1
e faiblesse, flamme d’une pureté si rare en notre
siècle
, qu’elle paraît parfois, lorsque la tourmente humaine ne la moleste n
2
embre 1925)e Le xxe siècle s’annonce comme le
siècle
de la découverte du monde par l’Europe intellectuelle. Grand siècle d
3
verte du monde par l’Europe intellectuelle. Grand
siècle
de critique pour lequel nos contemporains accumulent les documents. L
4
un nihilisme exaspérés, pour notre nouveau mal du
siècle
, il n’est peut-être pas de pensée plus vivante, ni de plus tonique qu
5
ms qui permettent, je crois, de parler d’un grand
siècle
littéraire irlandais ; ce que d’ailleurs Mlle Simone Téry ne fait pas
6
notion de « Saint » et son évolution au cours des
siècles
. Primitivement, le Saint est un homme que Dieu a mis à part par grâce
7
des doctrines, et qu’il n’existe pas d’esprit du
siècle
, hors un certain « confusionnisme ». Mais sous les épaves de tous les
8
qui est au-delà du calcul… Ce sera la passion du
siècle
». v. « Le Corbusier : Urbanisme (G. Crès, Paris) », Bibliothèque u
9
ures et loyales inquiétudes. Sincérité, le mal du
siècle
. Tout le monde en parle, et chacun s’en autorise pour excuser sa peti
10
encore un Musset, seulement transposé dans notre
siècle
et chez qui tout est devenu de quelques degrés plus violent, plus ace
11
enne ! Les œuvres les plus significatives de ce
siècle
sont écrites en haine de l’époque12. Le reproche d’obscurité que l’on
12
lle redevenir le centre artistique qu’elle fut au
siècle
passé ? Allons-nous assister à un regroupement de ses forces créatric
13
lliez le dire — aux surréalistes ? Si le mal du
siècle
consistait véritablement dans ces quelques effets, nous donnerions pe
14
rticle du Journal de Genève sur « La maladie du
siècle
», écrit : « Plante des pommes de terre, jeune homme ! Quand tu seras
15
ui représente quatre kilomètres de plantation, le
siècle
ne sera plus malade, les temps seront guéris de leur crise, les valeu
16
que sa civilisation poursuit depuis près de deux
siècles
, l’Occidental est saisi d’un étrange malaise. Il soupçonne, par éclai
17
te. La fête de la plus haute poésie. Mais dans ce
siècle
, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au do
18
ation ; et où la Démocratie peut se conserver des
siècles
encore… Or si je dis que l’École est contre le progrès, c’est que le
19
formidable expérience négative qui aura duré deux
siècles
au moins. L’évolution de l’humanité paraît conforme à la dialectique
20
les possibilités formidables que nous réserve le
siècle
à venir, et vous commencerez à comprendre que votre scepticisme à l’e
21
ation ; et où la Démocratie peut se conserver des
siècles
encore… Or si je dis que l’École est contre le progrès, c’est que le
22
formidable expérience négative qui aura duré deux
siècles
au moins. L’évolution de l’humanité paraît conforme à la dialectique
23
les possibilités formidables que nous réserve le
siècle
à venir, et vous commencerez à comprendre que votre scepticisme à l’e
24
libre proprement humain. Ainsi passèrent quelques
siècles
; ainsi passa le xixe . On le laissa installer ses machines : elles a
25
st déchirant en vérité, le chant d’orgueil que le
siècle
entonne pour annoncer son morne triomphe : « Vous n’avez pas su conju
26
us deux marchent de pair et aucun autre esprit du
siècle
ne les dépasse. On peut déplorer qu’une œuvre de cette envergure ait
27
en France et en Angleterre, aux xviiie et xixe
siècles
. (Librairie Dardel, Chambéry.) 23. Dans Essais et Analyses. (Crès, 1
28
létariat mondial, ni que nous ignorions que notre
siècle
est celui des meneurs. Mais le rare, c’est qu’un de ces meneurs écriv
29
mesure au pouvoir d’incarner sa vérité, le mal du
siècle
