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parfums à peine sensibles, bruissement vague des
roseaux
aux feuilles sèches… Puis la brume est venue comme une envie de somme
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n printemps liquide et glacé, balançant parmi les
roseaux
d’une baie ses poules d’eaux noires. Il y fallait cette féminité ingé
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gtemps se mêlent à la terre et filtrent entre les
roseaux
. » (L’Immoraliste.) Près de ces eaux, ma vie sentimentale est née. Et
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gues vagues limoneuses accablent sans relâche les
roseaux
de la baie. Des nuées menaçantes courent très bas, tirant des pluies
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t en repartant sur les sentiers obscurs, vers les
roseaux
, qu’avant le rendez-vous ce qui l’avait rejoint, c’était cette chose
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nsuite et devient insurmontable ; comme un faible
roseau
, arrêté dans le courant d’un fleuve, produit à la fin un amoncellemen
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« obstacle imperceptible » au mal, et ce « faible
roseau
» qui arrête le courant. Je dis que la condition de cette victoire, c
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nsuite et devient insurmontable ; comme un faible
roseau
, arrêté dans le courant d’un fleuve, produit à la fin un amoncellemen
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« obstacle imperceptible » au mal, et ce « faible
roseau
» qui arrête le courant. Je dis que la condition de cette victoire, c
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nsuite et devient insurmontable ; comme un faible
roseau
, arrêté dans le courant d’un fleuve, produit à la fin un amoncellemen
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« obstacle imperceptible » au mal, et ce « faible
roseau
» qui arrête le courant. Je dis que la condition de cette victoire, c
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sait du tunnel dans une plaine de marécages et de
roseaux
géants, coupée de canaux et de digues, enjambée par les arches de fer
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sait du tunnel dans une plaine de marécages et de
roseaux
géants, coupée de canaux et de digues, enjambée par les arches de fer
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plus loin, à travers un vaste terrain vague, des
roseaux
, des marais, des débris et les fumées des feux qui les détruisent, li
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que le soleil couchant ait flambé les plumets des
roseaux
. Je ne pouvais m’en éloigner. C’est un marécage infini, coupé de rivi
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sait du tunnel dans une plaine de marécages et de
roseaux
géants, coupée de canaux et de digues, enjambée par les arches de fer
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plus loin, à travers un vaste terrain vague, des
roseaux
, des marais, des débris et les fumées des feux qui les détruisent, li
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que le soleil couchant ait flambé les plumets des
roseaux
. C’est un marécage infini, coupé de rivières et d’îlots, où les oisea
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ssé, déchirements de soie grège d’un vol dans les
roseaux
, fouillis d’instruments qui s’accordent : où sont les mots capables d
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plus loin, à travers un vaste terrain vague, des
roseaux
, des marais, des débris et les fumées des feux qui les détruisent, li
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ssieurs, veuillez considérer la phrase suivante :
roseau
, le plus faible de la nature mais c’est un roseau. Les mots sont de P
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roseau, le plus faible de la nature mais c’est un
roseau
. Les mots sont de Pascal, incontestablement. Mais je doute fort qu’il
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temps se mêlent à la terre, et filtrent entre les
roseaux
. L’Immoraliste. Près de ces eaux, ma vie sentimentale est née. Et d
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gues vagues limoneuses accablent sans relâche les
roseaux
de la baie. Des nuées menaçantes courent très bas, tirant des pluies
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vait en repartant sur le sentier obscur, vers les
roseaux
, qu’avant le rendez-vous ce qui l’avait rejoint, c’était cette chose
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temps se mêlent à la terre, et filtrent entre les
roseaux
. » (L’Immoraliste.) Près de ces eaux, ma vie sentimentale est née. E
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gues vagues limoneuses accablent sans relâche les
roseaux
de la baie. Des nuées menaçantes courent très bas, tirant des pluies
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vait en repartant sur le sentier obscur, vers les
roseaux
, qu’avant le rendez-vous ce qui l’avait rejoint, c’était cette chose