1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 L’une vient de l’Orient, et insinue dans le monde romain les virus du christianisme, de la Réforme, de la Révolution et du rom
2 onalisme. L’Orient efféminé ; — en face : l’Ordre romain . Or l’ordre, pour M. de Montherlant comme pour Maurras, est ce qu’il
3 lui tombent sous la main : le sport et la morale romaine . Dans sa hâte salvatrice, M. de Montherlant ne s’est même pas demandé
4 ois qu’elle sert mieux la démocratie que l’Église romaine , quoi qu’en pense M. de Montherlant. Et voici, ô paradoxe, qu’il rejo
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
5 s pourrons amener l’Asie à comprendre la religion romaine (ce christianisme méditerranéen si étroitement particularisé pourtant
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
6 de Genève, Genève, mai 1927, p. 693-694. ak. En romain dans l’édition originale.
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
7 icité. » Elle appelle ceux qui passent à l’Église romaine des « pervertis » : « Nous en avons eu trop dans la famille, votre pa
5 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
8 e du monde, soit qu’il prétende, comme le système romain , enfermer les antinomies dans un cadre hiérarchique qui préserve l’ho
9 touches fulgurantes du Saint-Esprit. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humaines, d’un
6 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
10 urrait opposer, plutôt que la taciturne réflexion romaine , la tournure d’esprit sentencieuse et synthétique de l’esprit hindou.
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
11 urrait opposer, plutôt que la taciturne réflexion romaine , la tournure d’esprit sentencieuse et synthétique de l’esprit hindou.
8 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
12 ustraire, Karl Barth se met à relire l’Épître aux Romains , la plus inquiétante sans doute, pour notre esprit critique. Il résul
9 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
13 itable », celui que définit, d’ailleurs, le Droit romain . Nous voudrions montrer ici d’une part l’identité de la personne, tel
14  : le rapport de l’homme à son Créateur. Le Droit romain a peut-être raison de refuser à mon voisin le pouvoir de me questionn
10 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
15 t « inconstant », ce païen calviniste, bien moins romain que grec — hélas d’un hellénisme style Empire — voilà peut-être le se
16 uer d’évoquer aussitôt la réponse de l’Épître aux Romains  : « Tout l’univers s’adresse à l’homme dans un langage ineffable qui
11 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
17 logomachie des députés vis-à-vis desquels le même Romains se montre d’ailleurs non moins respectueux ? « Deux ou trois jeunes d
12 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
18 Louis XIV et certains défenseurs de la politique romaine . La persécution des protestants ne fut pas l’œuvre du parti catholiqu
19 i évangélique, ait été celle des Espagnols et des Romains . Les catholiques patriotes savaient bien que la présence à la cour d’
13 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
20 vader dans une synthèse quelconque, rationaliste, romaine , ou marxiste, c’est sortir de la réalité même. Car la réalité est pré
21 e du monde, soit qu’il prétende, comme le système romain , enfermer les antinomies dans un cadre hiérarchique qui préserve l’ho
22 touches fulgurantes du Saint-Esprit. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humaines, d’un
14 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
23 posant à l’Italie le centralisme et la hiérarchie romaine , a réalisé, sur le plan laïque, un des vieux rêves de la pensée thomi
15 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
24 vader dans une synthèse quelconque, rationaliste, romaine , ou marxiste, c’est sortir de la réalité même. Car la réalité est pré
25 e du monde, soit qu’il prétende, comme le système romain , enfermer les antinomies dans un cadre hiérarchique qui préserve l’ho
16 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
26 posant à l’Italie le centralisme et la hiérarchie romaine , a réalisé, sur le plan laïque, et contre la papauté, un des vieux rê
17 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
27 t pas au nom d’un parti que Paul ébranle l’Empire romain , ce n’est pas au nom d’un parti que Luther et Calvin déclenchent la p
18 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
28 quinze nous sont communs d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre siècles d’une tradition que l’on réduit au seul domaine fr
29 la théologie de mettre en regard du catholicisme romain le protestantisme tout entier, luthérien, calviniste et wesleyen, voi
30 tuniste, s’insinue jusqu’au cœur de la dogmatique romaine . On pourrait remarquer que le fidèle protestant a, sur le fidèle cath
31 ent, mais la manière dont on en use dans l’Église romaine , mais le degré de sérieux qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion
32 ement donne un exemple bien typique de la méthode romaine de médiation27. Cette tradition n’est, à vrai dire, qu’une transition
33 ce jus uti et abutendi qui, selon le vieux droit romain , caractérise la propriété. Si l’Église a le secret du Christ, c’est «
34 de la Réforme est la rançon fatale de la croyance romaine en la tradition considérée comme « l’autre source » de la Révélation.
