1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 plus secrète. Vers l’est, des collines fluides et roses . De l’autre côté, c’est le vide, où s’en vont lentement les eaux et l
2 es. Le long de l’Arno, les façades sont jaunes et roses près de l’eau, puis perdent dans la nuit leurs lignes graves. Toutes
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
3 ement dissimulé. Vers 1 heure, elle éclaira d’une rose caresse lumineuse la chevelure rouge d’Urbain, et son nez, lequel, pa
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
4 s le Cœur gros, c’était un parc avant l’orage, le rose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Et dans la Maladè
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
5 e fois de plus, Cocteau a comprimé des pétales de roses dans du cristal taillé, selon toutes les règles de l’art, mais que l’
6 l’art, mais que l’essence obtenue, si elle est de rose , est sans parfum.   (Tout de même, Cocteau est un poète : j’en verrai
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 dre un personnage épisodique : « Il confondait la rose et la pivoine, l’orange et l’ananas… »). Une telle œuvre, dense, sans
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
8 e du cinéma, c’est, par exemple, l’éclosion d’une rose , un homme qui court au ralenti, certaines coïncidences de mouvements…
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
9 es fleurs de son enfance, une églantine, quelques roses , un sourire qui perce le cœur sur les glaces du passé. Cet abandon au
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 Miniato ou de Fiesole, il peint Florence avec des roses et des jaunes jamais mièvres, sous l’œil méfiant des fascistes qui le
11 autre encore : cette fois-ci c’est un Evard : des roses noires sur une table, dans un espace bizarrement lumineux où se coupe
12 mystère. Que va-t-il se passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de quel occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez ce qu
9 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
13 absurdité d’un semblable système. » Musset. Une rose et un journal oubliés sur le marbre vulgaire d’une table de café. Je
14 plus d’ennui. J’essayai donc de rêver. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensa
15 r. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle ro
16 (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle rose .) Le tambour livra un homme élégant et tragique, qui se tint un momen
17 n robe rouge, et très fardée. Elle jouait avec la rose . Les dés roulèrent, pour un dernier enjeu. Alors la femme lança sur l
18 er enjeu. Alors la femme lança sur la table cette rose qui s’effeuilla sur les dés, et partit d’un long rire. Elle me regard
10 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
19 de fleurs. C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets dans la rue de Carinthie. Gérard lui paya quelques œil
20 e de Clam-Clamannsfeld dont le manteau de velours rose laissait découvertes des jambes extrêmement hautes tandis que sa tête
11 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
21 bien nous allons partir l’air s’entrouvre un feu rose éclôt voici ton heure au regard le plus pur je suis à toi dans le tri
12 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
22 e minuscule voiture. Déjà nous traversons la nuit rose et violette de Montparnasse. Là, l’insondable lubie d’un agent nous i
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
23 geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses . Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
24 écor en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier
25 en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des roses . Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
26 que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
27 roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
28 massées tout autour, frileuses dans leurs dessous roses , les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
29 i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
15 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
30 joujoux ; et l’on continua d’apprendre rosa : la rose , d’admirer le Parthénon et le courage de Mucius Scevola. On croyait a
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
31 couleurs, la lumière du soleil, les dessins, les roses , les lèvres rouges des filles, tout était surprenant, même le sang ca
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
32 de fleurs. C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets rue de Carinthie. Gérard lui paya quelques œillets rou
33 chesse de Clam-Clammansfeld en manteau de velours rose , dont la tête frisée jetait des insolences sur les chapeaux noirs de
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
34 ymbolique. Hofmannsthal Un aquarium de lumière rose où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
35 ’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de roses sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
36 geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses . Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
37 it, un décor en pierre brune peu solide, rongé de roses Crimson. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier co
38 en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des roses . Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
39 que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses Crimson sentent le
40 roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses Crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
41 massées tout autour, frileuses dans leurs dessous roses , les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
42 i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
43 te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes, roses , verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
44 parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen
45 out ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
46 s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de roses . Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
47 jours, les hôtes d’une immense demeure en briques roses et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
48 igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses . À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
22 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
49 e minuscule voiture. Déjà nous traversons la nuit rose et violette de Montparnasse. Là, l’insondable lubie d’un agent nous i
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
50 e. Hugo von Hofmannsthal. Un aquarium de lumière rose où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
51 ’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de roses sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
52 geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses . Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
53 it, un décor en pierre brune peu solide, rongé de roses crimson. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier co
54 en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des roses . Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
55 que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
56 roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
57 massées tout autour, frileuses dans leurs dessous roses , les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
58 i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
59 s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de roses . Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
60 jours les hôtes d’une immense demeure en briques roses et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
61 igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses . À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
62 te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes, roses , verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
63 parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen
64 out ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
65 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
66 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argent et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées tr
67 mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
68 es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
69 des murs couleur du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
70 e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com
29 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
71 : il n’a pas d’âge. Sa barbe blanche et ses joues roses , son grand front d’humaniste et ses yeux vifs de Méditerranéen lui co
30 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
72 t à nous. « … on les voit sortir des bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des goutte
73 es bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaqu
74 e du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose , avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des soul
