1
Lucien Fabre, Le Tarramagnou (
septembre
1925)d Lucien Fabre, ingénieur, poète, chroniqueur scientifique, «
3
Les Appels de l’Orient (
septembre
1925)e Le xxe siècle s’annonce comme le siècle de la découverte d
5
Jean Prévost, Tentative de solitude (
septembre
1925)f « Dès que nous sommes seuls, nous sommes des fous. Oui, le
9
Otto Flake, Der Gute Weg (
septembre
1925)h Dans l’atmosphère trouble où s’agite l’Allemagne nouvelle —
10
liothèque universelle et Revue de Genève, Genève,
septembre
1925, p. 1163. i. Orthographié « Flasce » par erreur dans l’original
11
muno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (
septembre
1925)j M. Valéry Larbaud est vraiment un étonnant esprit. Pour pré
13
Henry de Montherlant, Les Bestiaires (
septembre
1926)x J’éprouve quelque gêne à porter un jugement littéraire sur
15
les voitures revenaient au pas des Cascine. Vers
sept
heures, il n’y en eut presque plus. Nous étions seuls sur le pavé qui
16
expérience folle le mène à une découverte sur les
sept
sens de laquelle il convient de méditer : la personne se dissout dans
17
on Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (
septembre
1930)bg On ne sait presque rien de Lautréamont, sinon qu’il s’appe
19
Avant l’Aube, par Kagawa (
septembre
1931)j Dire de ce livre qu’il ne ressemble à rien serait une louan
20
ant l’Aube de Kagawa », Foi et Vie, Paris, n° 30,
septembre
1931, p. 623-632. Une note précise : « Éditions “Je sers”, 1931. »
21
Alexandre, par Klaus Mann (
septembre
1932)h Ce n’est pas pour l’amour du laurier, mais pour l’amour de
23
Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (
septembre
1932)g Si dans tous les écrits de notre temps il est question de b
25
octobre 1932)a Le numéro « exceptionnel » du 8
septembre
de Candide nous apporte, pour l’anniversaire de la Marne, la mesure d
26
. Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou
sept
sur un bœuf jusqu’à ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en
27
. de Münchhausen, au bar des Vikings (Paris), fin
septembre
1931. » w. « La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) », N
28
. Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou
sept
sur un bœuf jusqu’à ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en
29
deux à Genève dans la matinée, une à Neuchâtel à
sept
heures du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui me
30
secondes de révolution — et le feu rouge — six ou
sept
secondes. Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’hom
31
ais-je cette nuit ? J’arrive au rendez-vous après
sept
ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte. Un rendez-vous dont
32
de l’Église allemande », Revue d’Allemagne du 15
septembre
1933. a. « Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth. Traduit
33
Rougemont donne une recension dans Foi et Vie en
septembre
1931. Kagawa sera également évoqué par Rougemont dans un article du S
35
Recherches philosophiques (
septembre
1935) s Ce recueil annuel n’a jamais mieux mérité son titre. Je ve
37
Paracelse, par Frédéric Gundolf (
septembre
1935)r Paracelse ne fut pas un mage, ou plutôt si l’on veut qu’il
40
Le Problème du bien (12
septembre
1936)l Couronnant une carrière d’auteur déjà longue — quarante-cin
41
n », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 726, 12
septembre
1936, p. 5. m. Une critique de l’ouvrage de Wilfred Monod paraît éga
42
étonner ». 63. Journal de voyage en Italie, 29
septembre
1786. 64. Pends-toi, brave Kérillis ! — et si les nazis savaient cel
43
s cela qu’il a battu tous les partis adverses, et
sept
millions d’électeurs communistes. Il a compris que la mystique était
44
s cela qu’il a battu tous les partis adverses, et
sept
millions d’électeurs communistes. Il a compris que la mystique était
46
geste m’a toujours coûté ». z. « Jean Blanzat,
Septembre
, Grasset », Esprit, Paris, n° 52, janvier 1937, p. 664.
47
ne saurait guère douter que le super-cycle de ces
sept
romans-cycles (Martin du Gard, Duhamel, Francis, Lacretelle, Chardonn
48
sérieux… Arrêtons-nous à ce chiffre sacré, à ces
sept
jours qui nous menèrent à la nouvelle année tandis que se découvraien
49
que cela s’est fait, qu’il y a là un bonheur… 22
septembre
1934. À… (Gard) Arrivés hier matin, par Nîmes. Déjà je ne sais plus c
50
transporter leur contenu à l’étage supérieur. 23
septembre
1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. L
51
rts de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25
septembre
1934 La traduction d’un considérable ouvrage allemand nous permettra
52
chons-là ». Ces cochons-là sont donc au nombre de
sept
ou huit. Il en totalise sept pour son compte, et sa dame fait le peti
53
nt donc au nombre de sept ou huit. Il en totalise
sept
pour son compte, et sa dame fait le petit appoint. Elle s’est « coupé
54
Mais voilà bien sa chance, ce sont les bottes de
sept
lieues ! Désormais il échappe à la vie, au voisinage et au dialogue.
