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à l’état sauvage — la vraie. f. « Ce chien, ton
serviteur
, par Rudyard Kipling. Traduit de l’anglais par Jacques Valette (Paul
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ontestables : des rapports personnels de maître à
serviteur
, des rapports personnels de l’homme à la nature sous toutes ses forme
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ontestables : des rapports personnels de maître à
serviteur
, des rapports personnels de l’homme à la nature sous toutes ses forme
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que dans ses fonctions ecclésiastiques, l’idée du
serviteur
de la cité, c’est qu’en lui durait toute une race consacrée à la chos
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ns la mesure où cet orgueil déborde l’humilité du
serviteur
d’une grande cause, [ne] semble-t-il pas qu’il se transforme en une e
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it tailler en morceaux et enterrer par son fidèle
serviteur
. Mais celui-ci, impatient, ouvrit la tombe deux jours trop tôt. Parac
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Jusqu’au plaisir de se faire un peu voler par un
serviteur
agréable, que tous les deux ont pris soin d’avouer ! Certes, il y a t
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schéma hégélien de la dialectique du maître et du
serviteur
— de Man oppose des éthiques, des styles de vie, des conceptions d’or
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schéma hégélien de la dialectique du maître et du
serviteur
— de Man oppose des éthiques, des styles de vie, des conceptions d’or
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es entre bourgeois, ou maîtres, et prolétaires ou
serviteurs
, je la trouve fausse dans tous les cas concrets, dès que je sors des
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es entre bourgeois, ou maîtres, et prolétaires ou
serviteurs
, je la trouve fausse dans tous les cas concrets, dès que je sors des
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ce qui se passe dans le monde. Nos femmes et nos
serviteurs
en sont persuadés comme nous : on peut apprendre de leur bouche les r
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arfait dénuement avait fait de son corps l’humble
serviteur
de son âme ; plus d’obstacles à ses élans vers le Souverain Bien !… S
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i ; ici je veux rester Avec les vers qui sont tes
serviteurs
; ici, ici Je vais fixer mon repos éternel, Secouer l’influence des é
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une mission nouvelle, une vocation. Il devient le
serviteur
du Maître qui le libère. Ainsi, spirituellement et socialement, l’Égl
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seuil, regarde Nicolas.) Le chœur. Ô Dieu, ton
serviteur
élève la voix dans les ténèbres. Écoute-le ! Détourne le Malin qui rô
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m’environnent ! Ô mon Seigneur, as-tu trompé ton
serviteur
? (La lumière faiblit autour de Nicolas qui gravit la rampe. Dans un
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sans un mot ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Soutiens ton
serviteur
! (Chant des Compagnons, en sourdine.) Nicolas. — Écoute-moi ! Je
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rapidement.) Nicolas. — Dieu ! Pardonne à ton
serviteur
! Qu’ai-je fait ? Qui suis-je, moi, pour m’opposer à l’œuvre juste de
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arfait dénuement avait fait de son corps l’humble
serviteur
de son âme ; plus d’obstacles à ses élans vers le Souverain Bien !… S
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i ; ici je veux rester Avec les vers qui sont tes
serviteurs
; ici, ici Je vais fixer mon repos éternel, Secouer l’influence des é
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arfait dénuement avait fait de son corps l’humble
serviteur
de son âme ; plus d’obstacles à ses élans vers le Souverain Bien !… S
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i ; ici je veux rester Avec les vers qui sont tes
serviteurs
; ici, ici Je vais fixer mon repos éternel, Secouer l’influence des
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une mission nouvelle, une vocation. Il devient le
serviteur
du Maître qui le libère. Ainsi, spirituellement et socialement, l’Égl
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une mission nouvelle, une vocation. Il devient le
serviteur
du Maître qui le libère. Ainsi, spirituellement et socialement, l’Égl
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rs, — comme le dit leur nom grec : angellos ; des
serviteurs
à la fulgurante volée, dont la vitesse est celle de la pensée — c’est
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gers, — comme le dit leur nom grec, agellos ; des
serviteurs
à la fulgurante volée, dont la vitesse est celle de la pensée, et c’e
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ieu nous a chargé d’administrer, nous son indigne
serviteur
… C’est Satan qui a soufflé le conseil de prudence. Car vouloir conser
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gers, — comme le dit leur nom grec, agellos ; des
serviteurs
à la fulgurante volée, dont la vitesse est celle de la pensée, et c’e
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ieu nous a chargé d’administrer, nous son indigne
serviteur
… C’est Satan qui a soufflé le conseil de prudence. Car vouloir conser
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l, s’incline et prononce à mi-voix : « Je suis le