19 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
35 ion allemande. » De nouveau dressés, saluant à la romaine , ils pleuraient, ils râlaient des heil ! la face énergiquement tendue
20 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
36 christianisme social, et l’union des églises non romaines , grande espérance œcuménique et internationale née dans le « désarroi
21 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
37 velle Revue française de décembre 1931. 5. Droit romain , principes de 89, sécurité, etc. Tout ce que symbolise le nom de Poin
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
38 ont des signes qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux combats de gladiateurs, les marquises encyclopédistes, et nos bel
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
39 , en tant qu’il figure la persistance de l’esprit romain , est la « mesure » qui permet d’estimer la conduite des choses humain
40 fluence prépondérante des secrétaires de la curie romaine . « Les écrivains apostoliques ont entre les mains les premières affai
41 et vivant de Dante a-t-il beaucoup plus de virtu romaine que le néo-latin classique de Pétrarque, tout chargé d’élégances arch
24 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
42 prophétie ; les Grecs, l’homme dans la cité ; les Romains , l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, l’Église ; le siècle de
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
43 ont des signes qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux combats de gladiateurs, les marquises encyclopédistes, et nos bel
26 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
44 qui est institution. Chassé de sa patrie par les Romains , persécuté par les chrétiens pour avoir méconnu le Christ, puis par l
27 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
45 , en tant qu’il figure la persistance de l’esprit romain , est la « mesure » qui permet d’estimer la conduite des choses humain
46 fluence prépondérante des secrétaires de la curie romaine . « Les écrivains apostoliques ont entre les mains les premières affai
47 et vivant de Dante a-t-il beaucoup plus de virlù romaine que le néo-latin classique de Pétrarque, tout chargé d’élégances arch
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
48 prophétie ; les Grecs, l’homme dans la cité ; les Romains , l’ordre imposé par l’Empire ; le Moyen Âge, la théologie ; le siècle
29 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
49 italiste que nous donnerons. Le capitalisme des Romains C’est par l’usage du prêt à intérêt que le capitalisme s’est intro
50 t J.-C. Le caractère essentiel de la civilisation romaine se voit menacé du jour où le laboureur-soldat, type Cincinnatus, est
51 blé à prix réduit, ou gratuit. Mais le territoire romain ne pouvait alors fournir les quantités de céréales nécessaires d’aumô
52 tout le développement ultérieur de l’impérialisme romain . Comme il arrive toujours lorsqu’on s’engage dans de tels mécanismes,
53 valiers. Désormais, l’on peut dire que la société romaine est livrée aux mécanismes de la loi capitaliste. La concentration des
54 urés par l’État font qu’il existe encore un monde romain  : ce n’est qu’une organisation. De là sans doute l’indifférence avec
55 uce indispensable. Le gigantesque fonctionnarisme romain , encrassé, forcé, trop pesant, vit son rendement fléchir progressivem
56 l faut insister fortement sur ce point : l’Empire romain n’est pas tombé sous les coups des barbares63, comme on s’est plu à l
57 lus viles de part et d’autre. Il a fait du peuple romain un peuple d’exploiteurs impérialistes et de rentiers. Enfin, il a néc
58 on de l’unité européenne en ces morceaux d’Empire romain que sont les États-nations, incapables de trouver une forme de vie co
59 doués tentèrent de faire revivre les institutions romaines décadentes, mais ce sang frais ne suffit pas. À la fin, ils se virent
30 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
60 du Gard, Duhamel, Francis, Lacretelle, Chardonne, Romains , Béhaine), le Tour de France des romanciers cyclistes, ne reste un tr
31 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
61 êtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre maison, c’est le rocher, l
62 uleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines , A… qui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses odeurs et la s
32 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
