1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
1 assez facile et « artiste » on hésite à en faire reproche à l’auteur. Cette espèce de modestie de l’allure est rare autant que
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 ce siècle sont écrites en haine de l’époque12. Le reproche d’obscurité que l’on fait à la littérature moderne n’est qu’une manif
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
3 En deux mots, vous ne me trouvez pas sérieux. Le reproche est grave. Je ne saurais y répondre. Je pourrais vous dire que si vou
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
4 . Est-ce vraiment aux romantiques de 1830 que ces reproches s’adressent, ou bien plutôt — vous alliez le dire — aux surréalistes 
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
5 candeur de trouver ça naturel. On nous a fait des reproches contradictoires. Nous les additionnons : ils s’annulent. Il reste à d
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 rquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproche , évidemment scandalisée par cette atteinte aux lois du genre le plus
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
7 t servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un reproche auquel je compte ne pas échapper : celui de naïveté. Définition du na
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
8 vais rarement où l’on en était. Cela m’attira des reproches acides, et naturellement, la phrase sacrée : « Il faut que tous fasse
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
9 iques précisément. Je ferai à l’école nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de liberté aux enfants e
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
10 t servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un reproche auquel je compte ne pas échapper : celui de naïveté. Définition du na
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
11 vais rarement où l’on en était. Cela m’attira des reproches acides, et naturellement, la phrase sacrée : « Il faut que tous fasse
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
12 iques précisément. Je ferai à l’école nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de liberté aux enfants e
13 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
13 mplement d’un Rilke, par exemple… » — Exigence et reproche également démesurés, mais combien sympathiques, à l’heure où tout le
14 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
14 bitraire parfois —, ce dont on hésite à lui faire reproche , car ce qui lui importe, comme à nous, c’est précisément le sentiment
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
15 oncrète : ainsi, le maniement d’un outil. D’où le reproche de puérilité que lui adressent ceux qui, par exemple, n’hésitent pas
16 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
16 e voudra-t-elle encore de ces évasions ? Elle les reproche au christianisme, avec moins de raison d’ailleurs (puisque le christi
17 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
17 ’il nous faut. Ce n’est pas son pessimisme que je reproche à M. Thierry Maulnier. (Il serait fou de ne pas le partager.) Je lui
18 er. (Il serait fou de ne pas le partager.) Je lui reproche de manquer d’exigence vis-à-vis de l’homme ; de se borner à sa défens
19 pas leur donner de réponses ». Au fond, M. Nizan reproche à nos philosophes d’exclure de leurs recherches tout ce qui intéresse
20 u’elle ne saurait avoir et lui fait par suite des reproches démesurés. Certes40. Mais dans la mesure, si faible soit-elle, où la
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
21 rquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproche , évidemment scandalisée par cette atteinte aux lois du genre le plus
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
22 e et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un reproche … Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus ivres. Rosette An
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
23 e et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un reproche … Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus ivres. Rosette An
21 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
24 sur la « théologie politique » fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus que le paradoxe de la « politique du pes
22 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
25 t maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le considère comme un homme qui refuse d’acce
26 stianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais le reproche est aussi misérable qu’injurieux, si l’on songe que ce « paradis » do
23 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
27 — la théologie dialectique de Barth à laquelle on reproche (comme à ceux de Port-Royal !) d’effrayer celui qui vient au Christ,
24 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
28 un groupe d’intellectuels « bourgeois ». Comme ce reproche nous vient des marxistes, nous nous contenterons de répondre par une
25 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
29 hoc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce reproche . Ils nous répondent, avec raison, que leur action n’a pas les apparen
26 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
30 monde chrétien. Ramuz fait au communisme certains reproches que d’autres ont déjà formulés, avec plus de mordant et plus de préci
27 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
31 n celles que Nietzsche allègue. Pour Scheler, les reproches de Nietzsche s’adressent en vérité à l’humanitarisme, et nullement à
28 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
32 t au paradis terrestre. Aux uns et aux autres, il reproche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes
29 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
33 ne d’y perdre le pauvre moi des psychologues, son reproche à la foule, c’est qu’elle n’exige rien de lui. La foule nous veut tou