c’est l’impuissance. La proie de désirs divergents qui prennent rarem
30
et nous vaut une description inégalable du mal du
siècle
. Ici le mépris ne porte aucune atteinte à la perspicacité parce qu’il
31
radicalement contraire à notre foi originale. Le
siècle
, hélas, décorait du beau nom de libéralisme l’absence de toute exigen
32
mi. Morne triomphe de l’analyse psychologique. Un
siècle
de ce régime suffit à nous mener à ce trouble gâchis intérieur où Fre
33
lumière de l’observation scientifique. Reflet du
siècle
, le roman bientôt s’affaiblit à force de se compliquer, et tend à se
34
t qui comblait si doucement la débilité morale du
siècle
! Elle en figura tout ensemble le « bon goût », la mesure, et la supr
35
scendre au social, si l’on accepte l’héroïsme. Un
siècle
bourgeois comme fut le dernier, n’osait imaginer de « réalisation » q
36
ui ait divisé le xixe . Tous les autres débats du
siècle
perdent leur aiguillon si on les y compare ; et se réduisent bien sou
37
lière que les ennemis du christianisme, depuis un
siècle
, le revendiquent comme leur plus grand païen. Les fragments des Conve
38
de l’assumer. Un acte de présence à la misère du
siècle
, une présence enfin qui soit un acte : car pour nous désormais la Rév
39
upes un véritable acte de présence à la misère du
siècle
, assez nouveau parmi les intellectuels, et si violemment accentué qu’
40
te. La fête de la plus haute poésie. Mais dans ce
siècle
, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au do
41
es auteurs les plus constamment provocants de son
siècle
, — il faudra s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls crus german
42
on la plus concrète de l’égarement des esprits au
siècle
dernier. Qui dit style d’abord dit sacrifice à une vue de l’esprit. Q
43
, dominant sur ces marches de l’Europe depuis des
siècles
, mais séculairement menacés par l’Asie : ils lui résistent par leur p
44
on la plus concrète de l’égarement des esprits au
siècle
dernier. Qui dit style d’abord dit sacrifice à une vue de l’esprit. Q
45
, dominant sur ces marches de l’Europe depuis des
siècles
, mais séculairement menacés par l’Asie : ils lui résistent par leur p
46
te. La fête de la plus haute poésie. Mais dans ce
siècle
, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au do
47
s auteurs les plus constamment provoquants de son
siècle
, — il faudra s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls crus german
48
. Il faut entrer résolument dans le grand jour du
siècle
mécanique, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut
49
nt de la foule de l’Arc aux Chevaux de Marly, les
siècles
de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale
50
hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un
siècle
, en direction d’une beauté oubliée. Plus Suisse que nature 7 avril
51
nes les plus modestes, et tenues depuis plusieurs
siècles
pour une beaucoup plus grande proportion d’habitants que dans d’autre
52
logerie fine retardait sans espoir sur l’heure du
siècle
, avancée pour le reste de l’Europe par la Révolution, puis par l’Empi
53
es de la communauté qu’elle a servie pendant cinq
siècles
. Dans l’ascendance directe de mon père, je trouve d’abord, dès la Réf
54
tice, soit d’église ; et entre-temps plus de deux
siècles
de participation continuelle au gouvernement du pays. Au xixe siècl
55
’exercèrent sur notre Suisse romande aux derniers
siècles
. Je note pourtant que l’un des traits qu’ont en commun presque toutes
56
ons héréditaires, du rôle social tenu pendant des
siècles
? Si mon père incarnait à mes yeux, jusque dans ses fonctions ecclés
57
mais prolongés par l’acte de piété à la durée des
siècles
écoulés et futurs de ce « pays que Dieu nous donne ».
