1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 bourgeois. Dernièrement, il abandonna le stade et rentra dans le monde où nous vivons tous. Écœuré du désordre général, il che
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 un matin sourd, frileux, qui avait la nausée. Je rentrai seul. Voici quelques mots que j’écrivis à ma table en désordre où je
3 que je fis que je me sentais mieux, on me laissa rentrer seul. Je ne sais comment j’y parvins. Je crois que j’ai marché plusie
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 d’un de ses enfants… » Car le fils prodigue, s’il rentre au foyer dans une Rolls-Royce et fortune faite, tout le monde s’accor
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
5 ma chambre où m’attendent tous les soirs quand je rentre du bureau, les gages insupportablement familiers d’une vie honnête de
6 plein de rêves, certains soirs. Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma femme m’embrasse et me regarde avec inquiétude, parce
5 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
7 uelqu’un. En d’autres termes, on lui conseille de rentrer en lui-même. « Il se ramène en soi, n’ayant plus où se prendre » comm
6 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
8 bandonnés. Et des crémeries aux idylles démodées… Rentrons dans la ville un soir qu’elle s’amuse. Vous avez dîné au paprika chez
7 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
9 n de ces signes qui de toutes parts annoncent une rentrée de l’âme dans la littérature la plus spirituelle du monde. La thèse q
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
10 lus aucune velléité d’originalité. Mais pour être rentrée , ma colère n’en fut que plus malfaisante. L’école me rendit au monde,
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
11 us aucune velléité d’originalité. Mais pour être rentrée , ma colère n’en fut que plus malfaisante. L’école me rendit au monde,
10 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
12 tourné vers l’ombre où tu m’entends. III Fais rentrer dans leur peau d’ombre ces mots qui voudraient fleurir tourne le dos
11 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
13 et dans laquelle la rédaction s’empresse de faire rentrer la partie la plus incongrue de cette chronique. Enfin, un Étranger ra
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
14 fluence fut « quasi nulle », et peut-être va-t-il rentrer dans l’ombre après avoir été pendant quelques années l’idole et l’aut
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
15 vons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais dès le lendemain, m’échappant du programme, il a bien
16 s sentimentaux qui gouverne les arguments. Ici je rentre dans mes chasses et rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
17 principes philanthropiques à tous les vents ; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de belles nattes et de se plonger dan
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
18 musique. Les petites baronnes ont froid, veulent rentrer , car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, e
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 vons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais le lendemain, m’échappant d’un programme admirable, n
20 allègue masquent les causes qui agissent. Ici je rentre dans mes chasses et rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
21 mènerai jamais, à cette heure qui serait celle de rentrer chez nous s’asseoir auprès d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J
22 eux sœurs sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses
23 ment de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en moi ; n’ai pas bougé. Le père Reinecke ferme son magazine d’un cou
24 lle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande mais
18 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
25 boises humides avaient un délicieux goût fade. Je rentrais toute fière de mes genoux griffés comme ceux des garçons, et le soir
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
26 musique. Les petites baronnes ont froid, veulent rentrer , car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, e
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 vons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais le lendemain, m’échappant d’un programme admirable, n
28 allègue masquent les causes qui agissent. Ici je rentre dans mes chasses et rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
29 mènerai jamais, à cette heure qui serait celle de rentrer chez nous s’asseoir auprès d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J
30 nce d’une mémoire bienheureuse. 17 mai 1929 Rentré hier de Tubingue. (La tour de Hölderlin.) Dès demain, discipline de t
31 eux sœurs sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses
32 ment de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en moi ; n’ai pas bougé. Le père Reinecke ferme son magazine d’un cou
33 lle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande mais
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
34 liquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
35 je voudrais en écrire, mais qu’il fallait d’abord rentrer . Je suis rentré, c’est la coutume des Suisses ; reparti, revenu, et c
36 rire, mais qu’il fallait d’abord rentrer. Je suis rentré , c’est la coutume des Suisses ; reparti, revenu, et ce n’est pas fini
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
37 ys natal. On insistait amicalement : je venais de rentrer , c’était le moment propice… Un bouquet pour le centenaire20, quelques
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
38 onde la gloire que me vaudrait cette aventure, ma rentrée triomphale à la maison. (Faut-il avouer que je la regrette encore ?)