30 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
34 rie psychologique ? Je sens bien la gravité de ce reproche . Mais M. Goguel semble d’avance l’avoir minimisé, en réduisant toute
31 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
35 parti tout différent, et c’est peut-être le seul reproche sérieux que je me sente le droit de formuler devant sa monumentale Hi
32 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
36 hoc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce reproche . Ils nous répondent, avec raison, que leur action n’a pas les apparen
33 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
37 t au paradis terrestre. Aux uns et aux autres, il reproche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes
34 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
38 t maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le considère comme un homme qui refuse d’acce
39 stianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais le reproche est aussi misérable qu’injurieux, si l’on songe que ce « paradis » do
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
40 nt que chrétien, il accepte qu’on lui retourne le reproche . Il accepte, en vertu même de sa foi, qu’on le condamne ; alors que t
36 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
41 s avatars de sa présentation en France. Carl Koch reproche à Kierkegaard ce qu’il baptise, d’un terme impressionnant, son ascéti
42 nçait, mais resta simplement « un poète ». Double reproche , plus grave que Koch ne veut le croire. C’est en vain qu’il s’efforce
37 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
43 hoc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce reproche . Ils nous répondent, avec raison, que leur action n’a pas les apparen
38 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
44 t au paradis terrestre. Aux uns et aux autres, il reproche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes
39 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
45 t maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le considère comme un homme qui refuse d’acce
46 stianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais le reproche est misérable, si l’on songe que ce « paradis » doit être payé ici-ba
40 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
47 nt que chrétien, il accepte qu’on lui retourne le reproche . Il accepte, en vertu même de sa foi, qu’on le condamne ; alors que t
41 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
48 vec la tactique de l’Ordre nouveau Quand on nous reproche , de divers côtés, de nous limiter volontairement en nombre, de faire
49 s seules organisations ouvrières, — quand on nous reproche tout cela, on ignore et on oublie que le premier « théoricien » qui a
42 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
50 du moindre d’entre nous. Nietzsche croit faire un reproche terrible au christianisme en le traitant d’agent « non historique ».
43 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
51 rience unique, au nom d’une théologie… Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous reproche de dire sans nulle angoisse des cho
52 gie… Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous reproche de dire sans nulle angoisse des choses folles et follement vraies. Je
53 se des choses folles et follement vraies. Je vous reproche tout simplement — de les dire ! et surtout de les dire contre quelqu’
44 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
54 les approximations un peu hésitantes — est-ce un reproche  ? — de G. Marcel sur l’acte et la personne, mériteraient beaucoup plu
45 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
55 ble : comme voisin toujours insuffisant, et comme reproche qu’on ne veut pas entendre. Pauvre Lawrence à la recherche de sa comm
46 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
56 mme qui ne fait rien de ses deux mains. Ce que je reproche à l’esprit cartésien, c’est d’avoir formulé l’équivalent de ce préjug
47 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
57 urage de rappeler la vertu, rions à notre tour du reproche de fascisme dont on veut accabler tant de braves républicains. Ceci f
48 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
58 té de rabaisser l’adversaire » que M. Miéville me reproche , sans apparence de « justice », je crois… Mais voilà bien des jugemen
49 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
59 eure ! Je vais sans doute vous étonner. Ce que je reproche à votre « peut-être qu’il faut cela », ce n’est pas son cynisme, c’es
50 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
60 t la vocation : l’invraisemblable. Ses plus amers reproches au « christianisme de la chrétienté », à cette « inconcevable illusio
51 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
61 ls comprennent que leur attitude la pose ? Si mes reproches leur paraissent porter à faux et révéler une simple méconnaissance de
52 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
62 concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où le reproche de puérilité que lui adressent ceux qui par exemple n’hésitent pas à
53 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
63 du régime de l’URSS l’on s’attire d’ordinaire les reproches de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
54 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
64 ssez, la cause est jugée, dira-t-on. Voire ! Gide reproche à la fameuse autocritique soviétique de ne consister « qu’à se demand
55 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
65 L’appel au « poing calleux », que la bourgeoisie reproche depuis le xixe siècle aux ouvriers socialistes comme un manque de go
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
66 l’espèce d’unité que certaine polémique primaire reproche à la Réforme et à la Renaissance d’avoir rompue. Les ruines des grand
57 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
67 éalité russe et la doctrine marxiste. Tantôt l’on reproche au marxisme des erreurs qu’il condamne lui-même, et dont l’apparition