58
lus, relus, et de bon choix, accumulés depuis des
siècles
dans les maisons publiques et privées ; pour tant de livres publiés,
59
un jour quelqu’un qui chante, ou crie, après des
siècles
où nul n’a prononcé un mot plus haut que l’autre, ou plus bas, de plu
60
chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
siècles
de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le
61
» est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce
siècle
de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a de rupture p
62
esprit. On sait ce que c’est que l’esprit, en ce
siècle
! Il a été admirablement défini par la Sorbonne, entre autres. 7. T
63
se française devant l’Allemagne »] », La Revue du
siècle
, n° 2, mai 1933, p. 7-9. Précédé de la notice suivante : « Nous somme
64
ntrer en force dans un monde abandonné depuis des
siècles
à l’oppression des déterminismes collectifs, cette démission constitu
65
e, afin de se retrouver plus tard, après quelques
siècles
sans doute, rajeuni et purifié. Cela n’est point leur goût, disent-il
66
Le malaise De même que le « spiritualisme » du
siècle
dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce siècle, de mê
67
r mérite et conditionne le « matérialisme » de ce
siècle
, de même que cette séparation de l’esprit et de la matière dénature e
68
est née la présente corruption du travail. Notre
siècle
ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs
69
dra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le
siècle
d’égarement que nous tentons maintenant de solder. Un siècle de machi
70
arement que nous tentons maintenant de solder. Un
siècle
de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que
71
ricien spirituel et serein de la sagesse du grand
siècle
, sous le coup de la question capitale qu’on voudrait poser sous cette
72
ration intégrale d’une dogmatique appartenant aux
siècles
passés » (p. 14), à propos d’une théologie dont le travail systématiq
74
’homme, du destin de l’homme en face du destin du
siècle
, tout se simplifie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus, nous pos
75
r le mot simple, qui me paraît caractériser notre
siècle
. On dit le contraire un peu partout, je le sais bien. On répète que l
76
le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du
siècle
! Expression curieuse et bien moderne ! Si nous y regardons de près,
77
le simple assemblage de ces deux mots, destin et
siècle
, contient peut-être le secret de tout le mal dont nous souffrons. Il
78
ître, de poser cette simple question : comment un
siècle
peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de destin que personne
79
ion. Si l’on admet facilement de nos jours, qu’un
siècle
ait un destin, c’est que l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte
80
collectifs. Je m’explique. Quand nous disons : le
siècle
, le xxe siècle par exemple, nous entendons par là une réalité histor
81
resque tous de nature collective. L’histoire d’un
siècle
, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des peuples, de
82
génies, par exemple. Quand nous disons destin du
siècle
, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du cap
83
u capitalisme, destin du machinisme. Le destin du
siècle
, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — des abstrac
84
udes, les intentions secrètes, les destins. Notre
siècle
, en tant que siècle, est athée, totalement athée, et consciemment ath
85
secrètes, les destins. Notre siècle, en tant que
siècle
, est athée, totalement athée, et consciemment athée. Mais, en même te
86
divinités maîtresses de cette première moitié du
siècle
. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous prouvent abondamm
87
inées par notre classe [ou] notre race. Destin du
siècle
contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en cette année
88
millions de nos contemporains dans les destins du
siècle
, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin particulier et l
89
par exemple, sur le développement économique des
siècles
passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénologues. Ce son
90
ux, nous ne saurions pas grand-chose des dieux du
siècle
, et peut-être aurions-nous un peu plus d’attention pour les vrais pro
91
out, il est tout et tous le servent. ⁂ Destin du
siècle
, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, avant de pour
92
ieux. L’individu, tel que le concevait le dernier
siècle
, l’homme isolé qui cultivait jalousement sa petite vie intérieure, à
93
ôt après la guerre, reparaître le fameux « mal du
siècle
». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni
94
une solidarité catastrophique. Oui, le destin du
siècle
, le destin des ismes, ne nous laisse rien prévoir d’autre qu’un monde
95
urant de solitude. J’ai terminé ma description du
siècle
. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il nous importe
96
ue chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du
siècle
ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsab
97
es positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du
siècle
, sont tout-puissants sur nous. Dénoncer leurs méfaits, ce n’est pas e
98
e monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du
siècle
, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui est au fon
99
e, plus exactement : l’Évolution. q. « Destin du
siècle
ou vocation personnelle ? », Foi et Vie, Paris, n° 58-59, février‑mar
100
sa recherche. ⁂ Le protestantisme du début de ce
siècle
accordait à la personne de Jésus une place à juste titre centrale, ma
101
re prêtait une réalité insurmontable aux dix-neuf
siècles
qui nous séparent de l’Évangile. Du même coup, l’expérience religieus
102
ienne. Il y eut une école littéraire, à la fin du
siècle
dernier, pour soutenir que la réalité c’est le terne train-train des
103
seur qui sut devancer tous les problèmes de notre
siècle
. Le ton s’y élève à la hauteur de l’invective prophétique : Plains-t
105
tifs. C’est ainsi qu’on nous parle du « destin du
siècle
» avec des yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette question
106
tte question pourtant bien naturelle : Comment un
siècle
peut-il avoir un destin ?i Le destin, c’est le fait d’une personne.
