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t prolongeant pour lui, d’une façon obsédante, le
rythme
de la guerre. Du moins a-t-il ainsi évité le choc fatal pour tant d’a
2
d’une fatigue immense. Nous voyons se fausser le
rythme
des jours et des nuits à mesure que se développe une civilisation méc
3
ranscrite en brèves notations lyriques suivant le
rythme
d’un songe, sans cesse brisé par les élans alternés ou confondus du d
4
iolence et de volupté », je me sens envahi par un
rythme
impérieux au point qu’il faut que certaines voix en moi taisent leur
5
palpitation de vie anime ce livre et lui donne un
rythme
tel qu’il s’accorde d’emblée avec ce qu’il y a de plus bondissant en
6
et qu’il trouve une sorte d’unité vivante dans le
rythme
des désirs jamais simultanés de ses petits héros. M. Spitz cherche à
7
e de sincérité les retient d’imposer aux héros ce
rythme
volontaire par lequel un Balzac les fait vivre. Ce serait fausser que
8
res, ses visions. Un critique qui n’épouse pas le
rythme
d’une œuvre, mais s’avance à sa rencontre armé de l’appareil à frigor
9
iplines ; de la diversité des besoins ; enfin des
rythmes
naturels de l’esprit humain, qu’il se trouve que le Créateur n’a poin
10
iplines ; de la diversité des besoins ; enfin des
rythmes
naturels de l’esprit humain, qu’il se trouve que le Créateur n’a poin
11
s, une fanfare de paysans bleu de roi joue sur un
rythme
impeccable, avec toujours les mêmes notes fêlées et l’accompagnement
12
la maturité de Hölderlin est à chercher dans leur
rythme
seulement, — si ces mots séparés par des suites de points ne lui serv
13
gestes sont gouvernées par la seule logique d’un
rythme
constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de s’abandonne
14
i donnent le vertige, et dont soudain se cabre le
rythme
, avant la chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-là,
15
ndée de nuit. J’essayais de penser par-dessous le
rythme
obstiné de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en ex
16
chez M. Du Bos. Et dans l’allure des phrases, le
rythme
même de sa pensée. Parfois certes, un peu gêné par la lenteur de cert
17
plus de 600 pages dans l’édition française — d’un
rythme
plus inégal aussi, il ne lui est pas inférieur par l’intérêt humain,
18
dessin se simplifiera jusqu’au schème unique, le
rythme
se précipitera jusqu’à l’explosion, l’histoire se purifiera jusqu’au
19
Rimbaud, et d’autre part le contraste absolu des
rythmes
, vont se traduire dans la similitude des conclusions éthiques et dans
20
stres, de glaces et d’acajous polis. On entend le
rythme
assourdi, mais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui
21
dre sur un visage décontenancé, et jusque dans le
rythme
d’une respiration, l’envahissement de cette dure connaissance ! Elle
22
gestes sont gouvernées par la seule logique d’un
rythme
constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de s’abandonne
23
i donnent le vertige, et dont soudain se cabre le
rythme
, avant la chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-là,
24
ndée de nuit. J’essayais de penser par-dessous le
rythme
obstiné de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en ex
25
s, une fanfare de paysans bleu de roi joue sur un
rythme
impeccable, avec toujours les mêmes notes fêlées et l’accompagnement
26
tion favorise la circulation du sang, amplifie le
rythme
des marées qui baignent nos membres. J’ai connu peu de joies plus hau
27
unité foncière de la nature même des choses. Le
rythme
perpétuellement syncopé du travail et du loisir, créé par l’économie
28
ie citadine, ici s’apaise et laisse percevoir les
rythmes
naturels, l’ample respiration élémentaire. Je ne défendrai pas les
29
stres, de glaces et d’acajous polis. On entend le
rythme
assourdi, mais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui
30
dre sur un visage décontenancé, et jusque dans le
rythme
d’une respiration, l’envahissement de cette dure connaissance ! Elle
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gestes sont gouvernées par la seule logique d’un
rythme
constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de s’abandonne
32
i donnent le vertige, et dont soudain se cabre le
rythme
, avant la chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-là,
33
ndée de nuit. J’essayais de penser par-dessous le
rythme
obstiné de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en ex
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n unité foncière de la nature même des choses. Le
rythme
perpétuellement syncopé du travail et du loisir, créé par l’économie
35
ie citadine, ici s’apaise et laisse percevoir les
rythmes
naturels, l’ample respiration élémentaire. Je ne défendrai pas les
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s, une fanfare de paysans bleu de roi joue sur un
rythme
impeccable, avec toujours les mêmes notes fêlées et l’accompagnement
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tion favorise la circulation du sang, amplifie le
rythme
des marées qui baignent nos membres. J’ai connu peu de joies plus hau
38
saut nous dresse à résister, il faudra changer le
rythme
et rectifier la tenue, bander tous les ressorts, mobiliser les cœurs…
