1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 mer ? » « Quel est cet homme dont l’âme fait des signes solennels ? » Une voix lente aux méandres songeurs, une simplicité qu
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 t dans l’Église persécutée, le martyre devient le signe par excellence de la sainteté. Le peuple, encore païen, voit dans la
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 pure, vers ailleurs, vers autre chose. À certains signes — démences de fatigués, prophétismes, excessives lassitudes ou faim d
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
4 communier, il faudrait sans doute être né sous le signe du Taureau. Mais il sera pardonné à Montherlant beaucoup de défauts b
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
5 cette façade élevée lumineuse sur le ciel fut le signe d’un équilibre retrouvé. Un grand pont de fer, près de nous, érigeait
6 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 trice. Mais tu m’offrais un visage un peu crispé, signe d’une ironie secrète et pour moi douloureuse encore. Pitoyable, trop
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
7 rie des pleurs, Lors je baise votre main Comme on signe d’un faux nom. c. « Billets aigres-doux », Revue de Belles-Lettre
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
8 me trouvais tout près de vous. Mon ami me fit un signe discret, et déjà il se préparait à vous rendre attentive à ma présenc
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
9 haut : Les anges véritables qui connaissent les signes Sont moins bons acrobates… (etc.)… Cocteau s’est trop exercé avant d
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
10 sont taillés comme ceux de Giraudoux, j’y vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus jeune, lequel envoie l’un de ses
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
11 rise dans l’exploration ivre d’un projecteur, des signes fatidiques, le visage d’un ange. i. « Entr’acte de René Clair, ou L
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
12 nt supérieure. Car rien ne pouvait mieux exciter, signe d’aise extrême, vos glandes salivaires, pourtant si éprouvées par le
13 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
13 a-t-il se passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de quel occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez ce que vous pensiez
14 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
14 vilisation, — et je sais bien que c’est là un des signes de sa décadence. Il y a du chirurgien chez ce soldat devenu « scribe 
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
15 pour la littérature vous ferait bientôt renier le signe le plus certain par lequel ces « quelques-uns » peuvent encore se rec
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
16 uis, de temps à autre, voici que nous parvient un signe d’amitié qui ne trompe pas. Deux ou trois mots, on s’est compris. Que
17 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
17 se de ses livres1, sa popularité universelle sont signes que l’époque a senti en lui son incarnation la plus parfaite. Qu’on n
18 vec une paresse et une légèreté inouïes, c’est le signe d’une complicité avec un état de choses funeste pour l’Esprit. Si l’E
18 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
19 préparées pour leur soif. Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyamment dans ces li
20 des animaux aux yeux bizarres où je sais lire les signes . » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. M
21 destin est ailleurs. Il se met à m’expliquer des signes , des généalogies étourdissantes qui commencent à des dieux et finisse
19 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
22 ’un silence c’est le miroir d’une absence mais le signe de sa grâce Dans l’or vert évanouie au cœur éclatant du jour scinti
20 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
23 nous son silence particulier avant d’entendre les signes qu’il nous propose. Une telle poésie n’offre aux sens que peu d’image
21 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
24 itté par le feu se dessèche. Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’il donne aux visiteurs venus
25 table voisine, des adolescents balafrés font des signes énergiques à une compagnie de cavaliers qui passe devant la statue d’
22 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
26 is… Mais non, nous préférons voir ici l’un de ces signes qui de toutes parts annoncent une rentrée de l’âme dans la littératur
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
27 re : Monsieur en un mot est M’sieu l’Instituteur. Signes particuliers : cheveux longs, regard profond voilé de douceur. Car le
28 refuge pour l’imagination que ces initiales, ces signes , ces devises… —, les estampes piquées, Numa Droz et ses crottes de mo
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
29 en que nous en soyons-là, s’il faut en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes parts. Mais l’école empoisonne
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
30 u l’avouent. Car détruire, déblayer, et faire des signes dans le vide à des hasards gros de dangers, c’est peut-être à quoi no
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
31 refuge pour l’imagination que ces initiales, ces signes , ces devises… —, les estampes piquées, Numa Droz et ses crottes de mo
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
32 en que nous en soyons-là, s’il faut en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes parts. Mais l’école empoisonne
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
33 u l’avouent. Car détruire, déblayer, et faire des signes dans le vide à des hasards gros de dangers, c’est peut-être à quoi no
29 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
34 e à nos yeux les correspondances. Comprenons à ce signe qu’il nous transporte dans un monde plus hautement organisé, c’est-à-
35 éation. Il s’agit de maintenir cet effort sous le signe de la sobriété la plus rusée mais la plus amoureuse. L’audace et l’hu
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
36 , premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nation
37 . Voici le Prince Primat, les doigts levés. On se signe . Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc.