63 iment de la race allemande contre la civilisation romaine . On a poussé la bouffonnerie jusqu’à cet excès grandiose d’assimiler
33 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
64 Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » ( Romains 8. 22-24). Parler de la Nature comme le firent tant de romantiques, e
34 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
65 ments qui ont honoré l’île, des premières galères romaines jusqu’au bateau à vapeur de Sadi Carnot — monument au point où il tou
35 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
66 ormer. Et l’apôtre Paul écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mais soyez tran
67 gique naïveté. Il ne se fâche pas contre l’Empire romain , et ne désigne pas sa destruction comme premier objectif aux chrétien
68 tuation n’est pas sans rappeler celle de l’Empire romain au premier âge du christianisme, telle que nous l’évoquions plus haut
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
69 ments qui ont honoré l’île, des premières galères romaines jusqu’au bateau à vapeur de Sadi Carnot — monument au point où il tou
70 Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » ( Romains 8, 20-24). 24 mai 1934 On dirait que l’homme n’est pas fait pou
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
71 êtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre maison, c’est le rocher, l
72 uleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines , A… qui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses odeurs et la s
73 Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » ( Romains 8, 22-24.) Parler de la Nature comme le firent tant de romantiques, e
38 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
74 l’Occident que la raison des Grecs et l’ordre des Romains . Il m’appartient seulement de préciser en quelques traits le sens que
75 traite saint Paul au chapitre XI de l’Épître aux Romains . Et sans doute ce texte illumine aussi profondément qu’il est possibl
76 ier verset, dans son Commentaire sur l’Épître aux Romains . Et Calvin dit du même verset que c’est « une fort belle sentence ».
39 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
77 iment de la race allemande contre la civilisation romaine . On a poussé la bouffonnerie jusqu’à cet excès grandiose d’assimiler
40 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
78 st pas ainsi que je conçois la charité. Quand les Romains adoraient leur empereur, les chrétiens ne craignaient pas de passer p
79 peuvent se tromper et reconnaissant que l’Église romaine est infaillible. L’Église grecque lui en sut très mauvais gré et lui
41 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
80 de Stockholm et d’Oxford (toutes les églises non romaines ) ont également abordé le problème. 92. Il serait curieux de retrouve
42 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
81 te de l’ambition chrétienne définie par l’Apôtre ( Romains 8), et qui tendrait à restaurer le Cosmos dans sa loi primitive, trou
43 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
82 rer le public quand passe le film des funérailles romaines . Quelque chose vibre dans l’obscurité, des régions endormies de la co
83 à celui qui dut marquer la décadence de l’Empire romain . Mais de ce vide naît un appel. Et cet appel à une communauté nouvell
44 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
84 vue sans liens intimes : la suppression du droit romain , le mépris des frontières et des obligations, le culte des morts réta
45 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
85 in, et comme à travers lui, pour le Cosmos. (Voir Romains 8). Vous estimerez peut-être que j’abuse en transportant à ce niveau
46 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
86 d’Iseut. On sait assez que pour les Grecs et les Romains , l’amour est une maladie (Ménandre) dans la mesure où il transcende l
87 figurant assez exactement l’extension de l’Empire romain . Or les Celtes n’étaient pas une nation. Ils n’avaient pas d’autre « 
88 tôme lumineux qui apparaît aux regards du général romain perdu dans sa rêverie nocturne : « Sais-tu que je suis fée ? », dit-e
89 isme originel de l’Europe a survécu à la conquête romaine et aux invasions germaniques. « Les Gallo-Romains sont restés pour la
90 , qui ne sont pas des « personnes » pour le droit romain  : persona est sui juris ; servus non est persona. 25. Le culte des i
91 répondre à l’« attente ardente » de la créature. ( Romains , 8.) 40. D’où le nom de docètes pris par une secte gnostique : dokes
