1
issage de la guerre, dira-t-on. M. de Montherlant
répondra
: non, car la faiblesse est le péché capital pour le sportif. Or c’es
2
à Sainte-Croix, mais à Aubonne. Un plein succès a
répondu
à cette innovation. Le sujet de la première partie des conférences, l
3
lonté de choisir. M. le pasteur Bertrand de Lyon,
répondit
en exposant les exigences de l’Évangile en face de la pensée moderne,
4
sombres du ciel de l’est, et une façade parfaite
répond
encore au couchant. San Miniato sur sa colline. Derrière nous, les ar
5
Un Chinois écrit d’Europe à un Français qui lui
répond
de Chine. Nous sommes loin du ton des Lettres persanes : le Chinois s
6
s qu’en littérature je défends l’acte gratuit, je
réponds
que la littérature remplirait déjà suffisamment son rôle en se bornan
7
, puis l’acceptation de toute tendance du moi, je
réponds
que le mensonge est sincère aussi, qui révèle mon besoin de mentir. I
8
image d’un couple heureux et banal, votre sourire
répondant
au mien, comme on voit au dénouement des films populaires et sur des
9
ssaie un instant de m’élever à la notion de Dieu,
répond
Aragon, je me révolte qu’elle puisse en aucun cas servir d’argument à
10
s sérieux. Le reproche est grave. Je ne saurais y
répondre
. Je pourrais vous dire que si vous me trouvez un peu potache, il n’es
11
que j’attends de ma vie. Je serais tenté de vous
répondre
, comme ce sympathique Philippe Soupault, que « ceci, c’est une autre
12
s-je être le seul à l’avoir entendu ? — C’est, me
répondit
-il, que seul vous venez d’atteindre au monde des êtres véritables. No
13
dis-je, songeant aux Amours de Vienne. — Certes,
répondit
Gérard, malgré les apparences, cette vie sentimentale est une des seu
14
izarres où je sais lire les signes. » Comme je ne
répondais
rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai o
15
ue d’Adrienne, mais dans le lointain, Aurélia lui
répond
d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un ha
16
licité et il faudrait avoir la grossièreté de lui
répondre
d’un air connaisseur que c’est bien composé. J’avoue prendre cette au
17
par-dessus la rumeur des clients, le violoncelle
répond
de sa voix profonde et passionnée, sous les roulades d’un cymbalum. A
18
omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh !
répond
-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
19
et l’obligation où nous sommes tous désormais de
répondre
pour nous-mêmes à sa mise en demeure. Je suis loin de partager toutes
20
arlent ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur
réponds
: 1° qu’ils ne peuvent me dénier le droit de juger ces faits ; 2° qu’
21
actuelle division horaire des journées… Monsieur,
répondent
les fonctionnaires responsables, vous savez par expérience que nous n
22
t dans l’esprit moderne. C’est sa façon à elle de
répondre
aux besoins de l’époque. Pauvre époque ! On parle sans cesse de ses b
23
exigent une organisation à outrance du monde, je
répondrai
que dans la mesure où cette exigence est satisfaite naît un nouveau b
24
ue plat : il est creux.) Si beaucoup de personnes
répondent
oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opinion publiqu
25
arlent ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur
réponds
: 1° qu’ils ne peuvent me dénier le droit de juger ces faits ; 2° qu’
26
actuelle division horaire des journées… Monsieur,
répondent
les fonctionnaires responsables, vous savez par expérience que nous n
27
t dans l’esprit moderne. C’est sa façon à elle de
répondre
aux besoins de l’époque. Pauvre époque ! On parle sans cesse de ses b
28
exigent une organisation à outrance du monde, je
répondrai
que dans la mesure où cette exigence est satisfaite naît un nouveau b
29
ue plat : il est creux.) Si beaucoup de personnes
répondent
oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opinion publiqu
30
t, les quelques députés bourgeois en redingote ne
répondent
que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
31
la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous
répondre
que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation
32
hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah !
répond
-il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigognes
33
tout cela. C’est précisément à ce sécularisme que
répond
M. Gabriel Marcel dans une belle conférence prononcée au Foyer des ét
34
cg nous entretient n’est l’Esprit de personne. Je
répondrai
tout d’abord que c’est ou que cela veut être l’Esprit de tout le mond
35
propre haine. Le séculariste « constructiviste »
répondra
qu’il croit en la puissance de l’homme pour se dégager des servitudes
36
étranger n’ait point ébranlé sa foi, la princesse
répond
: « Je ne crois pas, j’espère que non ; bien qu’il soit difficile, qu
37
nextricable. Les Lettres au cours desquelles Gide
répond
à ses critiques sont tout à fait significatives à cet égard. L’on est
38
audet exprime son regret de ce qu’un tel titre ne
réponde
pas à son attente. Selon lui, c’est un « André Gide vu de Genève » qu
39
Loti. Loti est un notable écrivain protestant qui
répond
à ce même signalement. Et précisément il y aurait lieu à une manière
40
une intimité purement humaine : Et l’homme seul
répond
à l’homme épouvanté 27. Il nous manque une étude sur les critiques p
41
olisait celle de l’antique et du moderne, Kassner
répondrait
aujourd’hui par l’opposition de la grandeur mesurée et de l’indiscrét
42
r le jour où il vous rattrapera ; mais je ne puis
répondre
de la manière. Je suis parfois bien tranquille à ce sujet, parfois, q
43
. Durand-Dupont ne s’est pas fait prier pour nous
répondre
. Il est curieux de tout ce que font « les jeunes ». Il a été jeune, l
44
de mal à une mouche. ⁂ Des millions de gens vous
répondront
cela. Des millions d’hommes dont vous n’avez aucune raison de suspect
45
osophie ». André Philip, défenseur de Martin, lui
répondra
non sans violence : « C’est faux ! Vous faites de la théologie, et vo
46
émoin, qu’en faites-vous ? » Un seul se permit de
répondre
que toutes les guerres sont défensives. Quelqu’un me demandait, à la
47
n vain quelle idéologie les empêcherait encore de
répondre
aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
48
yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas
répondre
, car c’est une question personnelle. Une mise en question réelle. Je
49
randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à
répondre
qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
50
-je être le seul à l’avoir entendu ? — C’est, me
répondit
-il, que seul vous venez d’atteindre au monde des êtres véritables. No
51
é, dis-je, songeant aux Amours de Vienne. Certes,
répondit
Gérard, malgré les apparences, cette vie sentimentale est une des seu
52
izarres où je sais lire les signes. » Comme je ne
répondais
rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai o
53
e d’Adrienne ; mais dans le lointain, Aurélia lui
répond
d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un ha
54
t, les quelques députés bourgeois en redingote ne
répondent
que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
55
la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous
répondre
que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation
56
hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah !
répond
-il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigognes
57
omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh !
répond
-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
58
dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me
répondait
: « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croya
59
it que l’esprit et l’espace vivant, de nouveau se
répondent
, se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de
60
et Swedenborg s’accorderaient, je le crois, pour
répondre
. L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et
61
l semble que mon sang ce soir la comprenne et lui
réponde
sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses.
62
e lettre de l’auteur de la Rose de Thuringe. J’ai
répondu
: Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l’ê
63
a misère de tous ces regards me paralyse. Comment
répondre
à leur hostilité, comment accueillir avec un cœur viril et bon le spe
64
mélange de hauteur, de méfiance et de gêne auquel
répond
chez l’inférieur un mélange de crainte, de colère et de gêne guère mo
65
sse justifie sa fonction dans le monde actuel, je
répondrai
que cela dépend après tout des possibilités qu’on lui en laisse. On,
66
t, les quelques députés bourgeois en redingote ne
répondent
que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
67
la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous
répondre
que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation
68
hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah !
répond
-il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigogne
69
mélange de hauteur, de méfiance et de gêne auquel
répond
chez l’inférieur un mélange de crainte, de colère et de gêne guère mo
70
sse justifie sa fonction dans le monde actuel, je
répondrai
que cela dépend après tout des possibilités qu’on lui en laisse. On,
71
omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh !
répond
-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
72
dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me
répondait
: « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croya
73
it que l’esprit et l’espace vivant, de nouveau se
répondent
, se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de
74
et Swedenborg s’accorderaient, je le crois, pour
répondre
. L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et
75
l semble que mon sang ce soir la comprenne et lui
réponde
sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses.