31 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
38 errant qui lui donna sa musique nationale17. Les signes parlent, et certains sages : nous entrons dans une ère égyptienne. Ma
39 Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes . Peut-être faut-il d’abord les découvrir tous par soi-même. Et c’est
32 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
40 grâce, ils échappent à cette fatalité qui est le signe du monde matériel. Je vois l’humanisme nouveau sous l’aspect d’une c
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
41 notre bonheur humain n’est-il en aucune mesure le signe de la vérité. Personne, peut-être, n’a répété avec autant de force qu
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
42 kegaard, — nous pouvons y attacher la valeur d’un signe . Kierkegaard sera pour beaucoup d’esprits en quête d’absolus, le maît
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
43 rti pris de « réalisme » littéraire, mais bien le signe d’une absence d’hypocrisie tout à fait insolite, et qui dans certains
44 rd qu’un être pose sur ses semblables, tel est le signe et la mesure certaine. Au cours d’un livre où il se peint, aux prises
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
45 os classiques… Pareille modestie est, d’ailleurs, signe de force : les critiques auxquels il adressa les lettres reproduites
37 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
46 s qui manqueront toujours aux œuvres nées sous le signe fatal du moralisme. La grande poésie naît du tragique et de la joie s
38 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
47 Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)c Il est remarquable que
48 i de la lenteur des choses. Cet art, le sujet des Signes parmi nous, par sa simplicité même, le met en valeur mieux que tout a
49 e aux pages », mais voici que de toutes parts les Signes paraissent sur la terre, les maladies, la famine, la révolte, la guer
50 es pose, et que précisément c’est l’esprit de ces Signes . Aussi serait-il bien insuffisant de dire d’une telle œuvre, datée de
51 a grande masse de ceux qui la vécurent. c. « Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (Grasset) », La Nouvelle Revue française,
39 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
52 confondre dans la même insignifiance, quoique de signes contraires. Poursuivant cette opposition au-delà de ces caractéristiq
53 ’au point que chacun de nos gestes — oui, même ce signe de la main — trahisse son immanente puissance. On voudrait dire — mai
54 ns le Fils pour agoniser sur la Croix, qui est le Signe de la condition humaine déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1. K
40 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
55 n, l’on en trouve dans toutes ses œuvres assez de signes irrévocables pour n’avoir plus besoin de solliciter les biographes. O
56 -t-il de plus agissant, dans une œuvre marquée du signe de la maturité, que cette présence rayonnante dont on devine chaque p
57 de repliement et de refus, si douloureuse que le signe en devient visible sur ses traits. Je ne me lasse pas de méditer ce v
41 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
58 end l’espoir éclatant de la révélation. La Croix, signe éternel de la contradiction et de l’« agonie », est au centre du mond
59 au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même de notre condition. Et lorsque nous disons le « monde-chrétien »
42 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
60 la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi. Il y a une contrepartie. Celui que hante le sen
61 d’août et souvenirs de nos enfances. Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’on
43 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
62 préparées pour leur soif. Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyamment dans ces li
63 des animaux aux yeux bizarres où je sais lire les signes . » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. M
64 n est ailleurs. Il se met alors à m’expliquer des signes , des généalogies étourdissantes qui commencent à des dieux et finisse
44 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
65 ndividu. Ici, plus qu’ailleurs, l’originalité est signe de sang mêlé. Ici comme ailleurs, il faut être conforme, au moins en
45 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
66 , premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nation
67 . Voici le Prince Primat, les doigts levés. On se signe . Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc.