47 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
92 étruisant matériellement cette religion, l’Église romaine la condamnait à se propager sous la forme la plus ambiguë et peut-êtr
48 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
93 de Stockholm et d’Oxford (toutes les Églises non romaines ) ont également touché le problème. 191. Il serait curieux de retrouv
49 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
94 te de l’ambition chrétienne définie par l’Apôtre ( Romains , 8), et qui tendrait à restaurer le Cosmos dans sa loi primitive, tro
50 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
95 — le concile avait substitué un pontife unique et romain . On avait condamné Jean Huss, le premier qui eût osé proclamer la néc
96 cette espèce de réaction intérieure au formalisme romain , qu’ont représenté les Amis de Dieu. Et l’on conçoit que ce mouvement
97 tain accaparement de Nicolas de Flue par l’Église romaine , la signification qu’il eut, en fait, pour les premières générations
51 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
98 ance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de cette réaction collective. La
99 de l’étatisme sur l’individualisme social. L’État romain , rural et militaire, avec son appareil rigide, devait fatalement trio
100 dence de Rome. Le type d’homme que suppose l’État romain , c’est donc l’individu embrigadé, le fonctionnaire ou le soldat, l’ho
101 s de l’État. Il est important de rappeler ce sens romain du mot personne. Je le traduirais volontiers en langage moderne par l
102 ibilité s’est amorcée dès la fin de la République romaine , quand le César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette religio
103 l’esclave qui devient chrétien. Alors que l’État romain lui déniait toute activité libre et spontanée, l’Église lui rend sa d
104 uer. Et ce n’est pas non plus la persona du droit romain , puisque l’homme qui a une vocation possède une dignité indépendante
105 teurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de persona. C’est ce même terme qui va servir aux premiers philosophe
106 siècles a repris peu à peu l’héritage de l’Empire romain . Elle s’est peu à peu substituée aux cadres sclérosés du vieux régime
107 représente une réaction inévitable à la déviation romaine de la communauté catholique. Entre ces deux déviations, contre l’oppr
108 nte de la personne, c’est la vocation. La persona romaine , c’était le rôle joué par un individu dans le plan de l’État. La pers
109 be jamais dans le piège d’opposer à l’absolutisme romain un absolutisme réformé. Au contraire. Qu’il s’agisse de la Transylvan
110 i comprise n’est plus rien qu’une persona au sens romain , un rôle, un masque, une fonction extérieure, c’est-à-dire un individ
52 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
111 d’Iseut. On sait assez que pour les Grecs et les Romains , l’amour est une maladie (Ménandre) dans la mesure où il transcende l
112 figurant assez exactement l’extension de l’Empire romain . Or les Celtes n’étaient pas une nation. Ils n’avaient pas d’autre « 
113 tôme lumineux qui apparaît aux regards du général romain perdu dans sa rêverie nocturne : « Sais-tu que je suis fée ? », dit-e
114 isme originel de l’Europe a survécu à la conquête romaine et aux invasions germaniques. « Les Gallo-Romains sont restés pour la
115 gme de l’Incarnation, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacrement de la messe : ils le remplacent par une cène frater
116 oppose l’hérésie partout présente et l’orthodoxie romaine battue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la sexualité sont co
117 , qui ne sont pas des « personnes » pour le droit romain  : persona est sui juris ; servus non est persona. 28. J. Ortega y G
53 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
118 étruisant matériellement cette religion, l’Église romaine la condamnait à se propager sous la forme la plus ambiguë et peut-êtr
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
119 de Stockholm et d’Oxford (toutes les Églises non romaines ) ont également touché le problème. 208. Il serait curieux de retrouv
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
120 te de l’ambition chrétienne définie par l’Apôtre ( Romains , 8), et qui tendrait à restaurer le Cosmos dans sa loi primitive, tro
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
121 » suffisantes. Plusieurs théologiens de tradition romaine ou grecque m’ont amicalement reproché de contraster l’Éros et l’Agapè
