1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 es qualités de réalisation d’idées en faits ou en situations dramatiques. Je donnerai tous les essais de M. de Voguë sur l’âme sla
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
2 re de critique pratiqué par Fernandez. Périlleuse situation que la sienne, en effet, où l’on court le double risque de paraître t
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
3 ilisation des expressions courantes, maximum de «  situation  » des personnages obtenu avec un minimum de répliques ; enfin, un sty
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 hygiéniques en tous genres, instruction publique, situations acquises, sièges faits, autorités fondées sur la gloire et la sénilit
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
5 ose dire. Elle nous permet donc de considérer la situation sans fièvre, sans lamentations d’adieu.   On nous a parfois traités d
6 lent. Il reste à dire deux mots sur la paradoxale situation intellectuelle d’une revue d’étudiants comme la nôtre. D’un côté, en
6 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
7 uvre vaudevilliste qui use à tort et à travers de situations complètement démodées et d’intrigues usées jusqu’à la corde, jusqu’à
7 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
8 vre de poésie proprement romanesque, naissant des situations mêmes et non de dissertations lyriques à leur propos. Mais dans ce ro
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 certain degré d’intensité, un état d’âme crée une situation qui l’exprime — bien qu’on pense généralement le contraire. Il est tr
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
10 ouer une villa à Heidelberg ou à Séville quand la situation n’est plus tenable à Londres, et l’histoire continue, pour notre agré
10 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
11 otre génération. Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous devons de pouvoir trancher le débat sans risque
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
12 tant que la sienne ? Certes, hic et nunc, dans la situation du monde de 1932, en présence du déchaînement orgueilleux et misérabl
12 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
13 de s’y intéresser au lieu de s’intéresser à notre situation concrète, M. Nizan a tellement raison que son entreprise est suffisam
14 phes ne s’adressent jamais à tel homme dans telle situation quotidienne, répète M. Nizan. Et il propose Marx. Je demande en quoi
15 t les pensées concernent chaque homme dans chaque situation de sa vie de chaque jour, si cet appel n’a pas trouvé la seule répons
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
16 tentation — c’est la même violence — dans chaque situation existentielle. En sorte qu’il n’est pas de préférence définitive, c’e
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
17 t le mal ?   Telles sont les composantes de notre situation . Nous sommes là : n’y pouvant plus tenir longtemps ; ne pouvant accep
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
18 certain degré d’intensité, un état d’âme crée une situation qui l’exprime — bien qu’on pense généralement l’inverse. Donc, n’ayan
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
19 ments « pareils pour tous », non point avec votre situation d’usager perplexe ou anxieux. La bonhomie des mêmes employés intacte,
17 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
20 e politique possible, entre autres ! Comme si les situations humaines comportaient, en général, une solution chrétienne et des sol
18 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
21 2° La vision dialectique jetant l’homme dans une situation dramatique ; lui révélant le néant de ses idoles et la nouveauté inén
19 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
22 sse ». Car enfin si le paradoxe n’est pas dans la situation même de l’homme devant Dieu, notre foi est vaine et c’est perdre son
23 omme jeté par la révélation de la Parole dans une situation absolument nouvelle, dans un instant dont nulle morale ne peut prévoi
20 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
24 eprochent, maintenant, de vouloir sauvegarder des situations acquises, ou encore de vouloir « détourner les forces prolétariennes 
21 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
25 Mal préparées, dans la fièvre et le désespoir de situations économiques qui ne permettaient pas d’élaborer avec la lucidité néces
22 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
26 ier plan de la pensée théologique. C’est de cette situation profondément paradoxale, assumée dans sa tragique ironie, que le théo
27 tte puissance de sérieux, de prise au sérieux des situations humaines telles qu’elles sont, qui seule permet un humour souvent rud
28 sespoir. » 1. Albert Béguin, « Karl Barth et la situation de l’Église allemande », Revue d’Allemagne du 15 septembre 1933. a.