68 errant qui lui donna sa musique nationale12. Les signes parlent, et certains sages : nous entrons dans une ère égyptienne. Ma
69 Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes . Peut-être faut-il d’abord les découvrir tous par soi-même. Et c’est
46 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
70 itté par le feu se dessèche. Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’il donne aux visiteurs venus
71 table voisine, des adolescents balafrés font des signes énergiques à une compagnie de cavaliers qui passe sur le pont devant
47 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
72 de nouveau se répondent, se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de cette matinée, la pensée s’abando
73 grise qui n’eussent pas mieux dit cela, — mauvais signe . J’ai pourtant dans la tête et dans la peau toute cette matinée d’air
48 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
74 a interminablement à table. — Cruauté franche est signe de santé.   Tacite prétend que l’élan est un animal aux jambes dépour
49 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
75 ais peu le savent. Peu savent le chemin qui va du signe à l’être. Longues pluies de printemps sur la campagne recueillie, tem
50 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
76 la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi. Il y a une contrepartie. Celui que hante le sen
77 ’août et souvenirs de nos enfances. Ce « soir des signes  » où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’o
51 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
78 e tenue. Ici, plus qu’ailleurs, l’originalité est signe de sang mêlé. Ici comme ailleurs, il faut être conforme, au moins en
52 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
79 , premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nation
80 . Voici le Prince Primat, les doigts levés. On se signe . Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc.
81 e errant qui lui donna sa musique nationale9. Les signes parlent, et certains sages : nous entrons dans une ère égyptienne. Ma
82 ’Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes . Peut-être faut-il d’abord les découvrir tous par soi-même. Et c’est
53 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
83 a interminablement à table. — Cruauté franche est signe de santéa. Ebo, l’aîné des fils, 19 ans, joue de l’accordéon dans sa
84 , termine ainsi la phrase : « Cruauté franche est signe de santé, dirait Nietzsche ». Nous signalons l’écart, probablement un
54 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
85 itté par le feu se dessèche. Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’il donne aux visiteurs venus
86 table voisine, des adolescents balafrés font des signes énergiques à une compagnie de cavaliers qui passe sur le pont devant
55 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
87 de nouveau se répondent, se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de cette matinée, la pensée s’abando
88 grise qui n’eussent pas mieux dit cela, — mauvais signe . J’ai pourtant dans la tête et dans la peau toute cette matinée d’air
89 là sa condition de possibilité ?) Mais elle m’est signe d’un certain état d’accueil aux choses, d’une rupture des enchaînemen
56 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
90 s baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes . Sédiments séculaires, socles de nos patries ! Monuments que l’on ne
91 nde, sans vibration ni courant d’air, et sans nul signe apparent de mouvement. Les uns écrivent, d’autres déjeunent. Je regar
92 vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe . (Comme les Américains paraissent bizarres, ici. Comme ils se mettent
57 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
93 tout de cet avis. Et je crois distinguer à divers signes que mes contemporains, sans se lasser du romanesque, découvrent que l
94 d’œuvre de « documentaire », mauvais roman… Autre signe  : les jeunes maisons, fondées depuis deux ans, se spécialisent de plu
58 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
95 de « causer un peu ». Qu’on les reconnaisse à ce signe  : dès qu’ils commencent à comprendre de quoi il s’agit, ils s’écrient
59 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
96 ue actuellement en vogue ? Est-ce au contraire le signe d’un renouveau organique, d’un afflux de sèves saines ? Ce visage étr
60 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
97 vise le monde religieux, qu’il soit placé sous le signe de Baal ou de Yaveh. » La Bible nous parle-t-elle de ces « expérience
61 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
