1 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
1 Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)i Le sujet que M. Esmonin,
2 s de vue auxquels on a pu se placer pour juger la révocation . M. Esmonin, lui, se place au point de vue de l’historien scrupuleux,
3 de la proclamation de l’édit, et 1685, date de la révocation , la France passa de la plus grande liberté à la plus grande tyrannie.
4 nte Ans, l’orateur expose comment on en vint à la révocation . C’est d’abord l’influence du clergé, jaloux de ses droits considérab
5 ir de gagner le ciel, persuadent Louis XIV que la révocation serait une œuvre digne du Roi-Soleil et capable de lui faire pardonne
6 néanties ; les conséquences funestes de l’acte de révocation commencent à se révéler politiques (guerre de la confession d’Augsbou
7 catholiques sont loin d’être unanimes à louer la révocation . L’un d’eux s’indigne, dans une lettre à Louvois, de ce que « les dra
8 conférence des Amis de la pensée protestante : La révocation de l’édit de Nantes », Feuille d’Avis de Neuchâtel, n° 39, 16 février
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
9 ux trois quarts protestante — et l’est restée (la révocation fit quitter, selon Vauban, les vaisseaux du roi à neuf-mille marins).
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
10 us la cour, et qui finit par triompher lors de la révocation de l’édit de Nantes. Mais alors cette révocation n’apparaît plus que
11 révocation de l’édit de Nantes. Mais alors cette révocation n’apparaît plus que comme un épisode, le plus marquant il est vrai, d
12 llélisme qu’on peut facilement établir entre la «  révocation  » et les mesures de « mise au pas » prises par Hitler me paraît riche
13 rme française, tome II : De l’édit de Nantes à sa révocation , Librairie Fischbacher. La même librairie publie une intéressante pla
4 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
14 L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)m Un conflit religieux « déchire » la France lors
15 ntes au nom de l’ordre dans l’État. On flétrit la révocation décrétée au nom du même ordre et pour le bien du même État, mais on i
16 lisme politique ? 2. La doctrine qui préside à la révocation de l’édit est-elle vraiment une doctrine opposée à celle qui préside
17 n les mêmes qui devaient aboutir logiquement à la révocation de cet édit, au terme de l’évolution centralisatrice et unitaire qu’i
18 stes contemporains. Certes, en tête de l’arrêt de révocation , rédigé par Michel Le Tellier, se retrouvent les considérants de l’As
19 ésidèrent à l’octroi de l’édit aussi bien qu’à sa révocation tant décriée. On se demande par quelle aberration nos manuels d’histo
20 let au premier rang — peuvent réprouver l’acte de révocation , alors qu’ils aboutissent à la glorification sans réserve de l’écrase
21 s le tonus nécessaire pour proclamer les quelques révocations de libertés personnelles encore possibles. Ils louchent vers Roosevel
22 her. Nous vivons bel et bien sous le régime de la révocation des droits de la Personne. Et c’est pourquoi la considération de cert
23 p. 6, article ier . m. « L’édit de Nantes et sa révocation  », L’Ordre nouveau, Paris, n° 19, mars-avril 1935, p. 29-33.
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
24 Jésuites missionnaires, réformés chassés par la révocation de l’édit de Nantes, « dissenters » embarqués pour la Nouvelle Amster
6 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
25 arisiens, exilés dans maints pays d’Europe par la révocation de l’édit de Nantes, mais gardant des relations épistolaires, échange
7 1988, Inédits (extraits de cours). Révolution
26 e privée et la conscience (comme le démontrent la révocation de l’édit de Nantes et les persécutions religieuses dans toute l’Euro