76
uteur de la Rose de Thuringe, Pierre Girard. J’ai
répondu
: « Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l
77
a misère de tous ces regards me paralyse. Comment
répondre
à leur hostilité, comment accueillir avec un cœur viril et bon le spe
78
it profonde, et chaque être présent questionnait,
répondait
. La force était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune
79
ue. Ils me demanderont pourquoi, je ne saurai pas
répondre
. Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être ? Voici longtemps qu’on a
80
e, mais tout de même reconstituante ? Des romans,
répondra-t
-on, sans doute. Je ne suis pas du tout de cet avis. Et je crois disti
81
sait encore plus indésirable qu’impossible. Je ne
répondrai
pas ici à votre accusation de fascisme, je sais trop bien que, sous l
82
s à vos paroles, chrétiens menteurs ! — et je lui
répondrai
: Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
83
prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur
répond
qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
84
sion de ce que j’écris ; il s’agit, avant que d’y
répondre
, de se rendre compte de ce qu’elle signifie pour celui qui me la pose
85
de ce qu’elle signifie pour celui qui me la pose.
Répondre
du tac au tac, à la « lettre » de la question, c’est un procédé élect
86
té n’est à personne. Bien souvent, parmi nous, on
répond
mal aux questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors
87
n répond mal aux questions parce qu’on se borne à
répondre
à leurs mots, alors qu’il eût fallu répondre à un tourment réel, mala
88
ne à répondre à leurs mots, alors qu’il eût fallu
répondre
à un tourment réel, maladroitement exprimé par ces mots. Mais, bien s
89
xprimé par ces mots. Mais, bien souvent aussi, on
répond
mal parce qu’on prend au sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes
90
action « pratique ». Ceci marqué, nous pourrons
répondre
plus clairement à ceux qui croient à leur question, j’entends à ceux
91
: que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à
répondre
, en principe. Il ne peut que renvoyer à la seule force d’où provient
92
r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à
répondre
? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
93
isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens
répondent
: Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
94
te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra
répondre
qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
95
présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y
répondre
en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
96
mais cohérente et qui existe », M. Daniel Halévy
répondait
en montrant l’Empire colonial constitué par quelques jeunes gens arde
97
plus ou moins sympathique ; mais elle n’avait pas
répondu
au défi qu’ils lui adressaient. MM. Dupuis et Marc comblent aujourd’h
98
losophique homo finitus non capax infiniti, Barth
répond
par la formule chrétienne homo peccator non capax verbi Dei, l’homme
99
d’effrayer celui qui vient au Christ, peut seule
répondre
à l’angoisse humaine, tandis que l’optimisme naturiste, plongeant l’h
100
us vient des marxistes, nous nous contenterons de
répondre
par une citation de Lénine : La doctrine socialiste est née des théo
101
M. de Rougemont, malgré ses appels à Luc, n’a pas
répondu
à notre question, il fait métier d’être incapable de répondre aux que
102
otre question, il fait métier d’être incapable de
répondre
aux questions. Aussi quittant le ton des prophètes ajoute-t-il à l’us
103
ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous
répondent
: Attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
104
hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que
répondra
Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski, s’explique simpleme
105
nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il
répondra
que tout ce que dit Trotski, s’explique simplement par le fait que Tr
106
s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous
répondent
, avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
107
olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y
répondre
ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
108
ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui
répondit
par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
109
a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en
répondre
. Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
110
est un combat d’amour. Mais aimer ? C’est d’abord
répondre
, — c’est en même temps et c’est surtout répondre au-delà de la questi
111
répondre, — c’est en même temps et c’est surtout
répondre
au-delà de la question. ⁂ L’homme jeté dans la diversité de l’univers
112
révèle, et ce n’est plus la peur du sang qui lui
répond
, mais la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui connaî
113
rrifie les provinces autour de la cité. ⁂ Comment
répondre
sans quelque injustice à une question dont on ne peut saisir le sens
114
onse. Mais l’homme antique n’a pas en lui de quoi
répondre
à la Nature : il est lui-même une question que Dieu ne semble pas ent
115
gique 45, de Gabriel Marcel. L’un et l’autre, ils
répondent
au vœu que j’ai tenté de formuler. Ils s’attaquent à cette « transmut
116
ez. On vous dit : « Qu’est-ce que la personne ? »
Répondez
: « Que sont ces mythes collectifs sous lesquels vous prétendez nous
117
du nécessaire. (Il y a même quelques députés.) On
répondit
à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du moins, sa der
118
ibre examen dans la mesure où cela le dispense de
répondre
d’une façon précise et autorisée aux questions des incroyants ou des
119
ême. Né dans les universités, il paraît destiné à
répondre
d’abord aux préoccupations des intellectuels, mais il y répond de tel
120
d aux préoccupations des intellectuels, mais il y
répond
de telle sorte qu’il abolit rapidement les barrières convenues entre
121
quoi les membres du Mouvement des Groupes peuvent
répondre
que leur œuvre se développe dans une atmosphère de franchise, d’autoc
122
oupeau. Le solitaire devant Dieu, c’est celui qui
répond
à la foi, cet appel. Quand on parle de romantisme, d’anarchie, d’indi
123
s ne pouvons pas tous devenir martyrs ! » Certes,
répond
Kierkegaard, mais il vaudrait mieux dire : « “Moi, je ne le puis pas.
