1
ompagne depuis un moment sur le chemin de l’autre
rive
. Il y a un homme debout à l’avant d’un char tiré par des bœufs blancs
2
ce que les bœufs ruisselants remontent sur notre
rive
. Fraîcheur humide, parfums à peine sensibles, bruissement vague des r
3
saules se penchent vers l’eau lente. Sur l’autre
rive
qui est celle d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promèn
4
’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
rive
, ils en ont tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage g
5
a Nature. Lac doré, horizon de collines pointues,
rives
basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses
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’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
rive
, ils en ont tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage g
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a Nature. Lac doré, horizon de collines pointues,
rives
basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses
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saules se penchent vers l’eau lente. Sur l’autre
rive
qui est celle d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promèn
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’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
rive
, ils en ont tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage g
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a Nature. Lac doré, horizon de collines pointues,
rives
basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses
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saules se penchent vers l’eau lente. Sur l’autre
rive
qui est celle d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promèn
12
fond sonore à bouche fermée des usines de l’autre
rive
, les sirènes des ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de fau
13
s, entre l’austérité des montagnes au nord et les
rives
latines au midi, la France à l’ouest, l’Alémanie à l’est ; — tout un
14
de 1913 : « Combien j’aime ce lac tranquille aux
rives
basses, peuplé de mouettes, où mon regard ni ma pensée ne se heurte à
15
VII « Combien j’aimai ce lac aux
rives
glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un
16
lles qui sans raison, grandiloquentes, bordent la
rive
. (Elles furent élevées, dit-on, par un ministre fou.) Cyprès au pied
17
du noir Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre
rive
, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine,
18
lac s’est retirée, de vague en vague vers l’autre
rive
. Elle caresse en passant l’épaule des collines, elle monte, elle embr
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plus. J’ai un péché de peur : mourrai-je sur la
rive
Lorsque mon dernier fil aura été filé ? Oh ! Jure par toi-même qu’à m
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r un horizon sans bornes, ou se promenant sur les
rives
de la mer que viennent battre les vagues, ou levant les yeux vers le
21
t après-midi, première incursion dans le centre —
rive
gauche, boulevards, Champs-Élysées. Ville des souvenirs ! Rien n’a bo
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pinion — quitte à passer pour Dieu sait quoi — et
rive
son clou à l’insolent Helvète ! J’ai eu un autre vengeur en la person
23
comme s’ils ne se reconnaissaient pas. Ce qui les
rive
au « tourment délicieux » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais r
24
religion fondamentale de l’Europe. De l’Inde aux
rives
de l’Atlantique, nous retrouvons exprimé, dans les formes les plus di
25
ulut aller visiter le Forez et rechercher sur les
rives
du Lignon l’ombre des Dianes et des Silvandre. Comme il se renseignai
26
comme s’ils ne se reconnaissaient pas. Ce qui les
rive
au « tourment délicieux » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais r
27
religion fondamentale de l’Europe. De l’Inde aux
rives
de l’Atlantique, nous retrouvons exprimé, dans les formes les plus di
28
lles du désir, venues du même Orient par les deux
rives
de la mer civilisatrice, naquit le grand modèle occidental du langage
29
aurait être que divin. Ainsi le philtre à la fois
rive
à la sexualité, qui est une loi de la vie, et contraint à la dépasser
30
ulut aller visiter le Forez et rechercher sur les
rives
du Lignon l’ombre des Dianes et des Silvandre. Comme il se renseignai
31
comme s’ils ne se reconnaissaient pas. Ce qui les
rive
au « tourment délicieux » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais r
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religion fondamentale de l’Europe. De l’Inde aux
rives
de l’Atlantique, nous retrouvons exprimé, dans les formes les plus di
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lles du désir, venues du même Orient par les deux
rives
de la mer civilisatrice, naquit le grand modèle occidental du langage