serviteur
du public, cela va sans dire. » C’est à cela qu’on donne la gloire. E
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s à personne. Le chrétien est en toutes choses un
serviteur
, et dépend de tout le monde ». L’édition française de ce petit traité
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IX : « Bien que libre en tout je me suis fait le
serviteur
de tous. » L’antithèse « arbitraire et artificielle » est donc de sai
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ontestables : des rapports personnels de maître à
serviteur
, des rapports personnels de l’homme à la nature sous toutes ses forme
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tes entre bourgeois ou maîtres, et prolétaires ou
serviteurs
, je la trouve fausse dans tous les cas concrets, dès que je sors des
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l, s’incline et prononce à mi-voix : « Je suis le
serviteur
du public, cela va sans dire. » C’est à cela qu’on donne la gloire. E
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que dans ses fonctions ecclésiastiques, l’idée du
serviteur
de la cité, c’est qu’en lui durait toute une race consacrée à la chos
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nes et beaucoup de meubles. Quand je sonne, trois
serviteurs
paraissent au fond de la pièce, devant une tenture sombre, sans nul b
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e corps endormis. (Quand je passe devant eux, mes
serviteurs
se lèvent à demi.) Dehors, dans l’ombre des arcades, des milliers de
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s n’avouent guère d’autre ambition que celle d’un
serviteur
de la cause collective, et ne donnent de l’individu qu’un portrait si
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omme maître de lui-même, afin qu’il soit mieux le
serviteur
de tous. » Quels qu’aient pu être les excès de l’« école nouvelle » à
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tandis que l’homme, faible et pâle, est l’humble
serviteur
de ces géants d’acier… J’admirais tristement ; il m’était impossible
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ivre selon la chair, mais rendez-vous par l’amour
serviteurs
les uns des autres20. » Ainsi, c’est dans la liberté de chaque indivi
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tandis que l’homme, faible et pâle, est l’humble
serviteur
de ces géants d’acier… J’admirais tristement ; il m’était impossible
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t ainsi envoyé le plus ancien et confident de ses
serviteurs
et celui sur lequel lui-même pouvait prendre le plus de confiance. Su
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ce qui se passe dans le monde. Nos femmes et nos
serviteurs
en sont persuadés comme nous : on peut apprendre de leur bouche les r
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homme maître de lui-même afin qu’il soit mieux le
serviteur
de tous », écrivait Alexandre Vinet, et il est significatif que cette
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n ne dit pas, en Suisse : « Un tel a été un grand
serviteur
de l’État. » Pourquoi servir l’État ? C’est lui qui est un service. L
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ourd’hui l’imagination de la plupart des « grands
serviteurs
de l’État ». Mais cela aussi pose un nouveau problème : les délais né
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tôt en majesté, — toute la prière « Mon Dieu, ton
serviteur
» — tantôt par un lyrisme aérien, alpestre, cristallin, comme dans le
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neau, gage de l’allégeance du chevalier désormais
serviteur
. (« O belle, ô aimable Sagesse… ah ! puisse mon âme recevoir de Vous
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ent aujourd’hui l’imagination de la plupart des «
serviteurs
de l’État ». Mais cela aussi pose un nouveau problème : les délais né
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en 1961, « l’état, sans majuscule, doit rester le
serviteur
de la société, et non point s’ériger en son maître. Pour cela, il imp
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orsque Frédéric II déclare : « Je suis le premier
serviteur
du roi de Prusse », on pourrait admirer le sens civique dont ces deux
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les vertus d’un notable le qualifient de « grand
serviteur
de l’État » : cela suppose un État-dieu, non pas service. De la royau
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égional, ou continental, dont il devait rester le
serviteur
. Le pire État est celui qui prétend concentrer dans ses mains tous le
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ple souverain et devant lui seul, dont il sera le
serviteur
et non le prince. Mais pour l’exercice même de leur autogestion, les
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; mais, à l’Ouest, ces grands commis emperruqués,
serviteurs
exemplaires de celui qui aurait dit : « L’État, c’est moi ». Dans les
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le temps revenir en France : « Il a été un grand
serviteur
de l’État ». C’est l’État qui est un service ; on n’est pas serviteur
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». C’est l’État qui est un service ; on n’est pas
serviteur
de l’État. On peut et on doit être serviteur de la communauté, ce qui
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pas serviteur de l’État. On peut et on doit être
serviteur
de la communauté, ce qui est tout à fait différent. Ce terme de « com