55
e : ce Schlemihl éternel, ce symbole en bottes de
sept
lieues qui traverse encore notre vie, n’est-ce pas l’ombre de Chamiss
57
J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris
sept
sur mon pyjama dans l’espace de deux minutes, ce qui doit constituer
58
J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris
sept
sur mon pyjama dans l’espace de deux minutes, ce qui doit constituer
59
introduction à quelques témoignages littéraires (
septembre
1937)ak La place qu’il conviendrait de donner à la littérature, da
61
Martin Lamm, Swedenborg (
septembre
1937)al Je ne pense pas qu’il soit utile de parler dans Esprit de
63
pour ce pays-ci, tel que l’ont fait sa nature et
sept
siècles d’histoire : le point de vue du personnalisme. ⁂ La question
64
J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris
sept
sur mon pyjama dans l’espace de deux minutes, ce qui doit constituer
65
le en tempête de la mer vers le continent, depuis
sept
jours déjà, sans une seule heure d’interruption. Et cela doit durer d
66
sion de mauvaise humeur contre « le sort » depuis
sept
à huit mois que nous sommes dans l’île. Je n’étais pas fier. Ce matin
67
Deuxième partiePauvre province 22
septembre
1934. A… (Gard) Arrivés hier matin, par Nîmes. Déjà je ne sais plu
68
ansporter leur contenu à l’étage supérieur. 23
septembre
1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair
69
de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25
septembre
1934 La traduction d’un considérable ouvrage allemand nous permett
70
une sur dix-huit marche encore — et gagnent leurs
sept
francs par jour. Pendant ce temps, les hommes sont sur la place et pr
71
chons-là ». Ces cochons-là sont donc au nombre de
sept
ou huit. Il en totalise sept pour son compte, et sa dame fait le peti
72
nt donc au nombre de sept ou huit. Il en totalise
sept
pour son compte, et sa dame fait le petit appoint. Elle s’est « coupé
73
les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis
sept
ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie de miliciens rouges).
74
La passion contre le mariage (
septembre
1938)an Avertissement Les pages qui suivent sont extraites d’
78
nsion hitlérienne. À la lumière des événements de
septembre
, cette lecture prend une actualité vraiment bouleversante. Nous venon
79
xigences allemandes. Et c’est pourquoi, lorsqu’en
septembre
1938, l’Allemagne appuya sa revendication de menaces militaires, les
80
8, p. 231-256. Une note précise : « Voir Esprit,
septembre
: « La passion contre le mariage ». Ces deux essais sont extraits d’u
81
les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis
sept
ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie de miliciens rouges).
82
Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er
septembre
1939)b Tout ce que le Suisse romand moyen connaît de Nicolas de Fl
83
héâtre ? C’est dans cette idée que j’ai conçu, en
septembre
dernier, la légende dramatique qui sera joué — Dieu voulant ! — à l’E
85
France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (
septembre
1939)aq Ronsard évoquant les démons, Maurice Scève spéculant sur l
87
Puisque je suis un militaire… (
septembre
1939)d Puisque je suis un militaire, Il faut bien faire mon état.
89
Autour de L’Amour et l’Occident (
septembre
1939)as Mon cher Davenson, Votre article brillant, méditerranéen s
90
de L’Amour et l’Occident », Esprit, Paris, n° 84,
septembre
1939, p. 760-765. Une note précise avant la lettre : « Le dialogue qu
91
nsions de la Halle des Fêtes à Zurich. C’était en
septembre
1938. L’Europe entière allait mobiliser. Vous vous souvenez de cet ap
92
us vous souvenez de cet après-midi du mercredi 28
septembre
où les peuples prêtaient l’oreille guettant le tocsin de la guerre. C
93
loises de l’Exposition de Zurich. Mais le mois de
septembre
1939 nous apporta la catastrophe que septembre 1938 avait su écarter.