107
ar c’est de tout cela que se compose le destin du
siècle
—, c’est témoigner tout simplement de son abdication personnelle ; c’
108
ue homme est plus grand que tous les « destins du
siècle
» inventés par nos lâchetés. ⁂ Le banquier croit aux fatalités du C
109
s, nous le reconnaissons, mais qui dominent notre
siècle
, vous n’avez rien à proposer que votre chétive personne ? Vous serez
110
Paris, n° 2, juin 1933, p. 19-23. h. « Destin du
siècle
ou destin de l’homme ? », L’Ordre nouveau, Paris, n° 11, mai 1934, p.
111
livre de M. Jean-Richard Bloch intitulé Destin du
siècle
. Il n’en est rien. C’est au succès significatif de ce titre, passé à
112
t ; le groupe Réaction et son organe La Revue du
siècle
, etc. 16. Illustration politique : à tout système qui tend à l’anarc
113
a piété de nos églises au cours des deux derniers
siècles
. Non seulement on voit des pasteurs prêcher l’équivalent de la doctri
114
s deux marchent de pair, et aucun autre esprit du
siècle
ne les dépasse. 50. Traduite en français sous le titre de Traité d
115
cin sévère que la santé moins déprimée d’un autre
siècle
avait tué. C’est aussi qu’il est devenu possible de saisir, dans le d
116
un porte le poids du monde et le sombre avenir du
siècle
. On a dépeint ce clerc moderne, accablé par tous les malheurs du temp
117
s’oppose à l’Ordre. « Ne vous conformez pas à ce
siècle
présent, mais soyez transformés », dit saint Paul. Le solitaire devan
118
nu. Il n’est pas d’autre « réaction » contre « le
siècle
», pas d’autre révolution créatrice. Et tous nos appels à l’esprit, s
119
, et tout cela n’est que mythologie. Les dieux du
siècle
ont l’existence qu’on leur prête : hélas ! il serait faux de dire qu’
120
e-t-il pas que le temps court plus vite depuis un
siècle
? C’est que la fuite des hommes devant l’instant présent se précipite
121
ient pas de ce qu’elle est « sans Dieu », car nul
siècle
, comme tel, ne fut jamais chrétien, mais bien plutôt de ce qu’elle es
122
s œuvres à une commune mesure humaine. Mais notre
siècle
est justement le siècle de la décadence des lieux communs. L’Ordre, l
123
esure humaine. Mais notre siècle est justement le
siècle
de la décadence des lieux communs. L’Ordre, le Bien Public, la Riches
124
ment l’opinion que nous pouvions avoir du « grand
siècle
» tel que nous l’ont décrit les fervents de Louis XIV et certains déf
125
c, sauf Léon Bloy, fait écho à ce style, en notre
siècle
?) Mais Casaubon, bien moins vindicatif, n’est pas moins grand lorsqu
126
ous sommes citoyens des cieux. Louange à Dieu aux
siècles
des siècles. Le livre de John Viénot nous donne toute une anthologie
127
itoyens des cieux. Louange à Dieu aux siècles des
siècles
. Le livre de John Viénot nous donne toute une anthologie de pareils
128
jouait l’atome aux yeux des physiciens du dernier
siècle
: il est l’élément insécable qui marque la limite de décomposition d’
129
ur le jour qui tient lieu de vertu politique à ce
siècle
débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je répon
130
es décrets, ses brimades, représentent dans notre
siècle
un monstrueux complexe de bêtise officielle, et qui n’a plus de cesse
131
au nombre des superstitions les plus étranges du
siècle
athée. Ils font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se posent pas
133
’homme, du destin de l’homme en face du destin du
siècle
, tout se simplifie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus, nous pos
134
r le mot simple, qui me paraît caractériser notre
siècle
. On dit le contraire un peu partout, je le sais bien. On répète que l
135
le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du
siècle
! Expression curieuse et bien moderne14 ! Si nous y regardons de près
136
le simple assemblage de ces deux mots, destin et
siècle
, contient peut-être le secret de tout le mal dont nous souffrons. Il
137
ître, de poser cette simple question : comment un
siècle
peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de destin que personne
138
ion. Si l’on admet facilement de nos jours, qu’un
siècle
ait un destin, c’est que l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte
139
collectifs. Je m’explique. Quand nous disons : le
siècle
, le xxe siècle par exemple, nous entendons par là une réalité histor
140
resque tous de nature collective. L’histoire d’un
siècle
, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des peuples, de
141
génies, par exemple. Quand nous disons destin du
siècle
, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du cap
142
u capitalisme, destin du machinisme. Le destin du
siècle
, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — des abstrac
143
es, les intentions secrètes, — les destins. Notre
siècle
, en tant que siècle, est athée, totalement athée, et consciemment ath
144
ecrètes, — les destins. Notre siècle, en tant que
siècle
, est athée, totalement athée, et consciemment athée. Mais, en même te
145
divinités maîtresses de cette première moitié du
siècle
. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous prouvent abondamm
146
rminées par notre classe ou notre race. Destin du
siècle
contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en cette année
147
millions de nos contemporains dans les destins du
siècle
, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin particulier et l
148
par exemple, sur le développement économique des
siècles
passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénologues. Ce son
149
ux, nous ne saurions pas grand-chose des dieux du
siècle
, et peut-être aurions-nous un peu plus d’attention pour les vrais pro
150
tout, il est tout et tous le servent. ⁂ Destin du
siècle
, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, avant de pour
151
ieux. L’individu, tel que le concevait le dernier
siècle
, l’homme isolé qui cultivait jalousement sa petite vie intérieure, à
152
ôt après la guerre, reparaître le fameux « mal du
siècle
». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni
153
une solidarité catastrophique. Oui, le destin du
siècle
, le destin des ismes, ne nous laisse rien prévoir d’autre qu’un monde
154
urant de solitude. J’ai terminé ma description du
siècle
. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il nous importe
155
ue chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du
siècle
ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsab
156
es positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du
siècle
, sont tout puissants sur nous. Dénoncer leurs méfaits, ce n’est pas e
157
e monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du
siècle
, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui est au fon
158
sait que M. Jean-Richard Bloch intitula Destin du
siècle
un recueil d’essais politiques dont le retentissement fut grand. Ce n
159
ce et la réalité humaine. Elle a pourtant duré un
siècle
, et dure encore… Et le capitalisme ! Son unique justification humaine
160
uel il fallait partir pour aboutir, dans quelques
siècles
peut-être, à un homme nouveau capable de créer un « spirituel » égale
161
as plus qu’on ne fait de l’éternité en accumulant
siècles
sur siècles. Le matérialisme bourgeois, repris en charge par le marxi
162
n ne fait de l’éternité en accumulant siècles sur
siècles
. Le matérialisme bourgeois, repris en charge par le marxisme, empêche
163
entique, lequel ne sera réalisé que dans quelques
siècles
peut-être. Où donc irons-nous chercher ce marxisme authentique ? Chez
164
chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
siècles
de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le
165
» est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce
siècle
de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a de rupture p
166
esprit. On sait ce que c’est que l’esprit, en ce
siècle
! Il a été admirablement défini par la Sorbonne, entre autres. 37.