23 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
29 classes possédantes : les intellectuels. Par leur situation sociale, les fondateurs du socialisme scientifique contemporain, Marx
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
30 publique sont menacées ? La vérité, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seulement, maintenant, cela
31 ue nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de prétextes à refuser de prendre position, comme
25 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
32 ogie chrétienne rend compte de presque toutes les situations de ce livre ? Cette Loi qui nous condamne quoi que nous fassions, ce
26 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
33 fin la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle devant Dieu. Non seulement le chrétien pourra et devra co
27 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
34 ifiant de les entendre… Le seul avantage de cette situation , c’est qu’elle a quelque peu immunisé les fidèles contre les fausses
28 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
35 peut-être chancelant qui le jette à sa vocation. Situation initiale de l’humain ! Initiation au réalisme enfin total, qui est ce
29 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
36 n. « Nous avons perdu la guerre, Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le sacrifi
37 ques. Chez l’un et l’autre, on trouve ce goût des situations extrêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sauvagerie ou sa
30 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
38 s le temps de se cultiver, ils ne trouvent pas de situations … Arguments justes peut-être, pour certains, mais qui ne sont pas à l’
31 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
39 ’ignorance des nécessités pratiques de notre ère. Situation aussi néfaste pour les penseurs que pour les autres. La crise présent
32 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
40 humain. Le seul devoir des intellectuels, dans la situation qui nous est faite, c’est de rechercher l’homme perdu. C’est aussi là
41 llusion sur la portée immédiate de mon effort. La situation présente me l’interdirait, toute question de talent mise à part. Il e
42 viendrons d’une manière plus concrète à propos de situations précises — on peut en déduire ceci : La première tâche des intellectu
33 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
43 jugé par elle, — désillusionné ! C’est dans cette situation qu’ont été composés les essais qu’on va lire. Et si j’ose parler d’éq
34 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
44 publique sont menacées ? La vérité, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seulement, maintenant, cela
45 ue nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de prétextes à refuser de prendre position, comme
35 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
46 sons la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. La vocation d’un homme n’est pas un droit pour lui, mais
36 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
47 ns l’absolu, mais nous nous occupons, nous, de la situation présente de l’homme, et nous disons : tant que le minimum de vie n’es
37 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
48 fin la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle devant Dieu. Non seulement le chrétien pourra et devra co
38 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
49 out le mal ? Telles sont les composantes de notre situation . Nous sommes là : n’y pouvant plus tenir longtemps ; ne pouvant accep
39 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
50 es gardes mobiles s’ébranlèrent ? Pour résumer la situation en une formule, je dirai que ce fut le choc des « défenseurs de l’ord
51 ide apportée aux hommes réels, un à un, dans leur situation particulière. L’établissement de relations concrètes d’homme à homme,
40 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
52 u parti de gauche à penser le monde moderne et la situation concrète de la France en termes révolutionnaires et politiquement cré
41 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
53 ’ignorance des nécessités pratiques de notre ère. Situation aussi néfaste pour les penseurs que pour les autres. La crise présent
42 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
54 umain. Le seul devoir des intellectuels, dans la situation qui nous est faite, c’est de rechercher l’homme perdu. C’est aussi là
55 llusion sur la portée immédiate de mon effort. La situation présente me l’interdirait, toute question d’habileté mise à part. Il
56 viendrons d’une manière plus concrète à propos de situations précises — on peut en déduire ceci : La première tâche des intellectu
43 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
57 jugé par elle, — désillusionné ! C’est dans cette situation qu’ont été composés les essais qu’on va lire. Et si j’ose parler d’éq
44 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
58 publique sont menacées ? La vérité, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seulement, maintenant, cela
59 ue nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de prétextes à refuser de prendre position, comme
45 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
60 sons la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. La vocation d’un homme n’est pas un droit pour lui, mais
46 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
61 ns l’absolu, mais nous nous occupons, nous, de la situation présente de l’homme, et nous disons : tant que le minimum de vie n’es
47 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
62 fin la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle devant Dieu. Non seulement le chrétien pourra et devra co
48 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
63 out le mal ? Telles sont les composantes de notre situation . Nous sommes là : n’y pouvant plus tenir longtemps ; ne pouvant accep
49 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
64 es gardes mobiles s’ébranlèrent ? Pour résumer la situation en une formule, je dirai que ce fut le choc des « défenseurs de l’ord
65 ide apportée aux hommes réels, un à un, dans leur situation particulière. L’établissement de relations concrètes d’homme à homme,
50 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
66 u parti de gauche à penser le monde moderne et la situation concrète de la France en termes révolutionnaires et politiquement cré
51 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
67 t toujours usé, entraîne le devoir de modifier la situation dont ils se plaignent. Conséquence pour eux si nouvelle, qu’ils éprou
52 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
68 dans l’ordre, les moutons se sont apaisés, et la situation s’éclaircit. Voici venir le temps des vrais dangers, c’est-à-dire des
53 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
69 vie que chacun doit vivre à sa place, et dans sa situation . Mais en quoi le chrétien se distinguera-t-il donc de l’incroyant ?
