46 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
100 a d’une résistance retrouvée26. Et Ramuz, apaisé, regarde tomber la neige : les choses ont de nouveau leur sens. Ramuz parle de
47 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
101 ! Expression curieuse et bien moderne ! Si nous y regardons de près, nous allons voir que le simple assemblage de ces deux mots,
48 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
102 ui fait nombre à celui qui fait loi, de celui qui regarde à celui qui s’engage. Nous pouvons voir ensuite un premier caractère
49 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
103 Expression curieuse et bien moderne14 ! Si nous y regardons de près, nous allons voir que le simple assemblage de ces deux mots,
50 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
104 xpression est courante, mais suspecte9. Si nous y regardons de près, nous allons voir que le simple assemblage de ces deux mots,
51 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
105 l’acte même de la vision ? Selon que l’homme qui regarde participe au spectacle, ou non, son regard saisira des aspects différ
106 u vois, je te dirai qui tu deviens. Car celui qui regarde se transforme. On a beaucoup écrit sur la fameuse opposition de la co
107 a vision qui est jugement et action : « Quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà, dans son cœur, commis l’adultère av
108 c’est aller à lui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde  : voir Dieu, c’est être regardé par lui. Mais alors, c’est aussi être
109 s que ce qui nous regarde : voir Dieu, c’est être regardé par lui. Mais alors, c’est aussi être aimé, et c’est se rendre à la t
110 ue) (p. 198). Ou ceci dans le Gai Savoir : J’ai regardé durant un bon moment cette ville, ses maisons de campagne et ses jard
111 l pas aussi, parmi les hommes, lorsque l’un d’eux regarde l’autre réellement, tel qu’il est dans le mouvement de sa forme en de
52 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
112 de chefs nous crient : en avant ! sans avoir osé regarder plus loin que le bout des semelles de leurs bottes. Leur en avant ne
53 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
113 : Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde . » Ne vient-il pas d’avouer le dernier mot de la sagesse cléricale, l
54 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
114 es clercs s’écrient : Esprit ! Esprit43 ! Mais je regarde leur visage. « Si c’était vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de tout
55 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
115 loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardons -les en face, connaissons-les : c’est le seul moyen de nous reconnaîtr
56 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
116 ahit, peut-il faire autre chose que du fascisme ? Regardons l’Europe d’après-guerre. Lénine fonde un régime marxiste, qui aboutit
57 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
117 ête du héron, celui-ci tordait son long cou et la regardait d’un air d’ahurissement profond. Quand elle l’avait remis en position
58 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
118 es. Voilà bien la vision classique : « Cessons de regarder les maisons : ce qui m’intéresse ici, c’est la foule. » Je me souvien
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
119 ête du héron, celui-ci tordait son long cou et la regardait d’un air d’ahurissement profond. Quand elle l’avait remis en position
60 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
120 loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardons -les en face, connaissons-les : c’est le seul moyen de nous reconnaîtr
61 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
121 r est toujours le meilleur prétexte à ne pas bien regarder ce qui se passe ici ; etc. Derrière ces différents excès, il y a touj
62 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
122 ête du héron, celui-ci tordait son long cou et la regardait d’un air d’ahurissement profond. Quand elle l’avait remis en position
63 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
123 loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardons -les en face, connaissons-les : c’est le seul moyen de nous reconnaîtr
64 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
124 r est toujours le meilleur prétexte à ne pas bien regarder ce qui se passe ici ; etc. Derrière ces différents excès, il y a touj
65 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
125 fit à me nourrir et à me vêtir ? Vous n’avez qu’à regarder la frange de mon pantalon. Ce n’est pas avec ça que je pourrais faire
66 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
126 anes. Elle figure le « miroir auquel la nature se regarde en nous. » Elle est ainsi l’agent microcosmique, la puissance même de
67 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
127 (Mais c’est peut-être, justement, parce qu’on la regarde mal ?) On en est venu à assimiler violence à brutalité, à contrainte