167
as par hasard que me revient, ici, le souvenir du
siècle
raisonnable où, pour la première fois, dans l’histoire de l’Europe, l
168
us ces groupes un acte de présence à la misère du
siècle
, assez nouveau parmi les intellectuels, et si violemment accentué qu’
169
ition. L’avènement du régime idéal demandera des
siècles
de travail, de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse
170
Le malaise De même que le « spiritualisme » du
siècle
dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce siècle, de mê
171
r mérite et conditionne le « matérialisme » de ce
siècle
, de même que cette séparation de l’esprit et de la matière dénature e
172
est née la présente corruption du travail. Notre
siècle
ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs
173
dra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le
siècle
d’égarement que nous tentons maintenant de solder. Un siècle de machi
174
arement que nous tentons maintenant de solder. Un
siècle
de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que
175
ur le jour qui tient lieu de vertu politique à ce
siècle
débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je répon
176
es décrets, ses brimades, représentent dans notre
siècle
un monstrueux complexe de bêtise officielle, et qui n’a plus de cesse
177
au nombre des superstitions les plus étranges du
siècle
athée. Ils font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se posent pas
179
’homme, du destin de l’homme en face du destin du
siècle
, tout se simplifie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus, nous pos
180
r le mot simple, qui me paraît caractériser notre
siècle
. On dit le contraire un peu partout, je le sais bien. On répète que l
181
le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du
siècle
: l’expression est courante, mais suspecte9. Si nous y regardons de p
182
le simple assemblage de ces deux mots, destin et
siècle
, contient peut-être le secret du mal dont nous souffrons. Il suffit,
183
ître, de poser cette simple question : comment un
siècle
peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de destin que personne
184
ion. Si l’on admet facilement de nos jours, qu’un
siècle
ait un destin, c’est que l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte
185
collectifs. Je m’explique. Quand nous disons : le
siècle
, le xxe siècle, par exemple, nous entendons par là une réalité histo
186
resque tous de nature collective. L’histoire d’un
siècle
, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des peuples, de
187
génies, par exemple. Quand nous disons destin du
siècle
, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du cap
188
u capitalisme, destin du machinisme. Le destin du
siècle
, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — des abstrac
189
es, les intentions secrètes, — les destins. Notre
siècle
, en tant que siècle, est athée, totalement athée, et consciemment ath
190
ecrètes, — les destins. Notre siècle, en tant que
siècle
, est athée, totalement athée, et consciemment athée. Mais, en même te
191
divinités maîtresses de cette première moitié du
siècle
. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous prouvent abondamm
192
rminées par notre classe ou notre race. Destin du
siècle
contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en cette année
193
millions de nos contemporains dans les destins du
siècle
, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin particulier et l
194
par exemple, sur le développement économique des
siècles
passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénologues. Ce son
195
ux, nous ne saurions pas grand-chose des dieux du
siècle
, et peut-être aurions-nous un peu plus d’attention pour les vrais pro
196
tout, il est tout et tous le servent. ⁂ Destin du
siècle
, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, avant de pour
197
ieux. L’individu, tel que le concevait le dernier
siècle
, l’homme isolé qui cultivait jalousement sa petite vie intérieure, à
198
ôt après la guerre, reparaître le fameux « mal du
siècle
». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni
199
une solidarité catastrophique. Oui, le destin du
siècle
, le destin des ismes ne nous laisse rien prévoir d’autre qu’un monde
200
urant de solitude. J’ai terminé ma description du
siècle
. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il nous importe
201
ue chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du
siècle
ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsab
202
es positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du
siècle
, sont tout puissants sur nous. Dénoncer leurs méfaits, ce n’est pas e
203
e monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du
siècle
, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui est au fon
204
sait que M. Jean-Richard Bloch intitula Destin du
siècle
un recueil d’essais politiques dont le retentissement fut grand. Ce n
205
ce et la réalité humaine. Elle a pourtant duré un
siècle
, et dure encore… Et le capitalisme ! Son unique justification humaine
206
uel il fallait partir pour aboutir, dans quelques
siècles
peut-être, à un homme nouveau capable de créer un « spirituel » égale
207
as plus qu’on ne fait de l’éternité en accumulant
siècles
sur siècles. Le matérialisme bourgeois, repris en charge par le marxi
208
n ne fait de l’éternité en accumulant siècles sur
siècles
. Le matérialisme bourgeois, repris en charge par le marxisme, empêche
209
entique, lequel ne sera réalisé que dans quelques
siècles
peut-être. Où donc irons-nous chercher ce marxisme authentique ? Chez
210
chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
siècles
de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le
211
» est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce
siècle
de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a de rupture p
212
esprit. On sait ce que c’est que l’esprit, en ce
siècle
! Il a été admirablement défini par la Sorbonne, entre autres. 30.
