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ut être chrétienne si elle ne se fonde pas sur la
repentance
, qui est une violence faite à notre orgueil. Reconnaissons, Églises e
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d’agir ? Si, comme certains le disent, c’est une
repentance
sincère qui motive la séparation, pourquoi se promettent-ils de se re
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d’agir ? Si, comme certains le disent, c’est une
repentance
sincère qui motive la séparation, pourquoi se promettent-ils de se re
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d’agir ? Si, comme certains le disent, c’est une
repentance
sincère qui motive la séparation, pourquoi se promettent-ils de se re
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i nous condamne, puis la conscience, le péché, la
repentance
, la grâce accordée, et enfin le témoignage de la foi. À mon sens, cet
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conscience claire du péché, c’est concrètement la
repentance
. Or celle-ci ne saurait être provoquée que par la certitude du pardon
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stitution du « Jeûne fédéral », jour fixé pour la
repentance
et l’action de grâces nationale, et que l’on célèbre par la publicati
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nte, obstinée, sans éclat, comme il convient à la
repentance
active. Nous devons tout d’abord faire l’Europe, pour qu’il y ait à l
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réalité, elle appelle à grands cris non point sa
repentance
mais le châtiment restaurateur de l’ordre. Tel est le cadre antique,
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réalité, elle appelle à grands cris non point sa
repentance
mais le châtiment restaurateur de l’ordre. Tel est le cadre antique,
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l’institution du Jeûne fédéral, jour fixé pour la
repentance
et l’action de grâce nationale, et que l’on célèbre par la publicatio