1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
1 t facile des incidents et le style volontairement sec permettent de suivre sans passion ni fatigue le développement un peu
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 ibles, bruissement vague des roseaux aux feuilles sèches … Puis la brume est venue comme une envie de sommeil. Une lampe dans l
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 éthode d’observation et de déduction passablement sèche pourrait nous donner l’illusion et peut-être certains bénéfices de ce
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 le courtisane assagie, parfois dévote, phraseuse, sèche , d’humeur acariâtre et réactionnaire. Vous tracez des frontières géog
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
5 e l’action, il se dégage de ce roman un désespoir sec , sans grimace. Cette intelligence et cette sensibilité ont quelque ch
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
6 Il demeure un résidu impitoyable, descriptible et sec  ». Ici la vie des hommes se trouve « réduite à son état de pureté ext
7 ntempler « ce résidu impitoyable, descriptible et sec  ». Mais est-il bien légitime de voir dans un tel « résidu » l’essence
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
8 t. J’allume encore une cigarette entre mes lèvres sèches . Le hall s’éclaire d’un jour de balayage, il reste deux chapeaux melo
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
9 faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je n’ai même pas pu me faire les ongles… » Elle voudrait ressemble
10 éternel de cette plainte. — Des Werthers aux yeux secs , voilà ce que nous sommes. 14 juin 1929 Je suis assis en face d
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
11 t. J’allume encore une cigarette entre mes lèvres sèches . Le hall s’éclaire d’un jour de balayage, il reste deux chapeaux melo
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je n’ai même pas pu me faire les ongles… ». Elle voudrait ressembl
13 éternel de cette plainte. — Des Werthers aux yeux secs , voilà ce que nous sommes. 14 juin 1929 Je suis assis en face d
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
14 les ciels méditants de l’Ouest celtique ; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre côté de l’Europe, aux mar
12 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
15 uvons nous empêcher d’imaginer. Le sermon le plus sec , le plus littéralement biblique, comportera toujours une part de « li
13 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
16 Les répliques se faisaient plus mordantes et plus sèches , du côté des jeunes barthiens. Nicodème, au contraire, devenait de pl
14 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
17 llet 1935)j On nous montre un Calvin maigre et sec , et l’on conclut incontinent à l’ascétisme puritain. On nous montre u
15 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
18 ux d’un clou sur un caillou, d’un mélange de toux sèches ou rauques et de coups de pioche ou de marteau ». Les glaciers ne son
16 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
19 de ceux qui agissent. Non pas ces mains lentes et sèches à la surface des objets, mains rêveuses ou mains obsédées, mains ince
20 de misère, et leur trahison véritable. De là leur sec rationalisme, leur morale formaliste, leur pudibonde impartialité, en
17 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
21 de ceux qui agissent. Non pas ces mains lentes et sèches à la surface des objets, mains rêveuses ou mains obsédées, mains ince
22 de misère, et leur trahison véritable. De là leur sec rationalisme, leur morale formaliste, leur pudibonde impartialité, en
18 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
23 que j’ai pu rêver de ce pays. Il est très pauvre, sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers, e
24 verdi. C’est à peine si l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en n
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
25 suivant une piste par jeu. Le ciel est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès grandiloquent. Et c
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
26 que j’ai pu rêver de ce pays. Il est très pauvre, sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers, e
27 verdi. C’est à peine si l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en n
28 suivant une piste par jeu. Le ciel est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès grandiloquent. Et c
21 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
29 e exacte, si l’on se borne à considérer la donnée sèche du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et « prosaïquement » res
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
30 e exacte, si l’on se borne à considérer la donnée sèche du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et « prosaïquement » res
23 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
31 e exacte, si l’on se borne à considérer la donnée sèche du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et « prosaïquement » res
24 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
32 ’œuvre ; il ne reste pour le journal que les plus sèches notations (Byron, Stendhal). D’autres fois, l’œuvre et le journal son
25 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
33 et non la suffisance ; à leur brutalité, la virtu sèche et fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de vengeanc
26 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
34 non la suffisance ; à leur brutalité, la virtu 31 sèche et fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de vengeanc
27 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
35 non la suffisance ; à leur brutalité, la virtù 33 sèche et fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de vengeanc
