1 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
1 ral de notre vie chrétienne. Elles sont, avec les sacrements , la promesse de l’accomplissement en Christ — déjà venu et qui revien
2 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
2 de ses volontés, et une sûre dispensatrice de ses sacrements  ? » Décidément, nous sommes d’accord. L’Église véritable est bien cel
3 précision : elle est la « sûre dispensatrice des sacrements  » dans la mesure exacte où elle demeure la « fidèle interprète » des
3 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
4 ésus-Christ — La foi chrétienne — L’Église et les sacrements — L’espérance eschatologique. Le trait le plus marquant est leur « bi
4 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
5 le message annoncé par la prédication et par les sacrements . C’est un acte d’obéissance, et c’est aussi un acte d’humilité ; car
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
6 ’une impliquait le mariage, dont elle fit même un sacrement  ; l’autre exaltait un ensemble de valeurs d’où résultait — en princip
7 naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procrée
8 ’on vient de rappeler. Elle niait tout d’abord le sacrement , comme n’étant établi par aucun texte univoque de l’Évangile83. Elle
9  », Études carmélitaines, avril 1938, p. 186). Le sacrement catholique reposerait soit sur le récit du miracle de Cana (« simple
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). Suite à « La passion contre le mariage » (décembre 1938)
10 r : à savoir que « les modalités d’institution du sacrement  » restent, selon lui, hypothétiques. Pour l’objet de mon essai (voir
11 a compris comme je le pensais : ce n’est point le sacrement qui « fait question », selon M. Lavaud, mais bien son fondement bibli
7 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
12 4. Tandis que le mariage chrétien, en devenant un sacrement , imposait une fidélité insupportable à l’homme naturel. Supposons le
13 donc le dogme de l’Incarnation, et par suite, le sacrement de la Cène qui le traduit (et qu’ils remplacent par une simple agape
14 nta Gleyzia des cathares, ne connaît qu’un seul «  sacrement  » c’est le baptême du Saint-Esprit consolateur, le baiser de paix ou
15 la cérémonie d’initiation. Encore est-ce moins un sacrement au sens catholique de ce terme, qu’un signe d’accession à la vie spir
8 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
16 ons en lui de la même manière que le pain dans le sacrement se change en corps du Christ : je suis ainsi changé en lui parce que
17 x conseille de ne pas s’inquiéter, de recevoir le sacrement chaque semaine, quoi qu’il advienne, — et le frère se trouve guéri, p
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
18 ne de la « joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur condamnation absolue de toute participation
19 aussitôt qu’ils ont bu, c’est le baiser unique du sacrement cathare, le consolamentum des Purs ! Dès cet instant, les lois du jou
10 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
20 ’une impliquait le mariage, dont elle fit même un sacrement  ; l’autre exaltait un ensemble de valeurs d’où résultait — en princip
21 naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procrée
22 ’on vient de rappeler. Elle niait tout d’abord le sacrement , comme n’étant établi par aucun texte univoque de l’Évangile183. Elle
23 e », Études carmélitaines, avril 1938, p. 186. Le sacrement catholique se justifierait soit par le récit du miracle de Cana (« si
11 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
24 oète espagnol Juan Manuel l’appelle une espèce de sacrement , qu’il compare au Baptême et au Mariage. (J. Huizinga : le Déclin du
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
25 7. Tandis que le mariage chrétien, en devenant un sacrement , imposait une fidélité insupportable à l’homme naturel. Supposons le
26 tion, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacrement de la messe : ils le remplacent par une cène fraternelle, symbolisant
27 chéens connaissaient depuis des siècles les mêmes sacrements que les cathares : l’imposition des mains, le baiser de paix, et la v
28 ues. Du côté catholique, le mariage est tenu pour sacrement , cependant qu’il repose en fait sur des bases d’intérêt matériel et s
29 ne comme l’autel catholique au Christ, s’opère le sacrement courtois : les amants « communient » dans la passion. En lieu et plac
30 ble au reste, faut-il le préciser, avec cet autre sacrement « perverti » par l’orthodoxie qui l’a socialisé et matérialisé : le m
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
31 ons en lui de la même manière que le pain dans le sacrement se change en corps du Christ : je suis ainsi changé en lui parce que
32 x conseille de ne pas s’inquiéter, de recevoir le sacrement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri, pa
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
33 ne de la « joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur condamnation absolue de toute participation
34 aussitôt qu’ils ont bu, c’est le baiser unique du sacrement cathare, le consolamentum des Purs ! Dès cet instant, les lois du jou
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
35 ’une impliquait le mariage, dont elle fit même un sacrement  ; l’autre exaltait un ensemble de valeurs d’où résultait — en princip
