1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 issage de la guerre, dira-t-on. M. de Montherlant répondra  : non, car la faiblesse est le péché capital pour le sportif. Or c’es
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 à Sainte-Croix, mais à Aubonne. Un plein succès a répondu à cette innovation. Le sujet de la première partie des conférences, l
3 lonté de choisir. M. le pasteur Bertrand de Lyon, répondit en exposant les exigences de l’Évangile en face de la pensée moderne,
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 sombres du ciel de l’est, et une façade parfaite répond encore au couchant. San Miniato sur sa colline. Derrière nous, les ar
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
5 Un Chinois écrit d’Europe à un Français qui lui répond de Chine. Nous sommes loin du ton des Lettres persanes : le Chinois s
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 s qu’en littérature je défends l’acte gratuit, je réponds que la littérature remplirait déjà suffisamment son rôle en se bornan
7 , puis l’acceptation de toute tendance du moi, je réponds que le mensonge est sincère aussi, qui révèle mon besoin de mentir. I
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
8 image d’un couple heureux et banal, votre sourire répondant au mien, comme on voit au dénouement des films populaires et sur des
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
9 ssaie un instant de m’élever à la notion de Dieu, répond Aragon, je me révolte qu’elle puisse en aucun cas servir d’argument à
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
10 s sérieux. Le reproche est grave. Je ne saurais y répondre . Je pourrais vous dire que si vous me trouvez un peu potache, il n’es
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
11 que j’attends de ma vie. Je serais tenté de vous répondre , comme ce sympathique Philippe Soupault, que « ceci, c’est une autre
10 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
12 s-je être le seul à l’avoir entendu ? — C’est, me répondit -il, que seul vous venez d’atteindre au monde des êtres véritables. No
13 dis-je, songeant aux Amours de Vienne. — Certes, répondit Gérard, malgré les apparences, cette vie sentimentale est une des seu
14 izarres où je sais lire les signes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai o
15 ue d’Adrienne, mais dans le lointain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un ha
11 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
16 licité et il faudrait avoir la grossièreté de lui répondre d’un air connaisseur que c’est bien composé. J’avoue prendre cette au
12 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
17 par-dessus la rumeur des clients, le violoncelle répond de sa voix profonde et passionnée, sous les roulades d’un cymbalum. A
13 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
18 omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh ! répond -il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
19 et l’obligation où nous sommes tous désormais de répondre pour nous-mêmes à sa mise en demeure. Je suis loin de partager toutes
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
20 arlent ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur réponds  : 1° qu’ils ne peuvent me dénier le droit de juger ces faits ; 2° qu’
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
21 actuelle division horaire des journées… Monsieur, répondent les fonctionnaires responsables, vous savez par expérience que nous n
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
22 t dans l’esprit moderne. C’est sa façon à elle de répondre aux besoins de l’époque. Pauvre époque ! On parle sans cesse de ses b
23 exigent une organisation à outrance du monde, je répondrai que dans la mesure où cette exigence est satisfaite naît un nouveau b
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
24 ue plat : il est creux.) Si beaucoup de personnes répondent oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opinion publiqu
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
25 arlent ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur réponds  : 1° qu’ils ne peuvent me dénier le droit de juger ces faits ; 2° qu’
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
26 actuelle division horaire des journées… Monsieur, répondent les fonctionnaires responsables, vous savez par expérience que nous n
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
27 t dans l’esprit moderne. C’est sa façon à elle de répondre aux besoins de l’époque. Pauvre époque ! On parle sans cesse de ses b
28 exigent une organisation à outrance du monde, je répondrai que dans la mesure où cette exigence est satisfaite naît un nouveau b
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
29 ue plat : il est creux.) Si beaucoup de personnes répondent oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opinion publiqu
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
30 t, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
31 la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous répondre que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation 
24 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
32 hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond -il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigognes
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
33 tout cela. C’est précisément à ce sécularisme que répond M. Gabriel Marcel dans une belle conférence prononcée au Foyer des ét
34 cg nous entretient n’est l’Esprit de personne. Je répondrai tout d’abord que c’est ou que cela veut être l’Esprit de tout le mond
