1 m’écrié-je, mes frères ! Nous traînons tous notre sabot , qui, loin de s’user, ne tarde pas à devenir notre raison de vivre. M

2 m’écrié-je, mes frères ! Nous traînons tous notre sabot , qui, loin de s’user, ne tarde pas à devenir notre raison de vivre. M

3 m’écrié-je, mes frères ! Nous traînons tous notre sabot , qui, loin de s’user, ne tarde pas à devenir notre raison de vivre. M

4 ents qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots , que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours ce qu’on voudrait

5 ents qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots , que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours ce qu’on voudrait

6 ents qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots , que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours ce qu’on voudrait

7 très près le gazon, pour y chercher la trace d’un sabot vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en Virginie. — 

8 m’écrié-je, mes frères ! Nous traînons tous notre sabot , qui, loin de s’user, ne tarde pas à devenir notre raison de vivre. M

9 ents qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots , que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours ce qu’on voudrait

10 très près le gazon, pour y chercher la trace d’un sabot vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en Virginie. — 

11 es constables et des horse guards, des paysans en sabots sur un fond de moulins, des statues sur un fond de ruines antiques ;

12 rse, comme un dauphin, marchant sans mouiller ses sabots sur la vaste étendue des vagues. Sur son passage, la mer se faisait c

13 bondis sans peur et sur terre et sur mer, et tes sabots te tiennent lieu de rames. Bientôt, je pense, tu vas t’élever aussi d

14 rse, comme un dauphin, marchant sans mouiller ses sabots sur la vaste étendue des vagues. Sur son passage, la mer se faisait c

15 bondis sans peur et sur terre et sur mer, et tes sabots te tiennent lieu de rames. Bientôt, je pense, tu vas t’élever aussi d