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fixe ou pas-à-pas. Tout s’épanouit dans un monde
rythmé
, fusant, tournoyant, sans frontières. Eux : leurs petites moustaches
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e me ramène aux regards. Que sont tous ces gestes
rythmés
? Anday chante. Ils me voient dans la nudité du rêve, oh ! je les hai
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fixe ou pas à pas. Tout s’épanouit dans un monde
rythmé
, fusant, tournoyant, sans frontières. Eux : leurs petites moustaches
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e oublié. — « Seul et séparé », ces deux mots que
rythmait
le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal ? 24 avril 1929
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e me ramène aux regards. Que sont tous ces gestes
rythmés
? Anday chante. Ils me voient dans la nudité du rêve, oh ! je les hai
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fixe ou pas-à-pas. Tout s’épanouit dans un monde
rythmé
, fusant, tournoyant, sans frontières. Eux : leurs petites moustaches
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e oublié. — « Seul et séparé », ces deux mots que
rythmait
le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal ? 24 avril 1929
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Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil —
rythmée
d’armes martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable —
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gments émouvants du journal de Sara commentent et
rythment
le déroulement de cette légende de la vie quotidienne. Il y eut une é
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.) Des fragments du journal de Sara commentent et
rythment
le déroulement de cette légende de la vie quotidienne. Vie quotidienn
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a tribune, sous un tonnerre assourdissant de heil
rythmés
— je n’entendais plus que les cris de mes voisins sur un fond de temp
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parmi tous les chants de la terre, ont réellement
rythmé
l’action, et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Po
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parmi tous les chants de la terre, ont réellement
rythmé
l’action, et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Po
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ndescriptible majesté de ce lent paroxysme vocal,
rythmé
comme par l’avance d’une foule en marche, catastrophe ou triomphe sol
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erposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas
rythmé
qui rejoint parfois l’asymptote d’un silence mort — cette absence de
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parmi tous les chants de la terre, ont réellement
rythmé
l’action et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Poi
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épiscopal, sous un tonnerre assourdissant de heil
rythmés
. (Je n’entends bientôt plus que les cris rauques de mes voisins.) Pas
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rèves, clamées à pleine voix, entrecoupées de pas
rythmés
. Un voisin me les répète entre les dents : il est question de « notre
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mmeil même doit être mis au pas, et l’inconscient
rythmé
lugubrement. 11 mars 1936 Une cérémonie sacrée. — Trois heures
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épiscopal, dans un tonnerre assourdissant de heil
rythmés
. (Je n’entends bientôt plus que les cris rauques de mes voisins sur u
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al, quarante mille bras se lèvent, et le tonnerre
rythmé
des heil commence. Et cela dure plusieurs minutes, ce qui est très lo
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Malheur sur nous ! Nuit lugubre et sans sommeil —
rythmée
d’armes martelées — Ha ! ha ! — Meute folle, meurtrière — ô rumeur ir
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espace qui ne soit mesuré et un temps qui ne soit
rythmé
que par les lois intimes du sujet fascinant. Chaque œuvre veut et cré
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notre espoir ? Mais quel espoir, alors, pourrait
rythmer
toute la durée de notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un r
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essité vitale et créatrice des grands délires qui
rythment
notre Histoire. Le diable, admettons-le, n’est pas si court de vue. I
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essité vitale et créatrice des grands délires qui
rythment
notre Histoire. Le diable, admettons-le, n’est pas si court de vue. I
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espace qui ne soit mesuré et un temps qui ne soit
rythmé
que par les lois intimes du sujet fascinant. Chaque œuvre veut et cré
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notre espoir ? Mais quel espoir, alors, pourrait
rythmer
toute la durée de notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un r
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— Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil —
rythmée
d’armes martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable —
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e casques, de reflets sourds et de pas lourdement
rythmés
. Et, plus tard, au matin, quand l’attaque se prépare, un « à terre »
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e me ramène aux regards. Que sont tous ces gestes
rythmés
? Anday chante. Ils me voient dans la nudité du rêve, oh ! je les hai
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fixe ou pas à pas. Tout s’épanouit dans un monde
rythmé
, fusant, tournoyant, sans frontières. Eux : leurs petites moustaches
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e oublié. — « Seul et séparé », ces deux mots que
rythmait
le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal ? 24 avril 1929
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ndescriptible majesté de ce lent paroxysme vocal,
rythmé
comme par l’avance d’une foule en marche, catastrophe ou triomphe sol
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erposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas
rythmé
qui rejoint parfois l’asymptote d’un silence mort — cette absence de
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rèves, clamées à pleine voix, entrecoupées de pas
rythmés
. Un voisin me les répète entre les dents : il est question de « notre
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mmeil même doit être mis au pas, et l’inconscient
rythmé
lugubrement. 11 mars 1936 Une cérémonie sacrée. — Trois heures
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épiscopal, dans un tonnerre assourdissant de heil
rythmés
. (Je n’entends bientôt plus que les cris rauques de mes voisins sur u
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espace qui ne soit mesuré et un temps qui ne soit
rythmé
que par les lois intimes du sujet fascinant. Chaque œuvre veut et cré
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notre espoir ? Mais quel espoir, alors, pourrait
rythmer
toute la durée de notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un r
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— Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil —
rythmée
d’armes martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable —
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e casques, de reflets sourds et de pas lourdement
rythmés
. Et, plus tard, au matin, quand l’attaque se prépare, un « à terre »
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e, il est dans le jeu. Dans un état signifiant et
rythmé
. Il ne voit plus l’échelle ni le chat noir à gauche, les chevaux blan
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u cou pendant jusqu’au nombril, et d’un pagne. Il
rythmait
ses lentes et grandes enjambées en frappant le sol d’un bâton. Derriè
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émonstration d’un esprit hégélien marchant au pas
rythmé
de la dialectique — thèse, antithèse, une, deux, une, deux. C’est au
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émonstration d’un esprit hégélien marchant au pas
rythmé
de la dialectique — thèse, antithèse, une, deux, une, deux. C’est au
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appartement pour quelques jours. Une musique bien
rythmée
remplit l’étage. Je pousse des portes et me trouve dans une salle de
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parmi tous les chants de la terre, ont réellement
rythmé
l’action et vérifié l’étymologie grecque de poésie, qui est agir. Poi
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a remontée douce — et la marche plus silencieuse,
rythmée
par le sourd cliquetis des gamelles et des casques fixés aux ceinturo
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composée et jouée en 1918. La prose raboteuse et
rythmée
de Ramuz, les mélodies brisées et la percussion diabolique de Stravin
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le ballet des milliards de possibles sans relâche
rythmé
et rompu par la culture européenne. Un très grand nombre de combinais
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te lent, dans un tonnerre assourdissant de heil !
rythmés
. (Je n’entends bientôt plus que les cris rauques de mes voisins sur u