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aurait être que divin. Ainsi le philtre à la fois
rive
à la sexualité, qui est une loi de la vie, et contraint à la dépasser
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ulut aller visiter le Forez et rechercher sur les
rives
du Lignon l’ombre des Dianes et des Silvandre. Comme il se renseignai
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juin 1939 Ce restaurant où j’achève de déjeuner —
rive
droite — est le type même du restaurant « moderne » conçu par le déli
37
e chaleur torride. Jung possède une villa sur les
rives
du lac de Zurich. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pav
38
e chaleur torride. Jung possède une villa sur les
rives
du lac de Zurich. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pav
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e chaleur torride. Jung possède une villa sur les
rives
du lac de Zurich. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pav
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et va creuser un sillon d’or neigeux. Sur l’autre
rive
, la cloche du couvent des frères paulistes — joyeux nageurs, plongeur
41
des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des
rives
, parcourus d’écureuils et d’oiseaux-mouches. C’est ici l’Amérique de
42
: « Nous sommes catholiques et protestants. » Les
rives
, les îles s’ornent de monuments souvent couverts de noms français : m
43
sa tradition. Ses ancêtres ont été amenés sur les
rives
de l’Hudson et du Potomac par le rêve d’un pays sans limites, et il l
44
lieu du xxe siècle, presque à l’étroit entre les
rives
du Pacifique et de l’Atlantique, mais encore débordants d’énergies qu
45
Hudson. Une brume de chaleur tropicale bleuit les
rives
. Je ne m’attendais pas à la nature américaine, à la voir la première
46
fond sonore à bouche fermée des usines de l’autre
rive
, les sirènes des ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de fau
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fond sonore à bouche fermée des usines de l’autre
rive
, les sirènes des ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de fau
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i 1939 Ce restaurant où j’achève de déjeuner —
rive
droite — est le type même du restaurant « moderne » conçu par le déli
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Hudson. Une brume de chaleur tropicale bleuit les
rives
. Je ne m’attendais pas à la nature américaine, à la voir la première
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fond sonore à bouche fermée des usines de l’autre
rive
, les sirènes des ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de fau
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et va creuser un sillon d’or neigeux. Sur l’autre
rive
, la cloche du couvent des Frères paulistes — joyeux nageurs, plongeur
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des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des
rives
, parcourus d’écureuils et d’oiseaux-mouches. C’est ici l’Amérique de
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: « Nous sommes catholiques et protestants. » Les
rives
, les îles s’ornent de monuments souvent couverts de noms français : m
54
nt mises à sonner, et le petit couvent de l’autre
rive
a lancé lui aussi sa volée grêle, portée par l’eau dans le soir clair
55
’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
rive
, ils en ont tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage g
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a Nature. Lac doré, horizon de collines pointues,
rives
basses, verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses
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saules se penchent vers l’eau lente. Sur l’autre
rive
qui est celle d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promèn
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t après-midi, première incursion dans le centre —
rive
gauche, boulevards, Champs-Élysées. Ville des souvenirs ! Rien n’a bo
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i 1939 Ce restaurant où j’achève de déjeuner —
rive
droite — est le type même du restaurant « moderne » conçu par le déli
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Hudson. Une brume de chaleur tropicale bleuit les
rives
. Je ne m’attendais pas à la nature américaine, à la voir la première
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t après trois sauts et planent longuement sur les
rives
coassantes. Très haut, des compagnies croisent et se poursuivent dans
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fond sonore à bouche fermée des usines de l’autre
rive
, les sirènes des ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de fau
