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de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la
royauté
absolue. Il eût fallu certes une imagination prodigieuse au dit sujet
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de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la
royauté
absolue. Il eût fallu certes une imagination prodigieuse au dit sujet
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endre. L’homme antique, c’est Adam dessaisi de sa
royauté
; et l’univers antique, c’est son royaume abandonné à l’anarchie. Com
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il est vrai, de toute l’évolution politique de la
royauté
absolue vers « l’État totalitaire ». Il faut ici risquer un mot sans
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ui soient transcendantes, usurpe les pouvoirs des
royautés
obscures qu’elle nous avait permis de vaincre. Elle se met à régner à
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ui soient transcendantes, usurpe les pouvoirs des
royautés
obscures qu’elle nous avait permis de vaincre. Elle se met à régner à
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ience cosmique en nous, de la conscience de notre
royauté
nécessaire et réparatrice. Il est probable que le tigre en train de d
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écèdent : on sait assez que ce fut la lutte d’une
royauté
déjà « totalitaire » contre des groupes, loyalistes il est vrai, mais
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ience cosmique en nous, de la conscience de notre
royauté
nécessaire et réparatrice. Il est probable que le tigre en train de d
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ible. Mais la révolte des « puritains » contre la
royauté
et les évêques mondanisés, n’évoque-t-elle pas la révolte des « purs
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ible. Mais la révolte des « puritains » contre la
royauté
et les évêques mondanisés, n’évoque-t-elle pas la révolte des « purs
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ible. Mais la révolte des « puritains » contre la
royauté
et les évêques mondanisés, n’évoque-t-elle pas la révolte des « purs
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é d’une pensée unique et vraiment souveraine : la
royauté
dans son état naissant. Je me souviens. J’allais m’asseoir au temple,
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et social. Les cadres traditionnels subsistent —
royauté
, hiérarchies sociales — mais il s’y introduit un contenu socialiste.
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ience cosmique en nous, de la conscience de notre
royauté
nécessaire et réparatrice. Il est probable que le tigre en train de d
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é d’une pensée unique et vraiment souveraine : la
royauté
dans son état naissant. Je me souviens. J’allais m’asseoir au temple,
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ope reine du monde avant 1914, mais perdant cette
royauté
à la suite de deux guerres provoquées par ses propres nationalismes.
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ien moins progressiste à cet égard.) C’est que la
royauté
, dans ces nations, n’est plus sacrée mais respectable et respectée. E
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une dizaine. Il y a, tout d’abord, la perte de la
royauté
mondiale qu’exerçait l’Europe, sans conteste, sur la planète entière
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ventualités sont possibles : celle d’une nouvelle
royauté
pacifique de l’Europe sur toute la planète, si nous savons à temps no
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rmis de passer du « petit cap de l’Asie » à cette
royauté
longtemps incontestée — et qui peut renaître demain sous d’autres for
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re, mais elle pressent déjà la perte de sa longue
royauté
mondiale. Déjà le communisme lui dispute non seulement en Asie et en
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u monde agrandi par les découvertes ibériques. Sa
royauté
universelle, incontestée, n’est menacée que par les Turcs à l’extérie
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L’antiquité classique eut des républiques et des
royautés
municipales, des confédérations de républiques locales, des empires ;
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écèdent : on sait assez que ce fut la lutte d’une
royauté
déjà « totalitaire » contre des groupes, loyalistes il est vrai, mais
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et social. Les cadres traditionnels subsistent —
royauté
, hiérarchies sociales — mais il s’y introduit un contenu socialiste.
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t le nom d’une fonction, puis d’un fief. Sous les
royautés
absolues, ils ne seront plus guère que des distinctions distribuées à
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re, mais elle pressent déjà la perte de sa longue
royauté
mondiale. Déjà le communisme lui dispute, non seulement en Asie et en
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rmis de passer du « petit cap de l’Asie » à cette
royauté
longtemps incontestée — et qui peut renaître demain sous d’autres for
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rtains d’une présence sacrée : dogmes, liturgies,
royauté
, et tous les ordres de la société. Pourquoi donc, et comment, la ques
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re, mais elle pressent déjà la perte de sa longue
royauté
mondiale. Déjà le communisme lui dispute, non seulement en Asie et en
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évolution, c’est que, bien loin de rompre avec la
Royauté
, elle a réalisé l’idée royale de l’État. Marx64 a montré tout comme T
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s Ier, au début du xvie siècle, transférait à la
royauté
l’attribut impérial et romain de la maiestas. Or, cette majesté stato
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cela suppose un État-dieu, non pas service. De la
royauté
de l’État participent ceux qui le représentent aux différents niveaux
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on va le voir. 1°. Constant ne se rallie pas à la
royauté
mais à la Charte, quelque peu libérale, publiée tôt après le retour e
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et social. Les cadres traditionnels subsistent —
royauté
, hiérarchies sociales — mais il s’y introduit un contenu socialiste.
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’a expliqué M. Diez del Corral, a toujours eu une
royauté
unique, décidée à tout unifier par la force et par la ruse. C’est vra
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er par la force et par la ruse. C’est vraiment la
royauté
française qui a fait la France, sans jamais obtenir, je crois, le lib