1 défenseur de la foi huguenote ; et plus haut des seigneurs dont certains furent cathares, Miramon, Cabrol et Vestric… Portrait d

2 ommes dont je descends exercèrent leurs droits de seigneurs , je garde encore un droit de rêve, d’imaginaire intimité. Voilà un pr

3 Au terme qu’il s’était fixé, le voici devant son seigneur . « Ton tableau ? » — « Qu’on m’apporte un rouleau, des pinceaux ». On

4 Au terme qu’il s’était fixé, le voici devant son seigneur . « Ton tableau ? » — « Qu’on m’apporte un rouleau, des pinceaux. » On

5 Au terme qu’il s’était fixé, le voici devant son seigneur . « Ton tableau ? » — « Qu’on m’apporte un rouleau, des pinceaux. » On

6 des communaux, désormais envahis par le bétail du seigneur au grand dam des paysans. D’où prolétarisation de ces derniers. Les e

7 ivrer, comme ouvriers agricoles, aux fermiers des seigneurs . Ces nouveaux seigneurs résident d’ordinaire à la ville, et ne connai

8 ricoles, aux fermiers des seigneurs. Ces nouveaux seigneurs résident d’ordinaire à la ville, et ne connaissent pas leurs justicia

9 onditions de vie tendait-elle à faire des anciens seigneurs de simples usufruitiers du sol, rendant inutile leur devoir de protec

10 nses. La réserve est exploitée directement par le seigneur , c’est-à-dire par les corvées et par des serfs (domesticité), ou sert

11 familles de serfs, à charge de redevances dues au seigneur . 67. Le salaire étant fixé au gré des parties. 68. Qui rétablit le

12 sait que les troubadours n’allaient que chez les seigneurs cathares, fort nombreux, et qui adoptaient cette hé­résie avec d’auta

13 n 1.Triomphe du roman, et ce qu’il cache «  Seigneurs , vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ?… » — Rie

14 ame élue. Mais en fait, il demeure le vassal d’un seigneur . D’où naîtront des conflits de droit, dont le Roman offre plus d’un e

15 morale féodale, le vassal est tenu de dénoncer au seigneur tout ce qui lèse son droit ou son honneur : il est « félon » s’il ne

16 e mariage, au xiie siècle, était devenu pour les seigneurs une pure et simple occasion de s’enrichir, et d’annexer des terres do

17 ommage se trouvent être précisément les cours des seigneurs hérétiques ? Il ne serait que trop facile de multiplier ces questions

18 ues l’histoire de nos mœurs… Qu’on se rappelle ce seigneur jaloux qui tue le troubadour favori de sa femme, et fait servir le cœ

19 at. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — « Messire, répond la dame, vous m’avez donné à m

20 er courtois donnait souvent à sa Dame le titre de seigneur au masculin : mi dons (mi dominus) et en Espagne : senhor (non senhor

21 s bandes armées qui guerroyaient alors contre les seigneurs autrichiens, et devient bientôt Rottmeister, c’est-à-dire quelque cho

22 il homme. un héraut. l’abbé d’Einsiedeln. deux seigneurs . Diesbach. Hornek. l’astrologue de Berne. le récitant. gra

23 ! Le village est plein comme une arche. Nos beaux seigneurs et les paysans, veau, vache, cochon, couvée, tout ronfle ensemble. Tu

24 queue que pour la tête de ce cortège ! Ces beaux seigneurs et princes de l’Église s’entendent comme larrons en foire avec ceux q

25 (Deux personnages de la suite s’avancent.) 1er seigneur . —  Depuis longtemps, nous nous disputons à ton sujet. Lui prétend qu

26 ils, ceux-là ? Voilà la chose qui m’étonne. 2e seigneur . —  Si tous les pauvres étaient comme toi, bon frère, ils ne songerai

27 t celui-là qui fait des guerres ! Je vous le dis, seigneurs  : la Suisse est menacée par de perfides séducteurs ! Ils vous feront

28 loin que ton pouvoir est grand, frère Claus ! Les seigneurs eux-mêmes te redoutent ! Voici notre requête fraternelle : sois notre

29 las en prière.) Quel souci vous amène en ce lieu, seigneur  ? Diesbach. —  Chargé d’une mission de très haute importance, je s

30 is, tu nous avertissais ! Nicolas. —  Parlez, seigneurs , et je vous répondrai, au nom de Dieu qui nous entend, et de mon peup

31 et tonnes d’or ! Ne tentez pas les Suisses, beaux seigneurs  ! Hornek. —  Nous n’offrons que la paix. Pourquoi parler de tentat

32 adeurs de Venise et de la Savoie, chacun suivi de seigneurs et de valets. Les têtes des quatre cortèges finissent par se rencontr

33 rde des hommes, vous accueille aujourd’hui, chers seigneurs , dans ce pays qui domine vos plaines ! (Aux Suisses.) Allez dire à no

34 n 1.Triomphe du roman, et ce qu’il cache «  Seigneurs , vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ?… » Rien