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et va creuser un sillon d’or neigeux. Sur l’autre
rive
, la cloche du couvent des Frères paulistes — joyeux nageurs, plongeur
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des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des
rives
, parcourus d’écureuils et d’oiseaux-mouches. C’est ici l’Amérique de
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: « Nous sommes catholiques et protestants. » Les
rives
, les îles s’ornent de monuments souvent couverts de noms français : m
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nt mises à sonner, et le petit couvent de l’autre
rive
a lancé lui aussi sa volée grêle, portée par l’eau dans le soir clair
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re dépassées. Ses ancêtres ont été amenés sur les
rives
de l’Hudson et du Potomac par le rêve d’un pays sans limites, et il l
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ce milieu du siècle, presque à l’étroit entre les
rives
du Pacifique et de l’Atlantique, mais encore débordants d’énergies qu
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Lacs (août 1948)k Combien j’aimai ce lac aux
rives
glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un
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lles qui sans raison, grandiloquentes, bordent la
rive
. (Elles furent élevées, dit-on, par un ministre fou.) Cyprès au pied
71
du noir Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre
rive
, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine,
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lac s’est retirée, de vague en vague vers l’autre
rive
. Elle caresse en passant l’épaule des collines, elle monte, elle embr
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s, entre l’austérité des montagnes au nord et les
rives
latines au midi, la France à l’ouest, l’Alémanie à l’est ; — tout un
74
de 1913 : « Combien j’aime ce lac tranquille aux
rives
basses, peuplé de mouettes, où mon regard ni ma pensée ne se heurte à
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VII « Combien j’aimai ce lac aux
rives
glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un
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lles qui sans raison, grandiloquentes, bordent la
rive
. (Elles furent élevées, dit-on, par un ministre fou.) Cyprès au pied
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du noir Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre
rive
, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine,
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lac s’est retirée, de vague en vague vers l’autre
rive
. Elle caresse en passant l’épaule des collines, elle monte, elle embr
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dre ses bœufs, mais s’arrête avant de toucher les
rives
du lac ; les paysans ne sont pas pêcheurs et n’aiment pas l’eau. La f
80
cher les fertiles terres noires de l’Ukraine, les
rives
de la Baltique et de la mer du Nord, enfin la vallée du Rhin et la Be
81
ent. Un autre courant de colons venus par mer des
rives
de l’Égypte et du Proche-Orient, remonte peu à peu l’Italie et la val
82
es hommes, des idées, et des techniques venus des
rives
du Proche-Orient. Mais qui va baptiser ce continent ? À quelle date ?
83
éprend. Métamorphosé en taureau, il l’enlève aux
rives
de l’Asie pour la conduire en Crète, où elle deviendra reine, et mère
84
Pierre Bersuire, au xive siècle, imagine que la
rive
phénicienne représente la vie du siècle, tandis que la Crète serait l
85
cher les fertiles terres noires de l’Ukraine, les
rives
de la Baltique et de la mer du Nord, enfin la vallée du Rhin et la Be
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ent. Un autre courant de colons venus par mer des
rives
de l’Égypte actuelle et du Proche-Orient, remonte peu à peu l’Italie
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des hommes, des idées et des techniques venus des
rives
du Proche-Orient. Mais qui va baptiser ce continent ? À quelle date ?
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éprend. Métamorphosé en taureau, il l’enlève aux
rives
de l’Asie pour la conduire en Crète, où elle deviendra reine, et mère
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aureau qui a coutume d’enlever des filles sur les
rives
de Canaan, de Tyr et de Sidon, donc de la « Phénicie » des Grecs. Il
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Pierre Bersuire, au xive siècle, imagine que la
rive
phénicienne représente la vie du siècle, tandis que la Crète serait l
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n’était qu’un marais. Madrid un désert, et de la
rive
droite du Rhin jusqu’au golfe de Bothnie tout était sauvage ; les hab