54 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
70 ique, parfois aussi d’une turbulence maladive, la situation typique de l’éthos du bourgeois : l’isolation. Ses tentatives d’évalu
55 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
71 t. « Nous avons perdu la guerre, Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le sacrifi
72 ême sens de la fraternité tragique, même goût des situations extrêmes (tortures en prison, folie des combats à la mitrailleuse pre
56 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
73 Judée, de nous remettre tant bien que mal dans la situation de Pierre devant Jésus, bref, de nous rendre contemporains de Jésus-C
74 elle-même, ne peut nous conduire qu’à revivre la situation du brigand qui refuse. Christ, dans son temps, est le vis-à-vis absol
57 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
75 ne vocation. Et alors, nous voici placés dans une situation toute nouvelle. Nous n’avons plus à supputer nos chances, ni à décide
76 Où en sommes-nous ? j’ai répondu en rappelant la situation très précaire du chrétien dans la cité telle qu’elle est devenue. À l
77 cherché ce soir à vous décrire impartialement la situation  : il eût fallu beaucoup plus de nuances. J’ai cherché au contraire à
58 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
78 aliste. Les pages qu’Alexandre Marc consacre à la situation de la personne dans le temps paraîtront par endroits un peu sommaires
59 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
79 e mis en question. Il faut voir, en effet, que la situation qui donne lieu à la proposition qu’on vient de lire ne saurait être c
80 e inféconde, et au juste mépris des masses. V. Situation faite aux intellectuels a) le culte de l’esprit gratuit. La sures
81 ours hypocrites ne font en somme que célébrer une situation de fait. Je répète que celle-ci n’est devenue possible qu’en vertu d’
82 clercs. Ce ne sont pas les bénéficiaires de cette situation , politiciens ou affairistes, qui l’ont froidement calculée à seule fi
83 sant. Telle est la parabole du spirituel. VII. Situation des intellectuels dans la cité (suite) b) Les réalités qui se paye
84 osition de 1937, vu le désarroi général40 ; vu la situation culturelle créée par le décret de séparation de l’esprit et du corps,
85 eoise, visant à faire du clerc un inutile ; vu la situation économique inaugurée par le krach de Wall Street (1930) et nommée cri
86 e la vérité ? Valent-elles qu’on leur sacrifie sa situation de gouverneur ? Ces Juifs sont en émeute : voilà le fait. J’ai dit ce
60 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
87 La situation politique en France (octobre 1935)o 1. — Les partis bougent N
88 découvre qu’en somme il n’a pas de programme. La situation du monde est peut-être tragique. Celle de nos chefs de gauche est cer
89 donc pour détruire cette superstition ? o. « La situation politique en France », L’Ordre nouveau, Paris, n° 24, octobre 1935, p
61 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
90 ble sens historique et éternel du mot nunc —, une situation décisive, c’est-à-dire une situation qui exige de chacun de nous la c
91 nunc —, une situation décisive, c’est-à-dire une situation qui exige de chacun de nous la confession et la déclaration de ce qu’
62 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
92 t toujours usé, entraîne le devoir de modifier la situation dont ils se plaignent. Cette conséquence est pour eux si nouvelle, qu
63 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
93 isme et contre le dogmatisme, définit d’emblée la situation typique du penseur « libéral ». (Calvin disait : « libertin spirituel
94 orthodoxie et du libéralisme ? Mais revenons à la situation de départ de notre auteur. Contre l’un et l’autre adversaire — l’athé
64 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
95 qu’un peuple immense apprenait à les lire. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d’intérêts immédia
96 imes, alors que leurs fins sont hostiles et leurs situations de départ différentes, prouve que la mesure réelle, dans l’un et l’au
97 révèle à nous, comme un jugement porté sur cette situation . Je ne crois pas aux voix mystérieuses mais je crois à l’appel des fa
98 idérons les temps et les lieux où nous vivons, la situation précise qui nous est faite, et l’appel concret qui en résulte ; et ap
99 s railleries à l’adresse des États libéraux.   2. Situation qui nous est faite. Au terme du libéralisme, à l’origine des dictatur
100 me, à l’origine des dictatures, une seule et même situation matérielle : la misère. L’un des systèmes la redoute et la prépare, l
101 goisse et arbitraire, isolement, irréalité. Cette situation cosmique nouvelle est la vraie cause de la révolution mondiale, de l’
