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assez facile et « artiste » on hésite à en faire
reproche
à l’auteur. Cette espèce de modestie de l’allure est rare autant que
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ce siècle sont écrites en haine de l’époque12. Le
reproche
d’obscurité que l’on fait à la littérature moderne n’est qu’une manif
3
En deux mots, vous ne me trouvez pas sérieux. Le
reproche
est grave. Je ne saurais y répondre. Je pourrais vous dire que si vou
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. Est-ce vraiment aux romantiques de 1830 que ces
reproches
s’adressent, ou bien plutôt — vous alliez le dire — aux surréalistes
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candeur de trouver ça naturel. On nous a fait des
reproches
contradictoires. Nous les additionnons : ils s’annulent. Il reste à d
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rquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de
reproche
, évidemment scandalisée par cette atteinte aux lois du genre le plus
7
t servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un
reproche
auquel je compte ne pas échapper : celui de naïveté. Définition du na
8
vais rarement où l’on en était. Cela m’attira des
reproches
acides, et naturellement, la phrase sacrée : « Il faut que tous fasse
9
iques précisément. Je ferai à l’école nouvelle un
reproche
d’une autre nature. Elle prétend donner plus de liberté aux enfants e
10
t servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un
reproche
auquel je compte ne pas échapper : celui de naïveté. Définition du na
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vais rarement où l’on en était. Cela m’attira des
reproches
acides, et naturellement, la phrase sacrée : « Il faut que tous fasse
12
iques précisément. Je ferai à l’école nouvelle un
reproche
d’une autre nature. Elle prétend donner plus de liberté aux enfants e
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mplement d’un Rilke, par exemple… » — Exigence et
reproche
également démesurés, mais combien sympathiques, à l’heure où tout le
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bitraire parfois —, ce dont on hésite à lui faire
reproche
, car ce qui lui importe, comme à nous, c’est précisément le sentiment
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oncrète : ainsi, le maniement d’un outil. D’où le
reproche
de puérilité que lui adressent ceux qui, par exemple, n’hésitent pas
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e voudra-t-elle encore de ces évasions ? Elle les
reproche
au christianisme, avec moins de raison d’ailleurs (puisque le christi
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’il nous faut. Ce n’est pas son pessimisme que je
reproche
à M. Thierry Maulnier. (Il serait fou de ne pas le partager.) Je lui
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er. (Il serait fou de ne pas le partager.) Je lui
reproche
de manquer d’exigence vis-à-vis de l’homme ; de se borner à sa défens
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pas leur donner de réponses ». Au fond, M. Nizan
reproche
à nos philosophes d’exclure de leurs recherches tout ce qui intéresse
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u’elle ne saurait avoir et lui fait par suite des
reproches
démesurés. Certes40. Mais dans la mesure, si faible soit-elle, où la
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rquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de
reproche
, évidemment scandalisée par cette atteinte aux lois du genre le plus
22
e et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un
reproche
… Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus ivres. Rosette An
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e et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un
reproche
… Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus ivres. Rosette An
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sur la « théologie politique » fait justice de ce
reproche
et démontre une fois de plus que le paradoxe de la « politique du pes
25
t maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le
reproche
de lâcheté. Le chrétien le considère comme un homme qui refuse d’acce
26
stianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais le
reproche
est aussi misérable qu’injurieux, si l’on songe que ce « paradis » do
27
— la théologie dialectique de Barth à laquelle on
reproche
(comme à ceux de Port-Royal !) d’effrayer celui qui vient au Christ,
28
un groupe d’intellectuels « bourgeois ». Comme ce
reproche
nous vient des marxistes, nous nous contenterons de répondre par une
29
hoc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce
reproche
. Ils nous répondent, avec raison, que leur action n’a pas les apparen
30
monde chrétien. Ramuz fait au communisme certains
reproches
que d’autres ont déjà formulés, avec plus de mordant et plus de préci
31
n celles que Nietzsche allègue. Pour Scheler, les
reproches
de Nietzsche s’adressent en vérité à l’humanitarisme, et nullement à
32
t au paradis terrestre. Aux uns et aux autres, il
reproche
de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes
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ne d’y perdre le pauvre moi des psychologues, son
reproche
à la foule, c’est qu’elle n’exige rien de lui. La foule nous veut tou