213
as par hasard que me revient, ici, le souvenir du
siècle
raisonnable où, pour la première fois, dans l’histoire de l’Europe, l
214
us ces groupes un acte de présence à la misère du
siècle
, assez nouveau parmi les intellectuels, et si violemment accentué qu’
215
sition. L’avènement du régime idéal demandera des
siècles
de travail, de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse
216
Le malaise De même que le « spiritualisme » du
siècle
dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce siècle, de mê
217
r mérite et conditionne le « matérialisme » de ce
siècle
, de même que cette séparation de l’esprit et de la matière dénature e
218
est née la présente corruption du travail. Notre
siècle
ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs
219
dra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le
siècle
d’égarement que nous tentons maintenant de solder. Un siècle de machi
220
arement que nous tentons maintenant de solder. Un
siècle
de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que
221
surgissant lentement, terriblement, des ombres du
Siècle
Stupide ? Qui prévoyait, voici dix ans, l’intervention de ce génie co
222
rendre témoignage « d’une part contre la forme du
siècle
présent ; de l’autre, pour la forme du monde à venir ». Il reste dans
223
rné, et qui nie par là même la valeur de tous les
siècles
qui nous séparent apparemment de cet événement éternel. N’est-il pas
224
onnêteté du positivisme primaire qui régna sur le
siècle
dernier, et dont l’œuvre de Nietzsche a subi trop souvent les atteint
225
cadre de l’État, la France est divisée pendant un
siècle
en trois factions : — la faction catholique, dont l’opinion est clair
226
tains d’obtenir ce qu’ils n’ont pas pu obtenir un
siècle
plus tôt. L’édit fut révoqué, dit Saint-Simon, « sans le moindre prét
227
il n’est presque pas un aspect de la mentalité du
siècle
athée auquel sa pensée d’écorché n’ait réagi par une diamétrale oppos
228
mment contradictoires : Kierkegaard, dans ce même
siècle
. Mais les contradictions de Kierkegaard renvoient dans leur ensemble
229
e qui vit en Christ, et non plus dans la forme du
siècle
présent. Mais les contradictions de Nietzsche ne renvoient justement
230
icale dévaluation de la vie et de la mort que son
siècle
ait pu concevoir, et qu’il fut seul sans doute, dans ce siècle, à ose
231
concevoir, et qu’il fut seul sans doute, dans ce
siècle
, à oser mesurer sans tricherie. Il s’effondre d’ailleurs dès qu’il co
232
riciste, qui tend à nous faire croire qu’après 19
siècles
de christianisme, le « scandale » du Christ s’est atténué. Cette long
233
git dans les deux cas — nous ne pensons qu’aux 19
siècles
qui nous séparent de Jésus-homme, et que nous parvenons plus ou moins
234
c’est qu’entre le Christ et nous, il n’y a pas 19
siècles
, mais une éternité ; il n’y a pas une certaine quantité de temps et d
235
pas différenciés seulement par l’éloignement des
siècles
et l’évolution historique de l’humanité. Ils résultent d’attitudes di
236
ordre vient de Dieu. « Ne vous conformez pas à ce
siècle
présent, mais soyez transformés », dit saint Paul. Tout le secret de
237
nt absolument dominées. C’en est fait ! depuis 19
siècles
. La justice a paru, et nous en témoignons par nos actions de grâce —
238
, une annonce. Protestation contre la forme de ce
siècle
, annonce active de sa transformation. Ici se posent deux grands probl
239
s auraient le droit de m’opposer la sagesse de ce
siècle
en faillite, mais nous appartenons à ce qui juge ce siècle, à la tran
240
faillite, mais nous appartenons à ce qui juge ce
siècle
, à la transformation radicale du monde ! Si le but nous paraît trop h
241
d’agir, de faire acte de présence à la misère du
siècle
, de protester contre elle, et d’annoncer sa foi dans la transformatio
242
se de toutes choses. « Ne vous conformez pas à ce
siècle
présent », dit saint Paul. Et je vous laisserai sur cette mise en dem
243
te mise en demeure : « Ne vous conformez pas à ce
siècle
présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligen
244
is toutes les richesses de style que produisit ce
siècle
bouillonnant ont passé dans l’attaque de Calvin : il a su prendre à l
245
ui, sans doute, font le plus grand défaut à notre
siècle
: une fermeté délibérée qui ne s’arrête pas complaisamment à des trou
246
haînes » qui, des profondeurs de la nature ou des
siècles
, ont amené au jour les vérités créatrices. Et, dans cette présentatio
