1 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
1 l’État-nation, ayant renoncé au cujus regio, ejus religio , non par esprit œcuménique mais par mépris pour la religion, l’a remp
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
2 doctrine des princes luthériens, cuius regio eius religio . Mais simultanément, nous voyons le christianisme — et l’Église de Ro
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
3 l’État-nation, ayant renoncé au cujus regio, ejus religio , non par esprit œcuménique, mais par mépris pour la religion, l’a rem
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
4 fondateur de religion, au sens premier du terme : religio , lien renoué. Au sortir du discours de Francfort que j’entends et sub
5 1983, Articles divers (1982-1985). Hitler, l’anti-prophète de notre siècle (10 février 1983)
5 ndateur de religion, au sens premier du terme : «  religio  », lien noué, renoué. Au sortir du discours de Francfort que j’enten
6 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
6 5 octobre 1968 La souveraineté est religieuse, de religio , religare = relier. La religion, c’est ce qui relie. Cela se vérifie
7 dans l’Allemagne luthérienne) : cujus regio, ejus religio . Quand on a accepté cet extrême de l’absolutisation de l’État, qui co