124
passant que L’Ordre nouveau serait en mesure d’y
répondre
un peu mieux ?13 Montagnon constate le marasme. Déat fait davantage
125
itique et tout15 !… » Les éditeurs s’efforcent de
répondre
à la demande du public. Il faut des livres faciles, des livres gais,
126
la devise de l’école illustrée par M. Goguel. Il
répondra
que c’est au bénéfice du vrai. Mais il faudrait alors déclarer ses cr
127
ins, mais l’acteur les provoque autant qu’il leur
répond
, et la même raison qui fait qu’il est lui-même, fait aussi qu’il n’es
128
reux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je
réponds
que je voudrais bien n’avoir jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel
129
illeurs le besoin de penser, il se voit obligé de
répondre
activement aux empiètements dans son domaine de ce qu’on a nommé le d
130
ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous
répondent
: attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
131
hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que
répondra
Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplemen
132
nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il
répondra
que tout ce que dit Trotski s’explique simplement par le fait que Tro
133
s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous
répondent
, avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
134
olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y
répondre
ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
135
ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui
répondit
par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
136
pas quelle est ma vocation, je serai tenté de lui
répondre
qu’une ignorance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus… À
137
u’on ne veut pas nommer. » La première définition
répond
à l’étymologie ; la quatrième à la notion que les personnalistes se f
138
notone. À toutes ces critiques, les marxistes ont
répondu
pendant longtemps à peu près ceci : « Vous avez peut-être raison dans
139
à vos paroles, chrétiens, menteurs ! — et je lui
répondrai
: Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
140
prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur
répond
qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
141
r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à
répondre
? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
142
isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens
répondent
: Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
143
te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra
répondre
qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
144
es. Que représente l’État pour les fascistes ? Il
répond
en tout premier lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples
145
présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de
répondre
à coup sûr. Que nous montre, en effet, l’Allemagne ? Dans l’ordre ecc
146
n vain quelle idéologie les empêcherait encore de
répondre
aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
147
yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas
répondre
, car c’est une question personnelle, une mise en question réelle. Je
148
randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à
répondre
qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
149
a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en
répondre
. Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
150
présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y
répondre
en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
151
du nécessaire. (Il y a même quelques députés.) On
répondit
à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du moins, sa der
152
reux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je
réponds
que je voudrais bien n’avoir jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel
153
illeurs le besoin de penser, il se voit obligé de
répondre
activement aux empiètements dans son domaine de ce qu’on a nommé le d
154
ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous
répondent
: attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
155
hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que
répondra
Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplemen
156
nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il
répondra
que tout ce que dit Trotski s’explique simplement par le fait que Tro
157
s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous
répondent
, avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
158
olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y
répondre
ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
159
ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui
répondit
par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
160
pas quelle est ma vocation, je serai tenté de lui
répondre
qu’une ignorance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus… À
161
u’on ne veut pas nommer. » La première définition
répond
à l’étymologie ; la quatrième, à la notion que les personnalités se f
162
notone. À toutes ces critiques, les marxistes ont
répondu
pendant longtemps à peu près ceci : « Vous avez peut-être raison dans
163
à, vos paroles, chrétiens, menteurs ! — et je lui
répondrai
: Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
164
prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur
répond
qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
165
r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à
répondre
? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
166
isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens
répondent
: Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