68 u régime de l’URSS, l’on s’attire d’ordinaire les reproches de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
69 ges qui précèdent ? Je dirai simplement ceci : le reproche qu’il y a lieu de faire, ici et dans nos conditions, et en vertu de n
59 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
70 rtout la protestante, ne reste pas à l’abri de ce reproche . Si elle est tolérante à l’endroit de beaucoup d’hérésies, c’est qu’e
60 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
71 ésir. On comprendra peut-être mieux maintenant le reproche d’inactualité essentielle que nous adressions dès le début à certains
61 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
72 L’appel au « poing calleux », que la bourgeoisie reproche depuis le xixe siècle aux ouvriers socialistes comme un manque de go
62 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
73 l’espèce d’unité que certaine polémique primaire reproche à la Réforme et à la Renaissance d’avoir rompue. Les ruines des grand
63 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
74 éalité russe et la doctrine marxiste. Tantôt l’on reproche au marxisme des erreurs qu’il condamne lui-même, et dont l’apparition
75 u régime de l’URSS, l’on s’attire d’ordinaire les reproches de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
64 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
76 ges qui précèdent ? Je dirai simplement ceci : le reproche qu’il y a lieu de faire, ici et dans nos conditions, et en vertu de n
65 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
77 rtout la protestante, ne reste pas à l’abri de ce reproche . Si elle est tolérante à l’endroit de beaucoup d’hérésies, c’est qu’e
66 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
78 autre chose. Tentative d’interprétation Je reproche pour ma part à la psychanalyse de flatter notre propension à localise
67 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
79 is pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce «  reproche  », que je me formule en vertu d’une habitude scolaire de critique, me
68 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
80 apparaît alors comme le dernier écho, le dernier reproche , la dernière plainte de la justice cosmique blessée. Comme une prière
69 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
81 où vivent les hommes — où meurent les hommes. Reproches réciproques que s’adressent les chrétiens et les marxistes Telle é
82 aut le dire à notre honte, à nous chrétiens : ces reproches apparaissent justifiés à la grande masse des travailleurs. Si le marx
83 Églises dans le monde moderne. C’est pourquoi les reproches du marxiste au chrétien sont humainement bien plus valables que ceux
84 on chrétienne est imparable. Quand un marxiste me reproche de me contenter d’un changement tout spirituel, et qui n’affecte en r
85 des choses, je suis fondé à lui répondre : « Ton reproche s’adresse à mon hypocrisie, à ma lâcheté, à mon absence de foi, mais
86 , cela se voit, des choses changent. Ce que tu me reproches , c’est, en fait, de n’être pas assez chrétien ! Tu m’incites donc à l
87 et tout d’abord la mienne.) Par contre, quand je reproche au marxisme sa déviation matérialiste actuelle, je ne passe pas à côt
70 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
88 apparaît alors comme le dernier écho, le dernier reproche , la dernière plainte de la justice cosmique blessée. Comme une prière
71 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
89 is pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce «  reproche  », que je me formule en vertu d’une habitude scolaire de critique, me
72 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
90 nons encore à Josèphe : Quant à ce que l’on nous reproche comme un grand défaut, de ne nous point étudier à inventer des choses
73 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
91 lui en sut très mauvais gré et lui en fit de vifs reproches à ses derniers moments. Mon oncle en fut affligé, et pour mourir en p
74 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
92 mon innocence éclate à tous les yeux. Ce qu’on me reproche n’est imputable en vérité qu’à l’ignorance presque touchante de ce cr
75 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
93 déaliste — et tout ce qu’un Nietzsche absurdement reproche à l’Évangile. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre inst
76 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
94 eure ! Je vais sans doute vous étonner. Ce que je reproche à votre « peut-être qu’il faut cela », ce n’est pas son cynisme, c’es
95 ui déploient une si grande énergie pour éviter le reproche de naïveté dans le monde ou dans les affaires, qu’après cela, on n’os
77 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
96 rait contraint de voir l’identité des actes qu’il reproche à Hitler, et des actes qu’il loue chez Staline. (Je néglige ici les p
78 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
97 e trouve que plusieurs critiques m’ont adressé le reproche inverse : celui d’avoir donné de l’amour courtois une description si
79 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
98 bord déplaisant. Cette manière me vaudra bien des reproches . Les amoureux me tiendront pour cynique, et ceux qui n’ont jamais con
80 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
99  sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce reproche de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on songe qu’il se
81 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
100 cises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne recourir jamais qu’à des épithètes stéréotypées ? Jaufré Rudel,
101 nt sincère et authentique ? Ceci pour répondre au reproche d’insincérité fait aux troubadours par nos érudits — reproche lui-mêm
102 nsincérité fait aux troubadours par nos érudits —  reproche lui-même stéréotypé… 58. Mais catholique d’origine, non hérétique.