26 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
39 r là qu’il plaît tant au peuple. Le bourgeois qui rentre chez lui après 8 heures de bureau demande aux livres une évasion faci
27 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
40 ette étude. Le mince filet d’humour suisse romand rentre sous terre, pour éviter Amiel. Faut-il désespérer de le revoir jamais
28 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
41 kilomètres de mon logis, l’autre jour, pressé de rentrer et ne disposant d’aucun moyen rapide, je hèle une auto. Le conducteur
29 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
42 aient en rupture de bercail. Maintenant, tout est rentré dans l’ordre, les moutons se sont apaisés, et la situation s’éclairci
30 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
43 homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus répondit : En vérité, en vé
44 t faire cette expérience-là, celle-là justement — rentrer dans le sein de sa mère ! Et tous ces galopins viennent aujourd’hui p
45 lieu véritable : inventés par Wilfred Monod, ils rentrèrent dans son bel ouvrage. — Nicodème n’avait pas reparu. 20. Op. cit.,
31 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
46 s devant les lois biologiques, nous ne sommes pas rentrés pour si peu dans le concret, j’entends dans le conflit et l’acte pers
32 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
47 s devant les lois biologiques, nous ne sommes pas rentrés pour si peu dans le concret, j’entends dans le conflit et l’acte pers
33 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
48 hambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jar
49 vente du raisin, il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travaille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dan
50 Rien à faire : je suis un « monsieur ». La fille rentre  : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous condui
34 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
51 prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la route asphaltée. J
52 faire la loi dans notre village ? 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’e
35 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
53 plus rien à espérer avant longtemps en fait de «  rentrées  ».   14 juin Hier soir, j’avais fait une dernière revue de nos possib
36 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
54 jambes. Bon, c’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois
55 s s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rentrent vers 6 heures, les jeunes d’abord, parce qu’ils ont des bicyclettes,
56 ont des bicyclettes, ils vont plus vite. Le père rentre un peu plus tard. Le plus vieux dit : j’ai bien faim. Le plus jeune,
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
57 prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la route asphaltée. J
58 ouleau, matériellement, et je ne prévois aucune «  rentrée  » avant la fin de janvier. J’attends encore le courrier de demain mat
59 e… 21 janvier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de
60 jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois
61 s s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rentrent vers 6 heures, les jeunes d’abord, parce qu’ils ont des bicyclettes,
62 ont des bicyclettes, ils vont plus vite ; le père rentre un peu plus tard. Le plus vieux dit : j’ai bien faim. Le plus jeune,
63 que je ne connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’e
64 sée, il nous faut marcher pliés en avant, et nous rentrons étourdis. Depuis plusieurs jours, le bateau n’a pas pu aborder l’île.
65 plus rien à espérer avant longtemps, en fait de «  rentrées  ». Le produit d’une traduction et de la correction d’un manuscrit nou
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
66 hambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jar
67 vente du raisin, il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travaille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dan
68 Rien à faire : je suis un « monsieur ». La fille rentre  : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous condui
69  » À 10 kilomètres d’ici, hier au soir, pressé de rentrer , je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me prend volontiers. No
39 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
70 aient en rupture de bercail. Maintenant, tout est rentré dans l’ordre, les moutons se sont apaisés, et la situation s’éclairci
40 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
71 démission du maire socialiste ou le tuaient, puis rentraient sans être inquiétés. Et cela, des centaines de fois. Comment ces crim
41 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
72 censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir, harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez qu
42 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
73 u sincères, puisque Tristan n’a de cesse qu’il ne rentre à la cour, auprès d’Iseut… Et ce philtre qui cesse d’agir, n’était-il
43 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
74 . Iseut va revenir à l’époux légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’approche avec son cortège de baron
44 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
75 au-delà du monde… Maintenant, l’on veut que tout rentre dans l’ordre, c’est la société qui l’emporte, et dès lors la fin du r
45 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
76 censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir, harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez qu
46 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
77 Les deux plus petites filles ont pris le bébé et rentrent dans la maison.) Scène ii. Dorothée. —  Pour la première fois
78 à ce qu’ils soient devant la maison. Dorothée est rentrée .) Jean. —  Ils ont bien travaillé, les gars ! Nous avons encore ram
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
79 u sincères, puisque Tristan n’a de cesse qu’il ne rentre à la cour, auprès d’Iseut… Et ce philtre qui cesse d’agir, n’était-il
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
80 raînés par Satan seront sauvés, et Satan lui-même rentrera dans l’obéissance du Très-Haut. Le dualisme des cathares se résout do
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
81 . Iseut va revenir à l’époux légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’approche avec son cortège de baron
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
82 au-delà du monde… Maintenant, l’on veut que tout rentre dans l’ordre, c’est la société qui l’emporte, et dès lors la fin du r
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
83 censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir, harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez qu