68 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
128 tout le monde ne pense pas comme ça ici ? » Il me regarde un peu étonné à son tour : « Qu’est-ce que vous voulez, il n’y a rien
129 hement ce que vous pensez, de cette soirée… Je le regarde . C’est un homme simple et solide, on peut lui parler en camarade : —
130 double avertissement. D’une part, elle m’invite à regarder plus objectivement ceux qui m’entourent, ce « peuple » qu’il s’agit d
69 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
131 rien d’intime. J’ai à gagner ma vie, non pas à la regarder . Toutefois, noter les faits précis qui me paraîtront frappants ici ou
70 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
132 it comme une rose sauvage. » Il s’arrête. « Tu me regardes comme si j’étais une bête curieuse, dit-elle. On croirait que tu as r
71 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
133 uves de certains parfums de femmes, rien que pour regarder des êtres, et vivre un moment auprès d’eux, le temps de trois station
134 epté — tu es le seul à le connaître — lève-toi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des autres ; écoute bi
72 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
135 rien d’intime. J’ai à gagner ma vie, non pas à la regarder . Toutefois, noter les faits précis qui me paraîtront frappants ici ou
136 s soirées attablé devant un verre de petit vin, à regarder le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novemb
137 tout le monde ne pense pas comme ça ici ? — Il me regarde un peu étonné à son tour : « Qu’est-ce que vous voulez, il n’y a rien
138 ement ce que vous pensez de cette soirée »… Je le regarde . C’est un homme simple et solide, on peut lui parler en camarade. — E
139 double avertissement. D’une part elle m’invite à regarder plus objectivement ceux qui m’entourent, ce « peuple » qu’il s’agit d
140 lors y en a-t-il plus qu’on ne croit… Je viens de regarder pendant un bon moment les consommateurs attablés autour de moi. Que l
141 des conditions de vie précises et qu’il s’agit de regarder d’un œil actif. Février 1934 Les gens. — Du haut des dunes, je
142 est peut-être dans le coin derrière. J’y vais, je regarde  : rien. Ils l’avaient volée. Ça m’a fait comme une gifle ! J’en ai ét
143 es prétendait le fuir par ce biais de ne le point regarder . La vue d’un homme de chair et d’os eût porté la déroute en son systè
144 , je suis resté longtemps au marché, et j’ai bien regardé comme ils marchandaient et achetaient avec une convoitise, une attent
145 es poulets. J’ai passé bien des heures déjà à les regarder . Ils ont chacun leur nom, et leur petite allure particulière. Je pass
146 à gratter de leurs pattes, le bec en l’air, sans regarder où ils creusent ! Quel gaspillage dans les gestes instinctifs, — car
147 liquer l’intérêt presque indéfini que je prends à regarder de près une bestiole à son ouvrage, ou simplement le grain de la terr
73 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
148 veux pas tomber dans l’intellectualisme ! » Je le regarde  : c’est un solide gaillard. Il aime le sport ; très bien, qu’il conti
149 fit à me nourrir et à me vêtir ? Vous n’avez qu’à regarder la frange de mon pantalon. Ce n’est pas avec ça que je pourrais faire
74 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
150 s de romans font encore les délices du peuple. Je regarde autour de moi ces hommes en casquette et leurs femmes. On peut penser
151 érieur. » Je refermai alors mon livre et me mis à regarder les êtres qui me pressaient de tous côtés. Tantôt ils m’offusquaient
152 Et j’ai compris que ce peut être la même chose : regarder pour aimer, et oublier ce que l’on voit. Août 1935 Le voisin i
153 urs il a l’air colossalement fort et refuse de me regarder . Voilà ses genoux qui se rapprochent encore et pèsent. J’étouffe un c
75 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
154 ar la Loi et les Prophètes. L’Église primitive se regardait comme le second Israël, l’héritière du Royaume promis au Peuple de Di
76 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
155 uves de certains parfums de femmes, rien que pour regarder des êtres et vivre un moment auprès d’eux, le temps de trois stations
156 — tu es seul à pouvoir le connaître — lève-toi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des autres : écoute bi
77 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
157 ays ? Ou bien est-ce que vous ne les aviez jamais regardées qu’il vous faille aller en Vendée pour voir éclore des poussins ? Vo
158 oit. Ne passait-il pas des heures entières à nous regarder amoureusement, moi et mes poussins ? Je sais bien que je suis un « su
78 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
159 u Christ, mon seul salut, j’ai même le devoir d’y regarder à deux fois avant de donner mon adhésion. Que voulez-vous, je suis ca
79 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
160 un sérieux méfiant et résigné, presque sans nous regarder . À la fin de l’après-midi, nous trouvons enfin un propriétaire aryen.