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
103 séparée de son corps adresser à son compagnon les reproches les plus amers : c’est lui qui aurait causé sa damnation. Mais le cor
104 ù elle est née, qu’il serait bien vain d’en faire reproche à son auteur. Il fallait Phèdre. Il fallait cet affleurement du mythe
83 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
105 e idéaliste — tout ce qu’un Nietzsche injustement reproche au christianisme. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre
84 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
106 ours l’amour de Girard et d’Elissent, pur de tout reproche , sans qu’il y eût entre eux autre chose que bon vouloir et entente ca
85 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
107 anqué de discrétion » dans ses pratiques. Mais ce reproche n’atteindrait-il pas davantage un Nicolas de Flue, jeûnant plus que d
86 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
108 rsonnel du Führer, ce n’est point parce qu’on lui reproche son énergie ou ses talents, ses traits de caractère, bref, sa personn
109 qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on lui reproche , ce que l’on ne peut pas tolérer, c’est précisément sa personne, c’es
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
110  sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce reproche de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on songe qu’il se
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
111 cises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne recourir jamais, qu’à des épithètes stéréotypées ? Jaufré Rudel
112 nt sincère et authentique ? Ceci pour répondre au reproche d’insincérité fait aux troubadours par nos érudits — reproche lui-mêm
113 nsincérité fait aux troubadours par nos érudits —  reproche lui-même stéréotypé… 60. Mais catholique d’origine, non hérétique.
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
114 séparée de son corps adresser à son compagnon les reproches les plus amers : c’est lui qui aurait causé sa damnation. Mais le cor
115 ù elle est née, qu’il serait bien vain d’en faire reproche à son auteur. Il fallait Phèdre. Il fallait cet affleurement du mythe
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
116 e idéaliste — tout ce qu’un Nietzsche injustement reproche au christianisme. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre
91 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
117 bord déplaisant. Cette manière me vaudra bien des reproches . Les amoureux me tiendront pour cynique, et ceux qui n’ont jamais con
92 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
118  sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce reproche de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on songe qu’il se
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
119 cises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne recourir jamais qu’à des épithètes stéréotypées ? Jaufré Rudel,
120 nt sincère et authentique ? Ceci pour répondre au reproche d’insincérité fait aux troubadours par nos érudits — reproche lui-mêm
121 nsincérité fait aux troubadours par nos érudits —  reproche lui-même stéréotypé… 53. Mais catholique d’origine, non hérétique.
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
122 séparée de son corps adresser à son compagnon les reproches les plus amers : c’est lui qui aurait causé sa damnation. Mais le cor
123 ù elle est née, qu’il serait bien vain d’en faire reproche à son auteur. Il fallait Phèdre. Il fallait cet affleurement du mythe
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
124 e idéaliste — tout ce qu’un Nietzsche injustement reproche au christianisme. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
125 ours l’amour de Girard et d’Elissent, pur de tout reproche , sans qu’il y eût entre eux autre chose que bon vouloir et entente ca
97 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
126 é son génie du scrupule, Gide s’expose parfois au reproche de prendre position non sans légèreté sur des problèmes infiniment co
98 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
127 rsonnel du Führer, ce n’est point parce qu’on lui reproche son énergie ou ses talents, ses traits de caractère, son héroïsme dur
128 qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on lui reproche , ce que l’on ne peut pas tolérer, c’est précisément sa personne, c’es
99 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
129 dernier siècle ont adopté cette attitude. Le vrai reproche qu’il convient de leur faire, c’est avant tout d’avoir manqué de luci
130 où naît toujours la lucidité. Et voici un second reproche  : ils ont essayé de justifier leur impuissance pratique par des systè
100 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
131 rsonnel du Führer, ce n’est point parce qu’on lui reproche son énergie ou ses talents, ses traits de caractère, son héroïsme dur
132 qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on lui reproche , ce que l’on ne peut pas tolérer, c’est précisément sa personne, c’es