39
Burckhardt considérant l’histoire du monde, et le
rythme
vital d’un Nicolas Manuel : c’est vers quoi je reviens, après six ans
40
se souvenir de ce qui vient ? D’où remontent ces
rythmes
de mots, cette épithète, ce nœud d’idées, où je ne reconnais rien de
41
au carrefour d’autres destins croisés, soudain le
rythme
change en nous aussi, rompant la prévision, cette inertie.) Dix jours
42
j’agis », et il trouve dans l’acte sa mesure, son
rythme
et sa joie. Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journé
43
t 8 heures de loisir est une dérision brutale des
rythmes
créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un conflit abs
44
ue page. Toute une vie de femme se déroule sur un
rythme
large à travers une humanité vivement contrastée, et des paysages bai
45
ue page. Toute une vie de femme se déroule sur un
rythme
large à travers un peuple de personnages vivement contrastés, et des
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temps de la création qui naît de l’acte, c’est le
rythme
imprimé à l’action générale par cette apparition qui s’y insère. C’es
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en partant d’un donné très réduit et de quelques
rythmes
lyriques, son style est large, ses périodes font la roue. Mais il se
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j’agis », et il trouve dans l’acte sa mesure, son
rythme
et sa joie. Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journé
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t 8 heures de loisir est une dérision brutale des
rythmes
créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un conflit abs
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j’agis », et il trouve dans l’acte sa mesure, son
rythme
et sa joie. Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journé
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t 8 heures de loisir est une dérision brutale des
rythmes
créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un conflit abs
52
ce documentaire authentique, et il en a saboté le
rythme
. Dès qu’il part dans l’idéologie, la critique d’art ou l’érotisme (ef
53
(il y en a de beaucoup plus longues). Un certain
rythme
monotone entraîne une matière vocabulaire disparate, faite de grandil
54
et de fécondes coïncidences est plus conforme aux
rythmes
de l’esprit créateur que le détachement méditatif du clerc parfait —
55
et le rédime puisqu’il lui rend une Mesure et un
rythme
en le liant au destin personnel. Ainsi l’acte absolu serait création
56
mpagnés par le roulement monotone des tambours au
rythme
lent, deux coups très espacés, trois coups espacés… Du plafond pendai
57
s, d’un paysage et d’un ensemble de coutumes. Les
rythmes
du temps s’y inscrivent aussi bien que l’allure des pentes. « D’où ce
58
harmonie avec ces formes, et son langage avec les
rythmes
qu’elles traduisent. ⁂ Une forme, une image vivante : est-ce extérieu
59
amuz. On a pu croire qu’il n’avait pas le sens du
rythme
: c’est qu’il veut le rythme formé sur la nature des choses qu’il évo
60
avait pas le sens du rythme : c’est qu’il veut le
rythme
formé sur la nature des choses qu’il évoque, non point sur les modèle
61
e au bon moment ses vérités inactuelles. De là le
rythme
singulier de sa production ; de là ses nombreux masques et pseudonyme
62
e plus en plus rigoureusement centralisé. Seul le
rythme
de l’étatisme n’a pas été partout le même. Dans les démocraties bourg
63
verbe, désignant ce geste, appelle une phrase, un
rythme
d’actes concertés. Ainsi l’homme se trouve mis « en communication ave
64
ndre un à un ces tumultueux considérants, dans un
rythme
plus détendu. ⁂ J’ai constaté l’existence d’un problème : le problème
65
de contemporain. Son mécanisme est simple, et son
rythme
constant. La raison joue le rôle d’une force d’émancipation tant qu’e
66
gent de préciser qu’une pensée qui s’abandonne au
rythme
de ses mécaniques, proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une te
67
nsées ou des passions, contre le style, contre le
rythme
singulier qui trahit en chacun de nous la lutte ouverte de la vie et
68
ut, dont la nature commande le choix des mots, le
rythme
, les figures. Que chaque phrase implique ce but, et le désigne par so
69
ndre un à un ces tumultueux considérants, dans un
rythme
plus détendu. ⁂ J’ai constaté l’existence d’un problème de la culture
70
de contemporain. Son mécanisme est simple, et son
rythme
constant. La raison joue le rôle d’une force d’émancipation tant qu’e
71
gent de préciser qu’une pensée qui s’abandonne au
rythme
de ses mécaniques, proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une te
72
nsées ou des passions, contre le style, contre le
rythme
singulier qui trahit en chacun de nous la lutte ouverte de la vie et
73
ut, dont la nature commande le choix des mots, le
rythme
, les figures. Que chaque phrase implique ce but, et le désigne par so
74
îner nécessairement l’indépendance croissante des
rythmes
de production et de consommation.) Et c’est la guerre de 1914. Cet in
75
reprises, les retours, elle s’accorde très mal au
rythme
de la réflexion spontanée, qui est « péguyste » et non « classique ».