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
122 d’Iseut. On sait assez que pour les Grecs et les Romains , l’amour est une maladie (Ménandre) dans la mesure où il transcende l
123 figurant assez exactement l’extension de l’Empire romain , — moins les péninsules italienne et grecque. Or les Celtes n’étaient
124 tôme lumineux qui apparaît aux regards du général romain perdu dans sa rêverie nocturne : « Sais-tu que je suis fée ? », dit-e
125 isme originel de l’Europe a survécu à la conquête romaine et aux invasions germaniques. « Les Gallo-Romains sont restés pour la
126 gme de l’Incarnation, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacrement de la messe : ils le remplacent par une cène frater
127 oppose l’hérésie partout présente et l’orthodoxie romaine battue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la sexualité sont co
128 , qui ne sont pas des « personnes » pour le droit romain  : persona est sui iuris ; servus non est persona. 20. J. Ortega y Ga
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
129 étruisant matériellement cette religion, l’Église romaine la condamnait à se propager sous la forme la plus ambiguë et peut-êtr
59 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
130 de Stockholm et d’Oxford (toutes les Églises non romaines ) ont également touché le problème. Vatican II a reconnu que l’amour s
60 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
131 te de l’ambition chrétienne définie par l’Apôtre ( Romains , 8), et qui tendrait à restaurer le Cosmos dans sa loi primitive, tro
61 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
132 es » du moralisme néo-protestant et du dogmatisme romain . D’où son horreur congénitale des tours de passe-passe religieux. En
62 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
133 a mesure de l’individu raisonnable. Dans l’Empire romain , tout était réglé par le droit d’État. Chez les Juifs, c’était la Loi
134 chie individualiste de la Grèce répond l’étatisme romain . Au collectivisme sacral du Moyen Âge répond la révolte individualist
63 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
135 i les soutenait. Pendant la décadence de l’Empire romain , ces paroisses ont constitué les cellules de base d’une nouvelle soci
64 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
136 ance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de cette réaction collective. La
137 de l’étatisme sur l’individualisme social. L’État romain , rural et militaire, avec son appareil rigide, devait fatalement trio
138 dence de Rome. Le type d’homme que suppose l’état romain , c’est donc l’individu embrigadé, le fonctionnaire ou le soldat, l’ho
139 s de l’État. Il est important de rappeler ce sens romain du mot personne. Je le traduirais volontiers en langage moderne par l
140 ibilité s’est amorcée dès la fin de la République romaine , quand César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette religion d
141 l’esclave qui devient chrétien. Alors que l’État romain lui déniait toute activité libre et spontanée, l’Église lui rend sa d
142 uer. Et ce n’est pas non plus la persona du droit romain , puisque l’homme qui reçoit une vocation possède une dignité indépend
143 teurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de persona. C’est ce même terme qui va servir aux premiers philosophe
144 imitive a repris peu à peu l’héritage de l’Empire romain . Elle s’est peu à peu substituée aux cadres sclérosés du vieux régime
145 représente une réaction inévitable à la déviation romaine de la communauté catholique5. Entre ces deux déviations, contre l’opp
146 nte de la personne, c’est la vocation. La persona romaine , c’était le rôle joué par un individu dans le plan de l’État. La pers
147 be jamais dans le piège d’opposer à l’absolutisme romain un absolutisme réformé. Au contraire. Qu’il s’agisse de la Transylvan
148 omprise n’est plus qu’à peine une persona au sens romain , un rôle, un masque, une fonction extérieure, c’est-à-dire un individ
65 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
149 a mesure de l’individu raisonnable. Dans l’Empire romain , tout était réglé par le droit d’État. Chez les Juifs, c’était la Loi
150 chie individualiste de la Grèce répond l’étatisme romain . Au collectivisme sacral du Moyen âge répond la révolte individualist
66 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
151 e du Conseil œcuménique de toutes les Églises non romaines a été fixé à Genève. Ici, il s’agit plutôt d’un germe, d’un avenir.