35 ame élue. Mais en fait, il demeure le vassal d’un seigneur . D’où naîtront des conflits de droit, dont le Roman offre plus d’un e

36 morale féodale, le vassal est tenu de dénoncer au seigneur tout ce qui lèse son droit ou son honneur : il est « félon » s’il ne

37 e mariage, au xiie siècle, était devenu pour les seigneurs une pure et simple occasion de s’enrichir, et d’annexer des terres do

38 r de ce que pensaient, croyaient et sentaient les seigneurs aux dépens desquels ils vivaient ? On a rétorqué à cela que les premi

39 articulièrement accueillantes, étaient celles des seigneurs demeurés orthodoxes : mais cette observation n’est pas toujours exact

40 ues l’histoire de nos mœurs… Qu’on se rappelle ce seigneur jaloux qui tue le troubadour favori de sa femme, et fait servir le cœ

41 at. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — » Messire, répond la dame, vous m’avez donné à m

42 er courtois donnait souvent à sa Dame le titre de seigneur au masculin : mi dons (mi dominas) et en Espagne : senhor (non senhor

43 n 1.Triomphe du roman, et ce qu’il cache «  Seigneurs , vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ?… » Rien

44 ame élue. Mais en fait, il demeure le vassal d’un seigneur . D’où naîtront des conflits de droit, dont le Roman offre plus d’un e

45 morale féodale, le vassal est tenu de dénoncer au seigneur tout ce qui lèse son droit ou son honneur : il est « félon » s’il ne

46 e mariage, au xiie siècle, était devenu pour les seigneurs une pure et simple occasion de s’enrichir, et d’annexer des terres do

47 r de ce que pensaient, croyaient et sentaient les seigneurs aux dépens desquels ils vivaient ? On a rétorqué à cela que les premi

48 articulièrement accueillantes, étaient celles des seigneurs demeurés orthodoxes : mais cette observation n’est pas toujours exact

49 ues l’histoire de nos mœurs… Qu’on se rappelle ce seigneur jaloux qui tue le troubadour favori de sa femme, et fait servir le cœ

50 at. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : « Messire, répond la dame, vous m’avez donné à man

51 er courtois donnait souvent à sa Dame le titre de seigneur au masculin : mi dons (mi dominus) et en Espagne : senhor (non senhor

52 r la première fois de la domination médiévale des seigneurs , leur armée a été un groupement de citoyens libres, possédant chacun

53 ur une région dépeuplée du Japon, en invitant les seigneurs de Tokyo à visiter les lieux dans l’heure suivante ? Ils auraient eu

54 ur une région dépeuplée du Japon, en invitant les seigneurs de Tokyo à visiter les lieux dans l’heure suivante ? Ils auraient eu

55 défenseur de la foi huguenote ; et plus haut des seigneurs dont certains furent cathares, Miramont, Cabrol et Vestric… Portrait

56 ommes dont je descends exercèrent leurs droits de seigneurs , je garde encore un droit de rêve, d’imaginaire intimité. Voilà un pr

57 que chacun, selon sa condition, doit rendre à son seigneur . Et nous statuons et ordonnons d’un accord unanime que nous ne reconn

58 ait d’une force armée apte à tenir en respect les seigneurs voisins. Ainsi fut constitué un noyau primitif de quatre cantons. Il

59 es étaient des « hommes libres », certes, mais le seigneur restait un seigneur sur ses terres et plusieurs des cantons possédaie

60 mes libres », certes, mais le seigneur restait un seigneur sur ses terres et plusieurs des cantons possédaient des bailliages, q

61 cemment que l’armée des Habsbourg se composait de seigneurs venus de presque tous les pays d’Europe. Le fait s’explique par la ru

62 Beaucoup aussi revenaient mariés à des filles de seigneurs étrangers. L’aristocratie suisse devint ainsi l’une des plus internat

63 avoir été longtemps soumis à leurs « magnifiques seigneurs  » alémaniques en tant que bailliages, ils se rattachent naturellement

64 r des centaines de génies inspirés et de moindres seigneurs parfois plus réalistes, les écrivains, savants, hommes politiques, hi

65 d’années après l’ouverture du col. Au nombre des seigneurs entreprenants qu’il fallait empêcher de dominer la route figuraient e

66 ne sorte de devoir littéralement « religieux » du seigneur . Dans la nuit, sous le masque, hors la loi ou sacré, « l’homme sans n

67 ’empêcher Zerline de succomber aux entreprises du seigneur  ; pour Zerline, c’est de succomber ; et pour Don Juan de conquérir. I

68 public européen par les soins de Joseph Bédier : Seigneurs , vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ? Seigneu

69 il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ? Seigneurs et dames ici présents, vous répondez tous dans vos cœurs : Rien au mo

70 ne sorte de devoir littéralement « religieux » du seigneur . Dans la nuit, sous le masque, hors la loi ou sacré, « l’homme sans n

71 ’empêcher Zerline de succomber aux entreprises du seigneur  ; pour Zerline, c’est de succomber ; et pour Don Juan de conquérir. I

72 ent)… se rapporter à l’arbitrage des Potentats et Seigneurs souverains : Ce faisant ils gaigneroient l’amitié de leurs semblables