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rie psychologique ? Je sens bien la gravité de ce
reproche
. Mais M. Goguel semble d’avance l’avoir minimisé, en réduisant toute
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parti tout différent, et c’est peut-être le seul
reproche
sérieux que je me sente le droit de formuler devant sa monumentale Hi
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hoc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce
reproche
. Ils nous répondent, avec raison, que leur action n’a pas les apparen
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t au paradis terrestre. Aux uns et aux autres, il
reproche
de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes
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t maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le
reproche
de lâcheté. Le chrétien le considère comme un homme qui refuse d’acce
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stianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais le
reproche
est aussi misérable qu’injurieux, si l’on songe que ce « paradis » do
40
nt que chrétien, il accepte qu’on lui retourne le
reproche
. Il accepte, en vertu même de sa foi, qu’on le condamne ; alors que t
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s avatars de sa présentation en France. Carl Koch
reproche
à Kierkegaard ce qu’il baptise, d’un terme impressionnant, son ascéti
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nçait, mais resta simplement « un poète ». Double
reproche
, plus grave que Koch ne veut le croire. C’est en vain qu’il s’efforce
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hoc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce
reproche
. Ils nous répondent, avec raison, que leur action n’a pas les apparen
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t au paradis terrestre. Aux uns et aux autres, il
reproche
de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes
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t maintenant au tour de l’humaniste d’endosser le
reproche
de lâcheté. Le chrétien le considère comme un homme qui refuse d’acce
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stianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais le
reproche
est misérable, si l’on songe que ce « paradis » doit être payé ici-ba
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nt que chrétien, il accepte qu’on lui retourne le
reproche
. Il accepte, en vertu même de sa foi, qu’on le condamne ; alors que t
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vec la tactique de l’Ordre nouveau Quand on nous
reproche
, de divers côtés, de nous limiter volontairement en nombre, de faire
49
s seules organisations ouvrières, — quand on nous
reproche
tout cela, on ignore et on oublie que le premier « théoricien » qui a
50
du moindre d’entre nous. Nietzsche croit faire un
reproche
terrible au christianisme en le traitant d’agent « non historique ».
51
rience unique, au nom d’une théologie… Je ne vous
reproche
pas d’être fous, je vous reproche de dire sans nulle angoisse des cho
52
gie… Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous
reproche
de dire sans nulle angoisse des choses folles et follement vraies. Je
53
se des choses folles et follement vraies. Je vous
reproche
tout simplement — de les dire ! et surtout de les dire contre quelqu’
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les approximations un peu hésitantes — est-ce un
reproche
? — de G. Marcel sur l’acte et la personne, mériteraient beaucoup plu
55
ble : comme voisin toujours insuffisant, et comme
reproche
qu’on ne veut pas entendre. Pauvre Lawrence à la recherche de sa comm
56
mme qui ne fait rien de ses deux mains. Ce que je
reproche
à l’esprit cartésien, c’est d’avoir formulé l’équivalent de ce préjug
57
urage de rappeler la vertu, rions à notre tour du
reproche
de fascisme dont on veut accabler tant de braves républicains. Ceci f
58
té de rabaisser l’adversaire » que M. Miéville me
reproche
, sans apparence de « justice », je crois… Mais voilà bien des jugemen
59
eure ! Je vais sans doute vous étonner. Ce que je
reproche
à votre « peut-être qu’il faut cela », ce n’est pas son cynisme, c’es
60
t la vocation : l’invraisemblable. Ses plus amers
reproches
au « christianisme de la chrétienté », à cette « inconcevable illusio
61
ls comprennent que leur attitude la pose ? Si mes
reproches
leur paraissent porter à faux et révéler une simple méconnaissance de
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concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où le
reproche
de puérilité que lui adressent ceux qui par exemple n’hésitent pas à
63
du régime de l’URSS l’on s’attire d’ordinaire les
reproches
de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
64
ssez, la cause est jugée, dira-t-on. Voire ! Gide
reproche
à la fameuse autocritique soviétique de ne consister « qu’à se demand
65
L’appel au « poing calleux », que la bourgeoisie
reproche
depuis le xixe siècle aux ouvriers socialistes comme un manque de go
66
l’espèce d’unité que certaine polémique primaire
reproche
à la Réforme et à la Renaissance d’avoir rompue. Les ruines des grand
67
éalité russe et la doctrine marxiste. Tantôt l’on
reproche
au marxisme des erreurs qu’il condamne lui-même, et dont l’apparition
68