102 ment nos meilleures traditions, mais encore notre situation dans l’histoire contemporaine nous indiquent aujourd’hui plus clairem
65 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
103 ste en devenant antistalinien, il se met dans une situation qu’on ne peut comparer qu’à celle du chrétien anticlérical. Seulement
104 oser ? Ce n’est pas là toucher le fond réel de la situation historique. Et la droite, si elle était honnête, serait encore plus g
66 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
105 nt ceux de la nation et de son « honneur ». Cette situation dicte à Hitler les grandes lignes d’une action d’urgence. 1° Lutte co
67 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
106 livre dont on parle ». Et voilà, par exemple, une situation qui nous pose un problème réel ! Mais après tout, qu’est-ce qu’un pro
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
107 jourd’hui sur la culture est du même niveau. » La situation est-elle plus réjouissante en France ? Et ne faut-il pas craindre que
108 udié sérieusement les causes historiques de cette situation  : Henri de Man, dans l’Idée socialiste. Cet ouvrage fort compact, ind
109 la mesure vivante de la société rénovée. Mais la situation se renverse au siècle suivant, c’est-à-dire dès l’instant où la bourg
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
110 ne spirituelle, ou culturelle si l’on veut, de la situation intenable que révéla la Grande Guerre. Cela ne pouvait pas durer. Les
70 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
111 qu’un peuple immense apprenait à les lire. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d’intérêts immédia
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
112 rement apte à soutenir une action schématique. La situation de l’Allemagne en 1933 était exactement inverse. Elle ressemblait bea
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
113 imes, alors que leurs fins sont hostiles et leurs situations de départ différentes, prouve que la mesure réelle, dans l’un et l’au
73 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
114 révèle à nous, comme un jugement porté sur cette situation . Je ne crois pas aux voix mystérieuses, mais je crois à l’appel des f
115 nsidérons les temps, les lieux où nous vivons, la situation précise qui nous est faite, et l’appel concret qui en résulte ; et ap
116 et ils me déterminent, fût-ce même contre eux. 2° Situation qui nous est faite. — Au terme du libéralisme, à l’origine des dictat
117 me, à l’origine des dictatures, une seule et même situation matérielle : la misère. L’un des systèmes la redoute et la prépare, l
118 goisse et arbitraire, isolement, irréalité… Cette situation cosmique nouvelle est la vraie cause de la révolution mondiale, de l’
119 ment nos meilleures traditions, mais encore notre situation dans l’histoire contemporaine, nous indiquent aujourd’hui plus claire
74 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
120 e Toute œuvre qui ne met pas en question notre situation personnelle dans l’univers ne sert de rien à l’humanité, reste en deh
121 , pour parler un langage positif, de rétablir une situation désespérée qui fut notre douceur de vivre, mais qui sera la honte de
122 rienter activement vers elle. C’est donc de cette situation que nous partons. C’est parce qu’elle existe autour de nous, et nous
123 ent à un proverbe, pour sortir pratiquement d’une situation qui cependant posait une question réelle, exigeait un acte de choix,
124 té, il est grand temps d’au moins reconnaître une situation que nous pâtirions tous de voir tranchée par la seule brutalité des é
125 els. Et qu’est-ce qu’un problème réel ? C’est une situation qui n’a pas d’autre issue que l’acte personnel, ou le jugement transc
75 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
126 exemple notre mesure nouvelle, on peut décrire la situation d’où le mouvement résulte, ou la fin vers laquelle il tend, mais on n
127 mais son sens qu’en sous-entendant constamment la situation quand on parle de la fin, ou la fin quand on parle de la situation. S
128 n parle de la fin, ou la fin quand on parle de la situation . Sinon la description est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au
129 tre génération. (Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous devons de pouvoir trancher le débat sans risque
130 e leur rend bien. L’ignorance volontaire de cette situation est la seule garantie de ce qu’on nomme, par antiphrase, l’ordre bour
131 toujours son point d’appui dans le concret d’une situation  ; et il n’est pas non plus un conformisme, puisqu’il n’assume cette s
132 non plus un conformisme, puisqu’il n’assume cette situation que pour la renouveler, la recréer, et finalement la dépasser. Pourta
133 ou de l’auteur de romans policiers combinant des situations cataloguées. Il ne s’agit dans tous ces cas que de jouer sur un clavi
