1
t aujourd’hui s’en prévaloir pour rendre un culte
sanguinaire
aux faux dieux qu’elle a suscités. « Le philosophe dit à bon droit qu
2
Nous pouvons nous dire nationaux, contre l’idole
sanguinaire
du nationalisme moderne. Nous pouvons nous dire patriotes, contre les
3
t aujourd’hui s’en prévaloir pour rendre un culte
sanguinaire
à ses faux dieux. Ils n’ont pas lu Hegel, bien sûr, mais Hegel est da
4
reux. (Toutes les religions, comme telles, sont «
sanguinaires
».) Le néo-paganisme hitlérien est la réponse la plus puissante que l
5
n parler de la nation non point comme d’une idole
sanguinaire
et bornée, mais simplement comme d’une formule qui a fait son temps,
6
n parler de la nation non point comme d’une idole
sanguinaire
et bornée, mais simplement comme d’une formule qui a fait son temps,
7
dans les actions, une religion si douce et une si
sanguinaire
intolérance, une politique si sage dans les livres et si dure dans la
8
onopoles de commerce, nos trahisons, notre mépris
sanguinaire
pour les hommes d’une autre couleur ou d’une autre croyance, l’insole
9
s résidus honteux de la vieille barbarie, à cette
sanguinaire
haine de nation à nation, au bas préjugé, à ce bonheur étranger qu’on
10
ent, et deviennent des idoles, des dieux, souvent
sanguinaires
. Cette absence de doute sur les réalités immanentes bâtit ou laisse s
11
and, rien de plus noble que les empire rapaces et
sanguinaires
d’Alexandre et des Césars, de Charlemagne et de Bonaparte ». La Cons