35 propre haine. Le séculariste « constructiviste » répondra qu’il croit en la puissance de l’homme pour se dégager des servitudes
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
36 étranger n’ait point ébranlé sa foi, la princesse répond  : « Je ne crois pas, j’espère que non ; bien qu’il soit difficile, qu
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
37 nextricable. Les Lettres au cours desquelles Gide répond à ses critiques sont tout à fait significatives à cet égard. L’on est
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
38 audet exprime son regret de ce qu’un tel titre ne réponde pas à son attente. Selon lui, c’est un « André Gide vu de Genève » qu
39 Loti. Loti est un notable écrivain protestant qui répond à ce même signalement. Et précisément il y aurait lieu à une manière
40 une intimité purement humaine : Et l’homme seul répond à l’homme épouvanté 27. Il nous manque une étude sur les critiques p
29 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
41 olisait celle de l’antique et du moderne, Kassner répondrait aujourd’hui par l’opposition de la grandeur mesurée et de l’indiscrét
30 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
42 r le jour où il vous rattrapera ; mais je ne puis répondre de la manière. Je suis parfois bien tranquille à ce sujet, parfois, q
31 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
43 . Durand-Dupont ne s’est pas fait prier pour nous répondre . Il est curieux de tout ce que font « les jeunes ». Il a été jeune, l
44 de mal à une mouche. ⁂ Des millions de gens vous répondront cela. Des millions d’hommes dont vous n’avez aucune raison de suspect
32 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
45 osophie ». André Philip, défenseur de Martin, lui répondra non sans violence : « C’est faux ! Vous faites de la théologie, et vo
46 émoin, qu’en faites-vous ? » Un seul se permit de répondre que toutes les guerres sont défensives. Quelqu’un me demandait, à la
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
47 n vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
48 yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre , car c’est une question personnelle. Une mise en question réelle. Je
49 randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à répondre qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
34 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
50 -je être le seul à l’avoir entendu ? — C’est, me répondit -il, que seul vous venez d’atteindre au monde des êtres véritables. No
51 é, dis-je, songeant aux Amours de Vienne. Certes, répondit Gérard, malgré les apparences, cette vie sentimentale est une des seu
52 izarres où je sais lire les signes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai o
53 e d’Adrienne ; mais dans le lointain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un ha
35 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
54 t, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
55 la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous répondre que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation 
56 hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond -il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigognes
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
57 omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh ! répond -il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
58 dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me répondait  : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croya
59 it que l’esprit et l’espace vivant, de nouveau se répondent , se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de
60 et Swedenborg s’accorderaient, je le crois, pour répondre . L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et
61 l semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses.
62 e lettre de l’auteur de la Rose de Thuringe. J’ai répondu  : Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l’ê
63 a misère de tous ces regards me paralyse. Comment répondre à leur hostilité, comment accueillir avec un cœur viril et bon le spe
38 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
64 mélange de hauteur, de méfiance et de gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de crainte, de colère et de gêne guère mo
65 sse justifie sa fonction dans le monde actuel, je répondrai que cela dépend après tout des possibilités qu’on lui en laisse. On,
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
66 t, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
67 la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous répondre que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation 
68 hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond -il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigogne
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
69 mélange de hauteur, de méfiance et de gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de crainte, de colère et de gêne guère mo
70 sse justifie sa fonction dans le monde actuel, je répondrai que cela dépend après tout des possibilités qu’on lui en laisse. On,
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
71 omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh ! répond -il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
72 dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me répondait  : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croya
73 it que l’esprit et l’espace vivant, de nouveau se répondent , se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de
74 et Swedenborg s’accorderaient, je le crois, pour répondre . L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et
75 l semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses.