31 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
75 en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
76 s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
32 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
77 te maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses , elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
33 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
78 le libellé, la brochure impondérable, le papillon rose . J’ai toujours pensé que c’étaient là les armes de l’esprit contre le
34 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
79 t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
80 us claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.   M
81 us belles crevettes, grosses comme le doigt, d’un rose sombre, aux longues antennes grenat. — On cuit les crevettes toutes v
82 devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. — Et nous, nous n’avons plus la même patience,
35 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
83 de marchande ambulante. « Elle brillait comme une rose sauvage. » Il s’arrête. « Tu me regardes comme si j’étais une bête cu
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
84 s claires et propres, tapissées de glycines et de roses trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
85 le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses . 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
86 t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
87 us claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
88 dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un rose sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
89 es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses , et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
90 dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
91 devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
92 en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
93 s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
94 te maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses , elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
38 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
95 que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux Roses Le meilleur point de départ nous est donné par le Roman de la Rose
96 t devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans rel
97 idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rh
98 Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’op
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
99 que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux Roses Le meilleur point de départ nous est donné par le Roman de la Rose
100 t devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans rel
101 idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rh
102 Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’op
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
103 que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux roses Le meilleur point de départ nous est donné par le Roman de la Rose
104 t devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans rel
105 idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rh
106 Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’op
41 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
107 us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de roses rouges que V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio, da
42 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
108 vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de roses et des blés aux bords du plateau de la Brie. Je montais vers Périgny
109 n de la route sentait plus fort que les champs de roses , et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard,
43 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
110 vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de roses et des blés, au bord du plateau de la Brie. Je montais vers Périgny p
111 n de la route sentait plus fort que les champs de roses , et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard,
44 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
112 nt à nous. « …On les voit sortir des bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des goutte
113 es bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaqu
114 e du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose , avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des soul
45 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
115 evelure blanche, les mains précieuses ou la nuque rose et violacée de Stokowsky. Par malchance, c’est au lendemain de la pre
46 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
116 rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. — « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’
117 ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le rose et le doré, le rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de mu
118 do de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une rose est née… et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
47 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
119 e Fou est un homme richement habillé, portant une rose à la main, et qui s’arrête au bord d’un précipice pour contempler l’e
48 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
120 es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
49 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
121 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
122 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
123 er leurs lampes. Une blonde platinée, en peignoir rose , ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fa
50 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
124 e vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
51 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
125 Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)c Pendant deux semaines vi
126 rs de toute officialité. Excellente idée. Genève, rose des vents de l’esprit, continuera ainsi à jouer son rôle de cité inte
127 e y souffler librement où il veut. c. « Genève, rose des vents de l’esprit », L’Illustré, Lausanne, n° 38, 19 décembre 194
52 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
128 rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
129 ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
130 edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
53 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
131 rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
132 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
133 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
134 mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
135 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
136 vaste et noire, une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
54 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
137 us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de roses rouges que V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio, da
55 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
138 vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de roses et des blés, aux bords du plateau de la Brie. Nous montions vers Péri
139 n de la route sentait plus fort que les champs de roses , et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Mars 1940 Entr
56 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
140 ierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses , à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… L
57 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
141 er sur les quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
58 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
142 us. Que sert de comparer ? Quel sens ? Il y a des roses dans les ruines. Des enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
59 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
143 rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
144 . Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
60 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
145 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
146 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
147 mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
61 1946, Journal des deux mondes. Virginie
148 e vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
62 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
149 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
150 rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
151 ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
152 edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
63 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
153 es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
154 des murs couleur de temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
155 s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de roses . Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
156 jours, les hôtes d’une immense demeure en briques roses et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