94
de septembre 1939 nous apporta la catastrophe que
septembre
1938 avait su écarter. C’était l’échec tragique de Nicolas et du mess
95
issance d’un drame (Noël 1939)s Le mercredi 28
septembre
de l’an dernier, au milieu de l’après-midi, je fus appelé au téléphon
96
anter ! On sait la suite : tout était prêt, quand
septembre
1939 vint détruire ce qu’avait engendré Munich. Ainsi ma pièce, née d
97
man des Sept Beautés, qui conte les aventures des
sept
jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-c
98
même que c’est au crépuscule que se révèlent les
sept
couleurs dont le grand jour faisait une seule lumière, trompeuse à fo
99
sujet d’un drame, qui sera représenté à Zurich en
septembre
, et pour lequel Arthur Honegger a composé une importante partition ch
100
vérité. La menace est sérieuse, les événements de
septembre
et toute la suite l’ont fait voir aux plus optimistes. En Russie, en
101
tocsin de la guerre civile. Nicolas. — Depuis
sept
ans je les avertissais. Mais ils ne m’ont pas écouté. Haimo. — C’
102
oman des Sept Beautés, qui conte les aventures de
sept
jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-c
103
même que c’est au crépuscule que se révèlent les
sept
couleurs dont le grand jour faisait une seule lumière, trompeuse à fo
104
atomique intercontinentale. De plus, un séjour de
sept
ans en Amérique m’a fait voir que le mythe de la Passion — dégradée e
105
oman des Sept Beautés, qui conte les aventures de
sept
jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-c
106
même que c’est au crépuscule que se révèlent les
sept
couleurs dont le grand jour faisait une seule lumière, trompeuse à fo
107
mplistes. Et l’on pourra changer le sens des mots
sept
fois par an, selon les besoins de la cause. C’est ainsi que tout réce
108
nt pleins de projets et d’espoirs, qui ont cru en
septembre
1939 que notre mobilisation allait ouvrir des possibilités d’action m
109
ieu la veut encore. Nous avons fait serment, le 2
septembre
, de défendre la Suisse jusqu’à la mort. Eh bien, il serait fou de mou
110
uglement des bourgeois qui s’obstinèrent jusqu’en
septembre
1939 à voir dans l’hitlérisme « un rempart contre le marxisme » ! (Ce
111
La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13
septembre
1940)ah Je comprends vos questions. J’y ai répondu dans une brochu
112
: raisons d’espérer », L’Essor, Genève, n° 18, 13
septembre
1940, p. 3. Précédé de la notice suivante : « Notre article sur la Li
113
le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à
sept
et même à huit, car tu ne sais pas quel malheur peut arriver sur la t
114
vérité. La menace est sérieuse, les événements de
septembre
et toute la suite l’ont fait voir aux plus optimistes3. En Russie, en
115
le des étudiants de cette ville. 3. Il s’agit de
septembre
1938 : « la paix de Munich ». 4. En Suisse, Emil Brunner (Der Mensch
116
mplistes. Et l’on pourra changer le sens des mots
sept
fois par an, selon les besoins de la cause. C’est ainsi que tout réce
117
rrer dans le même sac, comme semblait le faire en
septembre
1939 le manifeste intitulé « Nous sommes tous coupables ». Je veux di
118
pour ce pays-ci, tel que l’ont fait sa nature et
sept
siècles d’histoire : le point de vue du personnalisme. ⁂ La question
119
ra notre existence. Nous avons fait serment, le 2
septembre
, de défendre la Suisse jusqu’à la mort. Eh bien, il serait fou de mou
120
e ses héros, dans le récit intitulé Le Fanion des
sept
braves. Par les temps que nous vivons, une telle page prend une allur
121
conférence que M. Denis de Rougemont a donnée en
septembre
à Rio de la Plata, sous les auspices de l’Église évangélique de langu
122
urope : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (
septembre
1943)g I. — Le bon vieux temps présent Paris, 17 mars 1939 L
123
près, on ne le voyait pas… V. — Lisbonne 10
septembre
1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlantique
124
et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux
sept
collines oublie la guerre, oublie l’Europe. Dans quatre jours, nous e
126
nnerez pas la sensation du blanc en décrivant les
sept
couleurs. C’est pourquoi le langage de la vision ou de la foi, s’il é
127
La guerre est morte (5
septembre
1945)i La principale victime de la bombe atomique a été la guerre,
129
à la multiplication des journaux. New York, pour
sept
millions d’habitants, ne possède que neuf grands journaux ; Paris en
130
ossède que neuf grands journaux ; Paris en publie
sept
fois plus, qui, d’ailleurs, tirés sur deux pages, feraient, réunis en
131
ais-je cette nuit ? J’arrive au rendez-vous après
sept
ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte. Un rendez-vous dont
132
qui paraissent simultanément dans huit pays et en
sept
langues différentes. La Part du diable , dont deux versions différe
133
it sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21
septembre
1946)ae Lisbonne, 8 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense