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
84 u sincères, puisque Tristan n’a de cesse qu’il ne rentre à la cour, auprès d’Iseut… Et ce philtre qui cesse d’agir, n’était-il
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
85 raînés par Satan seront sauvés, et Satan lui-même rentrera dans l’obéissance du Très-Haut. Le dualisme des cathares se résout do
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
86 . Iseut va revenir à l’époux légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’approche avec son cortège de baron
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
87 au-delà du monde… Maintenant, l’on veut que tout rentre dans l’ordre, c’est la société qui l’emporte, et dès lors la fin du r
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
88 censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir, harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez qu
57 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
89 e, que se manifeste cette tendance à tout faire «  rentrer dans le rang ». Essayez de lancer un projet et d’y consacrer toutes v
58 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
90 « compliqué ». Ils jugent suspect tout ce qui ne rentre pas à première vue dans des catégories moyennes et bien connues, tell
91 ier, réglementer, centraliser. Il veut tout faire rentrer dans le rang. Il persécute à petits coups d’épingles tout ce qui « pa
59 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
92 ’hui.” Ce livre, qui tend avant tout à nous faire rentrer en nous-mêmes, est une œuvre forte, un appel viril à la réflexion, un
60 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
93 quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un chant débordant
61 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
94 enter, centraliser, décolorer. Il veut tout faire rentrer dans le rang. Il persécute à petits coups d’épingle tout ce qui paraî
62 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
95 és identiques annoncent la terminaison du jeu, la rentrée dans la vie sérieuse. Idem : les rites d’entrée et de sortie relatifs
63 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
96 — un petit voyage au Canada ou au Mexique — pour rentrer deux ou trois jours plus tard en qualité formelle et déclarée de cand
64 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
97 mais non pas devant la misère de leurs amis. Ils rentrent en disant que la France est sale et en désordre, que tout y est cher
98 itable que provoquera sans doute l’an prochain la rentrée massive des vétérans, doit cesser de s’isoler et doit littéralement s
65 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
99 sur une ou deux séquences, comme il entraîne ! Je rentre après cela dans une salle de Broadway : tout y marche et ronronne com
66 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
100 ela de Paris et l’on ajoute que je ferais bien de rentrer , sous peine de ne pas comprendre la réalité européenne en général, et
67 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
101 diteurs à voir à Paris et en Suisse. Et je serais rentré il y a un an déjà si les circonstances s’y étaient prêtées. Êtes-vous
102 L’Amour et l’Occident . Vous allez donc faire une rentrée massive sur le marché du livre ? Oui, peut-être même un peu trop : to
68 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
103 Faut-il rentrer  ? (4 mai 1946)t On me dit que Mauriac a écrit : Faut-il partir ? (
104 ela de Paris et l’on ajoute que je ferais bien de rentrer , sous peine de ne pas comprendre la réalité européenne en général, et
105 ns, sans qu’une voix ne proteste ? t. « Faut-il rentrer  ? », Pour la Victoire, New York, n° 18, 4 mai 1946, p. 1-2.
69 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
106 Amérique » (16 mai 1946)v M. de Rougemont est rentré d’Amérique. Il nous en parle simplement, avec ce sens de l’équilibre
107 souvent insoupçonnées. M. Denis de Rougemont est rentré d’Amérique. Pas pour longtemps, puisqu’il se prépare déjà à repartir
70 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
108 aient en rupture de bercail. Maintenant, tout est rentré dans l’ordre, les moutons se sont apaisés, et la situation s’éclairci
71 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
109 feuille, il vous donne quelquefois cinq sous pour rentrer en métro… Il est correct, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l
72 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
110 liquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments
73 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
111 liquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments
74 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
112 ous apprend l’incendie du Reichstag. Je décide de rentrer le jour même à Berlin, et prends congé de mon ami qui se montrait for
75 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
113 bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat au cercle de
76 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
114 quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un chant débordant
77 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
115 feuille, il vous donne quelquefois cinq sous pour rentrer en métro… Il est correct, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l
78 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
116 mai. Et l’on m’écrit de Suisse pour me presser de rentrer . Mais là-bas, que pourrai-je bien faire ? La censure ne s’est pas rel
79 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
117 i peut marcher, est un miracle. Tu te lèves et tu rentres tranquillement par cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La mai
118 lu dix jours, à raison d’un bureau par jour, pour rentrer en possession de mes conférences, lettres, journaux intimes, coupures
80 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
119 , quand on se trouve à six ou huit dans un salon. Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà qui est c
120 e dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle affa
121 ais quelle affaire, mais je sentais qu’il fallait rentrer . J’ouvre ma porte et j’entends le téléphone. C’est un ami qui va quit
122 tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte
123 e dont la foule transpire ? Il faut être fou pour rentrer … Mais à l’Office, notre travail s’intensifie, et les échos nous en re
124 u. Tard dans la nuit je me retire épuisé (je dois rentrer pour neuf heures à New York), mais il vient encore dans ma chambre fu
125 e panique de me rassembler, de me retrouver, pour rentrer tout entier en Europe après ces deux années de violente dérive. 8.