76 uteur de la Rose de Thuringe, Pierre Girard. J’ai répondu  : « Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l
77 a misère de tous ces regards me paralyse. Comment répondre à leur hostilité, comment accueillir avec un cœur viril et bon le spe
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
78 it profonde, et chaque être présent questionnait, répondait . La force était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune
79 ue. Ils me demanderont pourquoi, je ne saurai pas répondre . Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être ? Voici longtemps qu’on a
44 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
80 e, mais tout de même reconstituante ? Des romans, répondra-t -on, sans doute. Je ne suis pas du tout de cet avis. Et je crois disti
45 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
81 sait encore plus indésirable qu’impossible. Je ne répondrai pas ici à votre accusation de fascisme, je sais trop bien que, sous l
46 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
82 s à vos paroles, chrétiens menteurs ! — et je lui répondrai  : Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
83 prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
47 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
84 sion de ce que j’écris ; il s’agit, avant que d’y répondre , de se rendre compte de ce qu’elle signifie pour celui qui me la pose
85 de ce qu’elle signifie pour celui qui me la pose. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la question, c’est un procédé élect
86 té n’est à personne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal aux questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors
87 n répond mal aux questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors qu’il eût fallu répondre à un tourment réel, mala
88 ne à répondre à leurs mots, alors qu’il eût fallu répondre à un tourment réel, maladroitement exprimé par ces mots. Mais, bien s
89 xprimé par ces mots. Mais, bien souvent aussi, on répond mal parce qu’on prend au sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes
90 action « pratique ». Ceci marqué, nous pourrons répondre plus clairement à ceux qui croient à leur question, j’entends à ceux
91 : que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à répondre , en principe. Il ne peut que renvoyer à la seule force d’où provient
48 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
92 r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répondre  ? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
93 isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens répondent  : Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
94 te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
49 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
95 présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répondre en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
50 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
96 mais cohérente et qui existe », M. Daniel Halévy répondait en montrant l’Empire colonial constitué par quelques jeunes gens arde
51 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
97 plus ou moins sympathique ; mais elle n’avait pas répondu au défi qu’ils lui adressaient. MM. Dupuis et Marc comblent aujourd’h
52 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
98 losophique homo finitus non capax infiniti, Barth répond par la formule chrétienne homo peccator non capax verbi Dei, l’homme
99 d’effrayer celui qui vient au Christ, peut seule répondre à l’angoisse humaine, tandis que l’optimisme naturiste, plongeant l’h
53 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
100 us vient des marxistes, nous nous contenterons de répondre par une citation de Lénine : La doctrine socialiste est née des théo
54 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
101 M. de Rougemont, malgré ses appels à Luc, n’a pas répondu à notre question, il fait métier d’être incapable de répondre aux que
102 otre question, il fait métier d’être incapable de répondre aux questions. Aussi quittant le ton des prophètes ajoute-t-il à l’us
55 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
103 ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous répondent  : Attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
104 hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski, s’explique simpleme
105 nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski, s’explique simplement par le fait que Tr
106 s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous répondent , avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
107 olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
108 ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
56 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
109 a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en répondre . Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
57 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
110 est un combat d’amour. Mais aimer ? C’est d’abord répondre , — c’est en même temps et c’est surtout répondre au-delà de la questi
111 répondre, — c’est en même temps et c’est surtout répondre au-delà de la question. ⁂ L’homme jeté dans la diversité de l’univers
112 révèle, et ce n’est plus la peur du sang qui lui répond , mais la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui connaî
113 rrifie les provinces autour de la cité. ⁂ Comment répondre sans quelque injustice à une question dont on ne peut saisir le sens
114 onse. Mais l’homme antique n’a pas en lui de quoi répondre à la Nature : il est lui-même une question que Dieu ne semble pas ent
58 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
115 gique 45, de Gabriel Marcel. L’un et l’autre, ils répondent au vœu que j’ai tenté de formuler. Ils s’attaquent à cette « transmut
59 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
116 ez. On vous dit : « Qu’est-ce que la personne ? » Répondez  : « Que sont ces mythes collectifs sous lesquels vous prétendez nous
60 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
117 du nécessaire. (Il y a même quelques députés.) On répondit à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du moins, sa der
61 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
118 ibre examen dans la mesure où cela le dispense de répondre d’une façon précise et autorisée aux questions des incroyants ou des
62 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
119 ême. Né dans les universités, il paraît destiné à répondre d’abord aux préoccupations des intellectuels, mais il y répond de tel
120 d aux préoccupations des intellectuels, mais il y répond de telle sorte qu’il abolit rapidement les barrières convenues entre
121 quoi les membres du Mouvement des Groupes peuvent répondre que leur œuvre se développe dans une atmosphère de franchise, d’autoc
63 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
122 oupeau. Le solitaire devant Dieu, c’est celui qui répond à la foi, cet appel. Quand on parle de romantisme, d’anarchie, d’indi
123 s ne pouvons pas tous devenir martyrs ! » Certes, répond Kierkegaard, mais il vaudrait mieux dire : « “Moi, je ne le puis pas.