u régime de l’URSS, l’on s’attire d’ordinaire les
reproches
de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
69
ges qui précèdent ? Je dirai simplement ceci : le
reproche
qu’il y a lieu de faire, ici et dans nos conditions, et en vertu de n
70
rtout la protestante, ne reste pas à l’abri de ce
reproche
. Si elle est tolérante à l’endroit de beaucoup d’hérésies, c’est qu’e
71
ésir. On comprendra peut-être mieux maintenant le
reproche
d’inactualité essentielle que nous adressions dès le début à certains
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L’appel au « poing calleux », que la bourgeoisie
reproche
depuis le xixe siècle aux ouvriers socialistes comme un manque de go
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l’espèce d’unité que certaine polémique primaire
reproche
à la Réforme et à la Renaissance d’avoir rompue. Les ruines des grand
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éalité russe et la doctrine marxiste. Tantôt l’on
reproche
au marxisme des erreurs qu’il condamne lui-même, et dont l’apparition
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u régime de l’URSS, l’on s’attire d’ordinaire les
reproches
de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
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ges qui précèdent ? Je dirai simplement ceci : le
reproche
qu’il y a lieu de faire, ici et dans nos conditions, et en vertu de n
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rtout la protestante, ne reste pas à l’abri de ce
reproche
. Si elle est tolérante à l’endroit de beaucoup d’hérésies, c’est qu’e
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autre chose. Tentative d’interprétation Je
reproche
pour ma part à la psychanalyse de flatter notre propension à localise
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is pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce «
reproche
», que je me formule en vertu d’une habitude scolaire de critique, me
80
apparaît alors comme le dernier écho, le dernier
reproche
, la dernière plainte de la justice cosmique blessée. Comme une prière
81
où vivent les hommes — où meurent les hommes.
Reproches
réciproques que s’adressent les chrétiens et les marxistes Telle é
82
aut le dire à notre honte, à nous chrétiens : ces
reproches
apparaissent justifiés à la grande masse des travailleurs. Si le marx
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Églises dans le monde moderne. C’est pourquoi les
reproches
du marxiste au chrétien sont humainement bien plus valables que ceux
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on chrétienne est imparable. Quand un marxiste me
reproche
de me contenter d’un changement tout spirituel, et qui n’affecte en r
85
des choses, je suis fondé à lui répondre : « Ton
reproche
s’adresse à mon hypocrisie, à ma lâcheté, à mon absence de foi, mais
86
, cela se voit, des choses changent. Ce que tu me
reproches
, c’est, en fait, de n’être pas assez chrétien ! Tu m’incites donc à l
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et tout d’abord la mienne.) Par contre, quand je
reproche
au marxisme sa déviation matérialiste actuelle, je ne passe pas à côt
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apparaît alors comme le dernier écho, le dernier
reproche
, la dernière plainte de la justice cosmique blessée. Comme une prière
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is pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce «
reproche
», que je me formule en vertu d’une habitude scolaire de critique, me
90
nons encore à Josèphe : Quant à ce que l’on nous
reproche
comme un grand défaut, de ne nous point étudier à inventer des choses
91
lui en sut très mauvais gré et lui en fit de vifs
reproches
à ses derniers moments. Mon oncle en fut affligé, et pour mourir en p
92
mon innocence éclate à tous les yeux. Ce qu’on me
reproche
n’est imputable en vérité qu’à l’ignorance presque touchante de ce cr
93
déaliste — et tout ce qu’un Nietzsche absurdement
reproche
à l’Évangile. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre inst
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eure ! Je vais sans doute vous étonner. Ce que je
reproche
à votre « peut-être qu’il faut cela », ce n’est pas son cynisme, c’es
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ui déploient une si grande énergie pour éviter le
reproche
de naïveté dans le monde ou dans les affaires, qu’après cela, on n’os
96
rait contraint de voir l’identité des actes qu’il
reproche
à Hitler, et des actes qu’il loue chez Staline. (Je néglige ici les p
97
e trouve que plusieurs critiques m’ont adressé le
reproche
inverse : celui d’avoir donné de l’amour courtois une description si
98
bord déplaisant. Cette manière me vaudra bien des
reproches
. Les amoureux me tiendront pour cynique, et ceux qui n’ont jamais con
99
sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce
reproche
de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on songe qu’il se
100
cises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur
reproche
de ne recourir jamais qu’à des épithètes stéréotypées ? Jaufré Rudel,
101
nt sincère et authentique ? Ceci pour répondre au
reproche
d’insincérité fait aux troubadours par nos érudits — reproche lui-mêm
102
nsincérité fait aux troubadours par nos érudits —
reproche
lui-même stéréotypé… 58. Mais catholique d’origine, non hérétique.