167
te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra
répondre
qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
168
es. Que représente l’État pour les fascistes ? Il
répond
en tout premier lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples
169
présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de
répondre
à coup sûr. Que nous montre, en effet, l’Allemagne ? Dans l’ordre ecc
170
n vain quelle idéologie les empêcherait encore de
répondre
aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
171
yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas
répondre
, car c’est une question personnelle, une mise en question réelle. Je
172
randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à
répondre
qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
173
a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en
répondre
. Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
174
présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y
répondre
en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
175
t-il ou non faire de la politique ? », on ne peut
répondre
avec sécurité que si l’on a d’abord répondu à cette autre question :
176
peut répondre avec sécurité que si l’on a d’abord
répondu
à cette autre question : qu’est-ce que la politique ? Car si la polit
177
d’hommes à l’esclavage du travail étatique. Nous
répondrons
d’abord que les méthodes de Lénine ont été manifestement trahies par
178
ous dit-elle ? Elle ne fait pas une théorie, elle
répond
par l’exemple d’Abraham. Et c’est à la méditation de cet exemple que
179
rotestantisme de Dostoïevski. Je ne saurais mieux
répondre
qu’en renvoyant au livre de M. Thurneysen. La conception « dialectiqu
180
sophie qui postule la transcendance de l’éternel,
répondent
: celui qui voit Dieu, meurt. Car à la suprême vision correspond la s
181
’origine de la vision. Celle peut-être à laquelle
répond
l’apôtre lorsqu’il écrit : « Je connaîtrai comme j’ai été connu ».
182
ni où tu vas, ni pourquoi tu vas, entre partout,
réponds
à tout. On ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre”. Au matin j’
183
es que tu fais, si Dieu n’est avec lui. Jésus lui
répondit
: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau,
184
rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus
répondit
: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’
185
i dit : Comment cela peut-il se faire ? Jésus lui
répondit
: Tu es docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses ! En vérité, e
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tte communauté où toute pensée et toute action se
répondaient
, où il était normal, salutaire et logique que les choses s’ordonnent
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s-nous ? À la question : Où en sommes-nous ? j’ai
répondu
en rappelant la situation très précaire du chrétien dans la cité tell
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devenue. À la question : D’où venons-nous ? j’ai
répondu
en rappelant que l’origine vivante de notre action, c’est l’incarnati
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ressuscité. À la question : Où allons-nous ? j’ai
répondu
: le Seigneur vient ! — et nous allons à la rencontre de son règne, v
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d’avoir posé ces trois questions, avant d’y avoir
répondu
? Oh, je sais bien que le monde d’aujourd’hui retentit chaque jour d’
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iens ? Telle est la première question. Et si l’on
répond
non à cette première question, est-il possible alors, ou désirable, q
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ofessionnelle ? Je n’aurai pas le cynisme de vous
répondre
que ce serait là peut-être un remède tout trouvé à la crise de surpro
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yances. Mais en fait, c’est le seul mouvement qui
réponde
, dès son principe, aux exigences de notre vocation. Ce n’est pas une
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pas raconter de pareilles histoires à Tony. Vous
répondez
avec force et chaleur : « Oui, c’est vrai, on ne devrait pas les lui
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vont-ils trouver en vous leur défenseur ? » — Je
réponds
simplement que dans l’action et les écrits des commissaires susnommés
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n est le fameux exemple — sous prétexte qu’ils ne
répondent
pas au signalement du « technicien de la pensée34 ». Quand ils ne son
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l lui tend encore cette perche !) Mais l’homme ne
répond
plus : il est la vérité, la réponse en chair et en os. Il faudrait se
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c lui toute l’histoire des révolutions réussies —
répond
: « Sans doctrine révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire ». M.
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ntre la menace qui les rassemble ? Si personne ne
répond
d’urgence à la question, n’indique d’urgence une direction commune, l
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s limites charnelles et temporelles ». Fort bien,
répondrait
un marxiste, si le christianisme est cela, nous lui laisserons ses rê
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de ne servir qu’à bon escient. À quoi Montherlant
répondrait
qu’il n’écrit pas pour défendre ceci ou cela, mais parce qu’il a envi
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pourvu que ce ne soit pas en France. Mais je vous
répondrai
plus sérieusement, d’un seul mot : c’est une question d’éducation. Po