67 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
152 ance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de cette réaction collective. La
153 de l’étatisme sur l’individualisme social. L’État romain , rural et militaire, avec son appareil rigide, devait fatalement trio
154 dence de Rome. Le type d’homme que suppose l’État romain , c’est donc l’individu embrigadé, le fonctionnaire ou le soldat, l’ho
155 s de l’État. Il est important de rappeler ce sens romain du mot personne. Je le traduirais volontiers en langage moderne par l
156 ibilité s’est amorcée dès la fin de la République romaine , quand César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette religion d
157 l’esclave qui devient chrétien. Alors que l’État romain lui déniait toute activité libre et spontanée, l’Église lui rend sa d
158 uer. Et ce n’est pas non plus la persona du droit romain , puisque l’homme qui reçoit une vocation possède une dignité indépend
159 teurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de persona. C’est ce même terme qui va servir aux premiers philosophe
160 imitive a repris peu à peu l’héritage de l’Empire romain . Elle s’est peu à peu substituée aux cadres sclérosés du vieux régime
161 représente une réaction inévitable à la déviation romaine de la communauté catholique65. Entre ces deux déviations, contre l’op
162 nte de la personne, c’est la vocation. La persona romaine , c’était le rôle joué par un individu dans le plan de l’État. La pers
163 be jamais dans le piège d’opposer à l’absolutisme romain un absolutisme réformé. Au contraire. Qu’il s’agisse de la Transylvan
164 omprise n’est plus qu’à peine une persona au sens romain , un rôle, un masque, une fonction extérieure, c’est-à-dire un individ
68 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
165 pation qui pèse sur le héros du Procès. 56. Voir Romains III, 10-20, et aussi l’Épître aux Galates. 57. Peut-être cette image
69 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
166 iment de la race allemande contre la civilisation romaine . Au lieu de rapporter à son germanisme originel certains défauts de L
70 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
167 es » du moralisme néo-protestant et du dogmatisme romain . D’où son horreur congénitale des tours de passe-passe religieux. En
168 la visibilité de toute église (tant réformée que romaine ), un attachement à sa vérité propre qui, lui, est moins évangélique q
71 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
169 vue sans liens intimes : la suppression du droit romain , le mépris des frontières et des obligations, le culte des morts réta
72 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
170 s. Et c’est au nom de cette fidélité à la vie que M. Jules Romains va s’interdire, dit-il — « les enchaînements arbitraires et le picare
171 qu’il ne sache attendu. « Le roman, écrit encore M. Romains , ne connaît pas de vraies servitudes. Ce qui diminue peut-être pour l
172 r les conventions. » Ceci corrigerait donc cela ? M. Romains connaît bien son public. Il sait que l’absence de conventions sera te
173 la seconde.) Parlant encore de son propre roman, M. Romains ajoute : « Le lecteur se demandera : où cela va-t-il ? Des personnage
73 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
174 te théologie. C’est ainsi que l’Église catholique romaine fut à la tête du mouvement philosophique du Moyen Âge, que les réform
175 ement culturel. Plus tard, lorsque les théologies romaines et réformées s’atrophièrent, elles n’osèrent plus, ni ne purent davan
176 n raison du manque de stricte théologie. L’Église romaine a mieux retenu les forces de création intellectuelles parce qu’elle e
74 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
177 de bonne volonté », répétant sans scrupules avec M. Romains une grave erreur de traduction car l’Évangile, dans le texte original
75 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
178 rovinciales, Londoniens, Madrilènes, Parisiens ou Romains , avec nos clans, nos écoles, nos partis et nos disputes centenaires o
76 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
179 rovinciales, Londoniens, Madrilènes, Parisiens ou Romains , avec nos clans, nos écoles, nos partis et nos disputes centenaires o
77 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
180 nt autant de mal aux Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur avaient fait de bien. Partout, l’on vit au co
181 ement mystique s’éteindre au sein du catholicisme romain , tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs faisait
78 1946, Esprit, articles (1932–1962). « Un divorce entre le christianisme et le monde ? » (août-septembre 1946)
182 e sur le fossé entre le christianisme et le monde romain  ; ni les staliniens s’inquiétant du « divorce actuel entre le marxism
79 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
183 itariens, théosophes, spiritualistes, catholiques romains , protestants épiscopaux, presbytériens, pentecôtistes, méthodistes, l
184 genoux devant l’autel, vous vous croirez chez les romains , mais vous serez chez les anglicans si l’officiant est en surplis, ou
80 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
185 n’épiloguerai pas ici sur l’unité d’organisation romaine , considérée comme nécessaire au salut. Mais je rappellerai les critiq
186 a simple fonction dans l’État qu’était le citoyen romain , puisqu’il possède une dignité indépendante de son rôle social. Comme
187 rrespondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques romaines , — alors qu’il n’en existe aucune qui se soit développée en pays calv
81 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
188 de bonne volonté », répétant sans scrupules avec M. Romains une grave erreur de traduction. Car l’Évangile dans le texte original
82 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
189 de bonne volonté », répétant sans scrupules avec M. Romains une grave erreur de traduction. Car l’Évangile dans le texte original
83 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
190 rovinciales, Londoniens, Madrilènes, Parisiens ou Romains , avec nos clans, nos écoles, nos partis et nos disputes centenaires o
84 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
191 rovinciales, Londoniens, Madrilènes, Parisiens ou Romains , avec nos clans, nos écoles, nos partis et nos disputes centenaires o
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
192 urrait opposer, plutôt que la taciturne réflexion romaine , la tournure d’esprit sentencieuse et synthétique de l’esprit hindou.