81 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
126 liquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments
82 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
127 s se taisaient. New York, fin octobre 1945 Rentrée . — Mon appartement ayant été vendu pendant l’été, je dois le quitter
128 rvice vaut à lui seul le prix de l’abonnement. Je rentre , je branche mon radiateur électrique (la chambre est glacée), je m’in
129 lanchisserie, et comme je suis content de pouvoir rentrer chez moi par l’escalier qu’on monte à pied ; et surtout de ne plus vo
83 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
130 Journal d’un retour Janvier 1946 Faut-il rentrer  ? — On me dit que Mauriac a écrit : Faut-il partir ? (pensant aux jeu
131 ela de Paris et l’on ajoute que je ferais bien de rentrer , sous peine de ne pas comprendre la réalité européenne en général, et
84 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
132 eule qu’ils aient osé communiquer, c’est de faire rentrer les villes sous terre. (Réflexe de honte, si j’en crois l’expression.
133 trait hors d’usage en une seconde le mécanisme du rentrer sous terre. Je m’en tiens à la suggestion qui me venait à l’esprit da
85 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
134 eule qu’ils aient osé communiquer, c’est de faire rentrer les villes sous terre. (Réflexe de honte, si j’en crois l’expression.
135 trait hors d’usage en une seconde le mécanisme du rentrer sous terre. Je m’en tiens à la suggestion qui me venait à l’esprit da
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
136 musique. Les petites baronnes ont froid, veulent rentrer , car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, e
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
137 vons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais dès le lendemain, m’échappant du programme, il a bien
138 s sentimentaux qui gouverne les arguments. Ici je rentre dans mes chasses et rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
139 mènerai jamais, à cette heure qui serait celle de rentrer chez nous s’asseoir auprès d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J
140 nce d’une mémoire bienheureuse. 17 mai 1929 Rentré hier de Tubingue. (La tour de Hölderlin.) Dès demain, discipline de t
141 eux sœurs sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses
142 ment de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en moi ; n’ai pas bougé. Le père Reinecke ferme son magazine d’un cou
143 lle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande mais
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
144 ère devenant potentielle, la seconde actuelle. Je rentre de Francfort où nous avons tenu un congrès des jeunesses européennes.
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
145 prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la route asphaltée. J
146 ouleau, matériellement, et je ne prévois aucune «  rentrée  » avant la fin de janvier. J’attends encore le courrier de demain mat
147 e… 21 janvier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de
148 jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois
149 s s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rentrent vers six heures, les jeunes d’abord, parce qu’ils ont des bicyclettes
150 ont des bicyclettes, ils vont plus vite ; le père rentre un peu plus tard. Le plus vieux dit : J’ai bien faim. Le plus jeune,
151 que je ne connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’e
152 sée, il nous faut marcher pliés en avant, et nous rentrons étourdis. Depuis plusieurs jours, le bateau n’a pas pu aborder l’île.
153 plus rien à espérer avant longtemps, en fait de «  rentrées  ». Le produit d’une traduction et de la correction d’un manuscrit nou
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
154 hambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jar
155 vente du raisin, il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travaille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dan
156 Rien à faire : je suis un « monsieur ». La fille rentre  : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous condui
157 » À dix kilomètres d’ici, hier au soir, pressé de rentrer , je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me prend volontiers. No
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
158 s une clinique parisienne de mon fils Nicolas, je rentrais chez moi Porte d’Italie vers cinq heures du matin et je me couchais t
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
159 aient en rupture de bercail. Maintenant, tout est rentré dans l’ordre, les moutons se sont apaisés, et la situation s’éclairci
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
160 bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat au cercle de
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
161 quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un chant débordant
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
162 feuille, il vous donne quelquefois cinq sous pour rentrer en métro… Il est correct, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
163 . Karl Barth m’écrit de Suisse pour me presser de rentrer . Mais là-bas, que pourrais-je bien faire ? La censure ne s’est pas re
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
164 i peut marcher, est un miracle. Tu te lèves et tu rentres tranquillement par cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La mai
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède douanier
165 lu dix jours, à raison d’un bureau par jour, pour rentrer en possession de mes conférences, lettres, journaux intimes, coupures
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
166 général, quand on se trouve à huit dans un salon. Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà qui est c
167 e dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle affa
168 ais quelle affaire, mais je sentais qu’il fallait rentrer . Je monte l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le téléphone
169 tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte
170 e dont la foule transpire ? II faut être fou pour rentrer … Mais à l’office, notre travail s’intensifie, et les échos nous en re
171 e panique de me rassembler, de me retrouver, pour rentrer tout entier en Europe après ces deux années de violente dérive. Ne