247
er l’un des problèmes les plus impressionnants du
siècle
? Avait-il conscience de l’aveu que signifiait son entreprise ? Car e
248
isi ? L’utilitarisme grossier, le matérialisme du
siècle
vont-ils trouver en vous leur défenseur ? » — Je réponds simplement q
249
ort que nous le voyons aujourd’hui, quand tout un
siècle
d’enseignement s’est appliqué à le fixer et à l’étendre. Mais il deme
250
s de dire : « Qu’est-ce que la vérité ? » À vingt
siècles
de là, la voix « désabusée » d’un autre clerc parfait lui donnera cet
251
a panique nationaliste dont la culture du dernier
siècle
est responsable ; vu l’intérêt que présenterait pour l’humanité d’auj
252
exigences possibles : ces deux-là dominent notre
siècle
.) Du point de vue strictement théologique, qui est tout de même décis
253
même que défendirent les intellectuels du dernier
siècle
, et qui nous vaut la Grande Presse, l’éloquence parlementaire et la j
254
ne serait-il pas tout aussi bien — s’il refuse le
siècle
précédent — un contemporain spirituel de cet « homme du xviiie siècl
255
nstrations savantes qu’on nous a faites depuis un
siècle
pour nous prouver que l’acte est impossible et que le tout de l’homme
256
2 avec la Réforme, en France : on oppose dix-neuf
siècles
de tradition universelle — dont quinze nous sont communs d’ailleurs a
257
mmuns d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre
siècles
d’une tradition que l’on réduit au seul domaine français, sans même c
258
r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les
siècles
, elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire… Comme je citais cette
259
r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les
siècles
, elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire. Elle a donc le pouvoir
260
r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les
siècles
, elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire ». (Elle sait même qu’il
261
.) Qu’est-ce donc que cette tradition de tous les
siècles
? C’est, nous répond l’Enchiridion symbolorum et definitionum de Denz
262
uveront commode de vanter les révoltés de l’autre
siècle
. Et il y aura toujours quelques hommes pour trouver ça plutôt nigaud.
263
e la liberté. Ce serait le plus beau « titre » du
siècle
. Ceci admis, et comment ne point l’admettre — mais c’est admettre la
264
s Pour un pays qui a fait son unité depuis des
siècles
, et qui peut-être a même été trop loin dans ce sens ; pour un pays qu
265
nsi fait Goethe, et c’est là sa vertu. Mais notre
siècle
pose d’autres questions, des questions que Ramuz ne veut pas esquiver
266
qui fait croire à beaucoup de personnes que notre
siècle
est celui de l’autorité, c’est l’abondance de pouvoirs tyranniques qu
267
e la crise : 1930-1935. Il a fallu bien près d’un
siècle
, il a fallu surtout le double truchement de Heidegger et de Karl Bart
268
e dont les destins se confondirent durant tout le
siècle
dernier avec ceux du protestantisme français. Maurras, lorsqu’il voul
269
. Vous avez reculé la question de dix ans ou d’un
siècle
, je ne sais ; mais ce que je sais, c’est que tous nos pays se trouver
270
us ignorer. Notons aussi que cet appel profond du
siècle
a commencé par se manifester dans les pays les plus atteints matériel
271
à où le cadre national existait depuis un ou deux
siècles
, ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont p
272
ts humains les plus féconds et authentiques de ce
siècle
. J’imagine l’historien futur étudiant l’inventaire de Petit, comme no
273
Claudel, qui domine de son poids les écritures du
siècle
, je retiendrai d’abord deux mots : « poétique » dans le titre ; et «
274
ros et de son débat, ce personnage a vécu dans ce
siècle
, où son nom ne cessera de grandir : Franz Kafka. De cet esprit incomp
275
ence. Ce sont les hommes les plus intelligents du
siècle
, mais aussi les moins créateurs au sens absolu de ce mot : un Spengle
276
tâche humaine a voulu se hisser au sublime, où le
siècle
bien trop heureux d’être débarrassé de son contrôle, la laisse polime
277
essais de restauration que le premier tiers de ce
siècle
aura vus naître en Russie et en Allemagne. 1. Mais Proust, ou Joyc
278
société rénovée. Mais la situation se renverse au
siècle
suivant, c’est-à-dire dès l’instant où la bourgeoisie s’établit, trio
279
arce qu’on sentait obscurément que les mesures du
siècle
avaient changé. Mais on n’en avait pas une conscience assurée, positi