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
193 lais de l’élection des souverains du Saint-Empire romain de nation germanique15. J’avais conscience de la précarité de l’époqu
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
194 ments qui ont honoré l’île, des premières galères romaines jusqu’au bateau à vapeur de Sadi Carnot — monument au point où il tou
195 Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » ( Romains 8, 20-24). Fin mai 1934 Nous mangeons les premiers légumes du j
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
196 êtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre maison, c’est le rocher, l
197 uleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines , A… qui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses odeurs et la s
198 Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » ( Romains 8, 22-24.) Parler de la Nature comme le firent tant de romantiques, e
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
199 rer le public quand passe le film des funérailles romaines . Quelque chose vibre dans l’obscurité, des régions endormies de la co
200 à celui qui dut marquer la décadence de l’Empire romain . Mais de ce vide naît un appel. Et cet appel à une communauté nouvell
201 dit « catholique » mais qui, en fait, est surtout romaine , quand elle n’est pas de connivence avec tels pouvoirs établis en Eur
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
202 ave. Personne ne bronche — Alain, Gide, Pontigny, Romains  — qui devraient cependant faire respecter la littérature à travers un
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
203 de bonne volonté », répétant sans scrupules avec M. Romains une grave erreur de traduction. Car l’Évangile dans le texte original
92 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
204 e, par la notion grecque d’individu, par le droit romain , par le culte de la vérité objective, et malgré le nationalisme. Hitl
93 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
205 nt autant de mal aux Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur avaient fait du bien. Partout, l’on vit au co
206 ement mystique s’éteindre au sein du catholicisme romain , tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs faisait
94 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
207 itariens, théosophes, spiritualistes, catholiques romains , protestants épiscopaux, presbytériens, pentecôtistes, méthodistes, l
208 genoux devant l’autel, vous vous croirez chez les Romains , mais vous serez chez les anglicans si l’officiant est en surplis, ou
95 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
209 e, par la notion grecque d’individu, par le droit romain , par le culte de la vérité objective, et malgré le nationalisme. Hitl
96 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
210 e protestant leur convient aussi peu que celle de romain , surtout au premier. Que nous reste-t-il ? 2° On ne peut déduire de c
211 et la France. L’Espagne et l’Italie, profondément romaines , n’ont pas produit de nos jours de grands écrivains catholiques, et,
97 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
212 on unité. Marathon, Salamine, la défense du limes romain , les champs Catalauniques, les croisades, Nicopolis, Lépante… Noms pr
213 tation fondamental et brusque, traduite en termes romains d’institutions, de droit nouveau. De même, la passion en amour est u
214 ienne, mais combinée avec des notions grecques et romaines de mesure individuelle et d’organisation collective. Ces trois idées-
98 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
215 iens Hindous, les Sumériens, les Égyptiens et les Romains , si nos ancêtres européens eux-mêmes avaient déclaré en leur temps :
99 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
216 iens Hindous, les Égyptiens, les Sumériens et les Romains , si les Occidentaux eux-mêmes avaient déclaré en leur temps : point d
100 1953, Articles divers (1951-1956). Des conciles à la bombe atomique ou la fin dans le commencement (janvier 1953)
217 ptions tracent les résultantes des apports grecs, romains , juifs et chrétiens, bi- et multilatéralement antagonistes. L’Europe