76
doute pas réglé pour faire tourner l’appareil au
rythme
normal. Tout le monde a l’air très content, bien que le film m’appara
77
que la voiture. Mais aussi elle tient compte des
rythmes
de la vie locale, du calendrier des marées, de l’heure matinale des f
78
des partis pris, devenait légendaire, prenait le
rythme
et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Menson
79
être à cause du bonheur de notre vie. Trouver son
rythme
naturel, et les moyens de s’y réduire, voilà le but de toute morale c
80
and fracas de moteurs et de règlements de fer les
rythmes
de cette île et de ces vies ? 3 avril La solitude est une jeunesse.
81
e, et déjoue toutes les conventions. Surtout, un
rythme
merveilleux de souplesse, d’imprévu et d’aisance, entretient tout au
82
ans mettront en œuvre : il n’y manque rien que le
rythme
, c’est-à-dire la part libre du génie, de l’imagination fabulatrice. E
83
que la voiture. Mais aussi elle tient compte des
rythmes
de la vie locale, du calendrier des marées, de l’heure matinale des f
84
timent de la journée vide, du temps qui a pris le
rythme
des vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie nuit noire et muette
85
u’au moment où l’imagination, ranimant les grands
rythmes
naturels, libérant les vertus et les vices des entraves du respect hu
86
c le diable, vient mourir dans la nuit de Noël au
rythme
familier des marteaux de la forge rebâtie. Les Cavaliers, « appelés à
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être à cause du bonheur de notre vie. Trouver son
rythme
naturel, et les moyens de s’y réduire, voilà le but de toute morale :
88
Enfin, n’est-il point trop facile de trouver son
rythme
de vie dans les conditions somme toute artificielles où mon chômage m
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e pas assez fort pour faire tourner l’appareil au
rythme
normal. Tout le monde a l’air très content, bien que le film m’appara
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and fracas de moteurs et de règlements de fer les
rythmes
de cette île et de ces vies ? 1er mars 1934 Minimum vital. — I
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que la voiture. Mais aussi elle tient compte des
rythmes
de la vie locale, du calendrier des marées, de l’heure matinale des f
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pris, devenait légendaire et généreux, prenait le
rythme
et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Menson
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reprises, les retours, elle s’accorde très mal au
rythme
de la réflexion spontanée, qui est « péguyste » et non « classique ».