157 igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses . À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
158 symbolique. Hofmannsthal. Un aquarium de lumière rose où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
159 ’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de roses sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
160 geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses . Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
161 écor en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier
162 en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des Roses . Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
163 que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des Roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
164 Roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
165 massées tout autour, frileuses dans leurs dessous roses , les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
166 i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
167 te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes, roses , verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
168 parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses grimpantes. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzo
169 out ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
170 s claires et propres, tapissées de glycines et de roses trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
171 le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses . 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
172 t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
173 us claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
174 dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un rose sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
175 es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses , et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
176 dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
177 devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
178 en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
179 s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
180 te maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses , elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
181 us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de roses rouges envoyée par V. O. pour notre installation dans ce studio que G
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
182 vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de roses et de blés, aux bords du plateau de la Brie. Nous montions vers Périg
183 n de la route sentait plus fort que les champs de roses , et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Début de mars 194
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
184 ierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses , à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… L
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
185 er sur les quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
186 us. Que sert de comparer ? Quel sens ? Il y a des roses dans les ruines. Des enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
187 rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
188 . Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
189 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
190 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
191 mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
192 e vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
193 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
194 rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! — C’est mo
195 ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
196 do de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
197 rac empilé tout autour. L’homme porte une chemise rose bâillant sur sa poitrine velue, et un large chapeau de cow-boy. Il es
198 de brique rouge et de brique jaune, des lessives roses et bleues devant le dernier étage, un trapèze de ciel brillant. Les c
199 es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
200 des murs couleur du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
80 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
201 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordue par
81 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
202 er sur les quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
203 . Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
82 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
204 s sourcilières étrangement élevées, un énorme nez rose , des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes de ch
83 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
205 evelure blanche, les mains précieuses ou la nuque rose et violacée de Stokowsky. Par malchance, c’est au lendemain de la pre
84 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
206 s sourcilières étrangement élevées, un énorme nez rose , des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes de ch
85 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
207 e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com
86 1948, Suite neuchâteloise. VII
208 e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com
87 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
209 e grelots, mais le décor est italien. (Et ce même rose très pâle et un peu mauve des cotonnades, que je n’avais encore vu qu
210 On entend le frottement des pieds nus, des saris roses , violets, vert assourdi. Des yeux brillent dans les portes sombres. Ç
211 de de racines grises formant le tronc, des fleurs roses et violettes, piquées en ex-voto. Devant moi, quelques marches condui
88 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
212 es des privilégiés du régime, le palais de marbre rose de l’ambassade de l’URSS, seul battant neuf parmi les ruines. Les tan
89 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
213 es des privilégiés du régime, le palais de marbre rose de l’ambassade de l’URSS, seul battant neuf parmi les ruines. Les tan
90 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
214 sommets, de glaciers. Un mont tout blanc ou tout rose , au gré du soleil, mais dont l’appel muet fait battre le cœur, même d
91 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
215 peignent en vert, mais plusieurs en violet ou en rose . Quelques-uns restent rouges, et l’on peut se demander s’ils n’ont ri
92 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
216 en rouge vif, les franges sud-est de l’Europe en rose , et l’URSS en quadrillé rouge et blanc. Quant à l’Asie et à l’Afrique
217 nt la plupart des grandes villes, quelques taches roses et, sporadiquement, des stries plus ou moins serrées. Le Japon s’est
93 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
218 crépuscule. Le moteur extérieur à droite, son nez rose à travers l’aura sombre de l’hélice. L’aluminium des ailes luit dans
219 ment vient de plonger l’avant dans l’illumination rose orangé des derniers rayons de soleil, et les bords des plaques riveté
94 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
220 ules antiques. Beauté de Paestum enlisée dans les roses et la malaria. Préservons ces réduits pervers. Tous les siècles de no
95 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
221 en rouge vif, les franges sud-est de l’Europe en rose , et l’URSS en quadrillé rouge et blanc. Quant à l’Asie et à l’Afrique
222 nt la plupart des grandes villes, quelques taches roses et, sporadiquement, des stries plus ou moins serrées. Le Japon s’est
96 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
223 bituel de leur troupe, charmées par la beauté des roses et par le bruit des flots. Europé elle-même portait une corbeille d’o
224 mais la princesse, cueillant à pleines mains les roses resplendissantes à la couleur de flamme, attirait parmi elle les rega
225 de voir L’Océan monstrueux qui baise ses pieds roses . Seul, Leconte de Lisle retrouve un peu de l’accent d’Horace, dans l
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
226 bituel de leur troupe, charmées par la beauté des roses et par le bruit des flots. Europé elle-même portait une corbeille d’o
227 mais la princesse, cueillant à pleines mains les roses resplendissantes à la couleur de flamme, attirait parmi elles les reg
228 te de voir L’Océan monstrueux qui baise ses pieds roses . Seul, Leconte de Lisle retrouve un peu de l’accent d’Horace, dans l
98 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
229 es forêts sauvages, mouchetées d’arbres rouges et rose pourpre d’une intensité de couleur que je n’ai jamais vue ailleurs. A
99 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
230 irréel. Le paysage s’éteignait. Un dernier sommet rose feu disparut derrière un talus, puis le talus devint la nuit, et le m
100 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
231 sans aucun doute possible. Ne fût-ce que par ces roses un peu gris que je me rappelle, qui s’exagèrent sans doute dans mon s