64 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
124 passant que L’Ordre nouveau serait en mesure d’y répondre un peu mieux ?13 Montagnon constate le marasme. Déat fait davantage 
65 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
125 itique et tout15 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres faciles, des livres gais,
66 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
126 la devise de l’école illustrée par M. Goguel. Il répondra que c’est au bénéfice du vrai. Mais il faudrait alors déclarer ses cr
67 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
127 ins, mais l’acteur les provoque autant qu’il leur répond , et la même raison qui fait qu’il est lui-même, fait aussi qu’il n’es
68 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
128 reux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel
129 illeurs le besoin de penser, il se voit obligé de répondre activement aux empiètements dans son domaine de ce qu’on a nommé le d
69 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
130 ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous répondent  : attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
131 hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplemen
132 nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplement par le fait que Tro
133 s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous répondent , avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
134 olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
135 ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
70 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
136 pas quelle est ma vocation, je serai tenté de lui répondre qu’une ignorance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus… À
137 u’on ne veut pas nommer. » La première définition répond à l’étymologie ; la quatrième à la notion que les personnalistes se f
71 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
138 notone. À toutes ces critiques, les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous avez peut-être raison dans
72 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
139 à vos paroles, chrétiens, menteurs ! — et je lui répondrai  : Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
140 prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
73 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
141 r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répondre  ? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
142 isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens répondent  : Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
143 te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
74 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
144 es. Que représente l’État pour les fascistes ? Il répond en tout premier lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples
145 présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à coup sûr. Que nous montre, en effet, l’Allemagne ? Dans l’ordre ecc
75 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
146 n vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
147 yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre , car c’est une question personnelle, une mise en question réelle. Je
148 randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à répondre qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
76 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
149 a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en répondre . Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
77 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
150 présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répondre en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
78 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
151 du nécessaire. (Il y a même quelques députés.) On répondit à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du moins, sa der
79 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
152 reux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel
153 illeurs le besoin de penser, il se voit obligé de répondre activement aux empiètements dans son domaine de ce qu’on a nommé le d
80 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
154 ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous répondent  : attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
155 hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplemen
156 nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplement par le fait que Tro
157 s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous répondent , avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
158 olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
159 ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
81 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
160 pas quelle est ma vocation, je serai tenté de lui répondre qu’une ignorance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus… À
161 u’on ne veut pas nommer. » La première définition répond à l’étymologie ; la quatrième, à la notion que les personnalités se f
82 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
162 notone. À toutes ces critiques, les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous avez peut-être raison dans
83 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
163 à, vos paroles, chrétiens, menteurs ! — et je lui répondrai  : Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
164 prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
84 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
165 r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répondre  ? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
166 isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens répondent  : Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
167 te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
85 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
168 es. Que représente l’État pour les fascistes ? Il répond en tout premier lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples
169 présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à coup sûr. Que nous montre, en effet, l’Allemagne ? Dans l’ordre ecc
86 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
170 n vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
171 yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre , car c’est une question personnelle, une mise en question réelle. Je
172 randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à répondre qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
87 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
173 a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en répondre . Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
88 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
174 présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répondre en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
89 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
175 t-il ou non faire de la politique ? », on ne peut répondre avec sécurité que si l’on a d’abord répondu à cette autre question :
176 peut répondre avec sécurité que si l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’est-ce que la politique ? Car si la polit
90 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
177 d’hommes à l’esclavage du travail étatique. Nous répondrons d’abord que les méthodes de Lénine ont été manifestement trahies par
91 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
178 ous dit-elle ? Elle ne fait pas une théorie, elle répond par l’exemple d’Abraham. Et c’est à la méditation de cet exemple que
179 rotestantisme de Dostoïevski. Je ne saurais mieux répondre qu’en renvoyant au livre de M. Thurneysen. La conception « dialectiqu
92 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
180 sophie qui postule la transcendance de l’éternel, répondent  : celui qui voit Dieu, meurt. Car à la suprême vision correspond la s
181 ’origine de la vision. Celle peut-être à laquelle répond l’apôtre lorsqu’il écrit : « Je connaîtrai comme j’ai été connu ».
