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plus grave, qui transparaît parfois et nous fait
regretter
que l’auteur ne se soit pas mieux abandonné à son sujet, d’un pathéti
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nversé, maisons obliques, montagnes russes. (J’ai
regretté
que René Clair ne nous donne pas la vision du mort.) Enfin le cercuei
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dise la vérité librement et pour elle-même. Nous
regrettons
de n’en pouvoir citer, faute de place, que ces quelques phrases de Dr
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mais cela même ne manque pas de naturel… On peut
regretter
que ce livre ne réalise pas une synthèse plus organique du roman et d
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les mythomanes. Le cas méritait d’être exposé. Je
regrette
seulement que Daniel-Rops se soit borné à une courte nouvelle, d’aill
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thousiasme sacré que requiert l’œuvre de Rimbaud.
Regrettons
seulement qu’il n’élargisse pas plus une question aussi centrale — qu
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is, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le
regretter
… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’on réserv
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ue je suis parfaitement certain de n’avoir jamais
regretté
. » Blanche, anglicane « de naissance », a donc épousé un Italien et v
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usent d’une manière imprévue et significative. On
regrettera
seulement que l’auteur ait dû se borner à confronter les réactions an
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is, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le
regretter
… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’on réserv
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, Sonnette, que vous extrêmement intelligente. Je
regrette
profondément que vous n’ayez pas plus de sens qu’un oiseau. Sonnette,
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is, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le
regretter
… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’on réserv
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triomphale à la maison. (Faut-il avouer que je la
regrette
encore ?) Mais je restais là sans mouvement, fasciné par l’aubaine et
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exte. Son sujet d’ailleurs s’y prête peu. Mais on
regrette
parfois qu’il suive à pas si prudents son modèle, et que l’admiration
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critiques, à l’instar de l’affiche (dont il faut
regretter
qu’elle soit elle-même un affreux barbarisme importé d’outre-Manche).
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ailleuse et de se faire casser la figure. On peut
regretter
que le Congrès pour la défense de la culture n’ait rien tenté pour dé
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veillées fiévreuses, assiégées. Est-ce que je les
regrette
? Est-ce que l’heure de la nuit où l’on ne dort pas n’est pas toujour
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vec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je
regrette
vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et
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vec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je
regrette
vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et
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veillées fiévreuses, assiégées. Est-ce que je les
regrette
? Est-ce que l’heure de la nuit où l’on ne dort pas n’est pas toujour
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ufs, que sans désemparer elle se met à couver. On
regrette
que M. de Rougemont ne nous ait pas présenté le coq, même par la plus
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ble, mais c’est ce que vous m’avez coûté. — Je le
regrette
pour vous, cher Monsieur, mais vous auriez dû le prévoir dès le début
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qui croient connaître « leur » Révolution, ou qui
regrettent
qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses promesses. Qu’oppos
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uvons rejoindre l’Autre, l’indicible. 7. On peut
regretter
qu’Albert Béguin n’ait pas insisté davantage sur l’importance du quié
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Alors seulement Tristan se repent, Iseut se met à
regretter
la cour… Ils vont trouver l’ermite Ogrin, par l’entremise duquel Tris
26
. Et en effet, Tristan la laissera vierge, car il
regrette
« Iseut la bloie ». Enfin, blessé à mort, et de nouveau empoisonné pa
27
vient du monde. Il revoit la cour du roi Marc. Il
regrette
« le vair et le gris » et l’apparat de chevalerie, et le haut rang qu
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t : « Non, ce ne sont point ces transports que je
regrette
le plus : ah non ! retire s’il le faut ces faveurs enivrantes pour le
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Alors seulement Tristan se repent, Iseut se met à
regretter
la cour… Ils vont trouver l’ermite Ogrin, par l’entremise duquel Tris
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. Et en effet, Tristan la laissera vierge, car il
regrette
« Iseut la bloie ». Enfin, blessé à mort, et de nouveau empoisonné pa
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vient du monde. Il revoit la cour du roi Marc. Il
regrette
« le vair et le gris » et l’apparat de chevalerie, et le haut rang qu
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t : « Non, ce ne sont point ces transports que je
regrette
le plus : ah non ! retire s’il le faut ces faveurs enivrantes pour le
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Alors seulement Tristan se repent, Iseut se met à
regretter
la cour… Ils vont trouver l’ermite Ogrin, par l’entremise duquel Tris