73 tait le complément de leur éducation ; les jeunes seigneurs fraîchement sortis d’Oxford et de Cambridge, bien pourvus de guinées

74 cs et des princes, des évêques, des comtes et des seigneurs , des nobles et des gens libres, auxquels se joignirent plus tard à me

75 l est : ils ont senti qu’ils avaient à faire à un seigneur , à un héros, mais aussi à un homme d’esprit délié et élevé. On n’imag

76 leur donnent des franchises qui les libèrent des seigneurs environnants et du clergé. Le duc Conrad est investi par l’empereur d

77 tiennent à garder libre de toute intervention des seigneurs locaux la route la plus courte joignant les deux moitiés du Saint-Emp

78 Des propriétaires et paysans ne relevant pas des seigneurs , et qui sont ou se disent socialement les égaux de la noblesse, laque

79 ue les Bernois sont en train de conquérir sur des seigneurs locaux. La confédération des Huit cantons, ainsi formée par six pacte

80 c n’était pas composée d’« Autrichiens », mais de seigneurs et de bourgeois des régions et des villes voisines, tous ancêtres des

81 e, Fribourg, quelques anciennes lignées de petits seigneurs des campagnes environnantes s’unissent très tôt aux hommes nouveaux i

82 le Valais, tout couvert des demeures des Courten, seigneurs locaux, comtes du Saint-Empire et généraux en France, en Espagne, en

83 e nom de la Suisse, lié au mythe de Tell45. Et le seigneur de Ferney le sait aussi, qui aime à signer « Le Suisse Voltaire », bi

84 t toutes la même épreuve d’adresse imposée par un seigneur ou un tyran à un arbalétrier vantard et coléreux : il n’aura la vie s

85 t le mutisme désolé des forteresses féodales. Les seigneurs de la production industrielle fondent ici leur empire efficace, aux l

86 libérant, aboliraient le service militaire dû aux seigneurs . « Les révolutions sont venues, mais le lendemain de leur avènement,

87 était considérée par le poète-troubadour comme le seigneur à qui l’on devait l’obéissance, l’allégeance, la fidélité. Le troubad

88 l donnait ses vœux, comme le chevalier devant son seigneur . Il s’est produit à ce moment-là une extraordinaire évolution dans le

89 e ? Justement pas. Elle devenait la maîtresse, le seigneur . Ce qui s’est passé au xiie siècle, c’est que les femmes sont devenu

90 descend du château dans la plaine, du burg où le seigneur tenait sa cour au bourg (ou « borgho ») des bourgeois, qui tiennent c

91 it dans les cours, non dans les magasins. Or, les seigneurs , mais surtout leurs épouses, étaient généralement du côté de l’hérési

92 la cour de Tintagel « le roi l’établit maître et seigneur de son hôtel et de tout ce qu’il possède ». Or ici, sans la moindre t

93 cher guetteur de la tour Du jaloux, votre méchant seigneur Ennuyeux plus que l’aube Nous, en bas, nous parlons d’amour Grande pe

94 ès, du Minervois et du Lauragais, où vivaient des seigneurs cathares, les Cabaret, Pennautier, Miraval, Laurac, Saissac, Montréal

95 descend du château dans la plaine, du burg où le seigneur tenait sa cour au bourg (ou borgho) des bourgeois, qui tiennent conse

96 l’Empire », c’est-à-dire libérées du pouvoir des seigneurs voisins, dont les Habsbourg étaient les plus gênants. La Suisse est n

97 pas été modifiée par les grands de l’époque, les seigneurs puissants et redoutés, mais par de modestes troubadours dont quelques

98 ezia — puisqu’elle est chantée dans les cours des seigneurs du Midi — exalte la Femme, jusqu’alors négligée et méprisée ; elle la

99 nné plus tard à l’amante —, l’assimilant ainsi au seigneur féodal à qui le chevalier doit allégeance ; elle oppose au mariage « 

100 asse « inférieure », simple objet des plaisirs du seigneur . Il ne retiendra pas les valeurs qui « obligent » la vraie noblesse f

101 s autres (Savoyards) en guerre chronique avec les seigneurs de la haute vallée. Ces inter-relations complexes, souvent paradoxale

102 vient le garant de leurs libertés contre tous les seigneurs voisins. C’est ainsi que les trois « communes forestières » (Waldstät

103 écessaire pour faire face aux pays voisins et aux seigneurs ambitieux, tels les Habsbourg, mais pas plus. J’entends : assez de fo

104 organ, Carlo Schmidt, pour ne nommer que quelques seigneurs , mais aussi un archevêque représentant le Vatican, un évêque anglican

105 e ce soit donc celui d’un dictateur ou celui d’un seigneur voisin, qui serait tenté de faire main basse sur la cité, sur la comm

106 soi-même en s’affranchissant de la domination des seigneurs territoriaux. La création des universités à cette époque procède du m

107 italiennes qui devenaient des communes contre les seigneurs environnants : il désignait, comme le mot « nation », une espèce de s