182 ni où tu vas, ni pourquoi tu vas, entre partout, réponds à tout. On ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre”. Au matin j’
93 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
183 es que tu fais, si Dieu n’est avec lui. Jésus lui répondit  : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau,
184 rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus répondit  : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’
185 i dit : Comment cela peut-il se faire ? Jésus lui répondit  : Tu es docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses ! En vérité, e
94 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
186 tte communauté où toute pensée et toute action se répondaient , où il était normal, salutaire et logique que les choses s’ordonnent
187 s-nous ? À la question : Où en sommes-nous ? j’ai répondu en rappelant la situation très précaire du chrétien dans la cité tell
188 devenue. À la question : D’où venons-nous ? j’ai répondu en rappelant que l’origine vivante de notre action, c’est l’incarnati
189 ressuscité. À la question : Où allons-nous ? j’ai répondu  : le Seigneur vient ! — et nous allons à la rencontre de son règne, v
190 d’avoir posé ces trois questions, avant d’y avoir répondu  ? Oh, je sais bien que le monde d’aujourd’hui retentit chaque jour d’
191 iens ? Telle est la première question. Et si l’on répond non à cette première question, est-il possible alors, ou désirable, q
192 ofessionnelle ? Je n’aurai pas le cynisme de vous répondre que ce serait là peut-être un remède tout trouvé à la crise de surpro
193 yances. Mais en fait, c’est le seul mouvement qui réponde , dès son principe, aux exigences de notre vocation. Ce n’est pas une
95 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
194 pas raconter de pareilles histoires à Tony. Vous répondez avec force et chaleur : « Oui, c’est vrai, on ne devrait pas les lui
96 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
195 vont-ils trouver en vous leur défenseur ? » — Je réponds simplement que dans l’action et les écrits des commissaires susnommés
196 n est le fameux exemple — sous prétexte qu’ils ne répondent pas au signalement du « technicien de la pensée34 ». Quand ils ne son
197 l lui tend encore cette perche !) Mais l’homme ne répond plus : il est la vérité, la réponse en chair et en os. Il faudrait se
97 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
198 c lui toute l’histoire des révolutions réussies — répond  : « Sans doctrine révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire ». M.
199 ntre la menace qui les rassemble ? Si personne ne répond d’urgence à la question, n’indique d’urgence une direction commune, l
98 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
200 s limites charnelles et temporelles ». Fort bien, répondrait un marxiste, si le christianisme est cela, nous lui laisserons ses rê
99 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
201 de ne servir qu’à bon escient. À quoi Montherlant répondrait qu’il n’écrit pas pour défendre ceci ou cela, mais parce qu’il a envi
100 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
202 pourvu que ce ne soit pas en France. Mais je vous répondrai plus sérieusement, d’un seul mot : c’est une question d’éducation. Po