98 le lui donne le droit de saisir le salut dont les signes sacrés sont le gage ? On est moins exigeant envers soi-même : il faud
62 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
99 moyens artistiques est toujours un assez mauvais signe dans une société décadente. Il est poussé à la manie par les suiveurs
63 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
100 La joie de l’homme, ou sa douleur, tels sont les signes de son existence concrète, cependant que l’angoisse est le signe de s
101 istence concrète, cependant que l’angoisse est le signe de son absence au monde et à soi-même. Dire que l’homme est, concrète
102 ication, laquelle doit être certifiée par quelque signe matériel. L’idée d’une personne isolée ou n’entretenant avec les autr
64 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
103 end l’espoir éclatant de la révélation. La Croix, signe éternel de la contradiction et de l’« agonie », est au centre du mond
104 au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même de notre condition. Et lorsque nous disons le « monde-chrétien »
65 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
105 er lentement des hommes qui se reconnaissent à ce signe invisible et certain : ce sont des hommes, si grands qu’ils soient pa
66 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
106 end l’espoir éclatant de la révélation. La Croix, signe éternel de la contradiction et de l’« agonie », est au centre du mond
107 au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même de notre condition. Et lorsque nous disons le « monde-chrétien »
67 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
108 er lentement des hommes qui se reconnaissent à ce signe invisible et certain : ce sont des hommes, si grands qu’ils soient pa
68 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
109 notre âge. Il s’agit maintenant d’interpréter son signe . ⁂ Crainte et Tremblement, qui vient de paraître dans la belle colle
69 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
110 xe sur son compte qu’inquiet sur le mien. Mauvais signe pour un penseur qui a entrepris d’ébranler nos fondements. Si j’essai
70 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
111 laudel. État de l’élite française en 1935. Petits signes révélateurs d’une décadence que l’on n’arrêtera pas en augmentant les
112 ne. Leurs épreuves ne seraient-elles pas comme le signe de leur élection ? Ne seront-ils pas la race de fer qui sauvera l’Eur
71 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
113 as cet instant où Christ se révèle. C’est sous ce signe critique radical que nous plaçons les essais qui suivent. Nous avons
72 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
114 e chose de littéralement démesuré, un ensemble de signes abstraits : SDN, BIT, URSS, SFIO, CGT, NSDAP, un monstrueux complexe
115 il faut qu’elles demeurent posées comme un grand signe d’interrogation au-dessus de ce que j’ai à vous dire maintenant. Voca
73 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
116 cette démission de la personne23 est en effet le signe d’une castration psychique caractérisée. Il est troublant de constate
74 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
117 tour à Paracelse auquel nous assistons est un des signes marquants de ce temps-ci. Le symbole d’une révolution astronomique de
75 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
118 e est partout chez elle et partout reconnue à des signes certains — et qui donc aurait même l’idée d’un pavillon de la Richess
119 er nettement ? À coup sûr, il lui faut un palais, signe évident d’une « distinction » tout à la fois flatteuse et rassurante.
120 me de réserver à ces délirants pataquès, voilà le signe , plus certain que le « bolchévisme de salon », d’un abandon, voire d’
121 r suite, que la pensée n’est guère qu’un luxe — «  signe extérieur » de la richesse, ou d’une condition sociale privilégiée —
76 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
122 e d’intention quelconque. Quant à M. Frossard, il signe des décrets-lois. Enfin, il est toujours possible d’organiser des réu
77 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
123 oche de la fin du monde (Présence de la Mort, Les Signes parmi nous), mythe de l’or (Farinet), mythe du génie racial, mythe de
124 articipent de l’incarnation du mythe. ⁂ Voyez Les Signes parmi nous. Dans la simplicité de son sujet, ce récit réalise d’une m
125 aux pages » ; mais voici que de toutes parts les signes paraissent sur la terre, les maladies, la famine, la révolte, la guer
78 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