94
la coutume des autocars, toujours révélatrice des
rythmes
du pays. Pauvreté de tous ces villages ! Et sur les routes, quelles a
95
ge. Pays sans harmonie, sans lien profond et sans
rythme
unanime, et qui ne parvient plus à s’expliquer que dans une pauvre pr
96
ue, mais de la saveur des sons et de la force des
rythmes
. S’ils tolèrent ces radios, c’est sûrement pour la même raison qui fa
97
ense « mystification » de l’instinct faussant ses
rythmes
naturels, invertissant sa direction, exaltant le « désir de mort », d
98
t c’est par là que cette passion se détachait des
rythmes
du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’éte
99
ites filles ou très jeunes garçons3. Mais déjà le
rythme
de ces chants — une phrase, puis un silence pendant quatre pas — nous
100
aussi que l’on chantait mieux que naguère, sur un
rythme
moins alangui. Le pasteur a parlé de l’héroïsme. Le héros chrétien n’
101
la boue, maintenus au sol et humiliés… » Quelques
rythmes
de tambour lugubres en sourdine. « Le Peuple était divisé, égaré… » O
102
saut nous dresse à résister, il faudra changer de
rythme
et rectifier la tenue, bander tous les ressorts, mobiliser les cœurs…
103
de là vient sa puissance apparente, sa furia, son
rythme
dionysiaque. ⁂ Or si le don juanisme est une passion de l’esprit et n
104
e des fêtes sacrales organisées par le Führer, au
rythme
lent et envoûtant des défilés et des tambours pendant des heures… On
105
concevoir à nouveau, si l’on veut entrer dans ces
rythmes
, goûter ce vocabulaire, et dégager le pittoresque enfoui sous des ama
106
Dieu », de recenser les objets et les formes, les
rythmes
et les lois cosmiques, afin de les parfaire par le Verbe et, finaleme
107
otre monde est-il encore formulable en noms et en
rythmes
? La science moderne ne tend-elle point à nous le rendre proprement i
108
volontiers que c’est parades et bottes, fanfares,
rythmes
virils, flatteuses géométries garantissant l’ordre social contre le m
109
terminé. Mois heureux, où le temps s’écoulait au
rythme
même de l’œuvre en marche. L’accord du musicien et de l’auteur était
110
it dans la vie quelque chose de tout étranger aux
rythmes
de l’attrait sexuel : un désir qui ne retombe plus, que plus rien ne
111
té »33. Diez a montré des ressemblances de forme (
rythmes
et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est
112
ns l’allure extérieure des personnages, dans leur
rythme
. On imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots, prêt à bondir qu
113
printemps ! 16.Intériorisation du mythe Le
rythme
intime du romantisme allemand, la diastole et la systole de son cœur,
114
français. Ici, les données sont les mêmes mais le
rythme
est moins ample et l’esprit va trop vite au but. La France de la Révo
115
t c’est par là que cette passion se détachait des
rythmes
du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’éte
116
. — Que dis-tu ? — Demain la guerre. (Batterie,
rythme
de tambours, qui se prolongent durant les répliques suivantes.) Sc
117
it dans la vie quelque chose de tout étranger aux
rythmes
de l’attrait sexuel : un désir qui ne retombe plus, que plus rien ne
118
té33 ». Diez a montré des ressemblances de forme (
rythmes
et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est
119
ns l’allure extérieure des personnages, dans leur
rythme
. On imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots, prêt à bondir qu
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printemps ! 16.Intériorisation du mythe Le
rythme
intime du romantisme allemand, la diastole et la systole de son cœur,
121
français. Ici, les données sont les mêmes mais le
rythme
est moins ample et l’esprit va trop vite au but. La France de la Révo
122
t c’est par là que cette passion se détachait des
rythmes
du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’éte
123
humaine ses meilleures chances de durer : buts et
rythmes
de vie, vocations comparées, caractères et tempéraments. Si l’on veut
124
it dans la vie quelque chose de tout étranger aux
rythmes
de l’attrait sexuel : un désir qui ne retombe plus, que plus rien ne
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é »26. Diez a montré des ressemblances de formes (
rythmes
et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est
126
ns l’allure extérieure des personnages, dans leur
rythme
. On imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots, prêt à bondir qu
127
printemps ! 16.Intériorisation du mythe Le
rythme
intime du romantisme allemand, la diastole et la systole de son cœur,
128
français. Ici, les données sont les mêmes mais le