103
séparée de son corps adresser à son compagnon les
reproches
les plus amers : c’est lui qui aurait causé sa damnation. Mais le cor
104
ù elle est née, qu’il serait bien vain d’en faire
reproche
à son auteur. Il fallait Phèdre. Il fallait cet affleurement du mythe
105
e idéaliste — tout ce qu’un Nietzsche injustement
reproche
au christianisme. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre
106
ours l’amour de Girard et d’Elissent, pur de tout
reproche
, sans qu’il y eût entre eux autre chose que bon vouloir et entente ca
107
anqué de discrétion » dans ses pratiques. Mais ce
reproche
n’atteindrait-il pas davantage un Nicolas de Flue, jeûnant plus que d
108
rsonnel du Führer, ce n’est point parce qu’on lui
reproche
son énergie ou ses talents, ses traits de caractère, bref, sa personn
109
qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on lui
reproche
, ce que l’on ne peut pas tolérer, c’est précisément sa personne, c’es
110
sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce
reproche
de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on songe qu’il se
111
cises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur
reproche
de ne recourir jamais, qu’à des épithètes stéréotypées ? Jaufré Rudel
112
nt sincère et authentique ? Ceci pour répondre au
reproche
d’insincérité fait aux troubadours par nos érudits — reproche lui-mêm
113
nsincérité fait aux troubadours par nos érudits —
reproche
lui-même stéréotypé… 60. Mais catholique d’origine, non hérétique.
114
séparée de son corps adresser à son compagnon les
reproches
les plus amers : c’est lui qui aurait causé sa damnation. Mais le cor
115
ù elle est née, qu’il serait bien vain d’en faire
reproche
à son auteur. Il fallait Phèdre. Il fallait cet affleurement du mythe
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e idéaliste — tout ce qu’un Nietzsche injustement
reproche
au christianisme. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre
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bord déplaisant. Cette manière me vaudra bien des
reproches
. Les amoureux me tiendront pour cynique, et ceux qui n’ont jamais con
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sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce
reproche
de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on songe qu’il se
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cises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur
reproche
de ne recourir jamais qu’à des épithètes stéréotypées ? Jaufré Rudel,
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nt sincère et authentique ? Ceci pour répondre au
reproche
d’insincérité fait aux troubadours par nos érudits — reproche lui-mêm
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nsincérité fait aux troubadours par nos érudits —
reproche
lui-même stéréotypé… 53. Mais catholique d’origine, non hérétique.
122
séparée de son corps adresser à son compagnon les
reproches
les plus amers : c’est lui qui aurait causé sa damnation. Mais le cor
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ù elle est née, qu’il serait bien vain d’en faire
reproche
à son auteur. Il fallait Phèdre. Il fallait cet affleurement du mythe
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e idéaliste — tout ce qu’un Nietzsche injustement
reproche
au christianisme. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre
125
ours l’amour de Girard et d’Elissent, pur de tout
reproche
, sans qu’il y eût entre eux autre chose que bon vouloir et entente ca
126
é son génie du scrupule, Gide s’expose parfois au
reproche
de prendre position non sans légèreté sur des problèmes infiniment co
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rsonnel du Führer, ce n’est point parce qu’on lui
reproche
son énergie ou ses talents, ses traits de caractère, son héroïsme dur
128
qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on lui
reproche
, ce que l’on ne peut pas tolérer, c’est précisément sa personne, c’es
129
dernier siècle ont adopté cette attitude. Le vrai
reproche
qu’il convient de leur faire, c’est avant tout d’avoir manqué de luci
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où naît toujours la lucidité. Et voici un second
reproche
: ils ont essayé de justifier leur impuissance pratique par des systè
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rsonnel du Führer, ce n’est point parce qu’on lui
reproche
son énergie ou ses talents, ses traits de caractère, son héroïsme dur
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qui ne sont pas pour cela en prison. Ce qu’on lui
reproche
, ce que l’on ne peut pas tolérer, c’est précisément sa personne, c’es