126 l’autorité réelle du pouvoir mécanique, à ce seul signe  : les meilleurs obéissent à l’autorité nouvelle, tandis que les prude
79 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
127 ce paradoxale et imprévue n’est-elle pas comme un signe , une promesse émouvante de l’unité future des chrétiens, par-delà les
80 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
128 ffrée précisément dans l’histoire ou l’action des signes visibles qui symbolisaient leur grandeur. Et l’histoire des mesures c
129 , le Führer s’il n’y a pas l’Empire populaire. Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein, c’est l’incarnation d’
130 les temps révolus, ou l’espace étranger, certains signes créés par d’autres pour des fins qui ne sont pas les nôtres. On ne re
81 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
131 n permanence dans les revues d’avant-garde est le signe d’une rupture de contact, d’un impuissant dépit, d’un profond pessimi
82 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
132 t que la confiance a cessé de régner. Et c’est le signe indubitable d’une décadence des lieux communs qui jusqu’alors avaient
83 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
133 ’offrir à la violence des affranchis, ce sont des signes qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux combats de gladiateur
84 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
134 on Constituée bien avant la Renaissance sous le signe de la raison utilitaire, la culture de la bourgeoisie a confondu tous
85 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
135 de cet ouvrage. Bornons-nous donc à l’examen d’un signe ou mieux d’un instrument qui fut commun à tous les ordres de la pensé
136 ns en « hommes latins », ce sont alors certains «  signes très simples » communs aux mœurs et aux coutumes [et au] langage, et
137 s met en garde contre cette interprétation. Les «  signes  » latins, selon lui, ne sont vraiment la mesure commune qu’en tant qu
138 il deviendra une rhétorique, un langage noble, le signe de la distinction des clercs. Et ce n’est plus la vigueur des pensées
86 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
139 n permanence dans les revues d’avant-garde est le signe d’une rupture de contact, d’un impuissant dépit, d’un profond pessimi
87 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
140 ussi bien qu’en URSS. Cet appel au miracle est le signe certain, sinon d’une mauvaise conscience, en tout cas d’un sentiment
88 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
141 ffrée précisément dans l’histoire ou l’action des signes visibles qui symbolisaient leur grandeur. Et l’histoire des mesures c
142 ou symboles de mesures communes. J’ai choisi ces signes à dessein aussi divers et précis que possible : l’Arche d’Alliance, l
143 hrer s’il n’y a pas une religion de la Nation. Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein, c’est l’incarnation d’
144 les temps révolus, ou l’espace étranger, certains signes créés par d’autres pour des fins qui ne sont pas les nôtres. On ne re
89 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
145 aires, Larousse même ! Je vous ai couverts de mes signes , cornés, grattés, glosés, aimés et truffés d’insolence. Celui qui veu
146 inactualité. Pourtant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine tolérance en est un autre — d’une paralysie dont le germe
147 ns le sang même des clercs aux mains débiles ! Le signe d’une angoisse devant le monde tel qu’il va — il faudrait dire tel qu
148 — il faudrait dire tel qu’on le laisse aller — le signe d’une angoisse très humaine, je le sais, et d’ailleurs plus bourgeois
149 médiocres en soi, et non moins graves en tant que signes , nous prouvent que l’élite établie a perdu le sens des hiérarchies ;
90 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
150 ion d’actions impossibles et flatteuses. L’un des signes les moins équivoques de cette rupture avec le concret, c’est l’abus d
151 e César, le Roi, le Dictateur, l’État : voilà des signes matériels de la mesure. Est-il possible de leur opposer dès maintenan
152 Est-il possible de leur opposer dès maintenant un signe aussi grandiose, aussi simple et aussi tangible ? Songeons qu’il a fa
153 i tangible ? Songeons qu’il a fallu, pour que ces signes apparaissent, un immense appel de l’esprit, une construction parfois
154 esure qu’il nous faut tout d’abord définir, et le signe naîtra ensuite. Or ce principe me paraît défini tout à la fois par la
155 ’au point que chacun de nos gestes — oui, même ce signe de la main — trahisse son immanente puissance. On voudrait dire qu’il