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. Et en effet, Tristan la laissera vierge, car il
regrette
« Iseut la bloie ». Enfin, blessé à mort, et de nouveau empoisonné pa
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vient du monde. Il revoit la cour du roi Marc. Il
regrette
« le vair et le gris » et l’apparat de chevalerie, et le haut rang qu
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t : « Non, ce ne sont point ces transports que je
regrette
le plus : ah non ! retire s’il le faut ces faveurs enivrantes pour le
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ésence de cet affadissement, l’on serait tenté de
regretter
le temps où Satan proposait des combats plus féconds… 38. L’Éterne
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dore que son propre reflet. » Ce sera le temps de
regretter
les dictatures qui tuent les corps mais qui ne peuvent rien faire de
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dans l’avenir une découverte de la science. Nous
regretterons
alors le temps des clins d’œil de la destinée, quand nous pouvions en
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ésence de cet affadissement, l’on serait tenté de
regretter
le temps où Satan proposait des combats plus féconds… 54. L’Étern
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dore que son propre reflet. » Ce sera le temps de
regretter
les dictatures qui tuent les corps mais qui ne peuvent rien faire de
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dans l’avenir une découverte de la science. Nous
regretterons
alors le temps des clins d’œil de la destinée, quand nous pouvions en
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ésence de cet affadissement, l’on serait tenté de
regretter
le temps où Satan proposait des combats plus féconds. 54. L’Éterne
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ésence de cet affadissement, l’on serait tenté de
regretter
le temps où Satan proposait des combats plus féconds… i. « Les tour
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fait, tout simplement. Les délégués paraissaient
regretter
« l’atmosphère de Genève » plus que leur job manqué, d’ailleurs repri
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en a qu’une de boule, comme disait à peu près le
regretté
Willkie, et qu’une erreur unique, désormais, pourrait la rendre folle
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, ils auraient été interdits. Personnellement, je
regrette
qu’aucun Russe n’ait répondu à notre invitation. Heureusement, nous a
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eau courage. — Non, monsieur, je ne crois pas, je
regrette
… Nous parlerons encore du diable. C’est ainsi. Entre nous, rien n’est
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fait, tout simplement. Les délégués paraissaient
regretter
« l’atmosphère de Genève » plus que leur job manqué, d’ailleurs repri
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en a qu’une de Boule, comme disait à peu près le
regretté
Willkie, et qu’une erreur unique, désormais, pourrait la rendre folle
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en a qu’une de Boule, comme disait à peu près le
regretté
Wilkie, et qu’une erreur unique, désormais, pourrait la rendre folle
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is, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le
regretter
… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’on réserv
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vec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je
regrette
vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et
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veillées fiévreuses, assiégées. Est-ce que je les
regrette
? Est-ce que l’heure de la nuit où l’on ne dort pas n’est pas toujour
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ble, mais c’est ce que vous m’avez coûté. — Je le
regrette
pour vous, cher monsieur, mais vous auriez dû le prévoir dès le début
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qui croient connaître « leur » Révolution, ou qui
regrettent
qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses promesses. Qu’oppos
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eau courage. — Non, monsieur, je ne crois pas, je
regrette
… Nous parlerons encore du diable. C’est ainsi. Entre nous, rien n’est
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fait, tout simplement. Les délégués paraissaient
regretter
« l’atmosphère de Genève » plus que leur job manqué, d’ailleurs repri
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ette, que vous étiez extrêmement intelligente. Je
regrette
profondément que vous n’ayez pas plus de sens qu’un oiseau. Sonnette,
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triomphale à la maison. (Faut-il avouer que je la
regrette
encore ?) Mais je restais là sans mouvement, fasciné par l’aubaine et
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quent un besoin subit de se retirer pour méditer.
Regrettons
-le, pour eux surtout. S’ils sont un jour jetés, ce qu’à Dieu ne plais
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Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)h Je
regrette
que M. Lasserre ait simplifié ma thèse jusqu’à la déformer, et qu’il
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pirique, et seul réaliste. En tant que Suisse, ne
regrettez
-vous pas que votre pays ne prenne pas une part plus active à la const
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mmune il reçut à la Tour de Peilz — ceux-là mêmes
regrettent
de ne pouvoir assez rafraîchir leurs souvenirs anciens ; ils s’étonne
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point par dilettantisme (il serait périmé) que je
regrette
un peu (c’est du reste la seule chose qu’il me laisse à regretter) qu
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(c’est du reste la seule chose qu’il me laisse à
regretter
) que l’Essai de Denis de Rougemont demeure trop constamment abstrait.