134
et New York (21 septembre 1946)ae Lisbonne, 8
septembre
1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlantique
135
pas notre délai de grâce ! À bord de l’Exeter, 11
septembre
1940 Les derniers barrages traversés, la passerelle relevée, et nos p
136
Nous venons de passer, en quatre jours de voyage,
sept
contrôles différents de douane et de police. Secondés par la chance,
137
n réel et bien lui-même… En mer, nuit du 12 au 13
septembre
1940 Les derniers bateaux de la dernière ligne reliant l’Europe à l’A
138
nd vraiment bien qu’entre gens du même peuple. 17
septembre
1940 Chaque soir, les passagers se pressent devant la porte de la cab
139
sa définition, — avant qu’elle fût définitive. 18
septembre
1940 Comment prévoir l’issue de cette guerre, lorsqu’on a remarqué qu
140
« possible » serait donc la victoire anglaise. 19
septembre
1940 Un journaliste américain, qui revient de Paris, s’appuie au bast
141
aché dans l’eau, pour marquer mon approbation. 20
septembre
1940, en rade de New York Je me suis éveillé dans ma cabine moite ave
143
secondes de révolution — et le feu rouge — six ou
sept
secondes. Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’hom
144
ncle van der Kabel vient de mourir, et devant ses
sept
héritiers naturels, un notaire ouvre et lit le testament. La dernière
145
et vont reviendront et appartiendront à celui des
sept
de MM. mes Neveux qui, durant la demi-heure qui suivra la lecture de
146
Est-il permis d’en appeler aussi au précédent des
sept
églises d’Asie, possédant chacune leur ange ? Ou à la parole « Soyez
147
secondes de révolution — et le feu rouge — six ou
sept
secondes. Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’hom
148
les notes et réflexions que j’ai écrites pendant
sept
ans — et dont un certain nombre ont paru à leur date, réagissant à l’
149
onnement, quelque part à la frontière suisse, fin
septembre
1939 — Tu te rends compte ? dit un camarade. — Pas trop. Mais pour
150
le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à
sept
et même à huit, car tu ne sais pas quel malheur peut arriver sur la t
151
é. Bon. Nous verrons cela demain matin. Arriver à
sept
heures tapantes au bureau, surtout. Notre projet du 6 juin se précise
152
oments où tout peut arriver. 18 juin 1940 À
sept
heures précises au bureau. Sur ma table une note me priant de passer
153
u’elles jouèrent dans le même sens. Le 20 août, à
sept
heures du matin, je prenais la route de Lisbonne. 5. On se rappelle
154
ui vibre au vent chaud de la mer… Lisbonne, 10
septembre
1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlanti
155
et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux
sept
collines renie la guerre, oublie l’Europe. Demain nous embarquons pou
156
notre délai de grâce ! À bord de l’Exeter, 11
septembre
1940 Les derniers barrages traversés, la passerelle relevée, et no
157
licier. De Genève à Lisbonne, nous avons traversé
sept
contrôles différents de douane et de police. Secondés par la chance,
158
éel et bien lui-même… En mer, nuit du 14 au 15
septembre
1940 Les derniers bateaux de la dernière ligne reliant l’Europe à
159
vraiment bien qu’entre gens du même peuple… 17
septembre
1940 Chaque soir, les passagers se pressent devant la porte de la
160
définition, — avant qu’elle fût définitive. 18
septembre
1940 Comment prévoir l’issue de cette guerre, lorsqu’on a remarqué
161
ossible » serait donc la victoire anglaise. 19
septembre
1940 Un journaliste américain, qui revient de Paris, s’appuie au b
162
é dans l’eau, pour marquer mon approbation. 20
septembre
1940, en rade de New York Je me suis éveillé dans ma cabine moite
163
rait vérifiée à l’instant même ! New York, fin
septembre
1940 Ces histoires de visas et de passeports, j’y reviens, font ra
164
it l’herbe d’un marais. Buenos Aires, début de
septembre
1941 Un seul gratte-ciel, de vingt étages, mais il fait le profil
165
c’est déjà presque une routine… 1er août 1914, 2
septembre
1939. L’alerte de Munich, aussi. Et quel jour sommes-nous, aujourd’hu
166
conférence de Buenos Aires, des notes éparses. À
sept
heures, je me suis mis à écrire. Il est dix heures et j’ai devant moi
167
sur la plage, et nous l’avons ici. New York, 2
septembre
1942 Quoi de plus sale qu’une ville dont la foule transpire ? Il f
168
Nord, depuis quelques jours… Long Island, fin
septembre
1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à deux heures
169
secondes de révolution — et le feu rouge — six ou
sept
secondes. Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’hom
171
alme. Nous parlions peu et nous étions heureux. À
sept
heures une sourde explosion s’est longuement répercutée, venant du fo
172
ais-je cette nuit ? J’arrive au rendez-vous après
sept
ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte. Un rendez-vous dont
173
IIILe point de vue moral New York, fin
septembre
1945. J’ai quitté les bords de mon lac. J’ai perdu cette lenteur et c