28 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
36 ’œuvre : il ne reste pour le journal que les plus sèches notations (Byron, Stendhal). D’autres fois, l’œuvre et le journal son
29 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
37 ceux d’un clou sur un caillou, un mélange de toux sèches ou rauques et de coups de pioche ou de marteau. » Les glaciers ne son
30 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
38 strat qui en dressera le protocole. Si tout reste sec , mes biens seront donnés au légataire universel dont le nom va suivre
31 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
39 ais jamais : c’est une petite nature, il est bien sec , il manque d’esprit, il ne se passionne pour rien ? Pourquoi détesten
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
40 t. J’allume encore une cigarette entre mes lèvres sèches . Le hall s’éclaire d’un jour de balayage, il reste deux chapeaux melo
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
41 faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je n’ai même pas pu me faire les ongles… » Elle voudrait ressemble
42 éternel de cette plainte. — Des Werthers aux yeux secs , voilà ce que nous sommes. 14 juin 1929 Je suis assis en face d
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
43 que j’ai pu rêver de ce pays. Il est très pauvre, sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers, e
44 verdi. C’est à peine si l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en n
45 suivant une piste par jeu. Le ciel est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès grandiloquent. Et c
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
46 ais jamais : c’est une petite nature, il est bien sec , il manque d’esprit, il ne se passionne pour rien ? Pourquoi détesten
36 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
47 réussit. Or, l’échec n’est pour eux qu’une perte sèche , et non la condition d’un approfondissement de la conscience et de la
37 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
48 rat qui en dressera le protocole. Si tous restent secs , mes biens seront donnés au légataire universel dont le nom va suivre
38 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
49 es doigts, s’ils disent que je suis sale, je l’ai sec . Je me lave. Avec la terre je me lave… C’est le contraire ! Ils disen
39 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
50 réussit. Or, l’échec n’est pour eux qu’une perte sèche et non la condition d’un approfondissement de la conscience ou d’une
40 1948, Suite neuchâteloise. V
51 les ciels méditants de l’Ouest celtique ; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre côté de l’Europe, aux mar
41 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
52 et frappe une de ces notes d’éloquence à la fois sèche et profonde qui manquent trop souvent aujourd’hui, et par la faute d’
42 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
53 vaille. Alors le colonel nous arrêtant d’un geste sec déclare : « Je vais vous le dire. L’énergie, c’est quelque chose qui
43 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
54 a mer. »117 Il vit aussi à Sils-Maria, dans l’air sec et la limpidezza des hauteurs, et il y termine la première partie de
44 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
55 la mer.43 » Il vit aussi à Sils-Maria, dans l’air sec et la limpidezza des hauteurs, et il y termine la première partie de
45 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
56 me pas dans les sciences et dans les spéculations sèches  ; il s’étend avec autant de succès jusqu’aux choses d’agrément, sur l
46 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
57 d’une inflexible discipline intime. Rien de moins sec , d’ailleurs, de plus vert que sa prose. Mais laissons ces questions d
47 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
58 ais l’horizon de cet art poétique me paraît aussi sec et gris que l’automne abstraitement évoqué par une ramure sèche et fr
59 que l’automne abstraitement évoqué par une ramure sèche et fragile devant la fenêtre contemplée par le vieux couple. Ces jeun
48 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
60 d’autres endroits) ni son accent (qui est dur et sec à Neuchâtel, aimable dans le pays de Vaud, plutôt vulgaire à Genève)
49 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
61 nt sa mort, décrit Paulhan comme « ce petit homme sec et ridé ». Tout le reste à l’avenant. La presse est allergique à tout
50 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
62 sonne ? Ces grands buissons, ces murets de pierre sèche , ces sentiers de troupeaux entre deux pâturages bosselés — ils me rap
51 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Conclusions sur l’avenir et la liberté de la culture
63 lle frappe une de ces notes d’éloquence à la fois sèche , dure et profonde qui manque trop souvent aujourd’hui, et par la faut
52 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
64 ne s’écrase sur une montagne ou ne tombe en panne sèche . » Première réaction devant ce texte : le gosse n’a pas une chance, s
53 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
65 ne s’écrase sur une montagne ou ne tombe en panne sèche . » Première réaction devant ce texte : le gosse n’a pas une chance, s
54 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
66 ceux d’un clou sur un caillou, un mélange de toux sèches ou rauques et de coups de pioches ou de marteau ». Pour lui, les glac
55 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
67 ’un coup, le soir du 15 avril, il note, rapide et sec à sa coutume : Arrivée à Paris… Il y a de la ressource pour la liber
56 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
68 Je répondrai par une énumération peut-être un peu sèche faute de temps. Je mentionnerai d’abord deux idées que j’ai lancées e