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é, comme il l’est ailleurs… (15 novembre) : Je
regrette
d’être obligé de constater que le nouveau projet soviétique… ne conti
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. Le rapport K. remet tout en question. En effet,
regretter
, comme le font nos PC, que la presse bourgeoise ait seule publié le R
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ture ou calomnie tout simplement. Certes, on peut
regretter
que dans un ouvrage aussi scrupuleux et sincèrement supranationaliste
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oues, ni le mandarinat, ni le Bushido. On peut le
regretter
, mais on doit le constater. Un sociologue français, Roger Caillois, é
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rie-toi, ne te marie pas, dans les deux cas tu le
regretteras
», disait Socrate. « Celui qui se marie fait bien, mais celui qui ne
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rie-toi, ne te marie pas, dans les deux cas tu le
regretteras
», disait Socrate. « Celui qui se marie fait bien, mais celui qui ne
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Européen.241 J’émigrai, poursuivit-il, et je ne
regrettai
rien de ce que je laissais derrière moi. Tout ce que j’avais de force
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ate du xixe siècle, il n’y aurait presque rien à
regretter
en Suisse, mais de belles perspectives ouvertes à l’imagination de l’
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au travers des tours de passe-passe théologiques,
regrettera
peut-être au secret de son cœur, l’époque où l’on pouvait brûler des
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usement certain qu’ils se trompent. Et cela il le
regrette
profondément. Car, pour notre interlocuteur, la réaction des jeunes e
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ubliques en général. C’est ce qu’avait bien vu le
regretté
Pierre Duclos, lorsqu’il relevait que « le fédéralisme vit d’une vie
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ubliques en général. C’est ce qu’avait bien vu le
regretté
Pierre Duclos, lorsqu’il relevait que « le fédéralisme vit d’une vie
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, que changer à ce livre ? Certains critiques ont
regretté
la brièveté de mes pages sur nos auteurs et nos artistes. Mais ce n’é
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stes, ni le mandarinat, ni le Bushido. On peut le
regretter
, mais on doit le constater. Roger Caillois a écrit non sans drôlerie
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he, pour aller n’importe où ailleurs, et ce qu’il
regrettera
— il l’a prédit — ce n’est pas sa nation, mais l’Europe — « l’Europe
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stes, ni le mandarinat, ni le Bushido. On peut le
regretter
, mais on doit le constater. Roger Caillois a écrit non sans drôlerie
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ubliques en général. C’est ce qu’avait bien vu le
regretté
Pierre Duclos, lorsqu’il relevait que « le fédéralisme vit d’une vie
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ubliques en général. C’est ce qu’avait bien vu le
regretté
Pierre Duclos, lorsqu’il relevait que « le fédéralisme vit d’une vie
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», mais murmurent « qu’ils ne peuvent manquer de
regretter
» que ne soient pas « mieux motivées » les condamnations de Leningrad
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ils jugent, eux, que votre texte a vieilli. Je le
regrette
infiniment, car j’ai beaucoup de respect pour les maîtres, et ils ont
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our ma défense de la fidélité, tout en paraissant
regretter
que j’exclue la passion du mariage (ce que je ne fais pas). Et les hi
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kilomètres et non par 30, ou 3, ou 0,3 mètre. On
regrettera
les couloirs des anciens parlements, les apartés entre deux travées…
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d’une grande réforme n’est pas mauvais. Je ne le
regrette
pas pour moi, mais pour la France qui ne connaîtra pas avant longtemp
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ation que « contre » une société. Pour ma part je
regrette
que le développement de la société amène toujours davantage l’artiste
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’ont rien à voir avec le projet en discussion. Je
regrette
beaucoup, monsieur le rapporteur, mais j’ai sous les yeux un document
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out en murmurant « qu’ils ne pouvaient manquer de
regretter
» que ne fussent pas « mieux motivées » les condamnations de Leningra
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et il ajoute, — amer, cette fois-ci — « Je ne le
regrette
pas pour moi, mais pour la France qui ne connaîtra pas, avant longtem
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ut au long de cette année, je m’en souviens, j’ai
regretté
profondément que les jours n’aient que 24 heures et qu’il soit nécess
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dès sa publication en 1810. Mais combien faut-il
regretter
qu’à l’ouvrage sur l’Allemagne — qui est en réalité, un grand traité
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influence d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Je
regrette
que nous n’ayons pas eu l’occasion de souligner assez fortement que t
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s sont devenus trente-cinq ans, et pourtant je ne
regrette
rien, pour les raisons tout intérieures auxquelles il est temps que j
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e mythe. Je dois dire que, personnellement, je le
regrette
. Je n’ai pas beaucoup aimé la politique de de Gaulle en France, mais