134 de jouer sur un clavier de mots, de gestes ou de situations que l’on n’a pas eu à inventer ou à recréer. Il ne s’agit que d’utili
135 on plus à de bons modèles. Et qu’il rappelle à la situation , au lieu de rappeler des sources. Que nos écrits figurent les microco
136 it et de l’éthique qu’elles nous imposent dans la situation où nous sommes, peut-être aurons-nous fait ce que devait faire notre
76 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
137 s un monde dépourvu de correspondances avec notre situation concrète. Ce n’est pas leur abstraction qui nous inquiète, loin de là
138 dans les choses un rapport nouveau instituant une situation irréversible ; et il est transcendant parce que dans ce rapport nouve
77 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
139 livre dont on parle ». Et voilà, par exemple, une situation qui nous pose un problème réel ! Mais après tout, qu’est-ce qu’un pro
78 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
140 jourd’hui sur la culture est du même niveau. » La situation est-elle plus réjouissante en France ? Et ne faut-il pas craindre que
141 udié sérieusement les causes historiques de cette situation  : Henri de Man, dans L’Idée socialiste. Cet ouvrage fort compact, ind
142 la mesure vivante de la société rénovée. Mais la situation se renverse au siècle suivant, c’est-à-dire dès l’instant où la bourg
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
143 ne spirituelle, ou culturelle si l’on veut, de la situation intenable que révéla la Grande Guerre. Cela ne pouvait pas durer. Les
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
144 qu’un peuple immense apprenait à les lire. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d’intérêts immédia
81 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
145 rement apte à soutenir une action schématique. La situation de l’Allemagne en 1933 était exactement inverse. Elle ressemblait bea
82 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
146 imes, alors que leurs fins sont hostiles et leurs situations de départ différentes, prouve que la mesure réelle dans l’un et l’aut
83 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
147 révèle à nous, comme un jugement porté sur cette situation . Je ne crois pas aux voix mystérieuses, mais je crois à l’appel des f
148 nsidérons les temps, les lieux où nous vivons, la situation précise qui nous est faite, et l’appel concret qui en résulte ; et ap
149 et ils me déterminent, fût-ce même contre eux. 2° Situation qui nous est faite. — Au terme du libéralisme, à l’origine des dictat
150 me, à l’origine des dictatures, une seule et même situation matérielle : la misère. L’un des systèmes la redoute et la prépare, l
151 goisse et arbitraire, isolement, irréalité… Cette situation cosmique nouvelle est la vraie cause de la révolution mondiale, de l’
152 ment nos meilleures traditions, mais encore notre situation dans l’histoire contemporaine, nous indiquent aujourd’hui plus claire
84 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
153 e Toute œuvre qui ne met pas en question notre situation personnelle dans l’univers ne sert de rien à l’humanité, reste en deh
154 , pour parler un langage positif, de rétablir une situation désespérée qui fut notre douceur de vivre, mais qui sera la honte de
155 ienter activement vers elle. C’est donc de cette situation que nous partons. C’est parce qu’elle existe autour de nous, et nous
156 ent à un proverbe, pour sortir pratiquement d’une situation qui cependant posait une question réelle, exigeait un acte de choix,
157 té, il est grand temps d’au moins reconnaître une situation que nous pâtirions tous de voir tranchée par la seule brutalité des é
158 els. Et qu’est-ce qu’un problème réel ? C’est une situation qui n’a pas d’autre issue que l’acte personnel, ou le jugement transc
85 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
159 exemple notre mesure nouvelle, on peut décrire la situation d’où le mouvement résulte, ou la fin vers laquelle il tend, mais on n
160 mais son sens qu’en sous-entendant constamment la situation quand on parle de la fin, ou la fin quand on parle de la situation. S
161 n parle de la fin, ou la fin quand on parle de la situation . Sinon la description est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au
162 tre génération. (Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous devons de pouvoir trancher le débat sans risque
163 e leur rend bien. L’ignorance volontaire de cette situation est la seule garantie de ce qu’on nomme, par antiphrase, l’ordre bour
164 toujours son point d’appui dans le concret d’une situation  ; et il n’est pas non plus un conformisme, puisqu’il n’assume cette s