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don de nos propres contrées ? Qui sait si sur les
rives
de la Seine, de la Tamise ou du Zuydersée, là où maintenant, dans le
93
berté de la Hollande. On voit maintenant, sur les
rives
de la Loire et de la Seine, le Suisse se battre contre le Suisse, l’A
94
da Carthage, tandis que d’autres découvraient les
rives
du continent, de l’Espagne au Caucase. Cadmus enfin, le plus fameux,
95
espérait de retrouver sa sœur pour la ramener aux
rives
maternelles de l’Asie, il alla demander à l’oracle de Delphes : Où es
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naturel de se manifester librement : boom sur les
rives
de la Méditerranée, abandon progressif des villes du Nord qui avaient
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da Carthage, tandis que d’autres découvraient les
rives
du Continent, de l’Espagne au Caucase. Cadmus enfin, le plus fameux,
98
espérait de retrouver sa sœur pour la ramener aux
rives
maternelles de l’Asie, il alla demander à l’oracle de Delphes : Où es
99
e, puis des rideaux d’arbres chevelus cachent les
rives
, et la piste d’ardoise aux lignes jaunes écarte largement les forêts
100
e où pourtant tout signifie, profondeurs nacrées,
rives
glauques, hauteurs baignées de vapeurs denses. Ce n’est pas un monde
101
Sud, Constance au nord-est, le pays de Gex et les
rives
savoyardes du Léman à l’ouest. Ces territoires ne seront jamais récup
102
vière « avec ses prés charmants et les saules des
rives
». Neckar imaginé comme enfance perdue, mais aussi comme aimé de loin
103
, flot sans fin dans une forme arrêtée, celle des
rives
qu’il a formées, événement toujours fuyant et qui fascine, figure ori
104
parler espagnol. On parle provençal sur les deux
rives
du Rhône, allemand sur les deux rives du Rhin, français sur les deux
105
ur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux
rives
du Rhin, français sur les deux versants du Jura et italien (ou allema
106
r les peuples pacifiques, notamment ceux des deux
rives
de l’Atlantique… » À l’inverse et symétriquement, le rapporteur bulg
107
ent propagé de Bagdad à l’Andalousie, le long des
rives
sud de la Méditerranée ; une hérésie manichéenne née en Perse et prop
108
manichéenne née en Perse et propagée le long des
rives
nord de la même mer civilisatrice jusque dans les pays du Sud de l’Eu
109
ndaires où le grand dieu des Grecs emporta de vos
rives
une jeune et belle princesse, fille d’un roi de Tyr, qui devait donne
110
parler espagnol. On parle provençal sur les deux
rives
du Rhône, allemand sur les deux rives du Rhin, français sur les deux
111
ur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux
rives
du Rhin, français sur les deux versants du Jura et italien (ou allema
112
’abandon et que solitude. […] Qui sait si sur les
rives
de la Seine, de la Tamise ou du Zuyderzee, là où maintenant, dans le
113
culqué que le Rhin sépare les peuples de ses deux
rives
, mais que le Rhône les unit ; allez savoir pourquoi ! (Mais non, surt
114
a inculqué que le Rhin sépare les peuples de ses
rives
, mais que le Rhône les unit, allez savoir pourquoi ! De même, les Pyr
115
translucides. Mais tout ce qui est proche sur nos
rives
brille d’un vif éclat humide, repeint à neuf pendant la nuit, luisant
116
Rhin sépare « naturellement » les peuples de ses
rives
, tandis que le Rhône les unit. De même, les Pyrénées « séparent l’Esp
117
translucides. Mais tout ce qui est proche sur nos
rives
brille d’un vif éclat humide, repeint à neuf pendant la nuit, luisant
118
selon les cas (le Rhin divise les peuples de ses
rives
, mais le Rhône les unit ; allez savoir pourquoi ?) se dévalorisent en
119
culqué que le Rhin sépare les peuples de ses deux
rives
, mais que le Rhône les unit — allez savoir pourquoi ! De même, les Py
120
Léman). Il y a depuis toujours deux races, sur la
rive
gauche et la rive droite du Rhône. Il y a deux confessions depuis le
121
uis toujours deux races, sur la rive gauche et la
rive
droite du Rhône. Il y a deux confessions depuis le xvie siècle. Et d
122
protéger les poissons — et donc les habitants des
rives
— contre le mercure qu’on déverse chaque jour dans le lac, au point q
123
et introduits par le chapeau suivant : « Sur les
rives
tranquilles du lac de Neuchâtel [sic], là où Jean-Jacques Rousseau pa
124
etrouver la sagesse de Milet, la Cité grecque des
rives
de l’Égée qui, par crainte de trop grandir, exportait ses surplus de
125
s musulmans… Ici, nous sommes Savoyards. Les deux
rives
du Léman et la vallée du Rhône, c’est une même civilisation. De ce cô
126
miques valaisannes, des pollutions urbaines de la
rive
nord, des affluents savoyards, non épurés (pour ne rien dire du gazod
127
t des Bâlois (suisses) qui voisinent sur les deux
rives
du Rhin et parlent des dialectes germaniques très semblables, aux fin