rythme
est moins ample et l’esprit va trop vite au but. La France de la Révo
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t c’est par là que cette passion se détachait des
rythmes
du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’infini, c’est l’éte
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humaine ses meilleures chances de durer : buts et
rythmes
de vie, vocations comparées, caractères et tempéraments. Si l’on veut
131
e être défini séparément — style, sujets abordés,
rythme
, idées ou lyrisme —, mais bien plutôt c’est la complexité secrètement
132
e que celle de l’œuvre : il faudrait s’imposer un
rythme
égal et sans lacunes, une relation automatique et monotone des petits
133
voici que soudain, un « à venir » m’est rendu, un
rythme
heureux du temps, pour vingt-quatre heures, une plénitude de l’attent
134
plus tard, sans doute, mais c’est encore le même
rythme
de vie — vient mêler sa guirlande à mes images, comme la devise du ta
135
sa vie ? Peut-être à la recréation d’une unité de
rythme
et de vision au sein d’un monde qui perdait ses mesures. Et quand le
136
actuels vont vite. Il s’agit de les précéder. Un
rythme
accéléré d’actions et de décisions est la condition primordiale de to
138
tifs auxquels il cède en choisissant tel mot, tel
rythme
ou tel accent ; et de quel insondable imbroglio cette petite phrase t
139
nous ont parlé. (La naissance d’un poème ou d’un
rythme
de phrase, quelque part en nous-mêmes, nous donne une faible idée de
140
tifs auxquels il cède en choisissant tel mot, tel
rythme
ou tel accent ; et de quel insondable imbroglio cette petite phrase t
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nous ont parlé. (La naissance d’un poème ou d’un
rythme
de phrase, quelque part en nous-mêmes, nous donne une faible idée de
142
tifs auxquels il cède en choisissant tel mot, tel
rythme
ou tel accent ; et de quel insondable imbroglio, cette petite phrase
143
nous ont parlé. (La naissance d’un poème ou d’un
rythme
de phrase, quelque part en nous-mêmes, nous donne une faible idée de
144
de l’amour sans malice : c’est de former quelques
rythmes
de phrases où l’indicible jette par moments une espèce d’émotion ou d
145
s’attache à la construction statique, l’autre au
rythme
. L’esprit français tend à dégager l’essentiel, l’esprit américain à l
146
saut nous dresse à résister, il faudra changer le
rythme
et rectifier la tenue, bander tous les ressorts, mobiliser les cœurs…
147
prendre la personne. Voir des formes, épouser des
rythmes
— qu’ils soient de verbe ou de pensée — c’est percevoir les résultats
148
qu’un effort. Je lui demande d’éprouver certains
rythmes
dont l’ampleur ou l’élan propagent un pouvoir. Initiation au drame do
149
dessin se simplifiera jusqu’au schème unique, le
rythme
se précipitera jusqu’à l’explosion, l’histoire se purifiera jusqu’au
150
et chez Rimbaud, et d’autre part le contraste des
rythmes
, vont se traduire dans la similitude des conclusions éthiques et dans
151
et le rédime, puisqu’il lui rend une mesure et un
rythme
en le liant au destin personnel. Ainsi l’acte absolu serait création
152
e être défini séparément — style, sujets abordés,
rythme
, idées, anecdotes —, mais bien plutôt c’est la complexité secrètement
153
e que celle de l’œuvre : il faudrait s’imposer un
rythme
égal et sans lacunes, une relation automatique et monotone des petits
154
s, d’un paysage et d’un ensemble de coutumes. Les
rythmes
du temps s’y inscrivent aussi bien que l’allure des pentes. « D’où ce
155
harmonie avec ces formes, et son langage avec les
rythmes
qu’elles traduisent. Une forme, une image vivante : est-ce extérieur
156
amuz. On a pu croire qu’il n’avait pas le sens du
rythme
: c’est qu’il veut le rythme formé sur la nature particulière des cho
157
avait pas le sens du rythme : c’est qu’il veut le
rythme
formé sur la nature particulière des choses qu’il évoque, non point s
158
verbe, désignant ce geste appelle une phrase, un
rythme
d’actes concertés. Ainsi l’homme se trouve mis « en communication ave
159
se des fêtes sacrales organisées par le Führer au
rythme
lent et envoûtant des défilés et des tambours pendant des heures… On
160
a vie réelle – tenait l’auditeur en haleine ; son
rythme
était autorité. Les événements extraordinaires qu’il présentait, port
161
de me convaincre — au lieu de s’abandonner à son
rythme
d’images — plus j’exige un récit vraisemblable. À la limite, il serai
162
l un art délirant de fantaisie a su préfigurer le
rythme
de nos catastrophes. Les dessins animés de Walt Disney jouaient dans