165 non plus un conformisme, puisqu’il n’assume cette situation que pour la renouveler, la recréer, et finalement la dépasser. Pourta
166 ou de l’auteur de romans policiers combinant des situations cataloguées. Il ne s’agit dans tous ces cas que de jouer sur un clavi
167 de jouer sur un clavier de mots, de gestes ou de situations que l’on n’a pas eu à inventer ou à recréer. Il ne s’agit que d’utili
168 on plus à de bons modèles. Et qu’il rappelle à la situation , au lieu de rappeler des sources. Que nos écrits figurent les microco
169 it et de l’éthique qu’elles nous imposent dans la situation où nous sommes, peut-être aurons-nous fait ce que devait faire notre
86 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
170 ande misère de l’édition (22 février 1937)e La situation de l’écrivain moderne, telle que je la décrivais dans mon premier art
171 peut plus se payer de telles fantaisies. Ainsi la situation est telle qu’un éditeur, bon gré mal gré, se voit souvent contraint d
172 polémique fait apparaître assez clairement que la situation est sans issue directe. J’entends que nulle réforme légale ne suffira
87 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
173 us gravement qu’elle ne le croit, sans doute. Une situation si compromise ne se rétablira point par quelque truc, loi nouvelle ou
174 s problèmes. On ne manquera pas de me dire que la situation est loin d’être aussi grave chez nous qu’ailleurs. C’est vrai sans do
88 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
175 des bateaux neufs, etc. Un geste résume toute la situation  : c’est celui du coiffeur fameux, premier gagnant de la Loterie natio
176 politique : pour faire figure, pour acquérir une situation bien définie dans le corps social). Nous sommes méprisés dans la mesu
177 met en question, cela vous invite à comparer les situations … À cause de la solidarité humaine, probablement. — (Voilà pourquoi l’
178 la vérité telle quelle, surtout la vérité sur une situation matérielle. Il est entendu qu’on ne doit pas parler de « questions ma
179 tre idée. Vous avez l’air très satisfait de votre situation . Ce n’est fichtre pas le cas des vrais chômeurs ! — Ah, c’est vrai, j
180 on lui donne à lire ou à entendre. Il comprend sa situation , et ne voit pas que son journal est sans rapport réel avec cette situ
181 que son journal est sans rapport réel avec cette situation . Mais les intellectuels, dont le métier est de comprendre, dont le mé
182  : de ceux qui font les lois sans rien savoir des situations locales. Parfois ils proposeront quelque réforme pratique : faire de
89 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
183 vernement espagnol annonce qu’il est maître de la situation . Une semaine plus tard, il annonce qu’il est sur le point de s’en ren
90 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
184 orme d’une angoisse politique, c’est-à-dire d’une situation révolutionnaire. C’est à la faveur de cette situation révolutionnaire
185 ation révolutionnaire. C’est à la faveur de cette situation révolutionnaire que la vocation de notre pays pourra, d’un seul coup,
91 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
186 t) ; il faut « sauver la face » (c’est-à-dire les situations acquises). D’où cette espèce d’optimisme désarmant qui se manifeste d
187 xemple qui fait bien voir toute l’équivoque de la situation  : on a coutume, à droite et au centre, de vilipender le marxisme en l
92 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
188 if du général dans la vie réelle. Telle est notre situation — celle du monde bourgeois-capitaliste, mais aussi celle des dictatur
189 est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situation concrète et ses habits de tous les jours, sa maladresse et son étrang
190 raits — sans nul rapport à rien de ce qu’exige la situation locale, bien entendu. Les mêmes termes, d’ailleurs, à peu de choses p
93 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
191 si elle avait été écrite exprès pour moi, dans ma situation actuelle. Elle contient un double avertissement. D’une part, elle m’i
192 r un fainéant ou un rentier, quand on est dans ma situation , ou mieux, dans ce défaut de « situation » qui fait de moi, pour parl
193 dans ma situation, ou mieux, dans ce défaut de «  situation  » qui fait de moi, pour parler comme la presse, un « intellectuel en
194 dée les choses ne seraient pas si simples, que la situation matérielle était meilleure et demandait un développement tout différe
195 t ce désir de rapporter ce que j’avais dit à leur situation concrète. Esprit critique, méfiance intelligente des paysans, conscie
196 centralisation : qu’est-ce qu’ils savent de notre situation à Paris ? Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen de faire un mouvement pol
94 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