156 ns le Fils pour agoniser sur la Croix, qui est le signe de la condition humaine déchirée entre le temps et l’éternité. Enc
157 un ordre à une armée, allumer une cigarette… (le signe  : etc. convient à cet endroit). Il faudrait classer ces « actes » pro
158 ’abstraction n’est plus qu’une désincarnation des signes , et par là même elle tend à les rendre inefficaces, alors que son but
91 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
159 ance sans laquelle on ne peut gouverner. Voilà le signe indubitable d’une décadence des lieux communs qui jusqu’alors avaient
92 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
160 ’offrir à la violence des affranchis, ce sont des signes qui n’ont jamais trompé. Les dames romaines aux combats de gladiateur
93 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
161 on Constituée bien avant la Renaissance sous le signe de la raison utilitaire, la culture de la bourgeoisie a confondu tous
94 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
162 lture dans tous ses ordres23 ne sont-elles pas le signe qu’il y a place désormais dans sa visée pour autre chose que l’unique
95 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
163 de cet ouvrage. Bornons-nous donc à l’examen d’un signe ou mieux d’un instrument qui fut commun à tous les ordres de la pensé
164 ns en « hommes latins », ce sont alors certains «  signes très simples » communs aux mœurs et aux coutumes et au langage, et qu
165 s met en garde contre cette interprétation. Les «  signes  » latins, selon lui, ne sont vraiment la mesure commune qu’en tant qu
166 il deviendra une rhétorique, un langage noble, le signe de la distinction des clercs. Et ce n’est plus la vigueur des pensées
96 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
167 n permanence dans les revues d’avant-garde est le signe d’une rupture de contact, d’un impuissant dépit, d’un profond pessimi
97 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
168 ussi bien qu’en URSS. Cet appel au miracle est le signe certain, sinon d’une mauvaise conscience, en tout cas d’un sentiment
98 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
169 ffrée précisément dans l’histoire ou l’action des signes visibles qui symbolisaient leur grandeur. Et l’histoire des mesures c
170 ou symboles de mesures communes. J’ai choisi ces signes à dessein aussi divers et précis que possible : l’Arche de l’Alliance
171 hrer s’il n’y a pas une religion de la Nation. Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein, c’est l’incarnation d’
172 les temps révolus, ou l’espace étranger, certains signes créés par d’autres pour des fins qui ne sont pas les nôtres. On ne re
99 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
173 aires, Larousse même ! Je vous ai couverts de mes signes , cornés, grattés, glosés, aimés et truffés d’insolences. Celui qui ve
174 inactualité. Pourtant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine tolérance en est un autre — d’une paralysie dont le germe
175 ns le sang même des clercs aux mains débiles ! Le signe d’une angoisse devant le monde tel qu’il va — il faudrait dire tel qu
176 — il faudrait dire tel qu’on le laisse aller — le signe d’une angoisse très humaine, je le sais, et d’ailleurs plus bourgeois
177 médiocres en soi, et non moins graves en tant que signes , nous prouvent que l’élite établie a perdu le sens des hiérarchies ;
100 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
178 ion d’actions impossibles et flatteuses. L’un des signes les moins équivoques de cette rupture avec le concret, c’est l’abus d
179 e César, le Roi, le Dictateur, l’État : voilà des signes matériels de la mesure. Est-il possible de leur opposer dès maintenan
180 Est-il possible de leur opposer dès maintenant un signe aussi grandiose, aussi simple et tangible ? Songeons qu’il a fallu, p
181 t tangible ? Songeons qu’il a fallu, pour que ces signes apparaissent, un immense appel de l’esprit, une construction parfois
182 esure qu’il nous faut tout d’abord définir, et le signe naîtra ensuite. Or ce principe me paraît défini tout à la fois par la
183 ’au point que chacun de nos gestes — oui, même ce signe de la main — trahisse son immanente puissance. On voudrait dire qu’il
184 ns le Fils pour agoniser sur la Croix, qui est le signe de la condition humaine déchirée entre le temps et l’éternité. Enc
185 un ordre à une armée, allumer une cigarette… (le signe  : etc. convient à cet endroit). Il faudrait classer ces « actes » pro
186 ’abstraction n’est plus qu’une désincarnation des signes , et par là même elle tend à les rendre inefficaces. 95. Les marxiste