161 .)   — Je me promène dans les grandes artères, je regarde les gens, je me dis : au fond, il n’y a pas eu de révolution. Tout es
162 rme. Le seul trait qui me frappe en lui, si je le regarde en psychologue, c’est la surhumaine énergie qu’il développe pendant u
163 erreur que nous commettons fréquemment, nous qui regardons l’Allemagne ou l’URSS du dehors ; nous croyons que tous ceux qui y vi
164 de la chaire, poser les deux mains sur l’appui et regarder son auditoire. Beau visage énergique et tourmenté, stature mince et t
165 age, et cela conduit au camp de concentration. Je regarde ce grand auditoire recueilli. Il n’y aura pas de heil ! hurlés quand
80 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
166 seul trait qui me frappe encore en lui, si je le regarde en psychologue, c’est la surhumaine énergie qu’il développe pendant u
81 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
167 Dans ce studio parisien, dont les larges fenêtres regardent un des boulevards les plus bruyants de Montmartre, deux hommes penché
82 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
168 es joues glacées et sur mon casque. Les hommes me regardent , et ils ne rient même pas. L’un d’eux entre ses dents : « On se deman
83 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
169 ? » al-Hallaj répond : « Ne t’attaque pas à Nous, regarde notre doigt que nous avons déjà teint dans le sang des amants. » De p
84 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
170 ares consistait à idéaliser tout l’Évangile, et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du monde créé. Cett
85 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
171 Et sortir de cette chair lasse du monde. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras prenez votre dernier embrassement ! Et m
172 évèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y
173 atalement le sens profond de l’action. Tant qu’on regarde la scène, on est victime de l’illusion des formes — et des plus ridic
86 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
174 ut est là, vivant, comme dans les rêves. Quand je regarde Jean, c’est ma jeunesse qui est là… Une autre page, c’est ma vie à l’
175 -ce que tu entends aussi ? (Fanfare en sourdine.) Regarde  ! Est-ce que tu vois là-bas !… (Une petite scène latérale, à gauche d
176 ment.) Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde  ! Écoute ! 1er officier. —  Capitaine de Flue ! Nicolas3. —  Pr
177 ls ! Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde  ! Écoute ! Scène iv. (La scène latérale de droite s’éclaire. O
178 ls ! Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde  ! Écoute ! Scène v. (Plan 2.) Dorothée. —  Et maintenant, te
179 voit paraître Dorothée. Elle reste sur le seuil, regarde Nicolas.) Le chœur. Ô Dieu, ton serviteur élève la voix dans les t
87 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
180 is à genoux. Ulrich s’avance au bord du plan 3 et regarde au-dessous de lui. La file des pèlerins s’est organisée dans la pénom
88 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
181 nos libertés sont en cause, et nos ancêtres nous regardent  ! Plutôt la guerre que la honte ! J’ai dit. Le président. —  Ainsi
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
182  », al-Hallaj répond : « Ne t’attaque pas à Nous, regarde notre doigt que nous avons déjà teint dans le sang des amants. » De p
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
183 ares consistait à idéaliser tout l’Évangile, et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du monde créé. Cett
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
184 Et sortir de cette chair lasse du monde. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras prenez votre dernier embrassement ! Et m
185 évèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y
186 atalement le sens profond de l’action. Tant qu’on regarde la scène, on est victime de l’illusion des formes — et des plus ridic
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
187 6.Sens de la crise Pour mieux voir notre état, regardons l’Amérique — cette Europe délivrée de ses routines, mais aussi de ses
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
188 ? » Al-Hallaj répond : « Ne t’attaque pas à Nous, regarde notre doigt que nous avons déjà teint dans le sang des amants. » De p
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
189 ares consistait à idéaliser tout l’Évangile, et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du monde créé. Cett
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
190 Et sortir de cette chair lasse du monde. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras prenez votre dernier embrassement ! Et m
191 évèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y
192 atalement le sens profond de l’action. Tant qu’on regarde la scène, on est victime de l’illusion des formes — et des plus ridic
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
193 6.Sens de la crise Pour mieux voir notre état, regardons l’Amérique — cette Europe délivrée de ses routines, mais aussi de ses
97 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
194 re : du désir de paraître aimable. Mais à trop se regarder , on ne vit plus. Le regard, ici, crée ce qu’il cherche… » Or, en écri
98 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
195 t d’un air stupide, le visage en plein soleil, et regardait au hasard devant lui. Ô abîme ! les Alpes étaient le spectacle, le sp
99 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
196 est à la mesure de l’homme individuel. Quand nous regardons en arrière, nous nous disons : les intellectuels auraient dû faire à
100 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
197 s années, nous avons renoncé, et c’est heureux, à regarder notre neutralité comme une chose qui irait de soi, qui aurait existé