36 naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procrée
37 ’on vient de rappeler. Elle niait tout d’abord le sacrement , comme n’étant établi par aucun texte univoque de l’Évangile201. Elle
38 e », Études carmélitaines, avril 1938, p. 186. Le sacrement catholique se justifierait soit par le récit du miracle de Cana (« si
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
39 9. Tandis que le mariage chrétien, en devenant un sacrement , imposait une fidélité insupportable à l’homme naturel. Supposons le
40 tion, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacrement de la messe : ils le remplacent par une cène fraternelle, symbolisant
41 chéens connaissaient depuis des siècles les mêmes sacrements que les cathares : l’imposition des mains, le baiser de paix, et la v
42 ues. Du côté catholique, le mariage est tenu pour sacrement , cependant qu’il repose en fait sur des bases d’intérêt matériel et s
43 ne comme l’autel catholique au Christ, s’opère le sacrement courtois : les amants « communient » dans la passion. En lieu et plac
44 ble au reste, faut-il le préciser, avec cet autre sacrement « perverti » par l’orthodoxie qui l’a socialisé et matérialisé : le m
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
45 ons en lui de la même manière que le pain dans le sacrement se change en corps du Christ : je suis ainsi changé en lui parce que
46 x conseille de ne pas s’inquiéter, de recevoir le sacrement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri, pa
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
47 ne de la « joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur condamnation absolue de toute participation
48 aussitôt qu’ils ont bu, c’est le baiser unique du sacrement cathare, le consolamentum des Purs ! Dès cet instant, les lois du jou
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
49 ’une impliquait le mariage, dont elle fit même un sacrement  ; l’autre exaltait un ensemble de valeurs d’où résultait — en princip
50 naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procrée
51 ’on vient de rappeler. Elle niait tout d’abord le sacrement , comme n’étant établi par aucun texte univoque de l’Évangile187. Elle
52 e », Études carmélitaines, avril 1938, p. 186. Le sacrement catholique se justifierait soit par le récit du miracle de Cana (« si
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
53 oète espagnol Juan Manuel l’appelle une espèce de sacrement , qu’il compare au Baptême et au Mariage. (J. Huizinga, Le Déclin du M
21 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
54 sion de foi (on en parle beaucoup) ; doctrine des sacrements … 9. Je n’entends pas prendre position ici sur des problèmes tels que
22 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
55 essusciter en pureté. Ce drame est figuré dans le sacrement de la communion. Il est rappelé dans le Credo. Mais peut-on dire qu’i
23 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
56 essusciter en pureté. Ce drame est figuré dans le sacrement de la communion. Il est rappelé dans le Credo. Mais peut-on dire qu’i
24 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
57 esoin de la puissance terrestre (les épées) ; des sacrements , rites et prêtres des religions établies (les coupes) ; des biens qu’
25 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
58 meront l’harmonie violente et bienheureuse du mot sacrement de toute la création, son terme monumental à la gloire du Dieu Tout-P
26 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
59 meront l’harmonie violente et bienheureuse du mot sacrement de toute la création, son terme monumental à la gloire du Dieu Tout-P
27 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
60 es trop vastes du Lake George, nommé jadis lac du Saint Sacrement « pour la pureté lustrale de ses eaux »… Il me rappelait un peu de to
28 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
61 ues. Du côté catholique, le mariage est tenu pour sacrement , cependant qu’il repose en fait sur des bases d’intérêt matériel et s
29 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
62 la foi jurée, profanation du sacré féodal et des sacrements catholiques, faux serments, sorcellerie, magie noire. Tout cela sur u
30 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
63 ent pas à la divinité du Christ, ont supprimé les sacrements et n’ont guère qu’un seul dogme, qui est le libre examen. Et beaucoup
31 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
64 t : « Il s’est confessé et il a reçu les derniers sacrements . Il avait certainement le sentiment d’avoir accompli sa tâche et d’av
32 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
65 la foi jurée, profanation du sacré féodal et des sacrements catholiques, faux serments, sorcellerie, magie noire. Tout cela sur u
33 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
66 u’ont aussi à la communiquer ceux qui servent les sacrements . Mais dans la vie de l’esprit, qui n’est pas collective, l’Esprit seu
34 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
67 le message annoncé par la prédication et par les sacrements . C’est un acte d’obéissance, et c’est aussi un acte d’humilité ; car
35 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
68 ni même psychologique. Le mariage était certes un sacrement , mais il liait deux patrimoines et deux familles — des clans, des ran