197 u désert. Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ailleurs excellente pour l’instant. Il nous reste encore de quo
198 jour que je m’intéresse à leurs « idées », à leur situation , à leurs problèmes, — et que j’en fais parfois la matière même de mon
199 à. Quand on en est à ne plus voir le prochain, la situation n’est plus humaine, elle ne pose plus de questions utiles.   2 juille
95 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
200 aginable, j’aimerais citer ici une seule de ces «  situations  » que Lagerlöf noue et dénoue dans chaque chapitre avec une prodigali
96 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
201 mon travail le plus réel, qui est d’écrire. Cette situation paradoxale m’a fait découvrir tout un monde. Elle m’a confronté au ré
97 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
202 s raisons de construire des Bastions de l’Est, la situation est bien plus favorable. Mais il faudrait savoir l’envisager dans sa
98 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
203 Elle est, très consciemment, conditionnée par la situation de l’Europe occidentale vers le milieu du xixe siècle, et par la vol
204 erme. Quelle était, du point de vue religieux, la situation qui se présentait à Marx ? C’était celle de la Restauration. Professe
205 que matériels, au service de l’État déifié. Cette situation n’est pas sans rappeler celle de l’Empire romain au premier âge du ch
206 pas. Il serait peut-être abusif de déduire d’une situation déterminée par la persécution brutale, que les églises calvinistes dé
207 conditions de ce mouvement sont données par cette situation  » (Marx, Deutsche Ideologie). 42. « Nous sommes tous membres les uns
99 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
208 u désert. Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ailleurs excellente pour l’instant. Il nous reste encore de quo
209 jour que je m’intéresse à leurs « idées », à leur situation , à leurs problèmes, — et que j’en fais parfois la matière même de mon
210 si elle avait été écrite exprès pour moi, dans ma situation actuelle. Elle contient un double avertissement. D’une part elle m’in
211 r un feignant ou un rentier, quand on est dans ma situation . — À ce propos : j’arrive au bout de mon petit rouleau, matériellemen
212 dée les choses ne seraient pas si simples, que la situation matérielle était meilleure et demandait un développement tout différe
213 t ce désir de rapporter ce que j’avais dit à leur situation concrète. Esprit critique, méfiance intelligente des paysans, conscie
214 centralisation : qu’est-ce qu’ils savent de notre situation à Paris ? Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen de faire un mouvement pol
215 e raisons de tous les ordres qui expliquent cette situation , et pourquoi elle ne changera guère… Mais il y a le travail au jardin
216 là. Quand on en est à ne plus voir le voisin, la situation n’est plus humaine, elle ne pose plus de questions utiles. 2 juill
100 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
217 des bateaux neufs, etc. Un geste résume toute la situation  : c’est celui du coiffeur fameux, premier gagnant de la Loterie natio
218 ent le soigner. Un bourgeois sans fortune et sans situation , à l’âge que j’ai, c’est une pitié ! Il est clair que je ne fiche rie
219 politique : pour faire figure, pour acquérir une situation bien définie dans le corps social.) Nous sommes méprisés dans la mesu
220 if du général dans la vie réelle. Telle est notre situation — celle du monde bourgeois capitaliste, mais aussi celle des dictatur
221 met en question, cela vous invite à comparer les situations … À cause de la solidarité humaine, probablement… — (Voilà pourquoi l’
222 la vérité telle quelle, surtout la vérité sur une situation matérielle. Il est entendu qu’on ne doit pas parler de « questions ma
223 tre idée. Vous avez l’air très satisfait de votre situation . Ce n’est fichtre pas le cas des vrais chômeurs ! — Ah ! c’est vrai,
224 est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situation concrète et ses habits de tous les jours, sa maladresse et son étrang
225 que, une idée qui ne peuvent être rapportées à la situation de l’homme prenant la Cène sont en dernier recours vaines et illusoir
226 raits — sans nul rapport à rien de ce qu’exige la situation locale, bien entendu. Les mêmes termes, d’ailleurs, à peu de chose pr
227 on lui donne à lire ou à entendre. Il comprend sa situation , et ne voit pas que « son » journal est sans rapport réel avec cette
228 « son » journal est sans rapport réel avec cette situation . Mais les intellectuels, dont le métier est de comprendre, dont le mé
229  : de ceux qui font les lois sans rien savoir des situations locales. Parfois ils proposeront quelque réforme pratique : faire de